410

Le Représentant de Dieu – [sommaire]

Partager

par l’entremise de Benjamin Creme, Share International, juillet/août 1987

Chaque fois que l’homme se retrouve dans l’incapacité de résoudre ses problèmes et perd tout espoir en l’avenir, il lance instinctivement un appel au secours et, dans son angoisse, implore Dieu de lui venir en aide. C’est ainsi que pendant les années de guerre de la première moitié du XX^e siècle, les dures épreuves que traversa l’humanité invoquèrent le Christ et l’amenèrent une nouvelle fois dans le monde. Jamais auparavant, à travers toutes les vicissitudes de l’histoire, les enjeux de sa venue n’avaient été si importants, car jamais auparavant l’homme n’avait disposé de pareilles forces de destruction.

Aujourd’hui comme toujours, les nations sont divisées. Chacune se prétend dépositaire de la sagesse du monde, et les hommes se voient ainsi offrir le choix entre liberté et justice. Il est totalement absurde que l’humanité se voie proposer un tel choix. La liberté comme la justice sont divines, et la divinité est indivisible. Il ne peut y avoir de liberté sans justice, ni de justice sans liberté. Bientôt, les hommes se verront offrir l’occasion d’en finir à jamais avec cette parodie de vérité et de combler ainsi le fossé qui sépare les nations. Il suffit pour cela de la simple prise de conscience que tous les hommes sont divins et ont le même droit sacré de partager les dons de Dieu et de s’associer à ses plans. Faute d’une telle prise de conscience, l’humanité ne pourrait connaître la paix.

Lorsque les hommes verront le Christ, ils réaliseront qu’ils ne sont pas seuls, que le Représentant de Dieu a répondu à leur appel et est revenu les aider. Il leur rappellera leur origine divine et leur parenté avec tous leurs frères. Il leur présentera les choix qui les attendent pour l’avenir, et usera de son droit de conseil. Il décrira les étapes menant à une vie meilleure pour tous, une vie plus en accord avec la nature spirituelle de l’homme. Il enseignera et guidera, transformant ainsi le monde par l’entremise des hommes.

Au début les progrès seront peut-être lents, le temps que les hommes se familiarisent avec les avantages du changement, mais, le moment venu, le rythme s’accélérera et tout sera pris dans un tourbillon de transformations. Rien ne pourra arrêter ce processus, car il trouve son origine dans la pensée de Dieu. Rien ne peut résister durablement à la force magnétique du Plan de Dieu.

Il ne fait aucun doute que le plus grand obstacle au bon déroulement de ce Plan est l’insécurité dans laquelle vivent aujourd’hui les hommes. Ils voient autour d’eux un monde hostile, se sentent menacés de toutes parts par la pénurie et les privations. La menace nucléaire pèse lourdement sur tous. Maitreya montrera aux hommes qu’ils n’ont rien à craindre, si ce n’est leur propre peur : qu’un avenir radieux attend l’humanité si seulement elle consent à agir dans son propre intérêt : que Dieu n’a d’autre dessein que le plus grand bien de l’homme. Il soulignera que les hommes doivent agir pour créer le monde qu’ils appellent de leurs vœux, que lui-même ne vient pas pour sauver l’humanité mais pour lui montrer la voie. Il stimulera de son énergie tous ceux qui endosseront avec joie la charge du service. Il bénira tous ceux qui partageront son fardeau.

Les tenants du passé sentent le danger, mais leur combat est perdu d’avance. C’est en vain qu’ils tentent de renforcer les murailles de leur citadelle, dont les remparts vacillent sous les assauts des hommes qui se battent pour la liberté et la justice. C’est au sein de cette tourmente qu’est venu Maitreya, pour mettre ses divines ressources au service de l’homme.

Un livre d’Ugo Bardi et Carlos Alvarez Pereira : Limits and Beyond (Les limites et au-delà) (extrait) – [sommaire]

Partager

Il y a cinquante ans, l’une des études scientifiques les plus lues sur les possibilités futures de la vie humaine sur notre planète était publiée, mais puisque son message s’inscrivait totalement en porte-à-faux avec la pensée dominante de l’époque, ce rapport, Les limites à la croissance (aussi connu comme le rapport Meadows, fut largement rejeté. Aujourd’hui, une nouvelle publication, Les limites et au-delà (Limits and Beyond, non traduit) revisite ses conclusions et ses recommandations, et conclut que le rapport originel était à la fois exact et prescient.

Les limites et au-delà est une collection d’articles rédigés par des penseurs, des scientifiques et des économistes de premier plan, dont notamment deux auteurs du rapport originel, Dennis Meadows et Jorgen Randers. L’ouvrage cherche à analyser l’impact du précédent rapport et à déterminer comment nous pourrions mieux prendre en compte son message fondamental : une planète aux ressources limitées ne peut pas soutenir une croissance éternelle, une conclusion aussi valable aujourd’hui qu’hier.

Le Club de Rome, qui a parrainé les deux rapports, fut fondé en 1968 afin de réunir des penseurs d’horizons différents – entrepreneurs, scientifiques, politiques, membres de la société civile – pour réfléchir au futur de l’humanité, dans une perspective systémique, globale et de long terme.

… L’objectif n’était pas de prédire le futur, mais de présenter un éventail de possibilités scientifiquement fondées, afin de permettre à l’humanité de décider collectivement de son futur. Malheureusement, la plupart des scénarios envisagés montraient que, si les politiques restaient inchangées, la civilisation humaine industrielle s’effondrerait durant la première moitié du 21^e siècle. Souvent considéré à tort comme une simple prédiction du futur, le rapport choqua et rebuta de nombreux lecteurs. Pourtant, cinquante ans plus tard, Les limites et au-delà reproduit un des scénarios originels de 1972 qui anticipait plutôt bien les données historiques de 1970 à 2010, et dont la trajectoire se termine en effet par un effondrement.

… Dans Les limites et au-delà, les auteurs analysent ces deux travers culturels et proposent des alternatives. Les lecteurs de la présente revue reconnaîtront leurs appels à la coopération plutôt qu’à la compétition, à l’unité inclusive et à la diversité plutôt qu’à la division, à l’équité et à la justice sociale, et au besoin de réduire notre consommation et de simplifier nos vies. Tous les auteurs se retrouvent dans l’idée qu’il existe un chemin positif vers un meilleur futur, mais qu’il nécessite des changements structurels profonds. Et ils veillent à souligner que les changements nécessaires ne prendront pas la même forme dans les communautés ou les pays dont les membres sont actuellement exclus, que dans les endroits où la majorité bénéficie du statu quo. Une unité imposée ne reflèterait nécessairement qu’une seule vision, celle qui est dominante, tandis que pour qu’une reconfiguration culturelle réussisse, toutes les visions du monde doivent être représentées.

… Oui, ce nouveau livre confirme que nous nous dirigeons toujours vers un effondrement si nous poursuivons les politiques actuelles et nos habitudes culturelles, mais il nous est possible d’apprendre de modèles alternatifs d’organisation sociale qui sont inclusifs, égalitaires, enracinés dans le monde naturel et qui reflètent les valeurs humaines supérieures. Une humanité éduquée a le pouvoir d’agir et de changer sa destinée….

Le pouvoir des peuples transforme leur vie (extrait) – [sommaire]

Partager

Le pouvoir des peuples se manifeste de différentes manières chez ceux qui vivent dans des endroits difficiles et défavorisés ou qui font un travail physique difficile. Par exemple, de nombreux jeunes s’organisent pour vivre dignement et prendre leur destin en main de manière innovante. Des travailleurs manuels prennent des responsabilités dans des associations locales ou politiques.

…

De femme de chambre à députée

Rachel Keke est née en Côte d’Ivoire en 1974 et a émigré en France à l’âge de 26 ans. Elle est entrée comme femme de chambre en 2003 à l’hôtel Ibis Batignolles, à Paris. Le métier de femme de chambre en hôtel est très éprouvant physiquement. Elle décrit ce travail comme un travail qui détruit le corps : « Parfois, on est tellement fatigué qu’on en pleure. »

Avec l’aide du syndicat CGT, elle a mené une lutte victorieuse avec 20 autres travailleurs contre le groupe Accor. Personne ne croyait pouvoir gagner mais, après 22 mois de lutte, ils ont obtenu une augmentation substantielle des salaires, une réduction du temps de travail et l’annulation du licenciement de dix travailleurs atteints d’une maladie professionnelle. Ils ont résisté aux menaces et aux intimidations. Ils ont souvent utilisé des méthodes créatives comme l’occupation festive de l’hôtel, avec des chants et des danses rythmés : « Frottez, frottez, il faut payer, l’esclavage, c’est fini, la sous-traitance c’est fini. » Leur objectif était de devenir visibles. Dans une interview à Mediapart, Rachel déclare : « C’est du racisme, si nous n’étions pas noires, nous n’aurions pas été traitées comme ça. Ce travail détruisait nos corps, treize personnes sont malades à cause de ce travail. » Elle exige que les politiques s’occupent de l’exploitation des travailleurs immigrés, notamment par la sous-traitance, qui génère beaucoup de souffrance.

En mai 2022, elle est élue à l’Assemblée nationale avec La France insoumise. La porte-parole de la lutte des femmes de ménage de l’Ibis Batignolles a battu l’ancienne ministre des Sports, Roxana Maracineanu, avec 51,38 % des voix contre 48,62 %. Elle a gagné contre le préjugé selon lequel la classe ouvrière n’a pas les connaissances culturelles et mentales pour travailler en politique, ce qui est une façon d’imposer la domination de la bourgeoisie et la pérennisation des inégalités sociales. Au Parlement, lors d’une discussion sur l’augmentation du salaire minimum, elle a harangué les députés français issus pour la plupart des classes privilégiées : « Quiconque n’a jamais gagné 800, 900, 1 000 euros par mois, pas par jour, ne peut pas ne pas connaître la douleur du travail de première nécessité. »

Référence :
Mediapart est un journal d’investigation en ligne français indépendant créé en 2008 par l’ancien rédacteur en chef du Monde.

Les enseignements de Maitreya le Christ (extrait) – [sommaire]

Partager

Le Maître Djwal Khul nous a donné un aperçu des enseignements du Christ, qui, comme nous le verrons, sont les enseignements que, par nature, nous connaissons et acceptons comme vrais : les justes relations humaines sont le fondement de notre vie, et c’est pour créer de telles relations que nous venons en incarnation, encore et encore. Il en réitérera le besoin, et nous montrera à nouveau la façon d’y parvenir.

La première étape dans la création de justes relations humaines doit être la transformation de nos structures politiques, économiques et sociales. La crise spirituelle par laquelle passe l’humanité se concentre aujourd’hui dans ces domaines, et au cœur du problème économique se trouve la question de la distribution et de la redistribution. Les justes relations humaines seront, par décret divin, le prochain accomplissement de l’humanité. Il n’est pas possible d’avoir des justes relations avec nos frères et sœurs des pays les moins développés quand nous vivons dans l’opulence et le gâchis alors qu’ils meurent de faim par millions.

La solution est évidente : partager les ressources de ce monde d’abondance est la première étape essentielle vers les justes relations. Maitreya fera comprendre cela clairement et inspirera l’humanité à agir dans ce sens. Son appel au partage et à la justice, comme seule voie vers la véritable paix (et donc vers la perpétuation de l’humanité et le sauvetage du monde), est essentiellement un appel à mettre en place de justes relations humaines et à renoncer aux relations injustes du monde d’aujourd’hui, qui se manifestent par : la compétition et l’avidité des individus et des pays : la haine et la violence qui sont partout dans le monde plus puissantes que jamais : la séparativité et l’exclusion, l’adhésion fanatique à son propre idéal : toute l’amertume et la méfiance qui nous ont amenés au bord de l’autodestruction.

L’épée de clivage

La puissance de son énergie d’Amour – l’épée de clivage – a produit la polarisation qui existe aujourd’hui et montrera clairement la marche à suivre pour l’humanité. Autour de lui se rassembleront tous ceux qui défendent l’inclusivité et l’amour, la justice et la liberté de l’esprit humain. Ceux qui soutiennent la séparativité et l’exploitation, la compétition et l’avidité seront de même révélés, et le choix qui sera présenté à l’humanité sera clair : entre l’amour et la haine, entre le partage et l’avidité, entre la paix et la guerre, entre la vie et la mort.

Le Christ a affirmé « mon cœur m’indique votre réponse, votre choix, et s’en réjouit » (message n° 11, janvier 1978). Répondant à son énergie d’Amour, des personnes de chaque pays (cela se produit déjà) se réuniront en groupes qui exigeront la justice, la paix et de justes relations. Bientôt, ces groupes deviendront la plus grande force dans le monde, inaugurant la nouvelle ère de paix et de bonne volonté.

…

L’éducation dans le nouvel âge (extrait) – [sommaire]

Partager

… On part aujourd’hui du principe que l’éducation favorise la capacité à profiter pleinement de la vie en société et à y contribuer. Souvent aussi, l’éducation est considérée comme ce qui permet à l’individu de « réaliser son potentiel ».

L’article suivant du Maître de Benjamin Creme tiennent pour acquis la notion de « bon citoyen » tout en allant plus loin. Le but essentiel de l’éducation dans le nouvel âge est de permettre la croissance de la personne à mesure qu’elle comprend de mieux en mieux qu’elle est une âme en incarnation. Le fait de le savoir avec une profonde certitude nous permet de prendre notre place dans la société et d’y contribuer avec joie, avec signification et avec la compréhension de l’unité de toute vie. Les connaissances et les compétences considérées comme les objectifs de l’éducation et qui permettront à la personne de prendre sa place dans la société ou même, dans certains cas, de contribuer à refaire notre monde seront secondaires à cette prise de conscience. Savoir que l’on est une âme en incarnation est la fondation de tout le reste.

…

L’objectif fondamental de l’éducation dans le nouvel âge

« Pour avoir un aperçu de la direction dans laquelle l’éducation du nouvel âge s’orientera peut-être, il paraît utile de commencer par définir le but fondamental de l’éducation et de mettre ainsi en lumière les insuffisances des méthodes éducatives actuelles. » (La nouvelle éducation, par le Maître –)

C’est l’évidence même. Si nous ne connaissons pas le but de l’éducation, si nous ne connaissons pas la nature de l’être de ceux que l’on nous demande d’éduquer et si les méthodes et philosophies de l’éducation ne changent pas, alors il ne fait aucun doute que bien peu de progrès seront accomplis dans la formation des jeunes et des adultes à l’expérience de la vie dans le nouvel âge.

La vie dans le nouvel âge sera complètement différente de toutes les expériences connues auparavant sur cette planète. Aucun d’entre nous, à l’exception des plus évolués, n’a bénéficié de l’instruction dispensée par les Maîtres de Sagesse, et n’a vécu les étapes de l’illumination ainsi que la vie qui en découle, toujours plus pleine de sens.

Dans l’ère qui vient, les Maîtres vivront au grand jour dans le monde. … Un grand nombre d’entre eux seront impliqués dans l’éducation d’une façon ou d’une autre. Leurs disciples deviendront, au premier chef, les instructeurs de ceux qui seront vraisemblablement amenés à assurer la formation et l’enseignement de tous les groupes, jeunes et vieux, de l’âge à venir.

A mesure que la compréhension de la nature de la constitution humaine et des buts de la vie sur la planète Terre progressera, à mesure que l’unité du monde se renforcera sous l’effet du partage, de la justice et de la paix, les hommes seront de plus en plus nombreux à trouver en eux-mêmes le besoin de savoir qui ils sont, quel est leur but dans la vie et leur niveau d’évolution. On parlera beaucoup de l’évolution qui deviendra une donnée primordiale sur la planète Terre. L’évolution de la conscience humaine et le développement de tous les règnes de la nature domineront la pensée et le dessein des hommes et des femmes partout dans le monde.

En prenant conscience de leur identité en tant qu’âme en incarnation, les individus se mettront à exprimer davantage leur qualité d’âme. En conséquence, l’intuition commencera à fonctionner chez des gens chez qui elle ne joue pour ainsi dire aucun rôle aujourd’hui. Par l’intuition, nous saisirons de plus en plus les possibilités et significations qui se cachent derrière les apparences extérieures de la vie. Nous voudrons savoir qui nous sommes sous tous les aspects. Pourquoi sommes-nous nés ? Sommes-nous vraiment nés auparavant ? Sommes-nous vraiment le résultat d’une succession de vies conformément à la Loi de renaissance ? […]

L’Éducation est une question de prise de conscience. C’est par la prise de conscience que nous nous ouvrons à la vie, dans la mesure où cela nous est possible, car nombreuses sont les circonstances sociales qui se mettent en travers du chemin. La vie est une énergie vibrante. Par la prise de conscience progressive du sens et de l’effet de cette énergie, nous évoluons et devenons plus conscients du sens et du but de la vie. C’est un processus intuitif. Notre intuition est vraiment perception consciente. En se développant, à mesure que nous devenons de plus en plus semblables à la nature de l’âme, notre conscience devient plus semblable à cette dernière….

Le miracle de la vibhuti – [sommaire]

Partager

Le matin du 16 avril 2022 (week-end pascal), notre fille Rachel était nauséeuse et avait mal à la gorge. Elle a régulièrement des nausées, mais celle-ci semblait un peu plus grave et, après quelques heures, nous décidâmes de lui faire passer un test rapide de covid. Le résultat fut positif. Nous fîmes immédiatement le nécessaire pour aménager sa chambre et toute la famille mit des masques et prit diverses précautions pour se préparer à un confinement de cinq jours, conformément aux directives locales.

Nous passâmes plusieurs heures à lui parler et à la faire participer aux activités familiales. Avant le dîner, je lui donnai un peu de vibhuti (cendre sacrée manifestée par Saï Baba). J’en avais gardé un peu au cas où l’un d’entre nous aurait contracté le virus. Rachel se mit un peu de vibhuti sur la main et la lécha. Peu de temps après avoir quitté la pièce, je l’entendis s’écrier : « La Vibhuti est réapparue ! » Je vis qu’elle en avait une fine trace au centre de la main gauche. « Eh bien, parfois il peut rester de la vibhuti. Lèche là et je vais chercher mon téléphone. »

Je pris mon téléphone, revins et regardai sa main. La vibhuti était de nouveau là. Même endroit et même petite trace. Je pris une photo de sa main, puis passai en mode vidéo. « Léche ta main à nouveau pendant que je filme ! » C’est ce qu’elle fit et montra la main à la caméra et plus aucune trace. Nous avons attendu environ 15 secondes, puis elle regarda sa main, la ferma, l’ouvrit et la regarda à nouveau. La vibhuti était de retour ! Incroyable ! Rachel se lécha à nouveau la main et se lava les mains et cette fois, la vibhuti n’est plus réapparue.

La présence de vibhuti était très rassurante et nous étions tous soulagés de savoir que Rachel irait bien.

Le lendemain, dimanche de Pâques, Rachel se réveilla encore un peu vaseuse mais beaucoup mieux.

Nous continuâmes à faire des tests qui furent positifs pendant un certain temps, mais elle avait très peu de symptômes et aucun d’entre nous ne contracta le virus !

T. B.