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juillet 2016 – No 335

Sommaire


 

Article du Maître —

Celui qui frappe à la porte [sommaire]

par Le Maître –,

par l’entremise de Benjamin Creme, janvier 1993

Dans la vie de chaque nation vient un moment où un examen de conscience s’impose ; où elle doit porter un regard neuf sur les idéaux qui ont inspiré sa constitution — écrite ou non — à la lumière de ce qui a été accompli, et réexaminer les résultats obtenus. Une fois cela fait avec honnêteté et franchise, l’autosatisfaction qu’affichent tant de dirigeants pour conserver leur emprise chancelante sur le peuple cédera la place à un discours plus en phase avec la réalité. Le temps de nombreux leaders est compté.

Des événements se produiront sous peu qui entraîneront une redistribution du pouvoir, et l’émancipation des peuples. A l’actuel simulacre de démocratie succédera une participation authentique qui ouvrira un nouveau chapitre dans la longue quête humaine de justice et de liberté.

Alors même que s’écrivent ces lignes, un plan est lancé qui accélérera ce processus et apportera de la joie aux millions d’hommes qui souffrent le martyre. Patiemment ils attendent, ces pauvres qui ne connaissent pas l’espoir : parqués comme du bétail dans la fournaise impitoyable du désert ; privés de travail et de logement dans les arrogantes métropoles de ce monde ; condamnés à tirer une maigre subsistance des terres les plus arides. Ils attendent la délivrance qui maintenant frappe à la porte.

Bientôt ils verront leur libérateur ; beaucoup l’ont déjà vu, et ne vivent que pour le voir à nouveau. Sur les champs de bataille qui défigurent notre temps, il apparaît à tous avec la même grâce. Bientôt, les nombreux miracles dont il est l’auteur lui gagneront le cœur des hommes et des femmes du monde entier. L’une après l’autre, les sources curatives seront découvertes, et il s’ensuivra une grande purification des temples des hommes.

L’histoire nous enseigne que les événements ne se reproduisent jamais à l’identique ; le temps et l’évolution en assurent le renouvellement. Ceux qui espèrent un sauveur à la manière de jadis attendront en vain. Les temps nouveaux nécessitent des méthodes nouvelles, et les nouveaux problèmes appellent de nouvelles solutions.

C’est ainsi que Maitreya fait face à la situation présente, et s’attaque aux questions qui préoccupent tous les hommes : faim et lutte pour la survie, équilibre de la planète, partage et justice, paix et guerre. Qu’il vienne pour aider l’humanité ne fait aucun doute ; mais il vient avant tout pour enseigner. Prêtez donc attention à ses enseignements car ils contiennent l’essence de la vie ; sous leur inspiration vous serez guidés jusqu’au firmament.

A ceux qui vous demandent « Que nous réserve l’avenir ? », répondez qu’une étoile brillante a renoncé à sa légitime place dans les cieux pour cheminer parmi les hommes, et apporter sur Terre des présents jusqu’ici inconnus. Cette étoile bénie des dieux a pour nom Maitreya. Il montrera aux hommes la voie du devenir qui peut être le leur.

Il leur indiquera la porte secrète qui mène au cœur de Dieu, et les aidera à en franchir le seuil. Il marchera aux côtés des hommes et des anges, et tissera entre eux des liens. Par l’exemple et l’enseignement, il montrera à chacun le chemin du salut. Il régénérera le monde, et le réenchantera. Prêtez l’oreille, car il frappe à la porte.

Note de la direction
Depuis la création de la revue Partage international, le Maître de Benjamin Creme fournit des articles susceptibles d’être publiés non seulement au moment où ils sont écrits, mais aussi chaque fois que la situation mondiale les rend à nouveau pertinents.

 

Editorial

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Point de vue

 

Compte rendu de lecture

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Compilation

Nous publions dans cette rubrique une sélection de citations de Maitreya (Messages de Maitreya le Christ et Enseignements de Maitreya : les lois de la vie), du Maître de Benjamin Creme (Un Maître parle) et de Benjamin Creme (divers ouvrages).

Maitreya se tient sur le seuil [sommaire]

Beaucoup me suivront et me considéreront comme leur guide. Beaucoup ne me connaîtront pas. Mon but est d’entrer dans la vie de tous les hommes et, à travers eux, de changer cette vie. Soyez prêts à me voir bientôt. Soyez prêts à entendre mes paroles, à suivre mes pensées, à répondre à mon appel. Je suis l’étranger à la porte.
Je suis Celui qui frappe. Je suis Celui qui ne partira pas. Je suis votre Ami. Je suis votre Espoir. Je suis votre Bouclier. Je suis votre Amour. Je suis Tout en Tous. [Message n° 10 (Maitreya)]

Maitreya se tient devant la porte, prêt à frapper. Prêtez bien l’oreille, pour ne pas le manquer. Il vient pour accomplir la Loi ; pour servir le Plan ; pour enseigner l’humanité ; pour conduire ses frères vers l’avenir qui leur est destiné. Il vient pour voir s’accomplir la promesse qu’il a faite aux hommes en un lointain passé : celle de les racheter par son amour et de les éveiller à leur divinité. [Maitreya hâte son émergence (Maître –)]

Abordez le proche avenir dans un esprit de joyeuse anticipation : Maitreya se tient au seuil de son émergence, prêt à livrer bataille à la séparativité et la cupidité. Ralliez-vous à son appel à la justice et à la liberté, à la réconciliation et à la paix, et mettez-vous tout entier au service de la race humaine. Nous vivons une époque sans précédent. Une époque qui ne se répétera jamais. Regardez au plus profond de votre cœur, et faites votre choix : un avenir baigné de lumière et d’amour – ou le déni de votre destinée. Maitreya sait que l’heure du changement est venue. Il sait que l’humanité est prête à relever le défi. Il se tient prêt à émerger et à commencer sa mission. [L’accueil réservé à Maitreya (Maître –)]

D’après les informations dont je dispose, il va apparaître très, très prochainement – je parle là dans le cadre de notre notion humaine du temps. Pendant une trentaine d’années, on m’a dit qu’il allait apparaître « bientôt », mais c’était selon la conception du temps des Maîtres, qui travaillent par cycle de deux mille ans. Quelques années pour un Maître, c’est comme un dimanche après-midi pour nous. L’émergence de Maitreya obéit à certaines lois, particulièrement les lois qui gouvernent notre libre arbitre. Au cours des vingt-six dernières années, Maitreya aurait pu être invoqué à tout moment par l’humanité, si celle-ci avait simplement accompli quelques actions qui lui auraient permis d’apparaître publiquement. [Le Rassemblement des Forces de lumière (B. Creme)]

Mes amis, mon émergence se produit maintenant si rapidement qu’il reste peu de temps avant que vous ne voyiez mon visage. Lorsque vous le verrez, vous saurez que votre frère de longue date, Maitreya lui-même est parmi vous. Je vous inviterai à travailler pour moi et pour le Plan. Je sais, mes amis, que je peux compter sur vous. [Message n° 91 (Maitreya)]

Maitreya frappe fort à la porte. Bientôt, cette porte s’ouvrira et le Seigneur d’Amour descendra dans l’arène. En le voyant, les hommes s’étonneront de la simplicité de ses paroles, mais aussi de sa clarté d’expression. Sa sagesse les enchantera autant qu’elle les déconcertera, et elle attirera vers lui ceux qui sont prêts à le suivre dans la reconstruction du monde. [La transformation, PI, juin 2007 (Maître –)]

Il y a déjà longtemps, dans le premier ouvrage de l’Agni Yoga, Maitreya a déclaré : « C’est par la main et le pied de l’homme que le nouvel âge doit être construit. »
Chaque pierre, chaque brique, chaque marche, doit être posée par l’homme lui-même. Mais cela ne pourra se faire sans le retour des Maîtres dans le monde. Cela n’arrivera pas à moins que Maitreya lui-même non seulement se fasse connaître mais soit en mesure d’inspirer l’humanité afin qu’elle crée les conditions qui mèneront au partage, à la justice et à la paix. Une harmonisation de tous les efforts sera nécessaire pour que les choses se mettent en place dès que possible.
Maitreya va venir plus tôt que prévu. Il n’attendra pas le krach boursier. Si grands sont les problèmes dans le monde, notamment le déséquilibre écologique que nous avons nous-mêmes créé et qui rend la vie extrêmement difficile pour l’humanité. [L’Art de la coopération (B. Creme)]

Les hommes ne peuvent plus se tenir à l’écart et laisser les événements suivre leur cours souvent tragique. L’heure est venue de prendre fièrement position pour l’unité et pour la vie, pour le bon sens et pour la paix. Maitreya est en chemin, et vous demandera de choisir, de répondre à son plaidoyer.
Sachez que vous êtes ici précisément pour vivre cette période, et ne doutez pas, aujourd’hui, du pouvoir de votre décision. Faites savoir que vous choisissez la justice et la paix, et entrez dans les rangs de ceux sur qui Maitreya peut compter.
Nombreux sont ceux qui, aujourd’hui, pressentent que des événements d’importance capitale sont sur le point de se produire. Ils en ignorent la nature et en redoutent souvent la portée. Ils répondent à l’énergie de Maitreya, même s’ils ne le connaissent pas nommément. Bientôt, très bientôt, ils le verront. Chacun peut, et doit, faire son choix : opter pour le doute et le rejet, et souffrir indéfiniment – ou recréer l’avenir, et pénétrer au royaume de la Vérité. [Au royaume de la Vérité (Maître –)]

Il ne s’écoulera guère de temps avant que vous ne me voyiez. Utilisez au mieux ce peu de temps pour me préparer la voie, pour enseigner, à tous ceux que vous rencontrez, les paroles de vérité que je vous transmets. Guidez-les également vers le chemin de la lumière et vers la promesse que mon retour apporte au monde.
Mon émergence publique est imminente. Soyez attentifs et tenez-vous prêts, et ne vous endormez pas. [Message n° 65 (Maitreya)]

Il y a beaucoup à faire, car c’est un monde tout entier qui appelle à être transformé. Beaucoup devront s’atteler à cette tâche, car le changement touchera tous les hommes. Quand Maitreya entrera aux yeux de tous sur la scène de la vie moderne, il invitera  une armée de volontaires à le rejoindre et à l’aider. Par leur intermédiaire, il conduira et supervisera la restauration de la planète.
Il ne reste que très peu de temps avant que les hommes voient Maitreya, connaissent sa présence, prêtent attention à ses directives. Il abordera toute la gamme des maux actuels, et par ses conseils montrera la voie de leur guérison progressive. [Le chemin de la divinité (Maître –)]

Notre tâche a été de créer le climat d’espoir et d’attente qui permettra à Maitreya de se faire connaître sans enfreindre notre libre arbitre et de se révéler au grand jour dans un climat de réceptivité optimale. Des millions de personnes ont entendu cette histoire ; bien entendu, toutes n’y croient pas. Des milliers, des centaines de milliers peut-être, y croient dans une certaine mesure et sont ouvertes à cette possibilité, et c’est là une bonne chose. Des centaines ou des milliers, je ne sais pas combien, y croient vraiment et sont activement engagées. Leur tâche, notre tâche, est de favoriser la réceptivité de l’humanité à la possibilité de l’émergence de Maitreya. Cela contribue à ouvrir cette fenêtre d’opportunité qui lui permettra de se faire connaître. [La Mission de Maitreya, tome III (B. Creme)]

Très peu de temps, maintenant, me sépare de vous, du moment où j’apparaîtrai ouvertement. Les hommes me verront très prochainement. Et, s’ils me suivent, je les guiderai vers l’avenir qui les attend : un avenir baignant dans la lumière de la Vérité, de l’Harmonie et de l’Amour.
Mes amis, je vous demande de m’aider, d’endosser une partie du fardeau de la préparation. Si vous pouvez accepter le fait de ma présence, faites-le savoir partout où vous trouverez une oreille attentive. [Message n° 6(Maitreya)]

Maitreya se tient sur le seuil, la main levée pour frapper à la porte. Les signes de sa présence gagnent en intensité, comme il attend d’être reconnu. Faites-lui bon accueil dans votre cœur et facilitez son arrivée ; permettez-lui d’œuvrer à travers vous. Rappelez-vous que vos frères et sœurs eux aussi méritent de connaître la Grande Nouvelle. Ne les laissez donc pas dans l’ignorance. [Maitreya se tient sur le seuil  (Maître –)]

Je me suis bien sûr efforcé de présenter ces événements de la façon la plus susceptible de faire naître l’espoir et l’attente, de susciter une réponse active de la part de l’humanité. Il se peut très bien, cependant, que ses problèmes soient beaucoup plus complexes que je ne l’imagine. Mais je ne pense pas que le report de sa déclaration au monde influe sur la rapidité de notre réponse.
Maitreya lui-même a dit, dans son message n° 61 : « A défaut, j’émergerai dans un monde prêt, mais insuffisamment préparé ; un monde qui ne sait pas encore que je suis parmi vous. Mais il serait de loin préférable pour moi de venir comme celui que vous attendez. »Ainsi, Maitreya sait que l’humanité est prête. [La Mission de Maitreya, tome I (B. Creme)]

Préparez-vous à me voir très bientôt. Préparez-vous à me reconnaître, à me faire confiance, à m’aimer et à travailler avec moi, car je viens vous enseigner la voie qui conduit à la Source de votre être, à son cœur même.
Lorsque vous me connaîtrez, vous comprendrez que je suis depuis toujours dans votre cœur. Depuis longtemps vous entendez mon appel, et vous êtes ici en réponse à cet appel. [Message n° 104 (Maitreya)]

Des millions d’hommes pressentent et redoutent la fin de tout ce qui leur est cher. D’autres, non moins nombreux, attendent pleins d’espoir les possibilités offertes par une vie nouvelle, impatients de se découvrir plus libres dans un monde plus juste. Le changement, prélude au renouveau, frappe à la porte pour tous, appelant les hommes à se préparer pour bâtir et connaître un monde neuf, un système social meilleur que celui qui est aujourd’hui la honte de l’humanité. Chacun répond à sa manière : par la crainte de perdre statut social, possessions et prestige ; ou par l’espoir, en se réjouissant de la fin des vieilles divisions et limitations.
Maitreya se tient prêt à émerger. Sa seule émergence entraînera une avalanche de changements qui, prenant de l’ampleur, transformeront le paysage de la vie moderne [Un monde en mutation (Maître –)]

Le monde a changé sous l’influence des paroles de Maitreya. Il parle à des millions de personnes. Il a un impact énorme ; peu le reconnaissent, mais c’est vrai. L’effet est réel. Le monde est en train de changer, de jour en jour. Et Maitreya doit non seulement garder un œil sur les changements mais il doit adapter en permanence son action à ces changements. C’est l’accélération du changement qui lui permet de venir plus tôt qu’on ne le pensait. [Séminaire européen 2014, PI, janv. 2015 (B. Creme)]

Mes projets prennent de l’ampleur et, bientôt, vous me verrez en personne, vous me reconnaîtrez et, confiants, me suivrez. Ne soyez pas surpris si mes paroles vous sont familières ; bien des fois par le passé, vous avez entendu parler de la nécessité de l’amour. Néanmoins, beaucoup aujourd’hui sont privés de cet aspect divin, et périssent par millions. C’est pourquoi, mes amis, mes paroles résonneront à vos oreilles : « Aimez votre frère ; soyez attentifs à ses besoins, donnez ce que vous avez en abondance et restaurez la joie dans le monde. »[Message n° 52 (Maitreya)]

En tant que guide et leader, Maitreya ne décevra pas les attentes. Il suscitera l’espérance et l’aspiration de tous. Il libérera ce que les hommes ont en eux de plus élevé, ce qui pour l’instant sommeille dans l’ombre parce qu’ils craignent de l’exprimer et ignorent parfois même son existence. Il vaincra la peur des hommes et fondera, en vérité, une humanité nouvelle.[…]
Maitreya s’apprête à frapper fort aux portes qui mènent à la liberté, à la justice et à la paix. Prêtez l’oreille, reconnaissez son appel, et préparez-vous à allier l’audace à la sagesse en lui emboîtant le pas dans l’action. [Le nouveau millénaire commence (Maître –)]

Je suis ici pour vous dire que mon apparition devant le monde est proche. Bientôt, le monde entier me verra, me connaîtra et m’appellera Frère. Je suis votre frère, réellement, et c’est en tant que tel que je reviens, pour proclamer la vérité de la présence de Dieu en vous, pour diriger vos pas vers l’avenir, pour vous révéler l’Amour et la Volonté de Dieu. [Message n° 138 (Maitreya)]

Un jour prochain, les hommes et les femmes du monde entier se rassembleront autour de leur poste de radio ou de télévision pour entendre et voir le Christ ; pour voir son visage et pour entendre ses paroles qui tomberont silencieusement dans leur mental – dans leur propre langue. Ainsi, ils sauront qu’il est vraiment le Christ, l’Instructeur mondial. Ainsi, nous verrons également se répéter, mais cette fois à l’échelle mondiale, ce qui s’est passé à la Pentecôte. Afin de célébrer cet événement, la Pentecôte deviendra une fête majeure de la nouvelle religion mondiale. Ainsi, enfin, le Christ démontrera la capacité future de tous les hommes à communiquer mentalement, télépathiquement, à de longues distances et à volonté.
Sa tâche et celle de ses disciples, les Maîtres de Sagesse, sera d’inaugurer l’ère de la raison, de la fraternité, de l’amour, et d’amener les hommes à prendre pleinement conscience qu’ils sont des parties intégrantes de l’Unique Vie divine. [La Réapparition du Christ et des Maîtres de Sagesse (B. Creme)]

J’ai pour projet de me manifester rapidement, de parler aux hommes simplement et dans un langage que tous pourront comprendre, de leur parler comme à des frères, de guider leurs pas en direction de Dieu. Dieu peut être connu sous de nombreux noms : je l’appelle Amour, je l’appelle aussi Justice. Tous deux, Amour et Justice, sont les fondements de notre vie. Cherchez-moi et connaissez votre Frère de longue date. Soyez attentifs à mon message, mes amis, et, ensemble, dans la joie nous transformerons ce monde. [Message n° 38 (Maitreya)]

Chaque jour qui passe nous rapproche du jour de la Déclaration où Maitreya apparaîtra en pleine lumière devant le monde entier. En cet heureux jour, la joie partagée des hommes et des femmes de toutes les nations chassera les nuages d’angoisse et de peur qui assombrissent notre paysage aujourd’hui. La tourmente et la menace actuelles ne sont que le prélude à une ère nouvelle de paix et de coopération où l’humanité s’efforcera de réparer les erreurs du passé, de faire régner la justice parmi les nations, de résoudre les anciennes querelles et de faire respecter le droit international.
Lorsque les hommes jetteront un regard en arrière sur notre époque, ils y verront la nuit obscure qui précède l’aube la plus éclatante et ils seront heureux d’avoir vécu ces temps mémorables.
Le monde attend l’Instructeur. L’Instructeur attend l’opportunité d’apparaître au grand jour, d’enseigner et de servir. [L’obscurité précédant l’aurore (Maître –)]

Maintenant, vous me verrez si prochainement que, pour le moment, il n’y a qu’une seule action à entreprendre : Faites connaître, avec toute la puissance de votre volonté et de votre esprit, ma présence dans le monde.
Mes amis, faites savoir que vous croyez que le Fils de l’Homme marche de nouveau avec vous, que le messager de la Loi de Dieu est parmi vous, que la Lumière de la Vérité interpelle une nouvelle fois le cœur des hommes, que la transition vers le nouvel âge se fera avec beaucoup plus de douceur qu’on ne le supposait, que ma Loi s’épanouira, que mon émergence est en cours. Dites ces vérités à vos frères, mes amis, et faites-leur partager votre joie. [Message n° 131 (Maitreya)]

Quand nous partagerons la production mondiale plus équitablement, nous reléguerons d’un coup la guerre et le terrorisme dans les oubliettes du passé. Nous créerons les conditions de la confiance. Une fois que la confiance sera établie, nous pourrons nous asseoir autour d’une table et trouver les solutions à tous nos problèmes. Ainsi parlera Maitreya. Recherchez un homme qui parle en ces termes, avec bien plus d’éloquence et de simplicité que je ne puis en avoir. Si vous croyez qu’il dit vrai, donnez-vous pour objectif d’être le premier à changer, le premier à vous sacrifier.
Quand suffisamment de gens suivront non pas Maitreya, mais les pensées, les idées, les conseils de Maitreya, il sera invité à parler au monde entier lors de ce que nous appellerons le Jour de Déclaration. [L’éveil de l’humanité (B. Creme)]

 

De nos correspondants

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Dossier

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Signes des temps

Les « Signes des temps » présentés dans cette rubrique ont été confirmés par le passé par Benjamin Creme ou s’imposent d’eux-mêmes sur la base de l’espoir et de la foi qu’ils suscitent. Nous les soumettons à votre réflexion.

Soho, le 9 juin 2016 [sommaire]

Des miracles déferleront sur le monde

Le 9 juin 2016 , un immense objet ailé a été filmé près du soleil par l’Observatoire solaire et héliosphèrique (Soho) de la Nasa.
[Voir la photographie dans la version imprimée de la revue Partage international.]

Le Maître de Benjamin Creme indique qu’il s’agit d’un immense Deva.

D’étranges nuages [sommaire]

Des miracles déferleront sur le monde

Cher Monsieur,

Début mars 2014, je me suis arrêté pour photographier d’étranges nuages dans le ciel.

Au développement, j’ai découvert les trois points lumineux en haut à droite (que je n’ai pas vus le jour où j’ai pris la photo). On peut remarquer qu’ils sont parfaitement alignés et dotés chacun de sept cotés.

De quoi s’agissait-il ?

J. T., Barsac, France

[Voir la photographie dans la version imprimée de la revue Partage international.]

Le Maître de Benjamin Creme indique que les trois objets sont des vaisseaux spatiaux martiens.

Double action [sommaire]

Des miracles déferleront sur le monde

Cher Monsieur,

Je souhaitais partager une expérience survenue à Londres, le vendredi 18 mars 2016, autour de 21 h 30.

Après une journée de stage avec un très bon ami à moi, nous décidâmes d’aller prendre un verre pour célébrer cette bonne journée. Après avoir quitté le bar et en chemin pour rejoindre un troisième ami au restaurant, sur Old Compton Street, une rue célèbre de Soho, je remarquais un homme jouant de la guitare en terrasse. Il jouait une très belle musique de style hispagno-tsigane alors qu’il était vraisemblablement indien. La musique attira mon attention, et je découvris à ses côtés, l’accompagnant, un impressionnant homme indien portant un costume et un énorme turban colorés. Il portait autour du ventre une pancarte avec des lettres de couleurs « FREE HUGS »(câlins gratuits). (voir photos ci-dessous et ci-contre)

Malgré la belle musique, son impressionnant costume et sa pancarte, personne ne semblait les remarquer. Bien que cette rue soit souvent très peuplée et animée les vendredis soirs, pleine de bars et de personnes saoules.

Lorsque je les vis, je stoppai net, car je reconnus instantanément l’homme dont la photo avait été publiée dans le numéro de janvier/février 2016 de Partage international et qui n’était autre que Maitreya.

Je m’approchai de lui, le saluai et je lui demandai si je pouvais avoir un HUG. Il me regarda et me dit : « Tu souris, tu as un grand sourire, c’est bien, c’est très bien. Tu es belle. »

Il se leva et me pris dans les bras en déclarant : « Un hug pour l’Amour inconditionnel. » Il commença à me parler avec une grande sagesse, tout en riant. J’écoutais très attentivement, bien qu’étrangement je ne pusse me rappeler tout ce qu’il disait. Mais en résumé, il dit : « Nous sommes tous UN, nous sommes tous connectés les uns aux autres et en même temps nous sommes des individus uniques. Tout dans l’Univers est connecté. Nous sommes UN. »

Je lui demandais si je pouvais prendre une photo de lui. Il accepta.

Mes amis m’attendaient sur le côté. Je leur dis de venir me rejoindre et d’écouter cet homme. Il dit à nouveau : « Nous sommes tous UN, connectés. Avec la terre, le ciel, l’air, les gens ici dans cette rue, tous les éléments, nous sommes tous UN. Vous êtes beaux, dedans, dehors. Je n’ai pas besoin d’alcool ou de drogue pour être heureux. Avec l’Amour inconditionnel, c’est bien plus que cela (il ria et leva les mains en s’exclamant : « C’est Waouh ! »). Il n’y a pas de tristesse ni de bonheur, c’est au-delà de cela. Nous sommes ici pour une période très courte. Nous devons être présents dans cette vie. »Et il répéta souvent : « Vous êtes beaux. »

Alors qu’il parlait, l’homme à la guitare continuait de jouer une très belle et joyeuse mélodie.

Il embrassa mes amis et moi à nouveau. Et à ce moment-là, beaucoup de personnes commencèrent à affluer et à demander des hugs.

Je crois qu’il dit les mots suivants, avec une voix presque incantatoire : « Je vois les vibrations de l’amour sur Old Compton Street. »

Et nous partîmes. Cette nuit était particulièrement joyeuse dans ce quartier, j’ai rarement autant senti fonctionner mes muscles zygomatiques et nous ressentîmes une grande énergie de joie.

Plus tard, en regardant les photos que j’avais prises, je réalisai que le nombre 13 était attaché à sa pancarte, et me souvins que cela a été mentionné dans votre numéro de janvier/février.

Auriez-vous la gentillesse de nous dire qui étaient ces deux hommes ? Merci beaucoup par avance pour ceci et pour tout.

C. R. D., Paris, France

[Voir photographies dans la version imprimée de la revue Partage international.]

Le Maître de B. Creme indique que les deux hommes étaient Maitreya sous deux apparences différentes.

Un feu de camp extraordinaire [sommaire]

Vers la mi-juin 2016 , à Ocaña (Colombie), pendant qu’un groupe d’enfants priaient autour d’un feu de camp, les flammes prirent la forme de la Vierge.
[Voir la photographie dans la version imprimée de la revue Partage international.]

Le Maître de Benjamin Creme indique que la silhouette apparue dans le feu est bien celle de la Vierge Marie. Ce miracle a été manifesté par le Maître qui fut la mère de Jésus.

Source : Juan Carlos Granero

Ovni à Taito Ward [sommaire]

Des miracles déferleront sur le monde

Ovni photographié par K. Na., le 22 mars 2016 , depuis sa maison de Taito Ward, Tokyo (Japon).
[Voir la photographie dans la version imprimée de la revue Partage international.]

Le Maître de Benjamin Creme indique qu’il s’agissait d’un vaisseau spatial martien.

Des tulipes spéciales [sommaire]

Des miracles déferleront sur le monde

Cher Monsieur,

J’ai eu une surprise cette année avec la floraison de certains bulbes de tulipes jaunes que je replante chaque automne.

J’ai constaté un changement de couleur, du rose est apparu. Lorsque les pétales s’entrouvrent, le rose envahit l’avers et laisse le jaune lumineux à l’intérieur de la fleur, en une très belle harmonie.

De plus, trois fleurs se sont formées le long d’une courte tige, ce qui est tout à fait inhabituel pour des tulipes. Je suis très sensible aux fleurs. Pourrait-il s’agir d’un signe ?

M. O., Lyon, France

[Voir la photographie dans la version imprimée de la revue Partage international.]

e Maître de Benjamin Creme indique que la tige et les changements de couleur ont été manifestés par le Maître Jésus.

Un vaisseau quitte Saturne [sommaire]

Des miracles déferleront sur le monde

Récemment, la Nasa a posté sur son site web une photo prise par le satellite Cassini en orbite autour de Saturne. Elle montre un objet faisant une percée sur un des anneaux de Saturne, avec la légende suivante : « Perturbation probablement récente dans l’étroit anneau F de Saturne. »

David Serada, qui a publié cette photo non datée sur sa page Facebook, explique : « Un agrandissement sur Photoshop, laisse apparaître une déchirure […], qui ne peut avoir été provoquée par un objet naturel, puisque rien ne peut échapper à la gravité sans moyen de propulsion propre. »

Articles d’origine publiés par la Nasa : www.nasa.gov/mission_pages/cassini/images/index.html?id=385917 ; http://www.nasa.gov/mission_pages/cassini/images/index.html

[Voir  photographies dans la version imprimée de la revue Partage international.]

Le Maître de Benjamin Creme indique que l’objet est un énorme vaisseau spatial saturnien quittant sa propre planète.

Source : Facebook : David Serada ; nasa.gov

Motifs lumineux Madison [sommaire]

Des miracles déferleront sur le monde

Motifs lumineux photographiés à Madison, Wisconsin (E.-U.), par E. T. le soir du Nouvel An 2015. Ce phénomène, observé dans le monde entier, est manifesté par les Frères de l’espace en collaboration avec Maitreya.
[Voir la photographie dans la version imprimée de la revue Partage international.]

 

S.O.P. — Sauvons notre planète

Hormis la guerre, rien ne compromet aussi gravement l’avenir de l’humanité que la pollution. Constatant qu’il en est ainsi, certains pays ont pris des mesures pour la réduire et pour limiter le réchauffement climatique. D’autres, parfois parmi les plus gros pollueurs, nient la réalité d’un tel réchauffement en dépit des preuves qui s’accumulent. A tout moment, dorénavant, les changements climatiques montrent sans l’ombre d’un doute que la planète est malade, qu’elle a besoin de soins immédiats et attentifs pour retrouver l’équilibre. Le temps nous est compté pour mettre fin aux ravages que subit quotidiennement la planète Terre. Chaque homme, chaque femme, chaque enfant a son rôle à jouer dans sa restauration. Oui, le temps presse. Save Our Planet (S.O.P.), sauvons notre planète ! (Source : Le Maître de B. Creme, S.O.P. Sauvons notre planète, 8 septembre 2012)

Laisser les combustibles fossiles dans le sol [sommaire]

Une nouvelle étude intitulée La réponse du climat à 5 000 milliards de tonnes de carbone, rédigée par une équipe de recherche canadienne dirigée par Katarzyna Tokarska de l’Université de Victoria, a été publiée le 23 mai 2016 dans le Nature Climate Change Journal. L’accord de décembre 2015 sur le changement climatique a été soutenu par plus de 180 pays, qui se sont engagés à limiter les émissions de carbone à 1 000 milliards de tonnes afin de maintenir l’augmentation de la température mondiale à moins de 2° Celsius.

L’équipe a examiné des modèles à long terme pour voir ce qui se passerait si l’ensemble des combustibles fossiles inexploités était brûlé. En ajoutant les incendies naturels, se seraient 5 000 milliards de tonnes de CO2 qui seraient émis si une transition accélérée vers les énergies renouvelables n’avait pas lieu. L’impact des combustibles fossiles non conventionnels (dépôts de schistes et sables bitumineux) n’a pas été inclus et mènerait bien sûr à une empreinte carbone encore plus importante.

Les résultats montrent que l’utilisation sans frein des ressources en combustibles fossiles pourrait conduire à des différences régionales dans les effets du changement climatique plus importantes qu’on le prévoit actuellement, avec une hausse moyenne des températures mondiales atteignant 10° C d’ici 2200.

K. Tokarska a déclaré : « Ces changements climatiques, s’ils se produisaient, auraient des effets désastreux sur les écosystèmes, la santé humaine, l’agriculture, les économies et bien d’autres secteurs. »

L’étude montre que les précipitations pourraient diminuer de deux tiers sur certaines régions d’Amérique centrale et d’Afrique du nord et de moitié en Australie, en Méditerranée, en Afrique australe et en Amazonie. « Notre objectif est de montrer ce qui se passerait si nous ne faisions rien pour mettre en œuvre l’accord de Paris pour atténuer les changements climatiques », a expliqué K. Tokarska.

Source : guardian.co.uk ; nature.com ; desmog.ca

Le Portugal aux renouvelables pendant quatre jours d’affilée [sommaire]

Le Portugal a atteint un jalon en matière d’énergie propre : l’ensemble du pays a fonctionné pendant 107 heures d’affilée sur la base uniquement des énergies solaires, éoliennes et hydrauliques, ceci entre le samedi 7 mai à 6 h 45 et le mercredi 11 mai à 17 h 45. Il y a encore quelques années, le Portugal s’appuyait essentiellement sur le charbon et le gaz, et était considéré comme l’un des plus grands émetteurs de CO2 d’Europe. Le pays a fait d’énormes progrès, stimulé par les objectifs en matière de renouvelables de l’UE pour 2020.

Francisco Ferreira, président de l’ONG portugaise Zero, a déclaré : « Le Portugal a considérablement investi dans les énergies renouvelables, en particulier dans l’électricité, qui sera l’énergie principale dans les prochaines décennies, avec la transition du transport routier vers les véhicules électriques. »

L’Allemagne a également annoncé que le dimanche 15 mai, elle a généré presque toute son électricité à partir d’énergie propre et le Royaume-Uni a également eu sa première semaine de production d’électricité sans charbon pour près d’un tiers du temps, durant la période du 9 au 15 mai.

Source : theguardian.com ; independent.co.uk ; ft.com

Journée mondiale des océans [sommaire]

Le 8 juin 2016 , l’Unesco a célébré la richesse de nos océans à travers le monde. L’eau de mer s’étale sur environ 70 % de la surface de notre planète et on lui doit la régulation du climat, l’alimentation de millions de personnes, la fourniture d’écosystèmes pour des myriades d’espèces marines, la génération de la moitié de l’oxygène sur la planète et la production de médicaments à partir des ressources marines. Le thème de cette année est : Des océans sains pour une planète en bonne santé.

Nous avons abusé de cette ressource incroyable de sorte que les stocks de poissons ont été gravement surexploités, mais récemment, le rapport Etat des ressources marines, publié par l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a montré que certaines grandes réserves de poissons encore abondantes se remettaient plus vite que les petites réserves d’autres espèces exploitées à un rythme plus élevé que celui auquel elles peuvent se reproduire. Le problème des prises indirectes – la capture involontaire de nombreux poissons autres que ceux de l’espèce ciblée – et celui lié à la création de centaines de réserves marines commencent aussi à être pris en compte, après les nombreuses campagnes menées au niveau mondial.

Au Royaume-Uni, des efforts sont entrepris pour protéger les espèces côtières. Sur la côte Nord du Yorkshire, à Flamborough Head, une « zone de protection »a été mise en place, où la capture de poissons, de crustacés ou de toute plante marine par quelque méthode que ce soit est strictement interdite, ce qui signifie que les gens peuvent profiter des piscines  creusées dans la roche et de la plage, mais qu’ils ne peuvent prélever quoi que ce soit dans cette zone. Elle est régulièrement surveillée afin de s’assurer qu’aucune pêche ou activité extractive ne soit entreprise.

Nos eaux sont en train d’étouffer sous les plastiques allant des mètres de polyéthylène pour serres aux microparticules ingérées par une vaste gamme d’animaux allant de la baleine au zooplancton. Le capitaine Charles Moore a découvert le premier gyre de débris de plastiques dans le Pacifique Nord en 1997 et a créé la Fondation Algalita.

Fin 2016 , une étude couvrant les quinze dernières années sera publiée ; à cette fin, la Fondation Algalita a fait appel à son navire de recherche pour évaluer la tendance à long terme et les changements observés dans ces gyres à travers le monde. C. Moore estime que toute la pollution plastique océanique peut être stoppée grâce à la publication des travaux de recherche, l’éducation et l’action ; si ce n’est pas le cas, d’ici 2050 la quantité de plastique dans nos océans sera supérieure à la quantité de poissons.

Aux Etats-Unis, l’association POPS (Plastic Ocean Pollution Solutions) va célébrer cette année son quatrième sommet international des jeunes. Les Etats-Unis se dirigent vers l’interdiction des microbilles en plastique dans les produits cosmétiques et de soins personnels ; le Royaume-Uni et l’UE envisagent de suivre. La Société zoologique de Londres, via sa campagne « One Less », travaille à l’élimination des bouteilles en plastique à usage unique.

Source : neweconomics.com ; worldoceansday.org ; algalita.com

Chine : plan pour une civilisation écologique [sommaire]

La Chine prend au sérieux le changement climatique. Elle s’est engagée dans de nouveaux projets audacieux pour réduire son empreinte carbone via l’élaboration d’un plan quinquennal destiné à dépolluer l’environnement de manière substantielle. Un exemple d’objectif élaboré par le ministère chinois de la Protection de l’environnement est que d’ici 2020, 23 % de la surface totale des terres en Chine devra être couverte par les forêts.

La Chine vient de publier un ambitieux « Plan pour une civilisation écologique », indique un rapport du Programme des Nations unies pour l’environnement (Pnue). Intitulé Le vert c’est de l’or : la stratégie et les actions de la civilisation écologique chinoise, ce rapport a été lancé en marge de la deuxième édition de l’Assemblée des Nations unies pour l’environnement (UNEA2) à Nairobi. Il analyse la dimension environnementale du 13Plan quinquennal de la Chine et conclut que Pékin est en bonne voie pour atteindre un rétablissement sur le plan écologique.

Chen Jining, ministre chinois de la Protection de l’environnement et Achim Steiner, directeur exécutif du Pnue, ont assisté à la publication du rapport. Celui-ci indique que, outre l’expansion de la couverture forestière, la Chine est déterminée à réduire son empreinte au niveau de l’eau et du carbone, grâce à l’adoption de technologies plus propres dans divers secteurs de l’économie. Selon le rapport, la Chine a promis de réduire la consommation d’eau et d’énergie de 23 et 15 % respectivement dans le but de diminuer les émissions de carbone.

« Si la Chine réussit à mettre en œuvre les objectifs énoncés dans ses plans pour une civilisation écologique, alors, elle aura fait un grand pas vers le passage à une économie plus verte », a souligné A. Steiner. La Chine, dans sa démarche audacieuse pour aboutir à une civilisation écologique, vise à limiter la consommation de combustibles fossiles dans des secteurs clés tels que le transport et la fabrication.

Le rapport du Pnue a noté qu’en 2014, la Chine a construit 10,5 milliards de mètres carrés de bâtiments économes en énergie dans les zones urbaines. Le rapport montre également que la production annuelle de véhicules économes en énergie a augmenté de 45 fois entre 2011 et 2015 et que le pays a construit le plus grand réseau de surveillance de la qualité de l’air dans les pays en développement.

A. Steiner a noté que la Chine a fixé des objectifs verts ambitieux qui devraient être reproduits dans d’autres parties du monde. « Il y a eu des progrès sans précédent dans les réformes politiques qui ont accéléré la transformation verte en Chine », a-t-il déclaré.

Source : Pnue

Révolution verte : le ciel est la limite [sommaire]

L’idée n’est pas nouvelle. Tout d’abord, il y avait les jardins suspendus de Babylone, puis, en faisant un grand saut à travers l’histoire de l’architecture, les jardins verticaux ont surgi assez récemment.

L’un des plus impressionnants jardins verticaux à grande échelle a été développé en 2011 à Singapour. La ville-île de Singapour occupe une surface de seulement 710 km2, mais abrite cinq millions de personnes, ce qui en fait l’une des villes les plus densément peuplées du monde. Le développement de la ville a laissé seulement environ 100 hectares de terres agricoles et, en conséquence, plus de 90 % de la nourriture de Singapour est importée.

Pas d’espace pour l’agriculture traditionnelle ? La solution évidente ? Cultiver verticalement.

L’entrepreneur Jack Ng a créé une des premières fermes verticales commerciales au monde qu’il a nommée Sky Greens. Cette ferme verticale utilise de la terre et produit une tonne de légumes par jour et est de cinq à dix fois plus productive qu’une ferme ordinaire.

Le principe sur lequel se fonde la ferme verticale est simple mais la technologie, les structures et les résultats sont étonnants. La ferme fait appel au premier système hydraulique à faible émission de carbone pour cultiver des légumes tropicaux verticalement. Elle produit des cultures importantes, utilise moins d’eau, d’énergie, de ressources naturelles et est durable. Les légumes poussent dans des bacs fixés sur des tours en aluminium en forme de A qui font toutes six mètres de haut. Les auges sont mises en rotation par étage autour du cadre de la tour pour assurer une distribution uniforme de la lumière du soleil, une bonne circulation de l’air et une bonne irrigation pour toutes les plantes. Un avantage de cette technologie simple et innovante est que le système de rotation n’a pas besoin d’un générateur électrique. La rotation est alimentée par un système original basé sur la gravité qui n’a besoin que d’un seul litre d’eau collectée depuis un réservoir à eau de pluie.

Cette méthode possède également une empreinte carbone très faible parce que l’énergie nécessaire pour alimenter une structure est équivalente à celle nécessaire pour faire fonctionner une ampoule de 60 watts. L’eau est recyclée et filtrée avant de revenir aux plantes. Tous les déchets organiques de la ferme sont compostés et réutilisés. Les coûts d’exploitation comprennent les matières premières comme la terre et les semences, et l’électricité pour pomper l’eau entraînant les structures. Les coûts d’électricité sont seulement de trois dollars par mois et par structure. L’ensemble du système a une empreinte au sol de seulement 5,5 m2, soit la taille d’une salle de bains moyenne. Au total, 120 de ces tours ont été érigées à Kranji, à 23 kilomètres du quartier central des affaires de Singapour, avec 300 tours supplémentaires prévues, ce qui permettrait de produire deux tonnes de légumes par jour.

Suivant plus ou moins la même tendance que les fermes verticales, apparaissent de nouvelles initiatives dans l’architecture verte : à savoir les forêts verticales. Imaginez des villes où les nouveaux bâtiments intègrent tellement d’arbres qu’elles peuvent être considérées comme des « villes forestières »où les citadins peuvent respirer un air pur. Cela peut paraître radical et ça l’est.

Bosco Verticale (Forêt verticale) à Milan, en Italie, correspond à cela : une forêt verticale poussant sur deux tours résidentielles conçues par l’architecte Stefano Boeri. Elles font partie d’un projet de reforestation métropolitaine visant à la régénération de l’environnement et de la biodiversité urbaine. Les deux bâtiments font 110 et 76 m de haut, ils sont situés dans le centre de Milan, et abritent 900 arbres (qui font entre trois et neuf mètres de hauteur) et plus de 2 000 arbustes et fleurs. Chaque tour équivaut à 7 000 m2 de forêt. La forêt verticale crée un microclimat, produit de l’humidité, absorbe du CO2 et des particules de poussières et produit de l’oxygène. L’utilisation novatrice de la technologie des pompes à chaleur contribue à réduire les coûts de chauffage et de refroidissement.

Conformément à l’engagement de la Chine en faveur de la durabilité et de la régénération, le même cabinet d’architectes a reçu une demande pour concevoir le Forest Hotel, une autre forêt verticale. Cet hôtel est spectaculaire : il a été conçu pour ressembler à une colline afin de s’insérer de manière harmonieuse dans l’environnement de la région de Wanfenglin qui est également connue comme la forêt aux dix mille sommets. « La conception vise à restaurer le paysage, par la reconstruction d’une ancienne colline qui avait été aplatie il y a des années. Elle fait de cette manière la jonction entre les collines passées et présentes », explique l’architecte. Un autre projet – Le Mountain Forest Hotel – devrait ouvrir en 2017, à Guizhou, dans la vallée Wanfeng en Chine ; il s’agit encore d’une structure destinée à absorber le carbone et qui permettra d’améliorer la qualité de l’air.

Un autre plan encore plus ambitieux a été dévoilé en Chine : la construction de non pas seulement un bâtiment, mais d’une « ville forêt » à Shijiazhuang, la plus grande ville de la province du Hebei, en Chine du Nord. Cette cité a la très mauvaise réputation d’avoir le plus fort taux de pollution de l’air du pays, avec un voile de smog et de suie qui ne perce que quelques jours par an.

Source : permaculturenews.org ; thestraitstimes ; ecowatch.com ; stefanoboeriarchitetti.net ; inhabitat.com

 

Tendances

Dans le monde actuel s’affirme une tendance de plus en plus prononcée à la synthèse, au partage, à la coopération, à de nouvelles approches et avancées technologiques pour la sauvegarde de la planète et le bien-être de l’humanité. Cette rubrique présente des événements et courants de pensée révélateurs d’une telle évolution.

Un ambassadeur du skating en Palestine [sommaire]

Le jeune Kenny Reed, skateur professionnel de quatorze ans (alias le Voyageur), transmet sa passion dans le monde entier à des jeunes de communautés défavorisées qui n’avaient jamais pratiqué la planche à roulettes, que ce soit en Iran, en Corée du Nord ou en Sibérie. Avec l’organisation Skateistan, il a également effectué plusieurs séjours en Afghanistan, se servant de la planche comme d’un moyen d’enseignement et de communication. Cet été, il va participer à l’organisation d’un camp de skating pour les jeunes de 12 à 16 ans de la ville de Qalqilya, en Palestine, pays où la popularité de ce sport ne cesse de croître depuis que Kenny a aidé à y construire la première rampe en octobre 2013. Outre l’apprentissage du skating, ce camp vise à renforcer les liens communautaires et à favoriser l’esprit d’entreprise.

En effet, les activités créatives et pratiques de ce camp d’été comprendront aussi des cours d’anglais parlé, l’exécution de projets au service de la communauté, des séances d’entraînement à la sécurité et à la responsabilité, des cours de photographie et des tournages vidéo, ainsi que la pratique des médias sociaux. Le skating ne fait pas de la victoire une priorité, car aucun score n’est enregistré et les seuls règlements concernent la sécurité et la santé des participants. De plus, ce sport renforce l’esprit de coopération, tout en favorisant la vitesse et le mouvement, et cette liberté naturelle sert d’antidote aux restrictions subies par ces jeunes survivant au milieu des tensions politiques de la Cisjordanie.

Kenny Reed a fourni les planches et les casques avec l’aide d’un organisme de financement participatif, Indie-gogo, et monté ce projet conjointement avec Mohammed Othman (directeur exécutif, domicilié dans la région) et Adam Abel (coordinateur social, artiste et cinéaste new-yorkais), tous deux auteurs d’un film documentaire sur les pratiques sportives alternatives à Qalqilya. Bien que non-affiliés à un groupe politique, leur détermination à prêter une voix à ceux qui vivent en marge de la société leur vaut le respect de tous.

Les organisateurs du camp de Qalqilya qualifient la planche à roulettes de sport alternatif, et font sa promotion en ces termes : « La planche à roulettes sert aussi à voler […]. Elle avive l’imagination, pousse à l’engagement communautaire et à la persévérance. C’est également un langage. Grâce à notre rampe et à trois pistes indépendantes existant aussi en Cisjordanie, la pratique de la planche à roulettes est devenue pour les Palestiniens un moyen de communiquer entre eux, dans leur pays comme dans le monde entier. »

Dans son dernier livre, Des moments pour sourire, Kenny Reed se présente comme un ambassadeur du skating.

Source : theguardian.com ; huffington post.com ; indiegogo.com

Sondage positif au sujet des réfugiés [sommaire]

Un sondage commandité en mai 2016 par Amnesty International auprès de 27 000 personnes dans 27 pays différents démontre clairement que les gouvernements ne sont pas en phase avec leurs propres peuples : alors qu’ils jurent qu’il n’y a plus de place pour les réfugiés, quatre personnes sur cinq ont répondu qu’ils étaient prêts à en accueillir !

Amnesty a classé les pays sur une échelle de 0 à 100 ; 0 signifiant que tous les sondés seraient défavorables à l’accueil de réfugiés dans leur pays, et 100 que tous les sondés seraient prêts à accepter des réfugiés dans leur environnement, ou même chez eux. En tête des pays dont les habitants accepteraient le plus volontiers des réfugiés, on trouve la Chine, l’Allemagne et le Royaume-Uni, les gouvernements du Royaume-Uni et d’Australie se révélant les plus déphasés par rapport à leur population. Selon le rapport d’Amnesty : « 29 % des habitants du Royaume-Uni – presque le tiers – sont prêts à accueillir des réfugiés dans leurs propres maisons, et 47 % accepteraient que des réfugiés soient accueillis près de chez eux. Chose incroyable : 96% des Allemands, qui ont pourtant accueilli un million de réfugiés l’année dernière, se disent prêts à en accueillir davantage. Et en Jordanie – ce petit pays qui héberge déjà plus de 600 000 réfugiés syriens –, 94 % des habitants ont fourni la même réponse. »

En moyenne, 80 % des sondés sont favorables à l’accueil de réfugiés fuyant la guerre ou les persécutions (33 % d’entre eux accepteraient de les accueillir dans leur pays, 15 % dans leur ville, 22 % dans leur voisinage, et 10 % dans leur propre maison). 73 % pensent que les gens devraient avoir le droit de se réfugier dans d’autres pays pour fuir la guerre ou la persécution. 66% pensent que leur gouvernement devrait aider davantage les réfugiés – la Chine, le Nigeria et l’Espagne arrivant en tête dans ce domaine (ainsi que des pays ayant déjà accueilli de nombreux réfugiés : la Jordanie, l’Allemagne, la Grèce et le Kenya).

Ce rapport souligne que « seulement 9 des 27 pays couverts par le sondage se sont engagés à accueillir quelques-uns des 4,8 millions de réfugiés syriens – en fait, seulement 174 000 en tout, à se partager entre eux ! Quatre autres pays – la Turquie, la Jordanie, la Grèce et l’Allemagne – en hébergent des millions, tout en recevant très peu d’aide des autres pays, dont les gouvernements pensent toujours que ce n’est pas leur problème. L’attitude de ces derniers est complètement déphasée par rapport à celle, positive, de leurs propres citoyens. »

En mars 2016 , Amnesty a lancé un appel pour que davantage de gouvernements intègrent des réfugiés dans leur pays.
« En 2015, plus d’un million de réfugiés ont gagné l’Europe dans de frêles esquifs surchargés. Pourquoi un nombre aussi stupéfiant de réfugiés et de chercheurs d’asile ont-ils payé des milliers de dollars à des passeurs pour risquer leur vie ? Tout simplement parce qu’ils n’avaient pas d’autre option. Les frontières étant verrouillées, un petit nombre seulement d’entre eux peut espérer entrer dans un autre pays légalement et sans risque. Mais personne ne devrait se trouver dans l’obligation de jouer sa vie aux dés pour obtenir la protection qui lui est due. Et les gouvernements pourraient très facilement prévenir ces drames en offrant des alternatives viables à ces gens. » Pourtant, au lieu de leur offrir leur protection, les gouvernements préfèrent dépenser des milliards à contrôler les frontières. Amnesty fait toutefois remarquer que, depuis novembre dernier, le Canada a ouvert ses portes à 25 000 réfugiés syriens. « Chacun d’eux a naturellement rejoint son nouveau pays par avion, tout simplement grâce à un programme de repeuplement […]. Nous estimons que, d’ici à la fin 2017, 1,38 million de réfugiés devront être réimplantés – sur les 19,5 millions de déplacés que compte le monde, et ce chiffre va croissant […]. Il faut les accueillir en bien plus grand nombre, et très vite. Ensemble, nous pouvons aider à ce que cela soit mis en œuvre en faisant connaître le sort des réfugiés, en plaidant pour leurs droits, et en pressant les gouvernements à leur ouvrir des itinéraires d’accès légaux et protégés. Tout de suite. »

Source : amnesty.org

Se regarder par-delà les frontières [sommaire]

Le 17 mai 2016 , Amnesty Pologne a diffusé sur YouTube un film de cinq minutes dans lequel on faisait se rencontrer pour la première fois des réfugiés et des Européens. « Plus d’un million de réfugiés sont entrés en Europe l’année dernière, explique la vidéo. Et, comme tout le monde, chacun a sa propre histoire à raconter. »

Se regarder par-delà les frontières s’inspire des découvertes du psychologue Arthur Aron. Il y a vingt ans, ce dernier postulait qu’il suffisait que les gens se regardent dans les yeux pendant quatre minutes pour qu’ils se sentent plus proches les uns des autres. « Partant de cette découverte, expliquent les vidéastes, nous avons décidé de faire s’asseoir face à face des réfugiés et des Européens, et leur avons demandé de se regarder dans les yeux. […] Dans ces conditions, ce n’est plus un réfugié anonyme que nous voyons, un numéro parmi des millions d’autres, mais un être humain exactement comme nous – qui aime, souffre, espère. […] Nous avons mené cette expérience à Berlin, ville qui avant tout symbolise l’unité retrouvée, et qui, de surcroît, semble la capitale de l’Europe contemporaine. Les participants étaient des gens ordinaires. Il n’y avait eu aucune répétition, car nous voulions obtenir des réactions naturelles et spontanées. Les personnes qui se faisaient face ne se connaissaient pas et se voyaient pour la première fois. Les réfugiés étaient pour la plupart syriens et ne vivaient pas en Europe depuis plus d’un an. »

Une fois passée leur gêne initiale, le visage des participants a changé, leurs yeux se sont mis à briller, et ils ont commencé à sourire. De toute évidence, ni les Européens (qui venaient de Pologne, d’Allemagne, de Belgique et du Royaume-Uni), ni les réfugiés (syriens et somaliens) ne s’attendaient à ce que cette expérience ait un tel impact sur leur façon de se considérer les uns les autres, car une empathie spontanée est née entre eux, sans qu’ils prononcent le moindre mot.

Source : YouTube : Look Beyond Borders

Nouvelles relations entre le Canada et les peuples indigènes [sommaire]

Le premier ministre canadien Justin Trudeau (élu en novembre 2015 à la tête du nouveau gouvernement libéral) a envoyé une « lettre de mission » à chacun de ses ministres pour leur demander de coopérer avec absolument tout le monde – employeurs, employés, actionnaires, simples citoyens, opposition et médias […]. Et il a ajouté : « Aucune relation n’est plus importante pour moi – et pour le Canada – que celles que nous entretenons avec les Peuples indigènes. »

Pourtant, le 22 septembre 2014, le Canada avait été le seul membre de l’Assemblée générale de l’Onu à ne pas signer la Déclaration des Nations unies pour les Droits des peuples indigènes (UNDRIP), car Stephen Harper, alors premier ministre, s’était inquiété de la clause exigeant de la part de ces peuples « un consentement préalable libre et informé », en particulier avant l’exploitation des ressources naturelles (comme les forages non conventionnels de recherche et d’exploitation des schistes bitumineux dans les terres aborigènes de la province d’Alberta).

Par contre, la nouvelle ministre libérale des Affaires indigènes, Carolyn Bennett, coopérera avec les peuples indigènes, les métis et les peuples inuit, en les impliquant dans chaque question susceptible de présenter un impact sur leurs intérêts et leurs terres.

Pour commencer, une enquête nationale va débuter sur la disparition ou le meurtre de plus de 1 200 femmes et jeunes filles indigènes au Canada.

De plus, la ministre a institué une Journée nationale de souvenir et d’action contre les violences faites aux femmes le jour anniversaire du massacre, en 1989, de 14 étudiantes de l’Ecole polytechnique de Montréal. « Ces événements, explique-t-elle, nous choquent et nous attristent, et nous pensons aux familles endeuillées, mais nous savons aussi que les Canadiens veulent que cela cesse, et que nous fassions tout ce qui est en notre pouvoir pour comprendre comment de tels actes ont pu se produire, et pour les prévenir. »

Le gouvernement libéral a également décidé d’annuler la limite de 2 % imposée aux augmentations annuelles des financements accordés par l’Etat fédéral aux communautés indigènes. Cette limite se traduisait jusque-là pour les aborigènes canadiens par des coupes budgétaires dans les services publics, y compris dans l’Education.

Source : thestar.com

Le bioglass, matériau révolutionnaire [sommaire]

Lors de l’apparition des premières imprimantes 3D, qui aurait pu imaginer qu’elles allaient jouer un rôle déterminant dans la recréation de parties du corps humain ? Nous savons tous que les parties mobiles sont souvent les premières à avoir des défaillances – que ce soit dans les machines ou chez les humains – et que les articulations de millions de personnes souffrent de blessures ou de problèmes liés à l’âge.

Eh bien, grâce à une équipe de chercheurs du Collège impérial de Londres et de l’Université de Milan-Biococca, un matériau en silice polymérisé appelé bioglass, obtenu par impression 3D, pourrait révolutionner le traitement de certaines affections fort débilitantes.

Ce matériau, à la fois robuste et souple, résistant et durable, a les propriétés du cartilage. Une fois implanté, il devrait aider ce dernier à se régénérer naturellement en lui servant de support. Mais le bioglass a également des capacités d’auto-guérison : s’il est coupé ou déchiré, il est capable de se ressouder lui-même lorsque ses parties sont remises en contact, et les imprimantes 3D peuvent lui donner exactement la forme qui convient à l’anatomie particulière de chacun.

De plus, l’impression en 3D réduit le prix de revient de ces implants, tout en les rendant plus fonctionnels que les implants actuels les plus performants, qui doivent être générés en laboratoire.

Une version permanente de ces implants 3 D est en cours d’élaboration pour traiter les blessures du genou, ainsi que les autres affections partout où le cartilage ne peut se régénérer.

Ces implants peuvent également servir à remplacer les disques vertébraux.

La prochaine étape sera l’impression en 3D de biomatériaux. Des chercheurs travaillent déjà sur des matériaux destinés à remplacer, entre autres, les vaisseaux sanguins et la peau.

Source : 3ders.org ; digitaltrends.com

 

Entretien

Un revenu inconditionnel pour une vie digne [sommaire]

Interview de Dr Guy Standing par Leslee Goodman,

Le revenu de base inconditionnel, un choix politique a priori extrême selon les normes américaines, gagne de nouveaux soutiens en Europe, au Canada, et même en divers endroits aux Etats-Unis. Aussi appelée « revenu de base universel », cette allocation serait garantie à tous les habitants d’une communauté, sans aucune condition. Elle est préconisée comme réponse à l’accroissement des inégalités, pour protéger des incertitudes économiques, et remplacer les allocations soumises à condition de ressources, de plus en plus réduites et inadéquates.

La Suisse, premier pays à soumettre au vote le revenu de base inconditionnel, a proposé un amendement à sa constitution qui donnerait à tous les membres de la population une existence plus digne et la possibilité de participer à la vie publique grâce à un revenu mensuel de base garanti1. Bien que le montant de ce revenu n’ait pas été spécifié dans l’initiative, la somme le plus couramment avancée était 2 500 francs suisses (2 300 euros) pour les adultes et 625 (575 euros) pour les enfants de moins de 18 ans.

Je me suis entretenu avec le Dr Guy Standing, économiste du développement, co-fondateur du Réseau mondial pour le revenu de base (BIEN). G. Standing a travaillé de 1975 à 2006à l’Organisation internationale du travail (OIT), où il a participé à la rédaction du rapport international intitulé La sécurité socio-économique pour un monde meilleur, publié en 2004. Il a également exercé la fonction de directeur du Programme de la sécurité socio-économique à l’OIT, un poste duquel il a été témoin des effets dévastateurs de la mondialisation sur les pauvres et des perspectives de régression pour la classe moyenne dans le monde.

Le « précariat »

Le travail de G. Standing l’a conduit à décrire une nouvelle structure de classe qui transcende les frontières nationales. Il appelle ce groupe élargi le « précariat » car l’incertitude est sa caractéristique. Ses membres comprennent les jeunes, aux prises avec des dettes et une réduction des opportunités ; les vieux dont les pensions ne suivent pas l’évolution du coût de la vie ; les migrants qui se déplacent à la recherche d’emplois de subsistance ; les pauvres qui luttent pour survivre avec des revenus insuffisants ; ceux pénalisés pour postuler à des emplois même dévalués, tels que les anciens détenus et les personnes handicapées ; et beaucoup d’entre nous – parce que dans l’économie des petits boulots (l’économie à la demande), de moins en moins d’employeurs offrent des emplois à temps plein avec des salaires et des avantages. G. Standing appelle le précariat « la nouvelle classe dangereuse » car la société civile ne peut pas survivre quand la plupart de ses membres sont cantonnés à une situation économique précaire.

Dans son livre, The Precariat Charter : From Denizens to Citizens (La Charte du précariat : du statut de résident à celui de citoyen), G. Standing propose des réformes radicales, organisées en 29 articles, comme une Magna Carta mise à jour. Un des plus importants est le revenu de base inconditionnel. G. Standing plaide pour l’effet stimulant que cette politique pourrait avoir – non pas seulement sur la survie économique, mais sur l’activité entrepreneuriale, le bénévolat, l’accession à la propriété, et la participation à la vie de la communauté.

Ci-dessous, une version condensée de l’interview du Dr Guy Standing par Leslee Goodman.

Leslee Goodman : Pourquoi pensez-vous que la Suisse, pays riche et conservateur, soit le premier à avoir organisé un référendum national sur le revenu de base inconditionnel ?
Guy Standing : Les Suisses ont un gouvernement de démocratie directe. Si quelqu’un recueille 100 000 signatures validées en faveur d’une initiative dans l’année civile, il doit y avoir un référendum national dans lequel l’ensemble de l’électorat peut voter. L’initiative populaire pour un revenu de base inconditionnel et BIEN-SUISSE, une organisation dont j’ai contribué à la fondation en 2002, a recueilli 125 000 signatures validées, de sorte que le référendum a été organisé.
Personne – pas même les organisateurs – ne s’attend à ce que le référendum passe. C’est très rarement le cas la première fois. L’initiative est toutefois un succès car elle a suscité un débat national sur le revenu de base inconditionnel. Tout le monde sait maintenant ce dont il s’agit. Les organisateurs pensent qu’il serait formidable d’obtenir 25 % d’opinions favorables. Mais un sondage en ligne en septembre dernier a montré que 49 % des Suisses envisageaient de voter favorablement, tandis que 43 % étaient contre, et 8 % se détermineraient selon le montant. Un autre sondage a demandé aux Suisses s’ils pensaient qu’il y aurait un revenu de base en Suisse à l’avenir, et une large majorité le pensait, et ceci dans les cinq ans.
Les banques, le gouvernement et les universitaires y étaient tous évidemment fortement opposés – voire consternés – la qualifiant d’ « initiative la plus dommageable jamais proposée » et autres balivernes.
Le texte de l’amendement constitutionnel ne dit rien sur le niveau du revenu de base, et je crois que ce serait une erreur pour certains de ses partisans d’en proposer un. Le montant en cours de discussion – 2 500 francs par mois – est assez élevé, et il est utile d’avoir un référendum pour savoir si les Suisses en approuvent le principe. Laissons les détails se décider plus tard, et permettons une mise en œuvre progressive du revenu de base inconditionnel, afin que les gens puissent voir que la société ne s’effondre pas comme le soutiennent les plus féroces détracteurs.

LG. Pourquoi pensez-vous que le revenu de base inconditionnel est une option politique qui attire enfin l’attention ?
GS. Nous observons incontestablement un énorme regain d’intérêt du public. Des économistes se déclarent favorables, des programmes pilotes sont mis en place, et des villes et des villages le mettent en œuvre. Je pense que les raisons sont : un, que nous avons réussi à expliquer ce dont il s’agit et que les gens ont compris ; deux, l’augmentation des inégalités qui préoccupe la plupart des gouvernants ; trois, nous voyons la montée de populistes d’extrême-droite comme Donald Trump et des fascistes ou néofascistes en Europe et ailleurs, ce qui accroît l’urgence d’agir pour remédier aux inégalités ; et quatre, les dispositifs de prestations sociales sous condition de ressources ne sont pas appropriées pour faire face à un précariat croissant.
En avril dernier, une enquête menée par Dalia Research, de Berlin, a interrogé 10 000 personnes dans 28 pays et 21 langues et a constaté que 64 % des Européens seraient prêts à voter en faveur d’un revenu de base inconditionnel. Seulement 24 % voteraient contre, et 12 % s’abstiendraient. Comme je l’ai dit, les résultats montrent que plus le public est informé sur le sujet, plus il accorde son soutien au revenu de base.

LG. Aux Etats-Unis, nous avons tendance à considérer le revenu de base inconditionnel comme une notion socialiste extrême, mais il a depuis longtemps des partisans tels que Thomas More au XVIe siècle et aussi des conservateurs comme Barry Goldwater, Milton Friedman et Richard Nixon. Quelles sont selon vous les raisons les plus convaincantes pour adopter le revenu de base ?
GS. Il y a deux façons d’aborder le revenu de base. Du point de vue conservateur, ou libertarien, des économistes comme Milton Friedman (qui a recommandé un impôt sur le revenu négatif, ce qui n’est pas tout à fait la même chose), ont reconnu que pour que le capitalisme fonctionne les gens ont besoin d’une sécurité suffisante pour agir rationnellement. Les gens ne peuvent être rationnels s’ils craignent pour leur survie. D’un point de vue plus progressiste, qui est mon approche, le revenu de base est un des éléments d’une société juste. Si vous acceptez que les gens ont un droit à l’héritage, la cohérence exige que vous reconnaissiez que tous les membres d’une société ont le droit d’hériter de notre richesse collective. C’est une question de justice distributive.
Mais il y a maintenant d’autres raisons pragmatiques pour soutenir le revenu de base. Beaucoup de personnes riches de la Silicon Valley le soutiennent parce qu’elles voient que la révolution technologique crée de moins en moins d’emplois et, en même temps, de plus en plus de richesse pour la ploutocratie. Elles voient le revenu de base comme l’antidote à cela. Je doute que nous puissions être tous remplacés par des robots, mais je crois fermement que la révolution de la Silicon Valley génère plus d’inégalités. Nous avons besoin d’un nouveau système de répartition des revenus digne du 21e siècle.

LG. L’économiste grec Yanis Varoufakis, qui était ministre des Finances dans le premier gouvernement Syriza, fait valoir que le revenu de base inconditionnel n’est pas une forme de sécurité sociale, mais une façon de permettre que le travail créatif remplace les tâches routinières, qui sont remplacées de toute façon. Qu’en dites-vous ?
GS. Je plaide depuis des décennies pour que nous repensions ce que nous appelons le « travail », qui est venu à signifier l’activité pour laquelle nous sommes payés. Mais une grande partie du travail le plus important effectué dans la société – en particulier par les femmes – est non rémunéré : tous les soins apportés aux nourrissons, aux enfants, au ménage, et aux personnes âgées. Le revenu de base inconditionnel est une façon de permettre aux gens de survivre quand ils se consacrent à ce type de travail, ainsi qu’au bénévolat, au travail artistique et créatif, à l’esprit d’entreprise, etc.

LG. La plupart des Américains ne réalisent pas que l’Alaska a mis en œuvre une forme de revenu de base inconditionnel pour ses résidents, appelé « dividende du fonds permanent », depuis le milieu des années 1970. Quel a été l’impact de cette politique sur l’Alaska ?
GS. Cela a été un énorme succès. Le fonds a été créé par un amendement à la constitution de cet Etat sous le gouverneur républicain Jay Hammond, en 1976, afin de partager la richesse provenant du pétrole de Prudhoe Bay. Il a été modifié en 1982 pour se conformer à la clause de protection égale de la Constitution des Etats-Unis et a depuis versé un dividende annuel uniforme à toute personne résidente officielle de l’Alaska pendant au moins six mois. En 2008, après que le gouverneur Sarah Palin ait fait pression pour une augmentation du taux de la redevance, le dividende était de 3 269 dollars, soit 13 076 pour une famille de quatre. Lorsque le dividende du fonds permanent a été créé, les inégalités de revenus étaient plus grandes en Alaska que dans les autres Etats américains. Dans les années qui ont suivi, alors que tous les autres Etats observaient une augmentation significative de l’inégalité des revenus, celle-ci diminuait en Alaska. Inutile de dire que les Alaskiens sont attachés à ce dividende et l’utilisent pour rembourser leur dettes, envoyer leurs enfants à l’université, prendre des vacances et épargner pour la retraite.

LG. Comment voyez-vous l’avenir du revenu de base inconditionnel ? Quel pays a le plus progressé dans sa mise en œuvre ?
GS. Je trouve très prometteur que le premier ministre finlandais en ait approuvé le principe et ait alloué 20 millions d’euros pour une expérience pilote. Il semble que le programme, tel qu’il est proposé, attribuera aux habitants un revenu mensuel de base de 800 euros. Par ailleurs, le gouvernement de l’Ontario, au Canada, prévoit de déployer un programme pilote sur le revenu de base au cours de l’année. Près de 20 municipalités aux Pays-Bas envisagent des programmes pilotes. Le parti national écossais, le plus grand parti politique en Ecosse, en a approuvé le principe, comme d’autres partis politiques en Europe. Il existe des initiatives de collecte de signatures en Italie et ailleurs.
Aux Etats-Unis, en plus d’un projet pilote prévu à Oakland, en Californie, je pense que le résultat de l’élection présidentielle de cette année pourrait être très déterminant quant à la probabilité d’une mise en œuvre du revenu de base inconditionnel – au moins à court terme.
Mais, comme je l’explique dans mes livres, nous nous dirigeons soit vers une société plus équitable et plus juste, soit vers le chaos et la révolte ouverte. Que voulons-nous ?

Reproduit avec la permission de YES! Magazine (yesmagazine.org)


1. Note de la rédaction :

Cette interview a été réalisée avant le référendum suisse du 5 juin 2016 sur le revenu de base inconditionnel, où 77 % du pays a voté contre le projet, craignant un effondrement de l’économie.
Le gouvernement suisse avait lui-même conseillé aux électeurs de rejeter la proposition présentée par les militants qui avaient recueilli les 100 000 signatures nécessaires pour imposer un vote sur la question. Selon ses opposants, le projet aurait fait peser une charge trop lourde sur les finances de l’Etat et aurait encouragé l’oisiveté, arguments qui semblent avoir convaincu les électeurs.
L’idée a toutefois convaincu certains économistes qui affirment que cela pourrait remplacer les prestations sociales traditionnelles et donner à tous les mêmes chances dans la vie. Les partisans se félicitent que le principe d’un revenu de base pour tous ait été porté à l’attention du public.

 

Environnement

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Esotérisme

Celui qui frappe à la porte [sommaire]

par Le Maître –,

par l’entremise de Benjamin Creme, janvier 1993

Dans la vie de chaque nation vient un moment où un examen de conscience s’impose ; où elle doit porter un regard neuf sur les idéaux qui ont inspiré sa constitution — écrite ou non — à la lumière de ce qui a été accompli, et réexaminer les résultats obtenus. Une fois cela fait avec honnêteté et franchise, l’autosatisfaction qu’affichent tant de dirigeants pour conserver leur emprise chancelante sur le peuple cédera la place à un discours plus en phase avec la réalité. Le temps de nombreux leaders est compté.

Des événements se produiront sous peu qui entraîneront une redistribution du pouvoir, et l’émancipation des peuples. A l’actuel simulacre de démocratie succédera une participation authentique qui ouvrira un nouveau chapitre dans la longue quête humaine de justice et de liberté.

Alors même que s’écrivent ces lignes, un plan est lancé qui accélérera ce processus et apportera de la joie aux millions d’hommes qui souffrent le martyre. Patiemment ils attendent, ces pauvres qui ne connaissent pas l’espoir : parqués comme du bétail dans la fournaise impitoyable du désert ; privés de travail et de logement dans les arrogantes métropoles de ce monde ; condamnés à tirer une maigre subsistance des terres les plus arides. Ils attendent la délivrance qui maintenant frappe à la porte.

Bientôt ils verront leur libérateur ; beaucoup l’ont déjà vu, et ne vivent que pour le voir à nouveau. Sur les champs de bataille qui défigurent notre temps, il apparaît à tous avec la même grâce. Bientôt, les nombreux miracles dont il est l’auteur lui gagneront le cœur des hommes et des femmes du monde entier. L’une après l’autre, les sources curatives seront découvertes, et il s’ensuivra une grande purification des temples des hommes.

L’histoire nous enseigne que les événements ne se reproduisent jamais à l’identique ; le temps et l’évolution en assurent le renouvellement. Ceux qui espèrent un sauveur à la manière de jadis attendront en vain. Les temps nouveaux nécessitent des méthodes nouvelles, et les nouveaux problèmes appellent de nouvelles solutions.

C’est ainsi que Maitreya fait face à la situation présente, et s’attaque aux questions qui préoccupent tous les hommes : faim et lutte pour la survie, équilibre de la planète, partage et justice, paix et guerre. Qu’il vienne pour aider l’humanité ne fait aucun doute ; mais il vient avant tout pour enseigner. Prêtez donc attention à ses enseignements car ils contiennent l’essence de la vie ; sous leur inspiration vous serez guidés jusqu’au firmament.

A ceux qui vous demandent « Que nous réserve l’avenir ? », répondez qu’une étoile brillante a renoncé à sa légitime place dans les cieux pour cheminer parmi les hommes, et apporter sur Terre des présents jusqu’ici inconnus. Cette étoile bénie des dieux a pour nom Maitreya. Il montrera aux hommes la voie du devenir qui peut être le leur.

Il leur indiquera la porte secrète qui mène au cœur de Dieu, et les aidera à en franchir le seuil. Il marchera aux côtés des hommes et des anges, et tissera entre eux des liens. Par l’exemple et l’enseignement, il montrera à chacun le chemin du salut. Il régénérera le monde, et le réenchantera. Prêtez l’oreille, car il frappe à la porte.

Note de la direction
Depuis la création de la revue Partage international, le Maître de Benjamin Creme fournit des articles susceptibles d’être publiés non seulement au moment où ils sont écrits, mais aussi chaque fois que la situation mondiale les rend à nouveau pertinents.

 

Faire le lien

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Faits et prévisions

Au fil des années, Partage international a régulièrement publié des articles soulignant les attentes de Maitreya, telles qu'elles ont été présentées par l'un de ses collaborateurs vivant à Londres au sein de la même communauté, à propos d'un certain nombre de changements politiques, sociaux, écologiques et spirituels devant se produire dans le monde. Périodiquement, Benjamin Creme et son Maître ont également partagé leur point de vue sur les développements à venir. Dans cette rubrique intitulée « Faits et Prévisions » notre rédaction analyse les nouvelles, les événements et les déclarations ayant un rapport avec ces prévisions et points de vue.
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Fenêtre sur le monde

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La voix de la raison

« Hormis la guerre, rien ne compromet aussi gravement l’avenir de l’humanité que la pollution. Constatant qu’il en est ainsi, certains pays ont pris des mesures pour la réduire et pour limiter le réchauffement climatique. D’autres, parfois parmi les plus gros pollueurs, nient la réalité d’un tel réchauffement en dépit des preuves qui s’accumulent. A tout moment, dorénavant, les changements climatiques montrent sans l’ombre d’un doute que la planète est malade, qu’elle a besoin de soins immédiats et attentifs pour retrouver l’équilibre. Le temps nous est compté pour mettre fin aux ravages que subit quotidiennement la planète Terre. Chaque homme, chaque femme, chaque enfant a son rôle à jouer dans sa restauration. Oui, le temps presse. Save Our Planet (S.O.P.), sauvons notre planète ! » Source : Le Maître de B. Creme, S.O.P. Sauvons notre planète, 8 septembre 2012

Encourager la pratique de l’amour et de la compassion [sommaire]

Le dalaï-lama

Le 3 juin 2016, sa sainteté le dalaï-lama a parlé devant plus de trois mille jeunes étudiants tibétains de « l’Ornement de la claire réalisation » de Maitreya (le Bodhisattva). Ce texte fondamental du bouddhisme tibétain définit l’esprit de sagesse (bodhichitta) qui s’éveille comme l’intention de devenir éclairé pour le bien de tous les êtres sensibles. « Si vous ne pensez qu’à vous, vous vous désavantagez. Si, à l’inverse, vous ouvrez votre cœur et étendez votre intérêt aux autres, vous serez libéré de la peur et de l’anxiété. Si vous pensez à tous les êtres sensibles qui sont comme vous à ne pas vouloir souffrir, votre nombrilisme décroîtra. Regardez autour de vous : ceux qui sont respectueux et concernés par les autres tendent à être plus heureux, ceux qui sont plus autocentrés le sont moins. Pensez à ceux qui partagent leurs desserts ou toute autre bonne chose, et à ceux qui les gardent pour eux : lesquels semblent plus heureux ? »

Quelques jours plus tard, le 7 juin, le dalaï-lama s’est adressé à un auditoire de sept mille personnes au grand temple tibétain de sa résidence à Dharamsala.

Dans son discours, il a expliqué que ce qui distingue l’Inde, pays des Aryens, c’est que toutes les religions majeures du monde y ont prospéré pendant mille ans. Il y a les traditions indigènes comme le samkhya, les traditions jaïnistes et bouddhistes, et elles ont été rejointes par le zoroastrisme, le judaïsme, le christianisme et l’islam. C’est ici, a-t-il dit, que nous pouvons trouver ces différentes traditions vivant ensemble dans le respect mutuel, et en tant que tel, c’est un modèle à suivre pour les autres. Il a fait remarquer que les traditions contemplatives de l’Inde, bouddhisme inclus, détiennent une compréhension ancienne des mécanismes de l’esprit qui continue d’être pertinente et d’intérêt de nos jours.

Comme l’a souligné le dalaï-lama, certaines traditions religieuses sont théistes en affirmant l’existence d’un dieu créateur tandis que d’autres sont non-théistes et se focalisent sur la causalité – la loi de cause et effet. Néanmoins, elles portent toutes le même message quant à l’importance de l’amour et de la compassion et quant au besoin de protéger ces qualités avec tolérance, contentement et discipline personnelle. Ce sont des traditions qui ont été bénéfiques par le passé, qui le sont aujourd’hui, et qui continueront à l’être dans le futur.

Elles peuvent affirmer différents points de vue philosophiques, mais toutes encouragent la pratique de l’amour et de la compassion. Pour cette raison, il est important de promouvoir l’harmonie interreligieuse entre elles.
[Source : dalailama.com]

Le pape François

«  Le monde a plus que jamais besoin du Christ », a déclaré le pape François.

Le 19 juin 2016, dimanche de Pentecôte, le pape François s’est adressé aux fidèles rassemblés place Saint-Pierre, à Rome. Il a évoqué le sentiment croissant de vide et d’insécurité qui se répand sur le monde et a affirmé que plus que jamais nous avons besoin du Christ, car lui seul connaît la réponse aux problèmes cruciaux qui assaillent l’humanité : « Le monde a plus que jamais besoin du Christ, du salut qu’il apporte et de son amour miséricordieux. Nombre de personnes ressentent un vide autour et à l’intérieur d’eux et certains d’entre nous aussi, peut-être, a-t-il déclaré, en faisant remarquer que d’autres, vivent dans l’agitation et l’insécurité en raison de la précarité et des conflits. »

Chacun a besoin de réponses claires à ses questions existentielles les plus graves, a-t-il affirmé, expliquant que puisque « Jésus connaît le cœur de tout homme comme personne », il a le pouvoir de guérir, donner la vie et consoler l’humanité […].

Le pape a mis l’accent sur l’évangile du jour de Luc, dans lequel Jésus demande à ses disciples : « Pour vous qui suis-je ? »A cette question, Pierre répond que Jésus est « le Christ de Dieu. »Le pape a insisté sur le fait que de nos jours, cette question de Jésus se pose à chacun de nous : « Qui est Jésus pour les personnes de notre époque ? Pour moi, pour vous, pour vous, pour vous. Qui est Jésus pour chacun de nous ? » Cela signifie que nous devons adopter une attitude de solidarité, spécialement avec les pauvres, et nous engager à travailler pour la justice et la paix.

Le pape François a fait allusion à la Journée mondiale des Nations unies pour les réfugiés du 20 juin, dont le thème est cette année : « Avec les réfugiés. Nous sommes du côté de ceux qui sont contraints de fuir. » Il a expliqué que « les réfugiés sont des gens comme chacun de nous, mais dont la guerre a volé la maison, le travail, les parents et les amis. »Le pape a ajouté : « Pour cette raison nous désirons être avec eux : les rencontrer, les accueillir, les écouter, devenir avec eux les artisans de la paix, selon la volonté de Dieu. »
[Sources : CNA/EWTN News ; catholicnewsagency.com]

A l’occasion de la Journée mondiale contre le travail des enfants, le 12 juin 2016, le pape François a lancé un appel vibrant pour mettre fin à l’esclavage des enfants. C’est au Vatican, lors d’une messe de jubilé spéciale, que le souverain pontife a appelé le monde à bannir le fléau du travail des enfants. « C’est aujourd’hui la journée mondiale contre le travail des enfants. Unissons-nous et renouvelons nos efforts pour éradiquer les causes de cet esclavage moderne qui prive des millions d’enfants de certains droits fondamentaux et les expose à de sérieux dangers », a-t-il déclaré.

Plus tôt dans la semaine, le pape avait mis en garde contre une rigidité excessive en matière de croyances, dogmes et pratiques. « La rigidité dogmatique, a-t-il affirmé, empêche les gens de se réconcilier entre eux. » Prenant sa réplique de l’avertissement que Jésus avait adressé à ses disciples, il a rappelé que Jésus nous demande d’aller au-delà des lois et d’aimer Dieu et son prochain, soulignant que quiconque est en colère contre son frère sera soumis au jugement. Le pape François a reconnu que nous avions « un vocabulaire très créatif pour insulter les autres » tout en signalant que ces insultes sont des péchés et une attaque à l’âme de nos frères et à leur dignité.

S’adressant à la Communion mondiale d’églises réformées, au Vatican, le 10 juin 2016, il a abordé les problèmes de foi dans le monde moderne. « […] Nous faisons souvent l’expérience d’une « désertification spirituelle ». Tout particulièrement en des lieux où les gens vivent comme si Dieu n’existait pas, nos communautés chrétiennes sont faites pour être des sources d’eau vivante, étanchant la soif avec l’espoir, une présence capable d’inspirer la rencontre, la solidarité et l’amour. Elles sont appelées à recevoir et raviver la grâce de Dieu, à dépasser le nombrilisme et à être ouvertes à la mission. La foi ne peut pas être partagée si elle est pratiquée en dehors de la vie, dans l’isolement irréel et dans des communautés autarciques résistantes au changement. Cet isolement empêcherait de répondre à l’insistante soif de Dieu qui de nos jours trouve aussi son expression dans des nouvelles formes variées de religiosité. Ces formes risquent parfois d’encourager le souci de soi et de ses besoins seulement, et de promouvoir une sorte de « consumérisme spirituel. ». A moins que les gens aujourd’hui ne « trouvent dans l’Église une spiritualité qui peut offrir guérison et libération, et les remplir de vie et de paix, tout en les appelant à des communions fraternelles et à la créativité missionnaire, ils finiront par être happés par des solutions qui ne rendent pas la vie vraiment humaine ni ne rendront gloire à Dieu […]. »
[Sources : news.va ; africanews.com ; ILO.org]

Mots de sagesse du regretté Václav Havel

Pour beaucoup en Europe et ailleurs dans le monde, 1989 fut une année capitale et extraordinaire selon toutes les normes de l’histoire. En ces douze mois, le monde a regardé un pays après l’autre vivre la fin du pouvoir communiste et a assisté à la chute du mur de Berlin. 1989 était aussi l’année où le Tchèque Václav Havel (1936 -2011), écrivain, philosophe, dissident et ancien prisonnier politique, est devenu homme d’Etat. En décembre 1989 il a été élu président de la Tchécoslovaquie. Il est resté président de la Tchécoslovaquie puis de la République Tchèque jusqu’en 2003. Le 1er janvier 1990 (trois jours après son élection) il fit son premier discours, adressé à la nation par une diffusion télévisée. Il est intéressant de se pencher maintenant sur ce discours, particulièrement en cette période où de nombreuses élections se déroulent dans le monde et où les gens prennent conscience du pouvoir de leurs voix et de leurs responsabilités. Partage international présente ci-dessous des extraits de ce discours de Václav Havel.

« Notre pays n’est pas florissant. L’énorme potentiel créatif et spirituel de nos nations n’est pas utilisé avec sagesse. Des branches entières de l’industrie produisent des biens qui ne servent à personne, tandis que nous manquons de ce dont nous avons besoin […]. Nous avons pollué le sol, les rivières et les forêts que nos ancêtres nous ont légués, et nous avons aujourd’hui l’environnement le plus pollué d’Europe […].

Mais ceci n’est même pas le problème principal. Le pire, c’est que nous vivons dans un environnement moral contaminé. Nous tombons moralement malades parce que nous avons pris l’habitude de dire des choses contraire à ce que l’on pense. Nous avons appris à ne croire en rien, à s’ignorer mutuellement, à ne nous soucier que de nous-mêmes. Des concepts tels que l’amour, l’amitié, la compassion, l’humilité ou le pardon ont perdu leur profondeur et leur sens, et pour beaucoup d’entre nous, ils ne représentent que des particularités psychologiques, ou alors ils ressemblent aux salutations désuètes des anciens temps, quelque peu ridicules à l’ère des ordinateurs et des vaisseaux spatiaux […].

Le précédent régime, armé de son idéologie arrogante et intolérante, a réduit l’homme à une force de production et la nature à un outil de production. En cela, il a attaqué tout à la fois leur essence et leur relation mutuelle. Il a réduit des gens doués et autonomes, travaillant intelligemment dans leur propre pays, à être les rouages d’une machinerie monstrueusement grande, assourdissante et nauséabonde, dont le vrai but n’était clair pour personne. Elle ne pouvait faire autrement que de s’user lentement mais inexorablement et user avec elle tous ses rouages […].

Nous ne pouvons blâmer les anciens dirigeants de tout, non seulement parce que ce serait faux, mais également parce que ça amoindrirait le devoir qui attend chacun de nous aujourd’hui, à savoir l’obligation d’agir indépendamment, librement, raisonnablement et vite. Ne nous y trompons pas : le meilleur gouvernement du monde, le meilleur parlement et le meilleur président ne peuvent pas grand-chose à eux seuls. Et ce serait un tort d’attendre d’eux seuls la panacée. La liberté et la démocratie incluent la participation et donc la responsabilité de chacun de nous […]. Si nous réalisons cela, l’espoir reviendra en nos cœurs. Dans l’effort de rectifier les affaires d’intérêt général, nous pouvons compter sur quelque chose. La période récente et en particulier les six dernières semaines de notre révolution pacifique ont montré l’énorme potentiel humain, moral et spirituel ainsi que le civisme qui sommeillait sous le masque nécessaire de l’apathie. A chaque fois que quelqu’un déclarait catégoriquement que nous étions ci ou ça, j’ai toujours objecté que la société est une créature très mystérieuse et qu’il n’est pas sage de croire seulement à la face qu’elle présente […].

Et demandons-nous : d’où vient chez les jeunes, qui n’ont jamais connu d’autre système, le désir pour la vérité, leur amour de la pensée libre, leurs idées politiques, leur courage civique et leur prudence civique ? Comment se fait-il que leurs parents – cette génération considérée perdue – les aient rejoints ? Comment se fait-il que tant de personnes aient immédiatement su quoi faire et que personne n’ait eu besoin de conseils ou d’instruction ? […]

La confiance en soi n’est pas de l’orgueil. Tout juste le contraire : seule une personne ou une nation qui se fait confiance, dans le meilleur sens du terme, est capable d’écouter les autres, les accepter comme des égaux, pardonner à ses ennemis et regretter ses propres fautes.

Essayons d’introduire cette sorte de confiance dans la vie de notre communauté et, en tant que nation, dans notre comportement sur la scène internationale. Seulement ainsi pourrons nous restaurer le respect de nous-même, le respect envers les autres et le respect des autres nations […].

Notre premier président a écrit : « Jésus, pas César. » […]. J’ose dire que nous avons même l’opportunité de diffuser cette idée plus loin et d’introduire un nouvel élément dans la politique européenne et mondiale. Notre pays, si c’est ce que nous voulons, peut désormais et pour toujours irradier l’amour, la compréhension, le pouvoir de l’esprit et des idées. C’est précisément cette lueur que nous pouvons offrir comme notre contribution spéciale à la politique internationale. Masaryk (premier président de la Tchécoslovaquie) a basé sa politique sur la moralité. Essayons, en cette époque et d’une nouvelle manière, de restaurer cette conception de la politique. Enseignons à nous-mêmes et aux autres que la politique devrait être une expression du désir de contribuer à la communauté plutôt que le besoin de tromper ou de violer la communauté. Enseignons à nous-mêmes et aux autres que la politique peut ne pas seulement être l’art du possible, et particulièrement si ça signifie l’art de la spéculation, du calcul, de l’intrigue, des accords secrets et des manœuvres pragmatiques, mais qu’elle peut aussi être l’art de l’impossible, c’est-à-dire l’art de nous améliorer nous-mêmes et d’améliorer le monde […].

Aujourd’hui nos principaux ennemis sont nos propres défauts : l’indifférence au bien commun, la vanité, l’ambition personnelle, l’égoïsme et la rivalité. Le plus grand combat sera livré dans ce domaine.

Il y a des élections libres et une campagne électorale devant nous […]. Ne laissons pas le désir de se servir égoïstement fleurir à nouveau sous le majestueux costume qu’est le désir de servir pour le bien commun. Désormais, peu importe quel parti, quel club ou quel groupe prédomine dans les élections. Ce qui est important, c’est que les vainqueurs soient les meilleurs d’entre nous, au sens moral, civique, politique et professionnel, peu importe leur affiliation politique. Les futures politiques et le prestige de notre Etat dépendront des personnalités que nous sélectionnons, et plus tard, élirons comme corps représentatif.

Vous pouvez vous demander à quel genre de république je songe. Laissez-moi répondre : je rêve d’une république indépendante, libre, démocratique, d’une république économiquement prospère et pourtant socialement juste ; en bref, d’une république humaine qui serve les individus et qui dès lors, espère que ces individus la servent à leur tour, d’une république de gens harmonieux, parce que sans de tels personnes, il est impossible de résoudre un seul de nos problèmes, soient-ils humains, économiques, écologiques, sociaux ou politiques […]

Citoyens, votre gouvernement vous est rendu ! »
[Source : vaclavhavel-library.org]

Un système qui se soucie des gens et de la planète

Le prix Sydney Peace Prize 2016 a été décerné à Naomi Klein, auteure canadienne, journaliste et activiste. Les délibérations du jury ont reconnu la contribution de N. Klein aux échanges actuels sur l’emboîtement des facteurs au cœur du changement climatique, de la démocratie et de l’injustice sociale. « Pour avoir exposé les causes structurelles et la responsabilité de la crise climatique, pour nous avoir inspiré à nous faire entendre localement, à l’échelle nationale et internationale pour demander un nouveau programme de partage de la planète qui respecte les droits humains et l’égalité, pour nous avoir rappelé le pouvoir qu’a l’authentique démocratie d’accomplir le vrai changement et la justice.

Le changement climatique est à la racine de la violence et de la souffrance partout dans le monde. Des guerres pour l’eau aux incendies et inondations qui détruisent les moyens de subsistance, le changement climatique force des milliers de gens à se déplacer. Le système économique qui a créé cette crise en a désavantagé beaucoup et a abîmé notre planète de façon irréparable.

Si nous voulons obtenir la paix, nous ne pouvons ignorer le changement climatique. C’est le plus grand défi de notre temps, et nous devons reconnaître qu’il s’agit de justice et de droits humains autant qu’il s’agit d’environnement. Cela demande une transition hors des énergies fossiles et de passer d’un système économique prédateur à un système qui se soucie des gens et de la planète. Naomi Klein nous montre comment y parvenir. »

N. Klein est connue pour ses best-sellers tels que La stratégie du choc, No logo et son dernier ouvrage, Tout peut changer – Capitalisme et changement climatique, dans lequel elle défend qu’un changement radical est nécessaire pour empêcher un réchauffement climatique mondial catastrophique (cf. le compte-rendu de Marc Gregory dans Partage international, janvier/février 2015).

N. Klein est aussi une des forces progressistes canadiennes à l’origine d’» un bond vers l’avant : manifeste pour un Canada fondé sur le souci de la planète et la sollicitude des uns envers les autres. »Le bond vers l’avant décrit comment le Canada et le monde peuvent sortir des énergies fossiles et embrasser un futur durable basé sur les énergies propres. Naomi Klein recevra le prix lors d’une cérémonie officielle en novembre 2016.

Source : sydneypeacefoundation.org.au ; canadianprogressiveworld.com

 

La voix des peuples

Cette rubrique est consacrée à une force en plein développement dans le monde. La voix du peuple ne cessera de s’amplifier jusqu’à ce que, guidés par la sagesse de Maitreya, les peuples conduisent leurs gouvernements à créer une société juste dans laquelle seront respectés les droits et les besoins de tous.

Des manifestations contre Monsanto [sommaire]

Le samedi 21 mai 2016, des dizaines de milliers de personnes ont défilé dans de nombreuses villes du monde pour protester contre Monsanto, le géant américain de la bio-ingénierie, et ses semences et ses pesticides génétiquement modifiés (OGM). Les protestations ont réussi à enrailler les négociations controversées pour le renouvellement des autorisations du désherbant Roundup de Monsanto, en Europe et aux Etats-Unis. Le Roundup contient du glyphosate, herbicide cancérigène jouant un rôle essentiel pour l’expansion des cultures génétiquement modifiées, déjà interdit dans le monde entier pour des raisons de sécurité. Le 6juin 2016 , le Parlement européen a refusé de renouveler la licence, interdisant effectivement l’utilisation de glyphosate pendant 18 mois, période pendant laquelle de nouveaux éléments de preuve scientifique pourront être apportés, pour ou contre.

La troisième marche annuelle « Contre Monsanto »a été organisée dans près de 400 villes, dont Francfort, Londres, Le Cap, et dans plus de 40 pays des Amériques à l’Afrique et l’Europe. Au Burkina Faso, près de 500 personnes ont défilé dans la capitale Ouagadougou – le coton OGM y a été introduit en 2003. Des manifestations ont eu lieu dans les villes suisses de Bâle et Morges, où Monsanto a son siège pour l’Europe, l’Afrique et le Moyen-Orient. Environ 3 000 manifestants se sont rassemblés à Paris, pour protester contre le Roundup. Près de 1 000 militants anti-Monsanto se sont rassemblés devant le Parlement européen à Strasbourg pour mettre en scène une minute de silence « en hommage aux victimes actuelles et à venir empoisonnées par les pesticides ». Environ 500 manifestants se sont rassemblés à Los Angeles en chantant « Hell no, GMO ! » (Non à l’enfer, stop aux OGM). Et on lisait sur une pancarte tenue par une jeune fille dans une poussette : « Je ne suis pas une expérience scientifique. » Une manifestante, Megan Cliburn, a déclaré : « Nous devrions savoir ce que contient la nourriture que nous mangeons ; ce que nous mettons dans notre corps. » Sur d’autres pancartes on pouvait lire : « Personne ne doit posséder de brevets sur Mère Nature » et « Arrêtez de faire du profit sur les gens ». A Rio de Janeiro, les manifestants ont accusé Monsanto de « bioterrorisme »et à Santiago du Chili, près de 1 000 personnes ont demandé le retrait de Monsanto du pays et l’arrêt de la production d’aliments OGM. « Nous ne voulons pas d’OGM dans nos assiettes », a déclaré Ivan Santandreu, président du mouvement Chile sin Transgenicos (Chili sans OGM).

Cette marche annuelle s’est déroulée alors que des allégations de collusion et de manipulations des procédures réglementaires entourent le désherbant Roundup et les cultures OGM en Europe et aux Etats-Unis. La campagne Marche contre Monsanto est un mouvement populaire organisé, initié aux Etats-Unis en 2013 pour « reprendre la main sur l’approvisionnement alimentaire ». L’Agence internationale de recherche sur le cancer (CIRC), à Lyon (France), a montré que le glyphosate provoquait des cancers chez des rats et des souris de laboratoire. Des études menées aux Etats-Unis ont systématiquement identifié une contamination au glyphosate chez l’homme, notamment dans le lait maternel des mères allaitantes. Les manifestants ont exigé un moratoire de dix ans sur la plantation de semences OGM Monsanto afin que des « recherches indépendantes »puissent être réalisées sur les effets secondaires à long terme de cette technologie.

Source : commondreams.org ; theguardian.com

Etats-Unis : contestation croissante contre le partenariat transpacifique [sommaire]

Le 6 juin 2016 , plus de 450 organisations environnementales et non-gouvernementales ont fait pression sur le congrès américain pour rejeter l’accord de partenariat transpacifique (TPP). Chaque membre du congrès a reçu une lettre précisant que l’approbation des accords du TPP permettrait aux entreprises multinationales d’utiliser les mécanismes du règlement des différends entre investisseurs et Etats (ISDS) pour exiger des compensations aux contraintes imposées par les législations environnementales. En janvier 2016, TransCanada a ainsi demandé une indemnité (par le biais de l’Accord de libre-échange nord-américain) de 15 milliards de dollars, après que B. Obama ait rejeté le permis de construire du pipeline Keystone en 2015.

La lettre au Congrès déclarait : « Nous vous demandons instamment d’éliminer cette menace au progrès climatique aux Etats-Unis en vous engageant à ne pas voter le TPP et en demandant au représentant du commerce américain de retirer du TTIP (partenariat transatlantique de commerce et d’investissement avec l’Europe) toute disposition qui autorise les entreprises à contester les politiques gouvernementales devant des tribunaux extrajudiciaires. »

En collaboration avec onze partenaires commerciaux, les Etats-Unis ont signé l’Accord TPP à la fin de 2015, mais il doit encore être mis en œuvre et le président Obama souhaite que le congrès ratifie l’accord avant qu’il ne quitte ses fonctions le 20 janvier 2017. Aucun des trois candidats à la présidence ne veut prolonger le TPP sous sa forme actuelle.

Le sénateur Bernie Sanders, candidat démocrate, a déclaré : « Le Partenariat transpacifique est un accord commercial désastreux conçu pour protéger les intérêts des grandes sociétés multinationales au détriment des travailleurs, des consommateurs, de l’environnement et des fondements de la démocratie américaine. Il aura également un impact négatif sur les personnes parmi les plus pauvres dans le monde. »

Source : reuters.com ; fortune.com ; www.sanders.senate.gov

Nuit debout continue [sommaire]

Nuit debout, mouvement français initié par des citoyens, poursuit ses activités, mais nul ne conteste la baisse du nombre de personnes présentes chaque nuit Place de la République, à Paris. Certains journalistes, dans leurs colonnes, se demandent si la pluie battante affectant Paris et une grande partie de la France n’est pas à l’origine de cette désaffection et pourrait expliquer la baisse d’enthousiasme des participants et des manifestants

Ce mouvement a participé à de nombreuses manifestations et d’autres sont encore planifiées. A titre d’exemple, le samedi 4 juin, une marche partant de la Place de la République s’est rendue dans le 20e arrondissement et le dimanche 5 juin, à Romainville, à l’appui des luttes communes de ces quartiers populaires.

Les comités continuent à partager leur expertise et leurs connaissances. Malgré la météo, la violence, etc., le mouvement a fêté son centième jour le mercredi 8 juin où les sympathisants, de toutes origines, se sont réunis, rappelant encore une fois la force de la démocratie directe et le dialogue des citoyens. Nuit debout crée de plus en plus ses moyens de communication et ses médias. Nuit Debout s’est étendu à toute la France : dans des grandes villes comme Lyon, Toulouse, Montpellier, Nantes, Rennes, Marseille, Dijon, Strasbourg, Tours. Nuit debout a essaimé, créant également des mouvements « frères » dans d’autres villes européennes.

Voir aussi Partage international, mai 2016

Source : Une corresp. de P.i. ; gazettedebout.org ; huffingtonpost.fr

Les Polonais protestent contre les mesures antidémocratiques [sommaire]

Dans l’une des manifestations récente les plus massives, plus de 50 000 Polonais sont descendus dans les rues de Varsovie et d’autres villes, le 4 juin 2016, pour protester contre les politiques antidémocratiques de leur gouvernement. Les manifestations, organisées par un nouveau mouvement civique, le Comité pour la défense de la démocratie, ont mis l’accent sur les mesures adoptées par le parti conservateur au pouvoir qui a pris ses fonctions en novembre 2015. Les réformes affaiblissent la Cour constitutionnelle et accroissent le contrôle du gouvernement sur les médias et d’autres institutions.

Les anciens présidents polonais Bronislaw Komorowski et Aleksander Kwaœniewski ont conduit la foule des manifestants à Varsovie, le 4 juin, en scandant : « Liberté ! Egalité ! Démocratie ! » et en agitant les drapeaux polonais et européen. Les réformes du gouvernement polonais ont été fortement critiquées par l’Union européenne, qui examine leur conformité avec les lois européennes sur la démocratie.

Source : euractive.com ; Associated Press

 

Le point de vue de Maitreya

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Le respect de la loi

« Chaque fois qu’il y a affaiblissement de la loi… et accroissement général du désordre, alors je me manifeste. » (Bhagavad Gita). La promesse de Krishna, l’Avatar, semble particulièrement d’actualité. C’est pour tenir cette promesse que Maitreya, l’Avatar de notre ère, est présent dans le monde à une époque où l’anarchie est si répandue. « Lorsqu’une nation parvient à l’âge adulte, à la maturité, les relations qu’elle établit avec les autres changent du tout au tout. Elle commence à respecter l’autorité de la loi qui unit toutes les nations, les liant dans leurs responsabilités et leurs besoins mutuels. Le développement vers la maturité se signale précisément par un tel respect des lois que les hommes ont estimées nécessaires pour vivre ensemble en paix… Lorsque, parmi les nations, l’on ignore l’autorité de la loi, c’est le monde entier qui en souffre. » (Le Maître — PI, avril 2004) Actuellement, les traités et les résolutions de l’Onu sont méprisés, et les lois nationales et internationales sont bafouées. Dans ce contexte, nous présentons des brèves mettant en exergue la nécessité d’un respect renouvelé de la loi.
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Les enseignements de Maitreya

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Les mensonges dévoilés

Le 15 février 2003, à Londres, Maitreya a été filmé sous les traits d’un Antillais, lors de la marche pour la paix (voir PI, avril 2003). « Je suis fier aujourd’hui d’entendre mes frères et mes sœurs dire la vérité et dénoncer les mensonges. C’est tellement magnifique ! » a-t-il déclaré. Depuis, les mensonges sont de plus en plus dénoncés.
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Les priorités de Maitreya

« Pour aider les hommes dans leur tâche, Maitreya, l’Instructeur mondial, a formulé certaines priorités. Assurer à tous un approvisionnement correct en nourriture ; procurer à tous un logement convenable ; fournir à tous soins médicaux et éducation, désormais reconnus comme un droit universel. » Le Maître de Benjamin Creme, Partage international, janvier 1989. Dans cette rubrique, notre rédaction aborde les questions relatives aux priorités énoncées par Maitreya et présente des expériences orientées dans cette direction.

La Journée mondiale des réfugiés [sommaire]

Le 20 juin 2016, la Journée mondiale des réfugiés a été célébrée dans le monde entier pour faire émerger la conscience à ce que vivent les personnes déplacées. Le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-Moon, a mis en lumière les enjeux avec la déclaration suivante : « Les réfugiés sont des gens comme vous et moi. Ils ont mené une vie ordinaire avant d’être déplacés, et leur plus grand rêve est de pouvoir vivre normalement à nouveau. En ce jour des réfugiés du monde, rappelons-nous notre humanité commune, célébrons la tolérance et la diversité, et ouvrons nos cœurs aux réfugiés partout. »

Tandis que le prix en vies humaines augmente, il a exhorté à une réponse collective aux mouvements massifs de réfugiés et de migrants par des politiques nationales plus inclusives et plus durables. L’Onu a chargé la Grèce de trouver des alternatives aux sites d’accueil en dessous des normes pour les réfugiés et les migrants. Le 3 juin, le chanteur Ricky Martin, ambassadeur de bonne volonté du Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef), a appelé à redoubler d’efforts pour aider les enfants fuyant le conflit syrien. Suite à une visite de deux jours au Liban, R. Martin a souligné le besoin de sauvegarder le futur des millions d’enfants dont la vie a été marquée par l’exil, la violence et le manque persistant d’opportunités.

Le 3 juin à Lausanne (Suisse), le président du Comité international olympique (CIO) a annoncé la création d’une équipe composée de dix réfugiés qui participeront aux jeux de Rio 2016 , une première dans l’histoire. Le président Thomas Bach a évoqué un jour historique, indiquant que l’équipe compterait cinq athlètes du Sud Soudan, deux de Syrie, deux de la République démocratique du Congo et un d’Ethiopie. Les athlètes, six hommes et quatre femmes, seront en compétition en natation, en judo et en athlétisme. « Ces athlètes réfugiés n’ont ni maison, ni équipe, ni drapeau, ni hymne national », a déclaré Thomas Bach. L’intention est de leur offrir un foyer au sein du village olympique parmi les athlètes du monde entier.

Les déplacements de la population reflètent des phénomènes complexes et les gens deviennent réfugiés pour diverses raisons comportant une multitude de combinaisons.

Le Haut Commissariat des Nations unis pour les réfugiés  (HCR) rapporte que « toutes les minutes huit personnes laissent tout derrière elles pour échapper à la guerre, à la persécution ou à la terreur ».

Les personnes déplacées de force comprennent les réfugiés, les demandeurs d’asile, les personnes déplacées au sein de leur propre pays, les apatrides et les rapatriés. Les pays en développement accueillent les quatre cinquièmes des réfugiés dans le monde. Les 48 pays les moins développés fournissent asile à 2,3 millions de réfugiés. En outre, les sécheresses liées aux phénomènes naturels extrêmes comme El Niño ont exacerbé les déplacements civils, faisant passer le nombre de pays ayant besoin d’une aide alimentaire extérieure à 37 (contre 34 en mars 2016), selon un nouveau rapport de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).

Les flux de déplacements se modifient sans cesse si bien qu’il peut falloir des années au HCR pour recueillir des données précises. A la fin de 2011, la population concernée par le HCR a été estimée à 35,4 millions de personnes, dont 10,4 millions de réfugiés, 895 300 de demandeurs d’asile ; 531 900 de réfugiés rapatriés ; et 15,5 millions de personnes déplacées internes.

Source : UN.org

 

L’humanité une

Lorsque l’homme acceptera vraiment le fait que l’humanité est une et que les hommes, entre eux, sont frères, quand il traduira ces vérités en actes, toutes choses pourront en toute sécurité lui appartenir. Son héritage l’attend. Ainsi les hommes devront-ils apporter la preuve qu’ils sont prêts pour la paix, prêts à pénétrer ensemble dans l’avenir, sans effusion de sang ni compétition. Ils devront se réjouir de partager et de travailler en harmonie pour le bien de tous. Quand les hommes, d’eux-mêmes, seront dans ces dispositions, ils en appelleront à Maitreya (quel que soit le nom sous lequel ils le connaîtront) pour leur montrer le chemin, les faire sortir du chaos, et les conduire vers une ère de paix. (L’héritage de l’homme, par le Maître de Benjamin Creme).
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L’Unité dans la diversité

« Le but de notre vie, que nous en ayons pris conscience ou non, est l’instauration de l’unité, la manifestation de l’unité qui existe déjà. Chaque atome de l’univers est relié à tous les autres atomes. » Benjamin Creme, L’Unité dans la diversité.
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Regard sur le monde

Dans cette rubrique, Partage international met en lumière certains problèmes urgents qui nécessitent une nouvelle approche et des solutions durables.
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Autres

A propos du Brexit [sommaire]

Note de la rédaction  :

Pendant plusieurs mois, les politiciens, experts et économistes du Royaume-Uni et d’ailleurs se sont exprimés sur la question de savoir si le pays devait rester au sein de l’Union européenne ou en sortir. Le 24 juin, la Grande-Bretagne et le reste de l’Europe se sont réveillés pour apprendre que les citoyens britanniques avaient décidé de quitter l’Union européenne.

Même si ce choix n’est pas celui que la Hiérarchie spirituelle aurait conseillé, la décision de la Grande-Bretagne n’aura aucune incidence sur les Plans de Maitreya. En réponse aux questions adressées à son Maître et à lui-même, Benjamin Creme, rédacteur en chef de Partage in-ternational, a déclaré que « les Maîtres ne sont pas « inquiets »», et que la suite des événements démontrera rapidement que rien ne peut faire obstacle à l’Emergence de Maitreya et des Maîtres de Sagesse qui l’accompagnent. A ceux qui l’interrogent, Benjamin Creme conseille de garder leur calme et de continuer d’informer le monde de la présence de Maitreya et de son émergence imminente.

Benjamin Creme a toujours considéré que l’adoption de la monnaie unique, l’euro, par la Grande-Bretagne serait une erreur, et le pays a en effet conservé sa propre devise. Les Maîtres préconisent l’unité dans la diversité, et Maitreya lui-même a mis l’Europe en garde contre le fédéralisme, qui mènerait à une perte de l’identité nationale. Pour autant, l’appartenance à l’Union européenne n’est pas en contradiction avec ce principe. Au contraire, au moment où nous nous dirigeons vers une communauté mondiale des nations, il appartiendra à chaque nation d’apporter ses qualités et ses dons particuliers, ce qui enrichira le tout sans perte de souveraineté, de culture nationale et  d’identité. Le but de l’humanité est l’unité dans la diversité, à l’intérieur de structures permettant de protéger tout à la fois la diversité de chacun et l’unité essentielle de tous.

Présence extraterrestre : des personnalités parlent [sommaire]

par Gerard Aartsen,

Nos gouvernements nous cachent la vérité depuis des dizaines d’années quant à la présence des extraterrestres parmi nous. Pourtant, un nombre croissant de personnalités s’expriment sur ce sujet. Gerard Aartsen a rassemblé ces déclarations dans ses ouvrages, Ici pour aider : les ovnis et les gens de l’espace (2011) et Priorités pour une planète en transition – l’appel des Frères de l’espace en faveur de la justice et de la liberté (2015).

Tous ces témoignages constituent de puissantes révélations émanant de personnes qui ont été ou sont encore actives dans les services officiels et qui étaient justement responsables de la dissimulation de la présence extraterrestre orchestrée délibérément, tant par les gouvernements que par l’armée ou les scientifiques.

«  Il est temps que la vérité soit présentée lors des audiences du Congrès [… ]. Dans les coulisses, les officiers supérieurs de l’armée sont sérieusement préoccupés par les ovnis. Mais le secret imposé en haut lieu et la peur du ridicule font que de nombreux citoyens pensent qu’ils n’existent pas […]. »– Roscoe H. Hillenkoetter, vice-amiral de la Marine américaine ; directeur de la CIA (1947-1950) ; membre du National Investigations Committee On Aerial Phenomena (1957-1962). [Source : New York Times, 28 février 1960]

« Les enfants de Dieu sont partout. Parfois, nous avons des difficultés à reconnaître nos propres frères. »– Pape Jean XXIII (le « Bon Pape »)Pape de l’Eglise catholique romaine (1958-1963). Il fit ce commentaire à la suite d’une rencontre avec un être sorti d’une soucoupe volante qui avait atterri dans le jardin de Castel Gandolfo au mois de juillet 1961. [Sources : le secrétaire particulier du pape, le cardinal Loris Capovilla, témoin de l’événement, et l’évêque Higinio Alas Gómez.]

« Les visiteurs de l’espace prévoient pour la planète Terre un avenir glorieux, à condition que nos gouvernants arrivent à éviter un nouveau conflit mondial, et reconnaissent publiquement la présence bénéfique des extraterrestres parmi nous. N’oublions jamais que c’est à eux que nous devons que jusqu’ici aucune guerre nucléaire n’a éclaté. »– Alberto Perego (1903-1981), consul d’Italie, extrait de son livre L’aviazione di altri pianeti opera tra noi rapporto agli italiani 1943-1963) [L’aviation d’autres planètes opère dans notre espace aérien, non traduit].

« Je suis convaincu que ces vaisseaux et leurs équipages viennent d’autres planètes, qui sont donc considérablement plus avancées que la Terre.» – Gordon Cooper, D.Sc., colonel de l’armée de l’air américaine, astronaute sur Gemini 5 et Mercure 9. [Extrait de la Lettre aux Nations unies pour demander la création d’une commission  spéciale pour étudier le phénomène extraterrestre, 9 novembre 1978.]

« Le phénomène extraterrestre est une réalité et il doit être étudié sérieusement. »– Mikhaïl Gorbatchev, président de l’URSS (1985-1991). [Source : interview parue dans Soviet Youth, 4 mai 1990]

« Ce sont des gens comme nous. Ils pensent comme nous. Je leur ai parlé. Nous ne sommes pas seuls dans ce grand monde. Nous ne sommes pas uniques. »– Kirsan Ilyumzhinov, président de la république de Kalmoukie, Fédération de Russie (1993-2010) ; président de la Fédération internationale des échecs depuis mars 1995. [Source : interview diffusée par la télévision britannique, 2007]

« De nombreux procès-verbaux rendent compte de contacts avec des extraterrestres. Ils sont gardés secrets mais je suis en contact avec certaines personnes qui m’ont communiqué des informations particulièrement confidentielles […]. Si je parle, ces personnes ne me confieront plus jamais rien. Mais je sais que des contacts ont eu lieu. »– Professeur Ervin László, hongrois, philosophe des sciences, théoricien des systèmes et théoricien du tout, fondateur du Club de Budapest. [Source : interview avec la journaliste néerlandaise Tessa Koop, Tessed Productions, 2008]

« J’ai le privilège de savoir que des extraterrestres nous rendent visite sur Terre et que le phénomène ovni est réel, bien que l’information ait toujours été étouffée par les gouvernements. »– Edgar Mitchell, ancien capitaine de la marine américaine, astronaute sur Apollo 14, sixième homme ayant marché sur la Lune. [Source : interview avec Nick Margerisson pour The Night Before sur la radio Kerrang !, Grande-Bretagne, le 23 juillet 2008]

« Les extraterrestres sont partout, et ils nous observent en permanence. Ils n’ont aucune intention de nous nuire. Au contraire, ils sont là pour nous aider, mais nous ne sommes pas encore assez avancés pour avoir un contact direct avec eux. »– Professeur Lachezar Filipov, directeur adjoint du Space Research Institute, Bulgarie ; membre de la Fédération internationale d’astronautique. [Source : The Telegraph, 26novembre 2009]

« J’ai pu consulter une lettre officielle adressée au président Eisenhower. Autant que je me souvienne, le ton de cette lettre était très optimiste. Elle informait le président de la présence permanente des extraterrestres ici aux Etats-Unis. »– Henry McElroy Jr., ancien parlementaire de l’Etat du New Hampshire, E.-U.. [Source : déclaration publique sur YouTube, le 8 mai 2010]

« Il y a des dizaines d’années, des visiteurs venus d’autres planètes nous ont informé que nous avions pris le mauvais chemin et ils ont proposé leur aide. Au lieu de cela, nous avons interprété leurs visites comme une menace, et on a décidé de tirer d’abord et de poser des questions ensuite […]. Le voile du secret doit être levé et il doit être levé maintenant, avant qu’il ne soit trop tard. »– Paul Hellyer, ministre de la Défense, Canada (1963-1968) ; vice-premier ministre du Canada (1967-1969). [Source : discours au Club de la presse, Washington, avril 2008]

« Des objets volants inconnus ont été observés sur beaucoup de nos sites d’armement nucléaire et d’autres installations nucléaires, et dans certains cas, l’apparition de ces objets a coïncidé avec des perturbations de la disponibilité opérationnelle de ces armes nucléaires. […] S’ils avaient voulu les détruire, avec tous les pouvoirs dont ils semblent disposer, ils auraient pu le faire sans difficulté. Donc, je ne pense pas qu’ils aient eu des intentions de nuire. »– Robert Salas, capitaine de l’armée de l’air américaine à la retraite, ancien responsable des tirs de missiles nucléaires. [Source : déclarations lors d’une conférence de presse au Club de la presse, Washington, 27 septembre 2010]

« Avec la mallette nucléaire, le président reçoit également un dossier secret très spécial entièrement consacré aux extraterrestres qui sont venus nous rendre visite. Ce dossier est rédigé par les services secrets responsables des relations avec les extraterrestres dans notre pays. »– Dmitri Medvedev, ex-président de la Fédération de Russie (2008-2012) et actuel premier ministre. [Source : propos hors antenne après une interview à la télévision russe, le 7 décembre 2012]

Une vidéo de compilation de ces déclarations se trouve sur YouTube et Vimeo, intitulée End the UFO/ET Disclosure nonsense!

Documentaire : Les ovnis et le nucléaire
Robert Hastings, spécialiste renommé des ovnis (voir Partage international, mars 2010) a réalisé récemment un documentaire intitulé UFOs and Nukes: The Secret Link Revealed [Révélation du lien secret entre les ovnis et le nucléaire, NdT]. R. Hastings considère ce film comme « l’aboutissement de quarante ans de recherches sur la présence permanente et généralisée des ovnis sur les sites d’armement nucléaire, à la fois aux Etats-Unis et à l’étranger ».
Le film de 50 mn allie des témoignages filmés d’officiers de l’armée de l’air américaine, des séquences de films d’archives militaires, des extraits sélectionnés de documents officiels déclassifiés et des animations par ordinateur illustrant des descriptions de témoins oculaires.
C’est un compte-rendu fascinant de nombreux incidents qui se sont produits en relation avec les ovnis dans des installations nucléaires de tous types depuis les débuts de l’ère atomique dans les années 1940. La plupart de ces incidents ont naturellement été classifiés « Top Secret ».
Parmi les animations les plus captivantes se trouve un incident survenu en 1967 sur la base aérienne de Malmstrom, au Montana, au cours duquel un gros vaisseau rougeoyant, de forme ovale, a été observé en vol stationnaire au-dessus des silos de missiles nucléaires, alors qu’au même moment, 20 m sous terre, les agents de contrôle constataient que les dix missiles s’étaient brusquement déconnectés. Il y a aussi le fameux incident de Bentwaters, en Angleterre, où de nombreux ovnis ont été observés deux nuits de suite sur la base militaire, en décembre 1980.
Fait intéressant, aucun des anciens officiers de l’armée de l’air qui apparaissent dans le film et qui étaient présents lorsque ces incidents se sont produits, n’a parlé d’une présence ouvertement hostile ou menaçante. Au contraire, R. Hastings déclare dans le film que ces activités des ovnis « sont un effort délibéré de la part de ces visiteurs pour nous envoyer un message clair : vous êtes en train de jouer avec le feu ».
Contrairement à beaucoup de documentaires et émissions de télévision sur les ovnis, dans lesquels domine le sensationnalisme et la spéculation, le film UFOs and Nukes présente des preuves rigoureusement vérifiées et corroborées par des témoins oculaires qui démentent les allégations des divers responsables gouvernementaux et des médias selon lesquelles le phénomène ovni est un mythe de la culture populaire, ou une autre idée sortie de l’imagination des « théoriciens du complot ».
Le documentaire est disponible sur Vimeo On Demand : vimeo.com/ufosandnukes.

Les pays en développement favorisent les énergies renouvelables [sommaire]

par Deirdre Fulton,

2015 aura été une année florissante pour les énergies renouvelables. Elle a connu une chute du prix des carburants et s’est terminée par la signature à Paris d’un accord historique sur le changement climatique.

Le Rapport sur le statut mondial des énergies renouvelables, émis par REN21 (Réseau mondial pour la promotion des énergies renouvelables), hébergé par le Programme environnemental des Nations unies (Pnue), basé à Paris, indique que les sommes investies en 2015 dans les énergies renouvelables comme l’éolien et le solaire étaient plus de deux fois supérieures à celles investies dans de nouvelles centrales au gaz ou au charbon.

Pour 2015, l’augmentation des capacités de production d’énergie par les renouvelables est estimée à 147 gigawatts (un record), alors que le chauffage par énergie renouvelable et la production des biocarburants ont également augmenté. Selon le rapport, l’augmentation à l’échelle mondiale de la capacité de production par les renouvelables est supérieure à celle de tous les carburants fossiles combinés. Le secteur des énergies renouvelables offrait 8,1 millions d’emplois directs ou indirects en 2015.

« Ces résultats sont d’autant plus remarquables qu’ils concernent une période où les prix des carburants fossiles étaient au plus bas et alors que les politiques publiques désavantagent encore largement les renouvelables, explique Christine Lins, secrétaire exécutive de REN21. Pour chaque dollar investi afin de stimuler les énergies renouvelables, presque quatre dollars étaient dépensés pour maintenir notre dépendance aux carburants fossiles. »

Fait remarquable, en 2015 les investissements des pays en développement dans les énergies renouvelables étaient pour la première fois supérieurs à ceux des pays plus riches – 156 milliards de dollars (en augmentation de 19 % par rapport à 2014), dépassant ceux de tous les pays plus riches réunis.

« Les nations optent pour les énergies renouvelables non seulement parce qu’elles sont les moins polluantes, mais aussi parce qu’elles sont les moins chères, déclare C. Lins. C’est un signal clair en ce qui concerne sa viabilité économique. »

D’autre part, Bloomberg note que l’Europe « est en train de perdre son statut de leader mondial dans le secteur des énergies propres avec des investissements qui ont chuté de 21 % l’année dernière. »Dans l’ensemble des pays développés, les investissements dans les énergies renouvelables se sont réduits de 8 % en 2015.

Toutefois aux Etats-Unis, les investissements dans les énergies renouvelables ont augmenté de 19 % pour atteindre les 44,1 milliards de dollars, la plus grande augmentation dans ce pays depuis 2011.

Selon le rapport, les pays en développement ouvrent la voie en ce qui concerne les petites centrales de production d’énergie.

Selon REN21 : « Dans l’ensemble, la production d’électricité renouvelable continue à être dominée par les grands générateurs (à l’échelle du mégawatt ou plus) dont les propriétaires sont des institutions ou de gros investisseurs. »

Toutefois, le rapport montre « qu’en même temps, le marché des petits générateurs distribués en réseau décollent, ou commencent à le faire. C‘est au Bangladesh que se trouve le plus grand marché mondial pour les systèmes solaires domestiques, et d’autres pays en développement (comme le Kenya, l’Ouganda, la Tanzanie, la Chine, l’Inde, le Népal, le Brésil ou la Guyane) voient l’expansion rapide de petits systèmes à énergie renouvelable, et même de mini réseaux qui produisent de l’électricité pour des personnes éloignées des grands réseaux de distribution. Les régions développées comme l’Australie, l’Europe, le Japon et l’Amérique du Nord ont vu le nombre des clients consommateurs d’électricité résidentiels ou industriels produisant leur propre énergie croître de manière significative. »

En réponse à ce rapport, le militant des Amis de la Terre britannique, Andrew Pendleton, a déclaré à The Independent : « Le fait que la Grande-Bretagne soit dépassée par beaucoup d’autres pays industrialisés et en développement dans la course aux énergies renouvelables devrait lui faire honte alors qu’en tant qu’île venteuse, nous sommes vraiment avantagés.

Si la Grande-Bretagne avec ses ressources naturelles presque sans équivalent, n’est pas le bon endroit pour investir dans les énergies renouvelables, alors où faudrait-il le faire ? Si maintenant n’est pas le bon moment, alors quand ? Les gouvernements doivent créer un climat favorable aux investissements et il est clair que le nôtre ne le fait pas. »

Source : Common Dreams

 

Citation

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Message de Maitreya

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Brève

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Courrier des lecteurs

Partage international dispose d’une réserve importante de courriers qui ont été confirmés par le Maître de Benjamin Creme comme relatant de véritables rencontres avec des Maîtres, ou un « porte-parole », mais qui n’ont pas encore été publiés. D’autres courriers présentés ici sont plus récents. Pour ces derniers, bien que nous ne puissions pas confirmer ou indiquer si un Maître est impliqué, l’expérience peut être telle qu’elle « parle d’elle-même » en apportant espoir, inspiration et réconfort. Nous présentons ces courriers à votre considération.

Une expérience de groupe [sommaire]

Cher Monsieur,

Au printemps 2016 , je donnai une conférence sur la méditation et la pleine conscience en Allemagne. Plus de 300 personnes, dont la plupart travaillaient dans le domaine de l’éducation,  assistèrent à la conférence. Au cours de cet exposé, je proposai un exercice sur la méditation et la compassion. Tous les participants fermèrent les yeux. Comme je les guidai dans leur méditation, je ressentis une forte énergie dans la salle. Après cette séance, ils déclarèrent que celle-ci avait été très efficace. Le lendemain, une dame m’affirma qu’elle s’était spontanément mise à pleurer au cours de cette méditation. Je suis émerveillée. Est-ce possible que l’énergie de Maitreya ou des Maîtres fut impliquée dans cette méditation sur la compassion ?

Nom et adresse non communiqués

Le Maître de Benjamin Creme indique que l’énergie provenait du Maître Jésus.

Prévision [sommaire]

Cher Monsieur,

Quelques jours avant la conférence de M. I. de Sendai, une femme, qui avait eu notre prospectus dans sa boîte aux lettres, nous téléphona. Elle s’appelait aussi Michiko. Elle était très gaie, pleine de vigueur, et parlait fort dans un dialecte de la région de Tohoku.

Elle me demanda quelle sorte de conférence ce serait car elle avait du mal à comprendre le prospectus. Je tentai de lui expliquer la situation sociale actuelle difficile et que de grands instructeurs viendraient nous guider. Elle déclara que Dieu réside en nous, aussi devons-nous avoir des relations  empreintes d’amour et de gratitude.

Ensuite, elle me demanda l’âge de M. I. ; je le lui dis, elle fut surprise et affirma : « Je pensais qu’il s’agissait d’une jeune femme traitant d’un sujet difficile et complexe. Elle a l’air jeune et belle et tournée vers l’avenir. J’ai 70 ans mais je suis encore au printemps de ma vie. »Elle me demanda de dire à Mme I. qu’elle est au printemps de sa vie et qu’elle vivra encore longtemps. Elle ajouta : « Mariko (mon prénom) est un joli prénom et vous êtes aussi une personne remarquable. » Elle m’encouragea à poursuivre mon « admirable travail de bénévole ». Pour terminer elle déclara : « Ce sera un jour merveilleux »(en parlant du jour de la conférence).

Cette dame m’a donné le sentiment qu’elle nous connaissait très bien moi et M. I. et m’a transmis ses encouragements et sa bénédiction pour le jour J. Sa voix demeure dans mon cœur. Le jour de la conférence fut merveilleux ! Cette dame était-elle quelqu’un de spécial ? Merci.

M. M.

Le Maître de Benjamin Creme indique que la femme était un porte-parole du Maître Jésus.

Des mots-clé [sommaire]

Cher Monsieur,

Le 30 avril 2016 , je pris le métro pour me rendre au salon Ame Corps et Esprit afin de donner un coup de main sur le stand de Share International. J’arrivai sur un quai bondé au milieu d’une foule de passagers en colère qui attendaient depuis longtemps une rame. Les haut-parleurs diffusèrent alors une annonce pour expliquer que le train approchait et un membre du personnel présenta ses excuses aux passagers en leur souhaitant une bonne journée et ajouta : « Paix et amour à tous. »

Un homme debout sur le quai attira mon attention. Il sourit et fit un commentaire sur la façon polie de cet employé confronté à une foule en colère. Il semblait émaner de lui un sentiment de calme et de bonheur et je lui souris. Il paraissait avoir environ 65 ans, d’origine asiatique et avait une barbe. Il monta dans le même wagon que moi et je fis allusion à son éloge pour cet agent du métro. Je remarquai son visage serein et ses yeux bleus bienveillants, ce genre de visage que l’on a plaisir à observer, tellement il irradiait la paix et la joie. Il était face à moi et regardait vers la fenêtre. Il semblait se parler à lui-même mais prononça plus nettement le mot « complaisance » puis quelques instants plus tard « marchandisation » sur un ton plus élevé. Il continua à parler pour lui-même très tranquillement puis soudain émit le mot « extériorisation »d’une voix encore plus audible. Cela attira mon attention et je pensai qu’il était étrange d’entendre ces mots dans une conversation courante, d’autant plus que ce sont les sujets que mon collègue et moi allions aborder en public à ce salon. A la station de Shepherds Bush, il se dirigea vers la portière pour descendre du train. Nous échangeâmes un sourire et il évoqua sa joie de voir briller le soleil. J’acquiesçai. Au cours de la journée, je n’ai cessé de penser à cet homme et surtout à son visage rayonnant. Il me fit une telle impression que cela m’a conduit à me demander s’il était un homme ordinaire.

F. D., Londres, G.-B.

Le Maître de Benjamin Creme indique que l’homme était un porte-parole du Maître Jésus.

Des conseils divins [sommaire]

Cher Monsieur,

Le 17 février 2016 , j’avais une terrible migraine. Un réfrigérateur d’occasion que j’avais acheté et qui consommait trop d’énergie me préoccupait. L’inquiétude aggravait la douleur et me força à me mettre au lit. Je n’ai pas voulu prendre d’antidouleur. J’ai pris seulement un comprimé d’eau de Tlacote et tenu une petite carte de la « main »de Maitreya. Vers 19 h 30, je m’éveillai avec une douleur atroce dans la tête. Je me mis à pleurer par pure panique et par peur. Je demandais de l’aide, car je croyais être victime d’un accident vasculaire cérébral ou que j’allais perdre conscience. J’étais seule chez moi et personne ne pouvait me venir en aide.

Soudain, j’entendis une voix qui me demanda d’un ton plutôt ferme de m’allonger. Je suis donc allée me coucher. Au même moment, je remarquai clairement une énergie dans ma chambre – il y avait « quelqu’un », debout près de mon lit, qui me parlait.

Cette voix me disait de lâcher prise et de me détendre, car c’était la seule chose qui pouvait m’aider, c’était quelqu’un qui prenait soin de moi. Je demandai qui il était mais on m’a répondu que l’on m’apportait l’aide que j’avais demandée, que je devais fermer les yeux, laisser aller et ne pas avoir peur. On ajouta aussi que je serai mise dans une sorte de « sommeil narcotique » et que je me réveillerai. Lorsque je fermai les yeux et lâchai prise, la dernière chose que je vis fut une lumière dorée derrière les yeux. C’est tout ce dont je me souviens.

Vers 23 h 30, une voix m’éveilla en m’appelant : ma fille. J’ai clairement entendu la porte d’entrée s’ouvrir et pensai que mon compagnon était rentré. Alors je réalisai que la douleur avait laissé place à une sensation diffuse et que j’étais seule à la maison. Je me levai, me suis sentie mieux, reposée, mangeai et bus un peu. Le « sommeil » avait duré quatre heures et j’eus l’impression de sortir d’une anesthésie générale.

Depuis lors, je n’ai plus de migraine et j’en suis immensément reconnaissante.

Puis-je vous demander : [1] Qui m’a aidée ? [2] La voix que j’ai entendue était-elle réelle, ou l’ai-je imaginée ? [3] Que s’est-il passé pendant que j’étais « endormie »?

C. de H., Amsterdam, Pays-Bas

Le Maître de Benjamin Creme indique : [1] Le Maître Jésus ou plutôt un porte-parole du Maître Jésus vous a aidée. [2] La voix était « réelle ». [3] Vous avez été guérie.

Une visite pour la Pentecôte [sommaire]

Cher Monsieur,

Le 16 mai 2016 , jour du lundi de Pentecôte, férié aux Pays-Bas, le Centre était officiellement fermé mais quelques personnes étaient là pour travailler et le panneau « Ouvert » était sur la porte. La veille, certains d’entre nous avaient dit en plaisantant qu’ils espéraient ou s’attendaient à voir Maitreya et que le Jour de Déclaration aurait lieu à la Pentecôte, car cette fête est un symbole de l’adombrement des disciples.

Au moment où nous nous apprêtions à partir, un homme d’origine, semble-t-il, surinamaise, demanda si nous étions ouverts et déclara qu’il souhaitait consulter le livre L’Art de vivre et nous en parler. Selon ses propos, nous avons vite constaté qu’il savait beaucoup de choses sur nous et qu’il n’était pas un visiteur ordinaire.

Voici quelques-unes de ses déclarations : « Nous sommes tous un, tout est connecté. » « Vous faites de la méditation ici ? Combien de personnes viennent généralement ? » Nous lui répondîmes que le nombre peut varier entre deux et douze. « Les gens trouvent encore la méditation effrayante. Ils aiment être occupés et actifs, mais n’aiment pas être calmes et méditer. Ils n’aiment pas réfléchir. Mais les gens ont besoin de se connecter avec leur âme, ils ont besoin de méditer, sinon leurs batteries seraient complètement à plat. » Il évoqua la créativité au contact de l’âme : « Nous sommes créatifs si nous sommes en contact avec l’âme. » « Comment peut-on éviter d’être des robots ? » Après nous être réunis, nous avons conclu qu’il voulait dire qu’il fallait rester frais et spontanés lorsque nous donnons des conférences sur l’Emergence, et qu’il était important de parler avec le cœur, d’observer ce qui intéresse le public et de s’y adapter.

Il a également demandé ce que nous pensions de l’état de la planète. Lorsque nous avons répondu que notre planète était dans un état épouvantable, il dit : « Je ne dirais pas cela. » Lorsque nous avons poursuivi en affirmant que c’est un fait, mais que nous sentions que nous pourrions être absolument honnêtes sur ce point avec lui (dans notre for intérieur), il a répondu : « Oui, en réalité, nous devons être réalistes. »

Puis il demanda très ostensiblement si nous avions déjà vu Maitreya. « A la télévision voulez-vous dire ? Non. Lui-même Non, mais nous l’avons vu sous différents aspects. L’avez-vous vraiment vu ? Oui, sous des déguisements. Quel âge a-t-il ? Il est dans la fleur de l’âge. Quel âge est-ce ? Il est dans la fleur de l’âge, comme vous. Eh bien, quel âge est-ce ? Vous devez savoir, vous dites que vous l’avez vu, vous me voyez. Environ 50 ans. Ah ! J’ai 49 ans », affirma-t-il.

Pendant toute la conversation qui dura de 20 à 30 minutes, il était sérieux, calme, serein, plein d’humour et autoritaire ; son regard très intelligent semblait se moquer de nous avec bienveillance. En partant, il nous a adressé un baiser.

Se pourrait-il que ce fut Maitreya sous les traits d’un visiteur serein et convivial ? Merci.

Les membres du groupe du Centre d’information de Share Nederland, Amsterdam, Pays-Bas 

Le Maître de Benjamin Creme indique que ce visiteur était Maitreya sous l’apparence d’un homme calme et sérieux.

En sécurité [sommaire]

Cher Monsieur,

Le 3 mai 2016 , vers 18 h 40, en rentrant chez moi, sur une route à double voie, je dus me diriger vers la voie de gauche, sans remarquer une voiture venant à grande vitesse derrière moi. Mon véhicule fut violemment poussé par l’arrière vers la voie que je venais de quitter. Je pensai que sans l’intervention d’une main invisible ma voiture aurait été pliée en deux. Cela s’est passé en un clin d’œil. Après le choc initial, un sentiment de gratitude immense m’envahit, j’étais au comble de la stupéfaction et de la joie. Une terrible collision avait été évitée. Ce fut une expérience incroyable pour laquelle je serai éternellement reconnaissante. Puis-je demander qui en fut à l’origine ?

N. H., Blackrock, comté de Dublin, Irlande

Le Maître de Benjamin Creme indique que l’automobiliste a été sauvée par le Maître Jésus.

Une forte impression [sommaire]

Cher Monsieur,

A l’âge de dix ans, je faisais partie du club de foot de mon village. Un après-midi, je rentrai chez moi à vélo. La chaîne de mon vélo dérailla. J’essayai de la remette en place mais elle était complètement coincée entre le cadre et le pignon, ce qui bloquait la roue arrière et m’empêchait de rouler. La seule chose à faire était de soulever la roue arrière et pousser le vélo. Il me restait encore à parcourir 5 km. Pour l’enfant de dix ans que j’étais, cela aurait été très difficile. Par chance, je rencontrai un homme qui vint à mon secours. Mais la chaîne était tellement coincée que même lui ne put la libérer. Les larmes aux yeux, je me remis en chemin mais une jeune femme eut pitié de moi. « Tu as un problème ? me demanda-t-elle. Il ne faut pas pleurer ! » et elle se pencha sur le vélo pour voir si elle pouvait libérer la chaîne. Rougissant de honte, maintenant que je suis adulte, j’ai immédiatement pensé : « Si un homme n’y est pas arrivé, une femme ne le pourra sûrement pas. » (Je l’avoue franchement, j’avais dix ans et j’avais encore beaucoup à apprendre !)

Apparemment, sans grand effort, cette jeune dame me prouva que j’avais tort : elle libéra la chaîne et la remis sur le pignon. Je pouvais me remettre en selle ! Je la remerciai pour son aide et rentrai chez moi, joyeux et soulagé. Ce fut une expérience très forte qui est restée dans mon esprit. Qui était cette femme ? Il va sans dire que, depuis ce temps, mon respect pour les femmes est illimité !

E. H., Amsterdam, Pays-Bas

Le Maître de Benjamin Creme indique que la « femme »qui a apporté son aide était un disciple du Maître Jésus.

 

Rayons

Selon le Maître DK, un rayon est « le nom donné à une certaine force ou à un certain type d’énergie, considéré sous l’angle de la qualité qui en émane ». Les rayons transmettent ainsi leurs qualités à toute la création, y compris la constitution humaine. L’âme, la personnalité, le corps mental, le corps émotionnel et le corps physique, sont tous colorés par l’un ou l’autre des sept rayons. De manière à faciliter l’étude et la compréhension des rayons, le Maître de Benjamin Creme, au fil des ans, a accepté de répondre à des questions portant sur la structure de rayons (et le niveau d’évolution) de certaines personnalités mais, par discrétion, jamais pour des personnes en vie. Pour approfondir cette étude, nous renvoyons le lecteur aux enseignements d’Alice Bailey (Lucis Trust), aux ouvrages de Benjamin Creme et aux précédents numéros de Partage international.
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Forum Partage

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Dernière de couverture

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Cahier anniversaire

Le 19 juillet 1977, Maitreya, l’Instructeur mondial, est arrivé dans la communauté asiatique de Londres − son point d’attache dans le monde moderne − et le 22 juillet il a commencé sa mission. Trente ans plus tard, nous célébrons cet événement extraordinaire à travers les pages suivantes.
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Questions-réponses

Réponses de Benjamin Creme

Comment partager ? [sommaire]

On peut partager de nombreuses manières. Quatorze Maîtres vivent aujourd’hui dans le monde. Ils sont avec nous depuis de nombreuses années maintenant, et ils ont des disciples – des hommes et des femmes de par le monde – par l’entremise desquels ils ont présenté divers plans interconnectés dans l’optique du partage des ressources mondiales, et cela, afin de trouver la meilleure façon d’organiser les choses. Partager n’est vraiment pas très difficile, mais c’est une question de distribution et de redistribution. La première action politique de Maitreya après son émergence en 1977 a été d’entrer en contact avec le chancelier allemand de l’époque, Willy Brandt, et de lui demander de créer une commission, qui se fit connaître sous le nom de Commission Brandt. Willy Brandt était un initié de troisième degré. Il rassembla une quarantaine d’hommes et de femmes issus de nombreux pays dans le but de représenter les moindres nuances politiques en matière d’économie planétaire. L’éventail allait de l’extrême gauche à la droite extrême. Toutes ces personnes travaillèrent ensemble, et, malgré leurs opinions et approches différentes, elles finirent par parvenir à une conclusion. C’est ce qui fut annoncé au Mexique, à la conférence de Cancun. Tout le monde se mit d’accord sur l’idée fondamentale qu’il n’y avait qu’une solution pour régler la question de la distribution des ressources de la planète – et cette solution était de partager. C’était la première fois que le partage était mentionné en tant que méthode de distribution de la nourriture et des ressources. Cela n’était jamais venu à l’esprit de quiconque auparavant. Mais c’est à cette conclusion que la majorité aboutit : c’était la seule et unique façon de sauver la planète. Le rapport fut publié sous le titre Nord-Sud : un programme de survie. Tous les gouvernements se réunirent à Cancun pour en parler, et tous les pays en développement du monde étaient d’accord pour accepter cette idée. Mais deux pays s’y opposèrent : les Etats-Unis et le Royaume-Uni. Et avec l’opposition de deux pays aussi puissants, rien ne pouvait sauver la Conférence de Cancun, qui mourut en quelque sorte de mort naturelle. La méthode considérée comme la meilleure par les Maîtres est simple mais merveilleusement efficace : un inventaire des ressources excédentaires de chaque pays, qui seront transférées dans un fonds commun dans lequel chaque pays pourra puiser en fonction de ses besoins. Telle est la technique suggérée par les Maîtres – la meilleure technique qui soit. C’est bien sûr l’idéal, mais on peut imaginer de nombreuses variantes et applications progressives de ce système tendant vers cet idéal.

Dans la liste des initiés, on trouve un chiffre plus grand que zéro qui indique l’accomplissement spirituel dans cette vie de la personne concernée. Si je comprends bien, quand ce chiffre est compris entre 0 et 1, on a affaire à un niveau « probatoire », qui se situe avant la première initiation. D’après le Maître Djwhal Khul, il existe plusieurs niveaux avant la première initiation, parmi lesquels on trouve le sentier de probation à proprement parler, et le discipulat. A quels chiffres correspondent ces niveaux ? Par exemple, un niveau de 0,6 signifie-t-il que la personne se trouve sur le sentier de probation ou sur le sentier du discipulat ? [sommaire]

C’est impossible à dire, c’est une question individuelle qui dépend de nombreux facteurs.

La plupart des gens prendront-ils conscience de leur âme personnelle lorsque Maitreya parlera le Jour de Déclaration ? [sommaire]

La plupart des gens prendront conscience de leur âme, ils la « ressentiront ». Ce sera une expérience extraordinaire pour l’humanité. Les hommes auront la sensation de redevenir des petits enfants, ils retrouveront leur pureté, écouteront ces paroles merveilleuses du fond du cœur et feront l’expérience d’une qualité de vie oubliée, qui remonte à la simplicité de leur enfance, à l’époque où ils étaient pleins de confiance, d’amour et de bonheur.

Les manifestations et le « pouvoir du peuple » sont-ils importants ? [sommaire]

Ils sont non seulement importants, mais ils sont vitaux. Il est temps que l’humanité se réveille et prenne en main son développement en décidant elle-même de son avenir. L’humanité est aujourd’hui en train de se réveiller. Dès qu’elle commencera à comprendre qu’elle est Une – ce qui arrive de plus en plus souvent de par le monde – sa conscience fera un grand bond en avant. Tout est une question de conscience. Nous sommes des dieux potentiels, mais nous ne le savons pas. Il n’existe rien d’autre que la divinité. Mais cette divinité a besoin de structures favorables au plan divin. Les structures économiques, politiques, sociales et éducatives dans lesquelles nous vivons sont hostiles à notre divinité innée et à notre évolution. Lorsque Maitreya et les Maîtres seront présents dans le monde, nous ferons un pas en avant gigantesque du point de vue du développement de notre conscience.

L’équipage des ovnis est-il hautement évolué ? [sommaire]

En ce moment précis, tous ceux qui occupent les ovnis et participent à la mission spirituelle sur notre planète sont des individus hautement évolués. Ceux qui viennent de Vénus pourraient être considérés comme des dieux ; pour ce qui concerne ceux de Mars, certains pourraient être considérés comme des dieux, d’autres sont des êtres humains très avancés. De toute façon, ils sont tous motivés par un amour profond, et leur seule aspiration est de servir cette planète ainsi que le système solaire tout entier. Ils sont nos frères et sœurs, et ils viennent de nos planètes sœurs.

Quand le Messie vient, cela signifie-t-il que la fin du monde est proche ? [sommaire]

L’Instructeur mondial est déjà parmi nous, et, au contraire, c’est le début d’une ère nouvelle pour l’humanité – mais une humanité assagie, délivrée de tous ses mirages, de sa bêtise et de sa destructivité. C’est la destructivité, l’avidité et l’égoïsme de l’humanité qui génèrent cette situation, qui nous mènent au désastre. C’est pour cela que Maitreya, l’Instructeur mondial est ici. L’humanité est prête pour le changement. Nous ne nous sentons peut-être pas prêts, mais Maitreya sait que nous sommes prêts. Il voit dans les cœurs de tous les hommes et il voit que nous sommes prêts pour le changement. Il faut nous préparer à faire le bon choix. Il nous proposera ce choix. Ce que nous appelons l’humanité n’est qu’une entité unique – un être – constitué de tous les frères et sœurs d’un monde unique. Par conséquent, nous devons faire ce que toutes les familles font – partager les ressources avec toute la famille. L’humanité doit se considérer ainsi et accepter le principe du partage. Selon Maitreya, lorsque nous partageons, nous faisons le premier pas dans notre divinité. Tant que nous ne ferons pas ce premier pas, nous ne pourrons pas en faire d’autres par la suite.

Que pouvons-nous faire pour accélérer l’émergence de Maitreya ? [sommaire]

En parler. Informer les gens. C’est l’information la plus importante, la chose la plus importante que vous puissiez faire – dire aux autres ce que vous savez, avec le degré de conviction qui est le vôtre, quel qu’il soit. Si vous y croyez, vous ferez tout ce qui est en votre pouvoir pour servir Maitreya. Votre cœur vous dictera ce que vous devez dire. Si vous avez une conviction à cent pour cent, et que votre cœur brûle du désir de servir et de faire quelque chose d’important pour le monde, alors vous travaillerez nuit et jour et reporterez tout le reste pour faire ce travail avant l’apparition de Maitreya. Si vous y croyez, mais êtes paresseux ou ne voulez pas que l’on rie de vous, si vous ne voulez pas que l’on vous trouve un peu fou, alors bien sûr vous ferez attention et vous ne voudrez pas parler. Vous perdrez alors l’occasion de servir Maitreya, de dire au monde ce qui se passe en ce moment. Je connais des gens dans les groupes partout dans le monde qui ont l’impression, ou qui pensent qu’ils sont engagés et travaillent, mais ce n’est pas vrai. En vérité, ils sont intéressés, mais être intéressé et être engagé sont deux choses différentes. Ils se font des illusions, quand ils s’imaginent être engagés. Quand ils apprennent que je viens dans leur pays, ils s’en trouvent tout émoustillés, et s’activent pendant un ou deux jours. Puis, je rentre, et tout s’efface très rapidement jusqu’à ma prochaine visite. Et ils remettent ça, s’activent et s’agitent. Mais en réalité, ils ne s’engagent pas. Ils vont chez d’autres gurus, d’autres instructeurs – tel swami, ou tel autre saint homme. Mais c’est du cinéma. Ils ne font rien d’important. Ils ne font pas de mal, mais ils ne font rien pour Maitreya. Il ne leur reste que très, très peu de temps pour préparer la voie à Maitreya. Ils n’ont jamais eu pareille opportunité lors de la totalité de leurs précédentes incarnations. Il appartient à chacun de saisir ou de rater l’occasion de faire quelque chose qui vaille le coup.

Selon la liste des initiés dans la Mission de Maitreya, tome III, Apollonius de Tyane aurait vécu des années 16 à 97 de notre ère. Dans Le Grand Retour, pp. 198-199 (deuxième édition, 2008), à la question : « Voudriez-vous avoir l’obligeance de nous apporter quelques éclaircissements sur la vie d’Apollonius de Tyane : est-il mort de mort naturelle ou a-t-il volontairement quitté son corps physique et à quel âge ? (Nov. 98) », vous répondez : « Il a volontairement quitté son corps physique à l’âge de 400 ans. » Pourriez-vous expliquer la différence entre ces deux réponses ? [sommaire]

J’ai sans doute posé deux fois la même question au Maître sans m’en rendre compte, ce qui est interdit. C’est la première date, celle de la liste des initiés dans la Mission de Maitreya, tome III, qui est correcte.

Si l’évolution humaine est différente de l’évolution animale et de l’évolution des dévas (ou anges), quelle est votre position sur la question du créationnisme et de la théorie de l’évolution de Darwin ? Avons-nous tous été créés par Dieu et sommes-nous distincts des autres espèces, ou avons-nous évolué ? Les évolutions sont-elles séparées ou se rencontrent-elles d’une certaine façon ? [sommaire]

Elles sont séparées, mais reliées à l’évolution de toutes les espèces (Voir aussi : Evolutionnisme et créationnisme, par le Maître de B. Creme, Partage international, décembre 2008).

Voilà un moment que votre Maître n’a pas publié de nouvel article. Comment expliquer cela, en ce moment où nous en aurions particulièrement besoin ? Merci pour votre formidable travail. [sommaire]

Nous avons beaucoup de chance d’avoir bénéficié des nombreux articles de mon Maître pendant toutes ces années. Comme cela est expliqué dans Partage international, ces messages sont donnés pour toutes les époques, pas seulement pour un instant précis. Il n’est donc pas nécessaire qu’il en soit publié un chaque mois. J’attire votre attention sur le fait que Maitreya lui-même a donné récemment un article important dans la revue (PI, mai 2016).