Pour nous réconforter à la fin d’une année tumultueuse et souvent éprouvante, nous publions à nouveau ce message de Maitreya.
En ce moment, beaucoup de gens vivent des jours difficiles. Même les meilleurs et les plus proches de moi connaissent les affres du doute et de l’incertitude.
Mais quand je dis que je suis l’un des vôtres et que je m’engage à vos côtés devant le monde entier, je dis la vérité.
De même, quand je dis que l’heure est proche où tous les hommes me reconnaîtront et répondront à mon appel, c’est aussi la vérité.
Seule la Loi m’oblige à attendre encore un peu, mais dans les limites qu’elle m’impose je suis en vérité avec vous jour après jour, constamment à l’écoute de vos besoins et des opportunités que vous me présentez.
Bientôt, l’humanité dans son ensemble s’éveillera à ma présence et s’empressera d’accepter la transformation de ce monde qui est le nôtre.
Rappelez-vous que nous nous trouvons à la fin d’une civilisation et au début d’une autre, à un moment extraordinaire de l’histoire du monde ; ne vous étonnez donc pas que le changement soit pour beaucoup une épreuve.
Pour certains, il est une libération. Pour d’autres, il rime avec détresse et insécurité.
Mais mes frères, la souffrance n’aura qu’un temps, et nombreux sont ceux qui le savent déjà. Vous trouverez de l’aide en abondance pour franchir ce cap difficile. Accueillez avec joie l’âge qui commence, et sachez reconnaître les signes du renouveau.
En vérité, je vous le dis, je suis avec vous. En vérité, je suis parmi vous de bien des façons.
Demandez-vous, mes frères, où vous en êtes de la construction du monde nouveau qui comblera mes attentes — un monde où tous les hommes ne feront qu’un, où tous célébreront la joie de la création, s’employant avec amour à montrer le chemin à leurs frères dans la simplicité et la vérité.
Transmis à Benjamin Creme par télépathie mentale le 31 mars 2016.
par William Allen,
« La vieille conception mécaniste de la nature et des forces qui y sont à l’œuvre cède rapidement du terrain. […] De plus en plus nombreux sont ceux qui acceptent l’idée que tout est énergie, qu’énergie et matière ne sont que deux états différents d’une réalité unique sur laquelle la pensée peut exercer son influence. La vision humaine de l’existence est transformée par cette compréhension qui ne cesse de croître. […] Nombreux sont les scientifiques du monde entier qui orientent leurs recherches dans cette direction, ressentant le besoin d’étayer de preuves leur conviction intuitive que tout est interconnecté. » [Le Maître –, par l’entremise de Benjamin Creme, extrait de L’extension de la conscience, Partage international, septembre 1992]
Pendant des siècles la vision scientifique dominante s’est basée sur les conclusions issues de la mécanique classique ou newtonienne. Celle-ci postule que la nature est un grand mécanisme composé de parties matérielles. Donc, pour comprendre des organismes complexes, il suffit de les réduire aux interactions entre leurs parties. La physique classique a mené à de nombreuses découvertes, connaissances, innovations et technologies qui ont contribué à des améliorations nombreuses dans tous les domaines de la vie et nous ont propulsé dans l’espace.
Au début du XXe cependant, plusieurs physiciens (dont certains obtiendront par la suite un prix Nobel) ont exploré la relation entre la matière et l’énergie. Ce faisant, ils découvrirent empiriquement des phénomènes qui ne pouvaient être expliqués par la physique classique, à savoir que ce que nous percevons comme de la matière physique solide (cela inclut les atomes) est en fait l’interaction, ou enchevêtrement [on dit aussi intrication] d’ondes d’énergie. Parmi eux, certains poussèrent les expériences plus loin et démontrèrent que la conscience, ou esprit, est reliée à ces énergies [de la matière] et peut donc affecter le monde matériel. Ces découvertes posèrent les bases d’une révolution de la physique, qui aboutit à la théorie quantique et à la mécanique quantique.
Qu’on le réalise ou non, la théorie quantique valide deux enseignements de la Sagesse éternelle : a) qu’il n’y a rien dans tout l’univers manifesté que de l’énergie en mouvement et b) que l’énergie suit la pensée.
Récemment, une équipe de chercheurs du Massachusetts Institute of Technology, de l’université de Vienne et d’institutions allemandes et chinoises ont mis au point une expérience qui ne laisse presque plus de place au doute : des particules subatomiques distantes d’années-lumière peuvent être intriquées, c’est-à-dire « partager » la même information et la même existence1. Cela pourrait permettre de comprendre ce qu’exprimait le Maître de Benjamin Creme dans son article L’Unité (Partage international, juillet/août 2001), à savoir que « la finalité sous-jacente de toute vie est la création de l’unité, qui exprime le lien étroit existant entre tous les atomes ».
En parallèle des expériences en cours dans la physique quantique, l’étude des états de conscience supérieure progresse dans le monde. Les scientifiques enquêtent sur les états modifiés de conscience : de la méditation à de nombreux phénomènes psychiques, et jusqu’à la perception consciente après la mort clinique, appelée « expérience de mort imminente » (EMI), qui est désormais relatée et documentée si souvent qu’elle ne peut plus être considérée hors-norme (cf. l’interview de Leslie Kean dans Partage international, juillet/août 2017, journaliste d’investigation et auteur du livre Survivre à la mort : une journaliste enquête sur les preuves d’une vie après la mort). Cette expérience récurrente indique que l’esprit existe indépendamment du cerveau. Ici aussi, les investigations ont révélé des phénomènes qui ne peuvent pas être expliqués par la vision matérialiste et mécaniste de la réalité.
Mais en dépit des preuves empiriques de la théorie quantique et des résultats obtenus par les recherches en parapsychologie et sur les états modifiés de conscience, il s’avère que beaucoup, si ce n’est la plupart des scientifiques, des écrivains scientifiques et des universitaires, restent résolument fidèles à l’approche matérialiste du monde comme base exclusive pour expliquer la réalité. Ils ont tendance à considérer ces nouvelles frontières avec scepticisme, dérision, ou incompréhension. Ce paradigme matérialiste dominant, ou « matérialisme scientifique » est plus une idéologie – science en tant que dogme – qu’une enquête ouverte et libre de préjugés.
Nous pouvons considérer ce schisme comme un exemple de la polarisation entre ceux conditionnés par les énergies déclinantes de l’ère des Poissons, avec son don surdéveloppé et mal employé de dévotion à un idéal – dévotion fanatique et clivante à ses propres idéaux et visions du monde au détriment de tous les autres – et ceux démontrant un changement de conscience par l’effet des énergies croissantes du Verseau, qui stimulent les idées sur l’approche holistique, sur la synthèse, sur les interrelations ainsi que sur les aspects subjectifs et immatériels de la réalité.
Un manifeste audacieux
Frustré par la résistance de la science traditionnelle, qui va de pair avec les financements et les publications scientifiques, un grand nombre de scientifiques non-conformistes dans le monde ont joint leurs efforts pour attaquer publiquement le statu quo et pour appeler leurs collègues à « se défaire des œillères et des chaînes de l’ancienne idéologie matérialiste ».
Du 7 au 9 février 2014, un groupe de scientifiques mondialement reconnus, venus de différentes disciplines (dont la biologie, la psychologie, la médecine et la neuroscience) s’est réuni à Tucson (Arizona) lors d’un séminaire sur la science, la spiritualité et la société. Ils discutèrent de l’impact de la vision matérialiste sur la science et de son corollaire sur la société, ainsi que de l’émergence de ce qu’ils appellent un paradigme « post-matérialiste ». Huit scientifiques présents à la conférence ont créé un manifeste à partir des conclusions issues de la conférence : le Manifeste pour une science post-matérialiste2, qui a été publié en 2014 dans Explore – A journal of Science and Healing. Selon ses auteurs, plus de deux cents scientifiques, philosophes, médecins et pionniers de la Nouvelle Pensée ont signé le document.
Long de quelques pages seulement, le manifeste comprend 18 points répartis en deux parties. La première critique le « matérialisme scientifique » et comment la foi exclusive en ce paradigme « a amené les scientifiques à négliger la dimension subjective de l’expérience humaine. Cela a conduit à une conception fortement déformée et appauvrie de nous-mêmes et de notre place dans la nature. » Elle se poursuit sur le développement de la théorie quantique et le potentiel qu’elle a de faire changer de paradigme, sur le nombre croissant d’études démontrant que l’activité mentale peut affecter le système physiologique de notre corps, sur les études des « phénomènes psi » de la parapsychologie, qui pointent vers des perceptions humaines extrasensorielles et la capacité d’influencer mentalement d’autres organismes, et enfin sur le nombre croissant de cas d’EMI constatés, pendant lesquels la conscience se maintient malgré un état de mort clinique. Cette première partie se conclut sur l’affirmation que les scientifiques, les philosophes, les éditeurs et les financeurs qui refusent de reconnaître ces phénomènes parce qu’ils ne cadrent pas avec la vision matérialiste « sont contraires au véritable esprit d’investigation scientifique […]. »
Un nouveau paradigme radical
Dans Un Traité sur le Feu cosmique, le Maître Djwal Khul (DK), écrivait : « […] le mental a été défini comme cette faculté de déduction logique et de raisonnement, d’activité rationnelle, qui distingue l’homme de l’animal. Cependant, il est beaucoup plus que cela, car il est sous-jacent à toute manifestation, et la forme même d’une amibe, la faculté de discernement de l’atome ou de la cellule la plus insignifiante, sont animées par le mental, sous une forme ou sous une autre […].
L’homme est en fait un fragment du Mental universel ou Âme du monde et, en tant que fragment, partage donc les instincts et qualités de cette Âme, se manifestant dans la famille humaine. »
La seconde partie du manifeste définit les points importants du paradigme post-matérialiste naissant, selon les conclusions de la conférence. Plutôt qu’un résumé, une sélection de citations aura plus d’impact et permettra aux lecteurs d’y voir le reflet des déclarations des Maîtres cités ci-dessus.
– L’esprit représente un aspect de la réalité tout aussi primordial que le monde physique. L’esprit joue un rôle fondamental dans l’univers, il ne peut être dérivé de la matière et réduit à quelque chose de plus basique.
– Il existe une interconnexion profonde entre l’esprit et le monde physique.
– L’esprit […] n’est pas confiné à des points spécifiques dans l’espace (tels que le cerveau et le corps) […].
– Les esprits individuels ne sont apparemment pas limités et peuvent s’unir. Cela suggère l’existence d’un Esprit qui englobe tous les esprits individuels.
– La science post-matérialiste […] cherche à accroître notre capacité à comprendre les merveilles de la nature et, ce faisant, à nous permettre de redécouvrir que l’esprit est un aspect majeur de la fabrique de l’univers.
Le manifeste soutient également que ce nouveau paradigme peut promouvoir des « valeurs positives » telles que la compassion et le respect mutuel, ainsi qu’un souci plus grand pour l’environnement par la compréhension de notre interconnexion avec le monde naturel. En d’autres termes, promouvoir de justes relations humaines, avec nous-mêmes, avec les autres et avec la nature.
Le point final émet l’hypothèse que la science post-matérialiste puisse être vitale pour l’évolution de l’humanité et de la civilisation. Les auteurs écrivent : « Ce passage est peut-être encore plus crucial que la transition du géocentrisme à l’héliocentrisme. »
Les personnes impliquées dans le manifeste, et celles qui en ont été inspirées, admettent qu’il reste difficile de faire accepter la vision post-matérialiste comme objet susceptible d’un examen sérieux. La vieille garde matérialiste domine toujours les sources d’informations traditionnelles. A ce jour, je n’ai pas trouvé trace d’une publication scientifique traditionnelle ou d’un média traditionnel qui ait publié, discuté ou même reconnu le manifeste. Mais nous pouvons être certains que les nouvelles énergies qui se propagent actuellement sur Terre – de Maitreya, des Maîtres de Sagesse, du Verseau et d’autres sources cosmiques – éliminent les obstacles et aplanissent la route à parcourir.
Pour plus d’information : opensciences.org
1. www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/actu-intrication-quantique-un-test-de-bell-venu-des-etoiles-38217.php
2. www.inrees.com/articles/Manifeste-science-Beauregard/
Maladie d’Alzheimer : une expérience prometteuse – [sommaire]
par Chantal Piganeau,
La maladie d’Alzheimer est une maladie neuro-dégénérative dite incurable car à ce jour, il n’a pas été trouvé de médicament pour y pallier.
En 2014, le Dr Dale Bredesen, professeur de neurologie à l’Ucla (Californie), part d’une hypothèse novatrice. Et si cette maladie était induite par le stress chronique et de graves carences liées à notre mode de vie moderne ? Il tente une expérience avec dix patients diagnostiqués « Alzheimer ». Il propose à ces patients un programme personnalisé et un accompagnement pour rééquilibrer leurs habitudes de vie. Les résultats obtenus au bout de six mois sont plus que probants.
Huit malades, atteints certes de façon relativement légère, ont retrouvé leurs capacités perdues. De plus, ils se sentent mieux qu’avant l’apparition de la maladie. Six d’entre eux ont pu reprendre leur travail. En poursuivant le programme dans la durée, ils se sont avérés complètement guéris.
Ainsi, la maladie, dans les premiers stades, pourrait disparaître à condition de modifier certains comportements.
Cela interroge sur nos modes de vie et sur les causes profondes de la maladie d’Alzheimer.
Le Dr Michael Nehls dans son ouvrage Guérir Alzheimer, comprendre et agir à temps explique la genèse de la maladie, les moyens de la prévenir et de la guérir, aux premiers stades de ses manifestations.
Comment fonctionne la mémoire ?
Tout part de l’hippocampe et de son rôle. Cette petite structure rassemble, le temps d’une journée, les informations recueillies, avant qu’elles ne soient envoyées dans la zone de la mémoire à long terme, pendant le sommeil profond.
Une substance est secrétée, la beta-amyloïde, pour stabiliser les souvenirs immédiats, avant qu’ils ne soient archivés. L’hippocampe dispose donc d’une zone de stockage momentanée. Cependant, il reste le gardien des informations de rappel, qui nous permettront de retrouver ce que nous avons appris. II joue donc un rôle fondamental dans la mémoire.
Par ailleurs, pour pouvoir chaque jour engranger davantage d’informations de rappel, l’hippocampe fabrique continuellement de nouveaux neurones. A tout âge. Ces neurones neufs ne peuvent s’intégrer au réseau existant qu’à condition d’être mobilisés. Il faut donc utiliser nos facultés d’apprentissage pour stimuler la neurogenèse et bénéficier de nouvelles connexions.
Enfin l’hippocampe grave mieux les informations de rappel si les conditions d’apprentissage sont positives. Le lieu, le moment où nous avons reçu l’information et enfin la connotation émotionnelle vécue sont déterminants. Plus l’information nouvelle est significative, plus l’on se sent concerné par elle, plus le rappel de cette mémoire est aisé. L’hippocampe, pour pouvoir fonctionner, a besoin d’interactions humaines, de cohérence et de convivialité.
Stress chronique et carences
Plus notre corps endure de stress, plus le cerveau secrète de beta-amyloïde. Elle s’évacue normalement pendant le sommeil. Lorsque la maladie se déclare par des pertes de mémoire de plus en plus manifestes, le cerveau présente des agrégats envahissants de beta-amyloïde, qui en paralysent les fonctions. Produite en surproduction, elle devient toxique. Le cerveau ne l’élimine plus. C’est ainsi que l’on diagnostique la maladie, de façon sûre, par imagerie médicale. De plus, la neuro genèse est bloquée.
La maladie d’Alzheimer commence à bas bruit par un dérèglement progressif de l’hippocampe, s’installant pendant des années. Notre corps physique endure un stress chronique par la pollution et une alimentation de plus en plus artificielle. L’addiction aux écrans sur-stimule le système nerveux, le bombardant de sollicitations continuelles, artificielles et incohérentes. Ce stress chronique, à la fois physique, émotionnel ou mental, entraîne la surproduction de beta-amyloïde. De plus, le manque de sport et de sommeil, empêche d’en éliminer l’excédent. Un cercle vicieux s’installe.
D’autre part, de graves carences s’installent. La nourriture industrielle, empêche le cerveau de s’alimenter correctement.
Enfin, les nouveaux neurones fabriqués ne sont pas intégrés au système nerveux, par manque d’apprentissages nouveaux et d’interactions humaines.
Le stress chronique lié à la pollution, la malbouffe, le manque d’activité physique, l’isolement, enfin un quotidien vide de sens, sont donc, autant de facteurs de risques.
Comment inverser le processus ?
L’activité physique
Le mouvement, notamment la marche, stimule l’activité de l’hippocampe. L’activité physique aide le cerveau à éliminer la beta-amyloïde en excès. Des souris, à qui l’on avait injecté des agrégats de beta-amyloïdes, ont pu éliminer complètement cette substance toxique en courant à l’intérieur d’une roue. Des malades atteints d’Alzheimer, après une activité physique, voient leurs capacités mentales s’améliorer considérablement.
On comprend mieux le besoin de déambuler qu’éprouvent naturellement les malades, comme pour tenter de stimuler leur cerveau. Faute d’avoir compris ce besoin, de nombreuses maisons de retraite ont tendance à enfermer les malades. Dans les maisons où on les laisse déambuler librement et où on les encourage à une activité physique régulière, l’agressivité diminue, et la maladie évolue plus lentement.
Une activité physique quotidienne faisait donc partie du programme proposé aux patients du Dr Bredesen.
Nourrir correctement le cerveau
Un programme alimentaire diversifié, avec des produits sains et fraîchement cuisinés, des compléments alimentaires naturels et enfin un apport quotidien en huile de coco ont permis aux patients du Dr Bredesen de pallier au déficit de nourriture de leur cerveau.
La nourriture industrielle, truffée de sucres ajoutés, tend à installer un diabète sournois, de type 2. Le cerveau ne peut plus absorber le glucose dont il a besoin, et il souffre alors de carence alimentaire. Ainsi, peut s’expliquer le besoin de sucreries des personnes âgées. Elles tentent de stimuler leur cerveau dont les cellules meurent peu à peu d’inanition…
Comment nourrir le cerveau lorsque ce dérèglement est installé ? Il existe un palliatif. Le foie peut transformer les graisses en cétones, qui sont des substituts au glucose. Eux, sont en mesure de parvenir au cerveau pour le nourrir. C’est ce qui nous permet de rester en forme, tout en jeûnant.
L’huile de noix de coco en complément alimentaire, compense les déficits du cerveau en nutriments. En effet, elle stimule considérablement la capacité du foie à fabriquer des cétones. L’huile de coco se rapproche de la composition du lait maternel. On l’utilise dans les hôpitaux pour soigner les épilepsies graves de l’enfant ainsi que les traumatismes cérébraux des blessés de guerre. Le Dr Mary Newport a étudié de près les bienfaits d’un apport quotidien en huile de coco pour aider les malades. Les patients témoignent de capacités retrouvés. Leur cerveau, de nouveau alimenté, se remet à fonctionner.
Enfin, un rapport équilibré entre les omégas 6 et les omégas 3 avec l’apport d’huile de poisson permet de réduire le stress. Le sommeil en quantité suffisante, et une exposition quotidienne au soleil faisaient aussi partie du programme de guérison.
Une richesse d’interactions sociales
Le programme prévoyait un accompagnement pour aider les malades à donner du sens à leur existence.
Apprendre chaque jour quelque chose, et trouver une activité dans laquelle se sentir utile, faisaient partie intégrante du programme. Plutôt que de stimuler l’activité cérébrale par des exercices mécaniques, c’est avec des interactions sociales diversifiées et vivantes que l’hippocampe se remet à fonctionner. Les nouveaux neurones, parce qu’ils sont mobilisés, créent des connexions et s’intègrent donc au réseau existant. Ainsi, le système nerveux parvient à pallier les déficits dus à l’âge.
L’exercice d’une activité d’apprentissage intéressante, adaptée aux centres d’intérêt du patient, dans un environnement soutenant et chaleureux, a pu redonner à chacun le goût de se mobiliser pour quelque chose de signifiant. Sortis de leur isolement, les patients ont pu retrouver une qualité de vie bien supérieure à celle qu’ils avaient, avant d’être malades.
L’ensemble de ce programme a remis en route la faculté de régulation et d’auto guérison du corps humain, restaurant de façon naturelle des fonctions jusque-là perturbées du cerveau.
Mary Newport, MD, auteure de Alzheimer’s Disease : What If There Was a Cure ? The Story of Ketones (2011 ; 2e edition avril 2013) ; et The Coconut Oil and Low Carb Diet for Alzheimer’s, Parkinson’s and Other Diseases (sept 2015).
(www.coconut ketones.com)
Fraternité générale est une organisation non gouvernementale française qui est née du traumatisme causé par les attaques terroristes qui ont touché la France au cours de ces cinq dernières années. Plus qu’une organisation, c’est un mouvement, une énergie, l’aboutissement du sentiment de solidarité que ces attaques ont fait naître au sein du peuple français chez qui les valeurs humaines fondamentales ont été réveillées.
Fraternité générale se considère comme « un mouvement dédié à la promotion de la fraternité dans des initiatives culturelles, éducatives, sportives et civiques à travers la France ». Tout particulièrement, elle a pour objectif de combattre l’exclusion et la marginalisation de communautés et autres entités, de rendre la culture universellement accessible grâce à un programme d’initiatives à l’échelle nationale et de favoriser des projets de la société civile en accord avec ses objectifs.
A la mi-octobre 2017 et aussi en novembre 2016, Fraternité générale a organisé plus de 600 évènements dont des séminaires, des débats et des concerts en France, dans les territoires d’Outre-mer et à l’étranger. De grandes villes, des ONG et des institutions publiques bien connues ont participé à ces évènements ainsi que d’autres organismes publics, des hôpitaux, des maisons de retraite et même des cafés et des restaurants.
Fraternité générale démontre que les valeurs humaines peuvent prévaloir au sein de la crise de civilisation que nous traversons.
« Nous pouvons tous rétablir de bonnes relations entre nous et aider à rétablir ces relations au niveau mondial, affirme Fraternité générale. C’est à travers des actions à la fois individuelles et collectives que Fraternité générale se façonne. »
Source : www.fraternite-generale.fr