Partage international


Les articles en lien sont consultables gratuitement. Les autres articles et le numéro en cours sont réservés à nos abonnés (connectés à leur compte). Nos abonnés ont également accès à une version feuilletable (visionneuse) des numéros les plus récents de la version papier.
Diffusion de l’information et droits de reproduction © Share International/Partage international. Tous droits réservés. Nos contenus ne peuvent être reproduits ou postés en ligne, sous quelle que forme que ce soit, sauf autorisation formelle de notre part. Nous encourageons bien sûr nos lecteurs à faire connaître nos contenus, et à les commenter avec leurs propres mots. Idéalement, il sera fait mention d’un titre, suivi de quelques phrases de l’article suivies d’un lien « lire la suite » pointant vers le site PartageInternational.org ou indiquant un numéro de la revue.
> S’abonner

avril 2015 – No 320

Sommaire


 

Article du Maître —

La justice de la Loi [sommaire]

par Le Maître –,

par l’entremise de Benjamin Creme, 8 mars 2015

Les hommes vivent dans un monde en mutation, et doivent accepter que telle est la norme. Pour certains, les changements paraîtront menaçants et indésirables tandis que pour d’autres, en particulier les jeunes, ils seront accueillis à bras ouverts. Quelles que soient vos convictions, soyez assurés qu’ils seront bénéfiques car ils sont le reflet des besoins de notre époque, et sont à la fois inévitables et justes.

Les hommes doivent se rendre compte qu’ils conditionnent par leurs propres actions l’impact qu’auront ces changements sur leur vie. Quand ils seront assez réalistes pour reconnaître qu’il en est ainsi, une transition plus douce vers le nouvel âge deviendra la norme.

Notre conseil est le suivant : plutôt que de rejeter la responsabilité de ce qui arrive sur des forces invisibles, prenez conscience du rôle qu’il vous appartient de jouer dans la transformation de notre monde. Soyez assurés que de cette transformation naîtra une joie proche de l’extase.

 

Editorial

Aucun article pour cette rubrique

 

Ce mois-ci dans Partage international

Aucun article pour cette rubrique

 

Point de vue

 

Compte rendu de lecture

Aucun article pour cette rubrique

 

Compilation

Nous publions dans cette rubrique une sélection de citations de Maitreya (Messages de Maitreya le Christ et Enseignements de Maitreya : les lois de la vie), du Maître de Benjamin Creme (Un Maître parle) et de Benjamin Creme (divers ouvrages).

Le temps du renouveau [sommaire]

Aujourd’hui ce sont les peuples qui sont en avance sur leurs dirigeants, et qui énoncent à voix haute leur compréhension des événements et leurs besoins. Avec le temps, de pays en pays, la voix du peuple se fait sans cesse plus assurée et plus claire. Les multitudes savent désormais identifier et formuler leurs besoins : paix, travail et espoir en l’avenir. Un sentiment grandissant d’unité commence également à sous-tendre leurs revendications et leurs attentes. Les hommes savent qu’ils ne sont pas seuls au monde, qu’ils ont partout des millions de frères et sœurs avec qui ils partagent les mêmes problèmes et les mêmes besoins. De cette manière, même s’ils ne sont pas conscients de la présence et des enseignements de Maitreya, ils répondent à son énergie et à l’influence qu’il exerce, et posent ainsi les fondations de l’avenir. [Vers l’unité (Maître –)]

Mon objectif est d’étendre mon filet aux confins de l’horizon, d’attirer à moi tous ceux en qui ma lumière brille, afin qu’à travers eux je puisse travailler. Vous pouvez intégrer ce groupe, mes amis, car j’ai besoin de tous ceux qui partagent avec moi le désir de servir le monde. Prenez en charge la tâche de secourir et partagez ainsi mon fardeau. Partagez avec moi, mes amis, ce noble travail qui n’est rien de moins que la transformation du monde. [Message n° 70 (Maitreya)]

Les transformations politiques et économiques qui résulteront de la présence de Maitreya et des Maîtres libéreront les hommes d’inhibitions et de limitations ancestrales. Ainsi galvanisée, la conscience humaine fera un grand bond en avant dans le domaine de la conscience. Une vie plus consciente et désormais pleine de sens remplacera la confusion, le doute et la peur qui règnent actuellement. La volonté confiante et courageuse d’explorer à la fois les mondes extérieur et intérieur supplantera le cynisme réducteur actuel et rendra possible les progrès évolutionnaires que j’ai essayé de dépeindre, avec l’émergence d’une civilisation et d’une humanité nouvelles et meilleures. [Le Grand Retour (B. Creme)]

Les nations du monde entier ont été imprégnées par cette nouvelle forme d’énergie, et de plus en plus d’individus y réagissent, effectuant des prises de conscience, percevant une vie nouvelle et se libérant. Lorsque l’énergie d’équilibre entre en action, rien ne peut demeurer à l’écart des transformations qu’elle engendre.
Tous les changements qui se produisent actuellement dans le monde accroissent la conscience des individus : ils ont décidé qu’ils en avaient assez. Ils revendiquent le droit d’être libres et de jouir de la vie. Ils n’acceptent plus d’être conditionnés par la politique, la religion ou le mercantilisme. La nouvelle génération expérimente aujourd’hui les effets de cette nouvelle énergie, qui donne aux jeunes la force de transformer les anciens systèmes qui ont emprisonné les peuples. La voix du réalisme se fait aujourd’hui entendre parmi la jeune génération, libérée de l’emprise des idéologies, des philosophies et des théories. Les jeunes envisagent la vie de façon réaliste, et la prennent comme elle vient. [La Mission de Maitreya, tome II (B. Creme)]

Lorsque le Grand Seigneur montrera son visage, les hommes sauront que l’heure du changement a sonné : l’heure de corriger ses erreurs, de soigner les plaies du passé, d’illuminer l’avenir, de fermer la porte au mal, de purifier les structures existantes, d’accueillir bravement le futur, de s’aventurer en terrain inconnu. Ils sauront qu’on ne peut reculer face à l’avenir, un avenir qui leur révélera le sens de leur existence, la nature et le dessein de Dieu. [La vie nouvelle (Maître –)]

Ma venue transformera ce monde, mais le travail essentiel de reconstruction vous incombe. Je suis seulement l’architecte du Plan. Vous, mes amis et frères, vous êtes les bâtisseurs volontaires du temple radieux de la Vérité. [Message n° 65 (Maitreya)]

Le partage redonnera au monde sa santé. Il rendra la vie plus heureuse à la plupart des gens. Certains auront, bien sûr, au début, l’impression d’y perdre, mais grâce à l’influence des Maîtres, à l’extraordinaire transformation spirituelle et mentale et à la fin des tensions, nous créerons un monde où finalement chacun dira : « C’est parfait. Tout va pour le mieux ! » Chaque jour, les médias montreront comment les choses se déroulent et quels sont les résultats des efforts entrepris. Le monde entier se sentira concerné. [L’Art de la coopération (B. Creme)]

De nombreuses fois, vous m’avez entendu dire que ma venue signifiait le changement. Précisément, la plus grande transformation se produira dans le cœur et l’esprit des hommes, car mon Retour parmi vous est le signe que les hommes sont prêts à recevoir une vie nouvelle. C’est cette vie nouvelle pour les hommes que j’amène en abondance. Sur tous les plans, cette vie s’écoulera, touchant le cœur, l’âme et le corps des hommes, les amenant plus près de la Source de la Vie elle-même. [Message n° 42 (Maitreya)]

Il est clair que de nombreux bras seront nécessaires pour créer la nouvelle société. Nombreuses sont les tâches à entreprendre. Ceux qui souhaitent servir entendront l’appel résonner dans leur cœur. D’une seule voix, les peuples, réclamant la justice et le partage, lanceront une invocation à laquelle rien ne pourra résister. Ainsi le monde sera-t-il transformé. Ainsi, progressivement, de nouvelles formes seront créées, de nouvelles relations forgées et une ère nouvelle et plus heureuse poindra pour l’humanité, grâce aux sages conseils du Christ et des Maîtres. [L’aube d’une ère nouvelle (Maître –)]

Beaucoup de ce qui est aimé doit être abandonné. Ne vous accrochez pas aux formes anciennes. Beaucoup dépendra de l’aptitude de l’homme à renoncer aux structures désuètes, et à créer un monde nouveau et plus simple. [Message n° 74 (Maitreya)]

La venue de Maitreya concerne les changements dans le monde : changement dans notre compréhension des besoins de la planète en vue d’un véritable équilibre écologique, changement dans nos systèmes économiques de sorte que tous les hommes soient nourris et traités correctement, changement dans les relations entre les hommes partout dans le monde. Si nous comprenons vraiment que l’humanité est une, la nécessité profonde de ces transformations s’imposera à nous. Il s’agit de la création d’un nouveau monde. [L’éveil de l’humanité (B. Creme)]

C’est en homme simple que je suis maintenant parmi vous, instruisant mes amis et frères sur le chemin, leur offrant mes dons d’Amour, de Sagesse et de Joie, les rassemblant autour de moi comme des frères dans le travail. Vous aussi, mes chers amis, vous pouvez être certains que votre service envers moi et envers vos frères est vraiment le bienvenu. J’ai besoin de vous tous, de tous ceux qui endosseront la responsabilité de servir le monde, et de créer à nouveau un monde radieux à partir du chaos du passé. [Message n° 66 (Maitreya)]

Il nous faut bien comprendre que la mort n’est que la mort de ce qui est physique, donc renouvelable. Nous sommes tous passés par un nombre incalculable d’incarnations physiques avant d’atteindre le stade qui est actuellement le nôtre, et nous en connaîtrons encore beaucoup d’autres avant de devenir des Maîtres. Le processus est inévitable, quel que soit le temps que nous mettons pour y parvenir. De la même façon, chaque civilisation nouvelle est bâtie sur les ruines de la précédente. Les formes anciennes se sclérosent, se dévitalisent ; et forcément, elles meurent. De nouvelles énergies émergent avec chaque nouvel âge, lesquelles ont besoin de formes nouvelles pour s’exprimer. L’humanité répond à ces énergies et à ces idées nouvelles et, âge après âge, reconstruit la culture et la civilisation. [La Mission de Maitreya, tome III (B. Creme)]

Tout va bien, l’avenir s’annonce de bon augure. Mes plans progressent rapidement, et galvanisent l’humanité. Où que vous puissiez regarder, vous trouverez du changement. La structure de l’ordre ancien et décadent se trouve bouleversée de fond en comble. Nous pouvons nous en réjouir, car, en dépit de la souffrance que ce processus entraîne, un monde nouveau et meilleur voit le jour. Aussi, mes amis, trouvez du réconfort à cette idée, et envisagez l’avenir avec confiance. [Message n° 130 (Maitreya)]

Le cœur et l’esprit des hommes se mobiliseront pour produire des changements sans précédent ; rien ne saura résister à l’assaut du renouveau, hormis ce que le passé comportait de plus noble. Quotidiennement, les transformations seront source d’admiration et d’inspiration : un monde nouveau se construira dans l’éclatante lumière du jour. Tous participeront à leur façon, chacun contribuant par sa vision à enrichir le tout. [Servir d’une manière nouvelle (Maître –)]

Il [Maitreya] nous parlera des besoins du monde : des millions d’êtres qui meurent de faim, « un sacrilège au sein de l’humanité », selon le Maître. Il nous montrera que ce problème est la priorité absolue qui attend une humanité renouvelée et régénérée. Il montrera que si nous ne nous attaquons pas à ce problème de la faim dans un monde d’abondance, nous ne ferons jamais ne serait-ce qu’un pas en avant dans la manifestation de cette divinité dont il nous aura fait prendre conscience, peut-être pour la première fois. En l’écoutant, nous nous sentirons nous-mêmes divins. Nous comprendrons que nous sommes tout à fait différents de ce que nous pensions jusqu’alors. Nous retrouverons les sentiments que nous avons connus dans notre enfance. Le Maître exprime cela de si belle façon : « Chacun individuellement, solennellement face à lui-même, connaîtra alors la signification et la finalité de sa vie, vivra à nouveau la grâce de l’enfance, la pureté d’une aspiration libérée du moi. » [L’éveil de l’humanité (B. Creme)]

Où sont donc les obstacles ? Ceux-ci, mes amis, sont créés par l’homme : le déni de la Loi, la séparation entre l’homme et l’homme, entre l’enfant et l’enfant aimant. Lorsque les hommes verront cela, le monde respirera et rayonnera à nouveau. Faites alors vôtre la tâche d’enseigner la Loi du Partage, de la Justice et de la Vérité. Aidez les hommes à prendre conscience du fait que, sans justice et sans amour manifesté, toute chose est vaine. [Message n° 126 (Maitreya)]

Notre monde est en train de changer. Il traverse une période temporaire d’agitation extrême, de violence et de haines manifestées. Mais de nouvelles énergies se déversent à tout moment sur la planète, particulièrement une énergie très puissante provenant d’un Avatar cosmique appelé l’Esprit de Paix ou d’Equilibre. Cet Avatar travaille précisément avec la loi d’action et de réaction, que nous appelons loi du karma. Selon cette loi, l’action et la réaction sont opposées et égales. De la violence et de la discorde actuelles, de la haine et de l’agitation, nous passerons à une ère de tranquillité et de paix, d’équilibre mental et émotionnel, et à une harmonie bien établie, qui transformeront le monde entier, et cela en proportion exacte du désordre et du manque d’harmonie qui règnent aujourd’hui. [Enseignements de la sagesse éternelle (B. Creme)]

L’apparition de nos visages marquera le début de l’ère des changements qui vont transformer le monde. Ils ne se feront pas d’un seul coup, mais les premiers assauts en faveur de la justice et de la liberté ne vont pas tarder à être lancés, dans un mouvement qui s’amplifiera avec le temps. Finalement, tout sera transformé, et les peuples du monde entier respireront un air plus pur et plus sain. [Le chemin de l’avenir (Maître –)]

Ma promesse demeure : Je vous révélerai votre propre nature et celle de Dieu. Je vous montrerai que, pour tous les hommes, la vie est bénie. Les dirigeants et les peuples répondront et l’on fera toute chose nouvelle. [Message n° 123 (Maitreya)]

Si nous pouvions voir les perspectives qu’ouvrira le nouvel âge dans les domaines scientifique, éducatif et religieux, nous ne manquerions pas de nous demander : « Comment amener l’humanité actuelle à un niveau pareil ? » Mais si l’on y réfléchit, on constate qu’on tient pour acquis des idées et des concepts qui, cent cinquante ans plus tôt, n’auraient effleuré l’esprit de personne, si ce n’est celui des penseurs les plus avancés. Tout ce que nous savons et pensons, tout ce dont nous parlons aujourd’hui est relativement récent. Il en ira de même pour les concepts, les idées et les relations humaines dans le nouvel âge. Les cent cinquante prochaines années verront se produire dans tous ces domaines des transformations propres à ébranler l’imagination de quiconque aujourd’hui.
Lorsque vous reviendrez en incarnation, vous trouverez un monde transformé. L’humanité aura déjà atteint le stade où une multitude d’individus travaillera consciemment à la création de l’antahkarana, ce pont entre la personnalité et l’âme. L’idée scientifique d’interconnexion sera si profondément ancrée, l’enseignement du Christ et des Maîtres contribuera si fort à l’enraciner, que la construction de l’antahkarana sera devenue l’idéal de tout un chacun. Tous ces concepts, en apparence si abstraits aujourd’hui, seront puissamment ancrés sur le plan physique. [La Mission de Maitreya, tome III (B. Creme)]

Seuls les jeunes – par l’âge ou par le cœur – mesurent la portée de ce changement. Eux seuls savent qu’un monde dénué de justice et d’amour est voué à la souffrance. A travers le monde, nombreux sont ceux qui recherchent des moyens pour mettre en œuvre le changement auquel ils aspirent.
Beaucoup commencent à comprendre les valeurs essentielles de la vie, et témoignent avec courage de leur vérité : ils voient dans le partage, la justice et l’amour les ingrédients de base d’une civilisation fondée sur la conviction que tous les hommes sont des dieux. Ainsi le monde se prépare-t-il lentement à une conception totalement nouvelle du sens de la vie. [Changer l’eau en vin (Maître –)]

Je soutiendrai tous ceux qui appellent à la paix, à la justice et à l’amour fraternel. Ce processus a débuté. On peut déjà entendre la voix des peuples. De plus en plus fort, ils réclament la justice, la paix pour toujours. Un espoir renouvelé s’empare de l’humanité et cela me réjouit le cœur. [Message n° 131 (Maitreya)]

Les Maîtres ne cessent de libérer de l’énergie, d’une nature ou d’une autre, dans le monde. Ils sont les gardiens de ces énergies et les libèrent de façon scientifique afin d’amener les changements dans l’évolution mondiale. Nous y répondons bien ou mal, et nos civilisations et nos vies sont à tous points de vue la conséquence de notre réponse. Ces énergies font de nous ce que nous sommes. Elles bâtissent le monde nouveau. Elles construisent l’ère du Verseau. Grâce à elles, en ce moment même, nous percevons intuitivement la direction à prendre, nous appréhendons le genre de structures, de civilisation que le nouvel âge apportera. [La Réapparition du Christ et des Maîtres de Sagesse (B. Creme)]

De tous côtés, il devient évident que l’ordre ancien s’écroule. Malgré les haines séculaires qui divisent les peuples et le désordre qui règne en maître, des signes apparaissent partout indiquant que s’éveillent en l’homme un nouvel esprit, un sens nouveau des responsabilités et un respect renouvelé de la vie sous toutes ses formes. Multiples sont les manifestations de cette beauté nouvelle ; nombreuses et merveilleuses les visions du futur qui s’ouvrent devant l’humanité. L’homme n’est pour l’instant qu’à l’orée d’un nouveau commencement, mais les signes de progrès sont déjà là pour ceux qui ont des yeux pour voir. [La victoire est assurée (Maître –)]

En souriant, tournez votre regard vers l’avenir. En riant, tournez le dos au passé. Avec gratitude, recevez la bénédiction de l’Amour de Dieu et rétablissez le Plan. Soyez prompts à me suivre. Soyez prompts à me reconnaître. Enseignez triomphalement, et connaissez la joie du service. Mon amour vous accompagne tous. [Message n° 104 (Maitreya)]

L’avenir

par le Maître —, par l’entremise de B. Creme, avril 1985

Il existe bien des chemins vers l’avenir. Les voies à explorer ne manquent pas pour les hommes assoiffés de découvertes. Multiples sont les tâches qui attendent ceux qui veulent construire un futur digne de l’humanité, multiples les expériences qui permettront aux hommes de découvrir les voies qui leur conviennent le mieux. Et, pour la première fois depuis d’innombrables millénaires, les membres les plus avancés de la Hiérarchie spirituelle se tiendront à leur disposition pour apporter leur concours et prodiguer leurs conseils. Ainsi, bien des chagrins et des années d’efforts inutiles seront épargnés aux hommes.

Lents au départ, les progrès s’accéléreront progressivement jusqu’au jour où, dans un crescendo de découvertes, un monde nouveau et riche de sens se déploiera sous le regard étonné des hommes.

Jusqu’à présent, les progrès humains se sont faits par à-coups. Tant que de vastes régions du monde sont demeurées isolées, des siècles ont été nécessaires pour instaurer le moindre changement. Mais aujourd’hui, tout est différent. Les communications ont donné à l’humanité les moyens d’une évolution plus rapide et partout se manifestent des signes d’effervescence et de transformation. Le plan pour l’avenir apparaît, et les esprits réceptifs répondent à la nouvelle vision. Jamais auparavant dans l’Histoire du monde une telle opportunité n’a été présentée aux hommes. Du chaos du passé peut naître l’ordre ; de l’ignorance la plus sombre peut jaillir une nouvelle lumière. Ensemble pour la première fois en tant que frères, les hommes peuvent faire régner la loi divine et établir une relation juste avec leur Source.

A l’orée de cette époque de renouveau, les hommes doivent comprendre les principes qui sous-tendent tout progrès correct. La fraternité, qui est un fait de la nature, doit de plus en plus présider à la création des nouvelles structures. Tout ce qui va dans le sens de la fraternité se trouvera au cœur de la marche vers l’avenir. Tout ce qui est du domaine de la fraternité recevra l’énergie vivifiante des Maîtres. La paix sera fondée sur l’idée de fraternité, et le monde sera débarrassé à jamais du chancre de la guerre.

La coopération est le principe-clé pour l’établissement de nouvelles relations. Lorsque la coopération régnera, les iniquités et les inégalités du passé disparaîtront. Les feux de la compétition attisés par l’égoïsme et la cupidité s’éteindront, permettant aux hommes de vivre dans l’harmonie et la confiance. Ainsi en sera-t-il. Ainsi le Plan, qui est le Dessein divin incarné, sera-t-il accompli. Nombreuses sont les étapes à franchir pour parvenir à cet état béni, mais déjà, pleins d’espoir, les hommes se tournent dans cette direction.

Le partage est la clé des clés. Par le partage, les hommes parviendront à saisir le sens de l’amour de Dieu. Sans partage, il ne peut exister aucun avenir pour l’homme, car le moment est venu de manifester l’Amour de Dieu – ou de mourir. Le partage apporte la réponse à tous les problèmes de l’humanité et lui permettra d’entrer en toute sécurité dans l’âge nouveau. Grâce au partage, la paix prévaudra. Grâce au partage, la justice l’emportera. Grâce au partage et à la coopération, la fraternité fleurira, et un avenir glorieux s’ouvrira pour l’humanité.

 

De nos correspondants

Aucun article pour cette rubrique

 

Dossier

Aucun article pour cette rubrique

 

Signes des temps

Certains des « signes d’espoir » et des « signes des temps » que nous présentons ici n’ont pas été confirmés par le Maître de Benjamin Creme. Nous les soumettons à votre seule considération car nous ne sommes pas en mesure de vérifier leur nature « miraculeuse »

Une silhouette lumineuse à Guadalajara [sommaire]

Le 16 février 2015, Victoria Eukine Avalon, de Guadalajara (Mexique), a posté trois photos sur Facebook qui montrent une silhouette féminine lumineuse avec l’explication suivante : « Les photographies que vous voyez ici ont été prises à Monterrey, dans la paroisse de Santo Niño de la Salud, où était exposé le Saint Sacrement. Une personne dans l’église ressentit une forte envie de prendre une photo du Saint Sacrement, et voyez ce qui arriva. La Vierge est apparue sous forme de lumière. »

Sur l’une des photos, la Vierge apparaît près du sacrement. Une autre la montre orientée vers la gauche en une forme lumineuse formant un croissant coloré de rose. Et sur la troisième photo, on peut la voir les mains jointes, en prière.
[Voir la photographie dans la version imprimée de la revue Partage international.]

Le Maître de Benjamin Creme indique que la silhouette lumineuse est une formation de lumière manifestée par le Maître qui fut la Mère de Jésus

Source : Facebook, victoria eukine avalon

Soho, le 1er mars 2015 [sommaire]

Une image prise par l’Observatoire hélio-métrique solaire (Soho) le 1er mars 2015 montre une structure, ou un appareil, proche du Soleil.

Dès 2003 la Nasa expliquait : « Bien que quelques-unes de ces supposées photos d’ovnis puissent sembler tout à fait fascinantes, elles se sont toujours avérées avoir une cause très ordinaire après examen par des scientifiques expérimentés de Soho. Récemment, nous avons reçu tellement de questions et de réclamations que nous voulons le réaffirmer clairement : Nous n’avons jamais vu quoi que ce soit qui puisse même suggérer qu’il y a des ovnis « là-haut ». Plus généralement, les soi-disant ovnis sont dus à des imperfections parfaitement naturelles ou à des objets de fabrication humaine. » Suivait une liste de « sources les plus communes diffusant des images de prétendus ovnis ».

Mais le site web qui a repéré le vaisseau visible maintient : « En dépit des explications de la Nasa et de sa tentative de nuire à la crédibilité de la communauté ovni, l’objet, comme montré sur l’image de Soho Lasco C3 du 1er mars 2015 […] n’est pas amélioré ni manipulé, il n’est pas relié ou connecté à un évènement solaire ou à une éjection de masse coronale. C’est un objet indépendant, régulier, il a une structure solide qui me porte à croire que cet objet est plus qu’un simple défaut naturel ou un objet fabriqué. »
[Voir la photographie dans la version imprimée de la revue Partage international.]

Le Maître de Benjamin Creme indique que l’objet est un énorme vaisseau spatial martien.

Source : ufosightingshotspot.blogspot.nl ; soho.nascom.nasa.gov

De mystérieuses lumières sur Cérès [sommaire]

Un vaisseau spatial de la Nasa se dirigeant vers la planète naine Cérès, entre Mars et Jupiter, a envoyé des images montrant deux points lumineux à la surface de cet astre, laissant perplexes les scientifiques. Les photos ont été prises le 19 février 2015, à une distance d’environ 40 000 km, par le vaisseau spatial Dawn. La Nasa a déclaré ne pas connaître la cause de ces lumières. Le 6 mars 2015, Dawn s’est mis en orbite autour de Cérès, devenant la première mission terrestre à visiter une planète naine.
[Voir la photographie dans la version imprimée de la revue Partage international.]

Le Maître de B. Creme indique que les points lumineux sont des stations spatiales martiennes.

Source : mashable.com

Des appareils Lasco C2 le 19 février 2015 [sommaire]

Des appareils Lasco C2 de la Nasa ont photographié un grand objet semblant se déplacer sur une trajectoire régulière en direction du Soleil. Contrairement aux précédentes formes immenses photographiées par la Nasa, cet objet n’apparaît pas sur une seule image (les appareils sont programmés pour prendre une photo toutes les douze minutes), mais il a été photographié cinq fois par heure, entre 12 h 48 et 20 h 48, le 19 février 2015. Cette photo particulière a été prise à 20 h 24.
[Voir la photographie dans la version imprimée de la revue Partage international.]

Le Maître de Benjamin Creme indique que l’objet est un énorme déva.

Source : soho.nascom.nasa.gov

Un éléphant blanc en Birmanie [sommaire]

En février 2015, un éléphant blanc rare a été capturé dans une réserve naturelle de la jungle de la région Ayeyarwady, en Birmanie. Les éléphants blancs, en réalité albinos, sont vénérés au Myanmar, en Thaïlande, au Laos et dans d’autres pays asiatiques. Souvent de couleur rosâtre, avec des cils et des ongles blonds, ils sont habituellement réquisitionnés par les monarques comme symbole du pouvoir royal. Beaucoup de gens croient qu’ils portent chance au pays.
[Voir la photographie dans la version imprimée de la revue Partage international.]

Le Maître de Benjamin Creme indique que la naissance d’un éléphant blanc est un signe de bon augure.

Source : chiangraitimes.com

 

S.O.P. — Sauvons notre planète

Hormis la guerre, rien ne compromet aussi gravement l’avenir de l’humanité que la pollution. Constatant qu’il en est ainsi, certains pays ont pris des mesures pour la réduire et pour limiter le réchauffement climatique. D’autres, parfois parmi les plus gros pollueurs, nient la réalité d’un tel réchauffement en dépit des preuves qui s’accumulent. A tout moment, dorénavant, les changements climatiques montrent sans l’ombre d’un doute que la planète est malade, qu’elle a besoin de soins immédiats et attentifs pour retrouver l’équilibre. Le temps nous est compté pour mettre fin aux ravages que subit quotidiennement la planète Terre. Chaque homme, chaque femme, chaque enfant a son rôle à jouer dans sa restauration. Oui, le temps presse. Save Our Planet (S.O.P.), sauvons notre planète ! (Source : Le Maître de B. Creme, S.O.P. Sauvons notre planète, 8 septembre 2012)

La Journée internationale de la Terre [sommaire]

La Journée internationale de la Terre est célébrée chaque année le 22 avril. Connue également sous l’appellation de Journée de la Terre, elle a pour but d’attirer l’attention sur le fait que la Terre avec ses écosystèmes fournit vie et subsistance à ses habitants. Cette journée cherche également à faire prendre conscience que les hommes ont la responsabilité collective de promouvoir l’harmonie avec la nature et d’équilibrer les besoins économiques, sociaux et environnementaux des générations présentes et futures.

« La Terre-Mère » est une notion ancienne commune à de nombreuses langues et cultures ; elle marque la reconnaissance de notre lien à la planète qui nous soutient et nous nourrit. Parmi les dénominations traditionnelles, on trouve Pachamama (culture andine), Terra (Rome antique) et Gaïa (Grèce antique). Gaïa a également été utilisé pour faire référence à la théorie (hypothèse Gaïa) que la vie sur Terre est organisée en un système d’autorégulation complexe.

La première Journée de la Terre a eu lieu en 1970 ; elle a permis de lancer le mouvement en faveur de l’environnement dont cette année marque le 45e anniversaire. En 2009, les dirigeants mondiaux réunis à l’occasion de l’Assemblée générale des Nations unies ont institué la Journée internationale de la Terre en reconnaissance du fait que « la Terre et ses écosystèmes sont notre maison et qu’il est nécessaire de promouvoir l’harmonie avec la nature et la Terre ».

L’expression « Terre-Mère » est utilisée pour refléter « l’interdépendance qui existe entre les êtres humains, les autres espèces vivantes et la planète que nous habitons tous, a déclaré le secrétaire général de l’Onu, Ban Ki-moon. Chaque année, à l’occasion de la Journée de la Terre, nous réfléchissons à notre relation avec la planète qui nous abrite. L’air que nous respirons, l’eau que nous buvons et la terre d’où pousse notre nourriture, font partie d’un écosystème délicat qui subit de plus en plus la pression des activités humaines. L’humanité a la main lourde et est à l’origine de la déforestation tropicale, de l’épuisement des zones de pêches, des pénuries d’eau douce de plus en plus fréquentes, de la baisse rapide de la biodiversité, de la pollution croissante de l’atmosphère et de la mer dans de nombreuses parties du monde.

Nous devons reconnaître que notre consommation des ressources de la planète n’est pas tenable. Une transformation globale des mentalités et des pratiques est nécessaire.

Il est particulièrement urgent de traiter la façon dont nous produisons l’énergie. Les combustibles fossiles sont la principale cause du changement climatique qui menace de plus en plus la prospérité et la stabilité dans toutes les régions. C’est pourquoi les dirigeants du monde se sont engagés à parvenir à un accord mondial sur le climat en 2015. Les actions en matière de changement climatique présentent de multiples opportunités pour revoir notre relation avec la Terre et pour améliorer le bien-être de l’humanité, en particulier pour les plus pauvres et les plus vulnérables. L’énergie durable pour tous peut améliorer la santé, la prospérité et les opportunités pour des milliards de personnes, de même que les pratiques intelligentes en matière d’agriculture, des villes plus efficaces et des forêts mieux protégées.

A l’occasion de la Journée internationale de la Terre, je lance un appel à toutes les personnes du monde entier pour qu’elles fassent entendre leur voix. Parlez au nom de cette planète, notre seule maison. Laissez-nous nous occuper de la Terre pour qu’elle puisse continuer à prendre soin de nous comme elle l’a fait pendant des millénaires. »

Cette année, l’accent est mis sur l’un des deux principaux objectifs de l’agenda de développement post-2015 : assurer un développement durable. Les principaux points d’attention sont la promotion de l’utilisation de sources d’énergies renouvelables, un accroissement des investissements dans les technologies durables et la promotion de systèmes écologiques via des politiques publiques au niveau mondial.

Lors de la Journée de la Terre en 2013, l’Assemblée générale des Nations unies a lancé Harmonie avec la nature. Il s’agit d’une exposition interactive au sujet des dernières découvertes scientifiques montrant comment les activités humaines affectent la Terre ; elle favorise également un nouveau paradigme holistique qui souligne l’importance suprême du monde naturel, tout en reconnaissant ses limites.

D’après Ban Ki-moon : « Harmonie avec la Nature s’insère dans le développement durable qui implique de reconnecter l’homme avec le monde qui l’entoure et de forger un nouveau consensus entre les pays de niveaux de développement différents. L’holisme, qui s’incarne dans le concept de développement durable, implique que toutes les choses sont reliées entre elles et que rien ne se produit de façon isolée. Afin de renforcer les principes du développement durable, nous devons travailler ensemble sur ses trois piliers : l’environnemental, le domaine social et l’économie. Lorsque les trois piliers s’intègreront, ils renforceront la dynamique de la durabilité qui nous a échappé jusqu’à présent. En effet, le tout est plus grand que la somme des parties. »

Source : un.org ; earthday.org

En Chine, un documentaire sur la pollution connaît un immense succès [sommaire]

Durant le mois de mars 2015, un documentaire sur les graves problèmes de pollution atmosphérique en Chine a été vu plus de 200 millions de fois en moins d’une semaine sur des sites Web chinois, avant que le gouvernement ne retire la vidéo. Sous le dôme, produit par l’une des meilleures journalistes chinoises, a été comparé, par son impact et son style à Une vérité qui dérange, le film sur l’environnement de l’ancien vice-président américain Al Gore.

Ce documentaire chinois a été réalisé par Chai Jing, journaliste d’investigation basée à Pékin, qui travaille pour la télévision d’Etat China Central Television. Sa motivation pour le sujet date de 2013, quand elle a appris qu’elle était enceinte et qu’on a découvert au cours d’une échographie que son enfant avait une tumeur bénigne. « Je n’avais jamais eu peur de la pollution avant, et je n’avais jamais porté un masque, explique Chai dans la vidéo. Mais lorsque vous portez une vie en vous, et que vous êtes responsable de ce qu’elle respire, mange et boit, alors vous prenez peur. »

Chai Jing a consacré 160 000 dollars de ses propres fonds pour faire le film de 104 minutes. Dans le documentaire, elle parle de son combat personnel pour protéger sa fille de la pollution ; elle y mène également des enquêtes sur les industries du charbon, de l’acier et du pétrole.

Chai Jing utilise une présentation PowerPoint multimédia pour expliquer les aspects scientifiques, économiques et politiques de la crise de la pollution en Chine. Elle montre aussi Londres et Los Angeles pour voir comment ces villes ont traité la question de la pollution.

L’un des écologistes les plus importants en Chine, Ma Jun, a déclaré que le documentaire est devenu « un des éléments les plus importants de la sensibilisation du grand public par les médias chinois. Il est efficace parce qu’il est motivé par une histoire personnelle à laquelle le public a le sentiment de pouvoir s’identifier. Il répond également aux normes en matière de journalisme d’investigation et il est correctement étayé sur les plans scientifiques et technologiques. Tous ces éléments forment une combinaison redoutable. »

Le gouvernement chinois a tout d’abord exprimé son soutien pour le film ; le ministre de la Protection de l’environnement a déclaré que le film « devrait encourager les efforts des individus pour améliorer la qualité de l’air ». Mais, après la réaction sans précédent du public pour le film, le gouvernement l’a fait retirer des sites chinois, environ une semaine après sa sortie.

Source : thinkprogress.com ; ecowatch.com ; huffingtonpost.com ; theguardian.com ; BBC

 

Tendances

Dans le monde actuel s’affirme une tendance de plus en plus prononcée à la synthèse, au partage, à la coopération, à de nouvelles approches et avancées technologiques pour la sauvegarde de la planète et le bien-être de l’humanité. Cette rubrique présente des événements et courants de pensée révélateurs d’une telle évolution.

Un test de dépistage du cancer par le souffle [sommaire]

Des essais cliniques sont en cours au Royaume-Uni sur un nouveau dispositif pour dépister le cancer du poumon par un test de l’haleine. Ce dispositif, inventé par l’ingénieur Billy Boyle, est capable de détecter des traces chimiques dans le souffle indiquant la possibilité d’un cancer. Initialement, le dispositif était conçu pour détecter les explosifs. Mais après que sa femme a été atteinte d’un cancer de l’intestin, B. Boyle eut l’idée de modifier la destination de la machine afin qu’elle devienne un outil de diagnostic.

On espère que le dispositif permettra un dépistage plus précoce du cancer du poumon, lequel tue plus de 35 000 personnes par an au seul Royaume-Uni, et dont le taux de survie est faible car le diagnostic est souvent effectué au stade terminal.

B. Boyle a expliqué : « Le corps humain fabrique des produits chimiques, la plupart d’entre eux étant des produits chimiques courants tout à fait normaux, mais en cas de cancer ou d’autres maladies, les cellules dysfonctionnent et se mettent à fabriquer des produits chimiques différemment. Donc, en programmant la machine pour rechercher ces différentes signatures caractéristiques et ces marqueurs chimiques, on peut détecter un éventail de différentes maladies. Nous avons déjà la puce, nous travaillons sur de petits appareils de poche pour le cabinet de médecins généralistes. Il est important d’obtenir d’abord les preuves cliniques, mais nous pensons mettre à disposition des systèmes approuvés au cours des deux prochaines années. »

L’étude clinique est dirigée par le Dr Salman Siddiqui, conférencier clinicien senior et pneumologue à l’Université de Leicester, qui a ajouté : « Le cancer du poumon a l’un des plus faibles taux de survie à cinq ans de tous les cancers, mais un diagnostic précoce peut considérablement améliorer le pronostic d’un patient. Les procédures de diagnostic actuelles telles que la radiographie pulmonaire, la tomodensitométrie et la bronchoscopie sont coûteuses et non sans risque, de sorte que les avantages d’une alternative non-
invasive, moins chère, sont clairs. Ce projet cherchera à identifier et à évaluer les biomarqueurs afin d’améliorer la précision et la fiabilité des méthodes de diagnostic de souffle. Des essais sont en cours à l’Université de Leicester et à l’hôpital Glenfied à Leicester. »

Le Dr Jonathan Bennett, consultant à l’hôpital Glenfield, a déclaré que le test pourrait être installé dans les cabinets médicaux et les pharmacies, et que s’il s’avérait fructueux, il pourrait « changer la donne. »

Source : msn.com ; sciencedaily.com

Par des filles, pour les filles [sommaire]

Le Népal est l’un des pays où se trouvent le plus d’épouses-enfants au monde. Une étude du Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP) estime que l’Asie du Sud héberge 42 % des épouses-enfants du monde, le Népal se classant troisième, derrière le Bangladesh et l’Inde.

Les facteurs menant au mariage d’enfants sont multiples mais la pauvreté semble en être le moteur principal. D’après la Banque mondiale, le Népal a une population estimée de 27,8 millions d’individus, dont 24 % vivent sous le seuil de pauvreté. La Commission nationale népalaise des femmes pense que les facteurs économiques, sociaux et religieux participent tous à cet état de fait. La perpétuation du système de dot fait perdurer la tradition des mariages précoces : en effet, plus la mariée est jeune, plus la dot apportée par les parents de la mariée sera faible. Dans d’autres cas, les parents choisissent de marier leurs filles pour avoir moins de bouches à nourrir.

L’éducation des filles gagne de l’importance mais n’est toujours pas une priorité parmi les communautés rurales pauvres : selon l’Unicef, le taux d’alphabétisation des femmes entre 15 et 24 ans est de 77,5 %, mais le taux d’inscription dans le secondaire tombe à 66 %.

Cependant, une initiative menée par des filles et pour les filles pourrait changer ces perspectives. En effet, dans le district de Bajura, une région reculée située à l’extrême ouest du pays, où les revenus sont quasi inexistants et les cas de mariages d’enfants fréquents, un groupe de jeunes filles se tient à l’avant-garde contre ces mariages, par l’éducation. A travers le district, des communautés se battent pour déclarer leurs villages respectifs « zones sans mariage infantile », un message fort contre cette pratique millénaire.

Changer les attitudes n’est pas facile, mais cela n’empêche pas les filles d’essayer, comme le fait Rashmi Hamal, 16 ans, présidente du Club des enfants de Jyalpa, dans la municipalité reculée de Badi Mallika.

Elle déclare : « Nous n’avons plus peur maintenant, car la majorité des membres de notre communauté s’oppose aux mariages précoces. » Rashmi est l’une des dix filles qui se sont réunies en 2014 avec l’aide de PeaceWin et d’une organisation appelée Restless Development, menée par des jeunes, et avec le soutien de l’Unicef, afin de définir une stratégie pour enrayer cette pratique une fois pour toutes.

« Ces filles sont des héroïnes dans leur pays. Elles ont réellement fait leurs preuves avec leurs campagnes éducatives continuelles, ainsi qu’en inspirant leurs parents à se joindre à leur cause », explique Hira Karki, animateur social local de PeaceWin.

Leur succès est tangible : plus de 84 écoles du district de Bajura et des districts voisins de Kalikot, Accham et Mugu ont lancé des initiatives similaires l’année dernière. « Le meilleur dans l’activisme anti-mariages précoces ici, c’est que nous avons des militants de notre propre communauté, qui vivent ici et ont la possibilité d’éduquer leurs membres adultes sans antagonisme », souligne le directeur d’école local, Jahar Sing Thapa.

Bien que petit, chaque club contribue à l’effort du pays pour juguler cette pratique. Selon la FNUAP, le taux de mariages infantiles a chuté de 20 % ces cinq dernières années.

Source : IPS

Apporter un peu de chaleur [sommaire]

Aaliyah Rucker, qui vivait à Atlanta (Etats-Unis), avait juste quatre ans quand un événement lui ouvrit les yeux sur la misère endurée par certaines personnes. Sa mère donnait de vieilles affaires mais Aaliyah ne voulait pas se séparer de sa couverture favorite ; sa mère lui expliqua que d’autres pouvaient en bénéficier – y compris de sa vieille couverture.

« Je voyais tant de gens dans la rue tous les jours à Atlanta, explique Aaliyah. Je me disais, C’est si triste. Tout le monde devrait avoir une couverture, une maison ou un toit. Alors j’ai su que je devais faire quelque chose. »

Elle commença à demander à sa famille et à ses amis de donner des couvertures. Et maintenant, au bout de quelques années, avec l’argent donné à son œuvre de charité, elle distribue des couvertures molletonnées neuves à des refuges pour sans-abri, à des centres cancérologiques et à des gens dans la rue.

Aujourd’hui, âgée de 11 ans, Aaliyah dirige A Touch of Warmth (Un peu de chaleur), l’association à but non lucratif qu’elle a cofondée, et elle affirme qu’elle se sent bien en aidant les gens.

Sa campagne a connu une énorme expansion depuis son modeste commencement et elle organise régulièrement de grandes collectes de couvertures dans les environs d’Atlanta. Aaliyah explique : « Au total j’ai personnellement donné 5 000 couvertures. Une manière de les aider avec un peu de confort et leur dire que quelqu’un tient suffisamment à eux pour leur donner une couverture. » Quant à sa vision de l’avenir de son association : « J’espère la voir croître aussi loin que mes yeux peuvent voir. Peut-être même au-delà. »

Source : cbs46.com

Un Cercle de Paix [sommaire]

C’est par une réponse ouverte et positive aux préjugés, à la discrimination et à la peur que les musulmans norvégiens ont organisé une veille pour la paix à Oslo, le 21 février 2015, afin de montrer leur solidarité avec les juifs, une semaine après les coups de feu mortels au Danemark qui prirent pour cible une synagogue et un colloque sur la liberté d’expression. Plus de mille personnes se sont tenues, main dans la main, autour de la synagogue d’Oslo, liant symboliquement les musulmans et les juifs dans un « Cercle de Paix ».

L’idée de cette veille est venue à des jeunes musulmans norvégiens qui représentent environ 3 % des 5,3 millions de personnes composant la population nationale. Ils veulent démontrer leur soutien à leurs concitoyens juifs à la suite des attaques de Copenhague qui ont tué un gardien de sécurité bénévole de 37 ans à l’extérieur de la synagogue.

L’initiatrice de ce Cercle de Paix, Hajrah Arshad, jeune femme musulmane de 17 ans, a commenté : « La plupart d’entre-nous, musulmans, défendons les droits des juifs. J’espère que d’autres groupes apprécieront ce qu’on fait et combattront la radicalisation. C’est injuste d’être mis au pied du mur pour tout ce qu’un terroriste musulman fait. Ce que nous faisons ici, c’est de montrer à tous que nous sommes avec vous. Nous ressentons les mêmes peurs que vous, et nous supporterons avec vous cette situation. » Elle a ajouté que le discours du rabbin venait droit du cœur, de la même façon que les orateurs musulmans parlent avec leur cœur. « Cela montre que les gens y mettent leur âme. Ce n’est pas la dernière fois que vous entendrez parler de nous », a-t-elle conclu.

Alors que la congrégation juive quittait la synagogue après les prières du Sabbat, un groupe de jeunes musulmans, pour beaucoup des adolescentes portant le voile, a formé le cercle symbolique hors du bâtiment et a été applaudi par une foule de plus de mille personnes.

« Cela montre qu’il y a plus de militants pour la paix que de faiseurs de guerre, a déclaré l’un des organisateurs, Zeeshan Abdullah, 37 ans. Il y a toujours de l’espoir pour l’humanité, pour la paix et pour l’amour, par-delà les différences religieuses et le contexte », a-t-il ajouté, avant qu’une cérémonie traditionnelle de Sabbat ne soit tenue en extérieur, où beaucoup ont ajouté leur voix aux chants hébreux. Le grand rabbin de Norvège, Michael Melchior, était visiblement ému quand il a dit que c’était la première fois qu’une cérémonie se tenait à l’extérieur avec tant de gens.

Youssef Bartho Assidiq, un meneur de la jeunesse musulmane, a déclaré que l’événement d’Oslo montrait que les musulmans « défendaient la liberté d’expression, la liberté de religion et soutenaient tous les autres. C’est la meilleure réponse que nous puissions donner à la polarisation manifeste dans les débats, après les attaques en France et au Danemark. »

Source : The Guardian ; nrk.no

 

Vers un meilleur avenir pour tous

Aucun article pour cette rubrique

 

Entretien

Prendre soin des mères et des nouveaux-nés [sommaire]

Interview de Robin Lim par Jason Francis,

Yayasan Bumi Sehat est une organisation à but non lucratif qui vise à améliorer les conditions de naissances, principalement en Indonésie. Cette ONG, dont le nom signifie Fondation pour la santé de la Terre, exploite deux maternités communautaires en Indonésie et une aux Philippines. Elle a été fondée en 1995, par Robin Lim, sage-femme de renommée internationale qui exerce en Indonésie, aux Philippines et aux Etats-Unis depuis 1993. Robin Lim a été élue héroïne CNN de l’année 2011. Jason Francis l’a interviewée pour Partage international.

Partage international : Quelles sont les principales raisons de la mortalité infantile ?
Robin Lim : La pauvreté, la faim, la malnutrition et l’absence de soins gynécologiques adaptés pour les mères. Parfois, les soins ne sont pas disponibles parce que la mère vit trop loin des centres de soins. Le plus souvent, le problème est le coût des soins, en particulier dans les pays où les soins prénataux sont considérés comme des soins d’obstétrique et de gynécologie encadrés et coûteux.
Dans les maternités communautaires Bumi Sehat, à Bali, à Aceh en Indonésie et à Dulag aux Philippines, des sages-femmes fournissent des soins gratuitement et sont disponibles 24 h sur 24, 7 jours sur 7. Lorsque des risques de complications surviennent, nos sages-femmes prennent la mère en consultation gynéco-obstétrique et s’assurent qu’elle reçoit les soins et le suivi qui peuvent leur sauver la vie à elle et son bébé. Si cela nécessite de payer un médecin, alors nous le faisons. Les soins de santé sont un droit humain, mais ce n’est pas gratuit. Quelqu’un paie. Quand la mère à risque ne peut pas payer, quelqu’un d’autre peut le faire et les gens aident volontiers. Cela résume toute l’action de Bumi Sehat.

L’importance de l’allaitement

L’allaitement maternel prévient la mortalité infantile. C’est le meilleur aliment pour les nourrissons. Dans les pays à faibles ressources, les parents qui nourrissent leur bébé au biberon augmentent souvent la dilution du lait en poudre avec de l’eau, ce qui provoque la malnutrition. Le lait en poudre coûte cher. La plupart des travailleurs touchant le salaire minimum n’ont pas les moyens d’en acheter. Il y a également les questions dévastatrices de l’eau et de l’assainissement, la nécessité d’une ébullition suffisante du lait maternisé pour tuer les bactéries présentes, avant même l’ajout de l’eau.
Dans cette partie du monde, les mères sont bien conscientes des risques de l’alimentation au biberon, mais elles sont abusées dans les hôpitaux sur l’utilisation du lait artificiel. Dans la pratique, le bébé est retiré à la mère à la naissance, et placé à la nurserie. La nurserie ou « chambre des bébés » est sponsorisée par des fabricants de lait en poudre, comme Nestlé, qui paient des « infirmières du lait » pour nourrir les bébés au biberon, avant même qu’ils ne soient autorisés à se nourrir au sein de leur mère. Une fois qu’un nouveau-né a reçu ne serait-ce qu’un biberon avec du lait en poudre, il devient très difficile d’allaiter, parce que les bébés éprouvent une préférence pour la tétine. Les fabricants de lait le savent.
Etape suivante, lorsque le bébé est rendu à la mère, le bébé a du mal à saisir le sein de la mère, en raison de la différence énorme entre les mamelons de la mère et les tétines. Le bébé pleure. L’infirmière dit : « Vous voyez, il ne veut pas de votre sein. » La production de lait de la mère n’a pas été stimulée par la succion du bébé, la lactation est alors insuffisante. Lorsqu’on lui apporte enfin le bébé, elle essaie à nouveau de l’allaiter. Le bébé pleure, ce qui provoque la frustration tant de la mère et que de l’enfant, et l’infirmière du lait est présente pour donner un biberon de lait en poudre au bébé. C’est un cercle vicieux. Cela tue des bébés.

PI. Quelle est la fréquence des décès lors des accouchements ?
RL. Selon le rapport de l’Unicef de 2012 : « Un enfant de moins de cinq ans meurt toutes les trois minutes en Indonésie. En outre, une femme meurt toutes les heures, en accouchant ou suite à des complications liées à la grossesse. »
Le 29 mai 2003, le Jakarta Post a rapporté que la mortalité maternelle à la naissance en Indonésie était de 373 par 100 000 naissances, le plus élevé parmi les pays de l’ASEAN (Association des Nations de l’Asie du Sud-Est). Le Fonds des Nations unies pour la population indique que le taux de mortalité maternelle le plus récent pour l’Indonésie était de 307 décès par 100 000 naissances viables, ce qui est encore trop élevé par rapport à d’autres pays de la région. Bien que ce taux ait baissé au cours des dix dernières années, la baisse est nettement plus lente que celle d’autres indicateurs connexes tels que les taux de mortalité infantile et juvénile.
Selon l’Organisation mondiale de la santé, en 2013, 289 000 femmes sont mortes pendant la grossesse et suite à l’accouchement dans le monde.

PI. Quelles sont les principales causes de la mortalité maternelle ?
RL. Des causes évitables : la pauvreté, la faim et la malnutrition. Tous ces facteurs entraînent des hémorragies juste après l’accouchement, mais aussi de l’hypertension provoquée par le stress de la grossesse, lorsque la mère n’a pas l’alimentation et le soutien adéquats. Et, bien sûr, la septicémie est potentiellement mortelle.
L’absence de sage-femme qualifiée auprès de la mère est mortelle, car une sage-femme qualifiée ou un médecin (trop souvent inabordables par la famille moyenne) peuvent contrôler l’hémorragie, surveiller la tension artérielle, et aider la mère à prévenir l’éclampsie (l’éclampsie, qui peut être mortelle, est une complication chez la femme enceinte qui entraîne une hypertension ou des niveaux élevés de protéines dans l’urine et peut provoquer des convulsions voire un coma). Une surveillance par des personnes qualifiées peut aussi réduire les risques d’infection.
Les sages-femmes fournissent des soins prénataux personnels, entre femmes. J’ai vu des professionnels de la santé, bien formés en gynécologie-obstétrique, donner aux femmes enceintes ce que j’appelle des « frayeurs prénatales ». Ils leur disent par exemple : « Votre liquide amniotique est dangereusement bas, il vous faut une césarienne. » Si la mère est trop pauvre pour payer une césarienne, surtout dans les pays où les familles ne peuvent pas quitter l’hôpital et rentrer à la maison avec leurs bébés tant que la facture n’est pas payée en totalité, il est probable qu’elle ne reviendra pas pour les soins dont elle a besoin. La sage-femme qualifiée dirait : « Je vous suggère de boire beaucoup plus d’eau pure et assurez-vous que vous mangez suffisamment de protéines et des aliments nutritifs, afin que votre bébé et vous restiez bien hydratés et nourris. Nous vérifierons à nouveau dans un jour ou deux et verrons si votre liquide amniotique a augmenté. » Cela peut éviter des césariennes inutiles. Compte tenu des risques élevés lors des chirurgies à la naissance, c’est une très bonne chose. Toutefois, lorsqu’une césarienne est nécessaire, cela aussi constitue un miracle qui devrait être disponible.

L’importance des sages-femmes

PI. Qu’est-ce qui vous a motivé pour mettre en place des services de santé gratuits pour les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans, à Ubud, à Bali ?
RL. Ma sœur est morte d’hypertension lors de sa troisième grossesse, il y a 24 ans. Elle était aux Etats-Unis, avait une assurance, et était prise en charge dans un service de gynéco-obstétrique. Je crois que sa mort aurait pu être évitée. Christine est passée à travers les mailles du filet. Je pense que si elle avait reçu ses soins prénataux par une sage-femme, elle et son bébé seraient encore en vie aujourd’hui. Les sages-femmes passent plus de temps avec chaque femme enceinte, et empêchent des mamans de passer à travers les mailles du filet aussi facilement. L’assurance de Christine ne couvrait pas le suivi prénatal par les sages-femmes.
J’étais enseignante et écrivaine. J’ai décidé de poursuivre mes études et de devenir sage-femme, car aucune sœur, fille, mère ou partenaire, ne devrait mourir à la suite d’un risque évitable lié à la grossesse et diagnostiqué aussi facilement. J’étais et je suis déterminée à consacrer ma vie aux soins de la mère et de l’enfant, jour et nuit.

PI. Comment les services offerts dans les maternités de Yayasan Bumi Sehat réduisent-ils la mortalité maternelle et infantile ?
RL. Nous sommes gratuits. Nos donateurs se mobilisent suffisamment pour que l’offre de soins bienveillante de Yayasan Bumi Sehat soit accessible à toute personne qui demande notre aide. Nos sages-femmes et nos infirmières sont disponibles 24 h sur 24, 7 jours sur 7. Nous avons des médecins, tous les après-midi et le soir, et joignable en permanence au téléphone. Nous avons un laboratoire complet pour les analyses de sang et d’urine. Toute personne venant à la clinique peut obtenir un diagnostic gratuit et confidentiel, même pour le sida, et recevoir l’aide d’un conseiller. Encore plus merveilleux, Bumi Sehat donne accès à des thérapies complémentaires : acupuncture, phytothérapie, homéopathie, ostéopathie, massage, etc. Toutes ces pratiques sont utilisées en bonne intelligence avec la médecine classique. Imaginez, de bonnes compétences, un respect de la nature et un modèle de soins respectueux, tout cela disponible gratuitement ou moyennant un don si le patient peut se le permettre. Ce n’est pas facile, mais nous y parvenons, avec beaucoup d’aide de nos donateurs.
Nous avons une équipe de 59 personnes (maternité et centre de formation) à Bali et 19 à Aceh. Aux Philippines, nous sommes soutenus par la Fondation Wadah Direct Relief International et nous avons 12 personnes à temps plein. Tous les membres de Bumi Sehat partagent la même vision et sont tous merveilleux. Les visiteurs ne peuvent pas aider, mais ils remarquent l’amour entre les membres de notre équipe et nos patients, comme une famille. Nous savons que l’amour est un aliment et que l’amour guérit.

PI. Quels sont les services de suivi offerts lorsque le nouveau-né et sa mère quittent la maternité ?
RL. A la maternité les soins sont continus, en particulier le soutien à l’allaitement. En Indonésie, un bébé est 300 fois plus susceptible de mourir dans les premiers mois de la vie, s’il est nourri au biberon. A Bumi Sehat, 100 % des femmes allaitent. Personne ne peut parler de l’Objectif du millénaire pour le développement des Nations unies n° 4, qui vise à réduire la mortalité infantile, sans soutenir aussi l’allaitement exclusif des nourrissons pendant les six premiers mois de la vie.
Nous reconduisons la mère et le bébé dans leur foyer avec notre ambulance, parce que ce n’est tout simplement pas agréable de rentrer à la maison sur une moto, un, deux ou trois jours après l’accouchement, ou même à pied, car beaucoup de nos familles n’ont pas de moyens de transport motorisés. Une fois qu’ils sont à la maison, nos sages-femmes effectuent un suivi quotidien par téléphone lorsque les familles en ont un. Nous faisons des visites à domicile surtout lorsqu’il y a des inquiétudes. Les familles reviennent à la maternité avec les bébés au moindre problème, et bien sûr pour la visite de contrôle de la première semaine. S’il elles n’ont pas de moyen de transports, les familles nous le signalent, et nous venons les chercher. Tout cela gratuitement.

Un lieu pour apprendre

PI. Pourriez-vous nous parler du centre d’apprentissage et de formation ?
RL. Après les attentats terroristes à Bali en 2002, l’économie s’est effondrée avec la faillite des entreprises de tourisme. Ensuite la grippe aviaire a encore aggravé la situation. Les gens ont été mis à pied ou licenciés et les salaires réduits. La meilleure façon de bénéficier d’un emploi avec un salaire décent était d’avoir des compétences, en particulier en anglais et en informatique. Une femme veuve qui cherchait un moyen d’aider les habitants de Bali m’a donné un magnifique bâtiment. C’est ainsi que le centre d’apprentissage de Bumi Sehat est né, grâce à la nécessité, l’opportunité et la générosité. Nous avons embauché des enseignants et fait venir des bénévoles. Nous donnons des cours d’informatique gratuits, des cours d’anglais, de jardinage biologique, et mon mari enseigne parfois le chant et la musique. Il y a quelques années, l’association Australian Volunteers International a fait venir Jen Richardson, un éducateur, pendant un an, afin de développer les activités de notre centre d’apprentissage. Jen a trouvé le financement et créé, avec notre équipe d’Aceh, le centre d’apprentissage Bumi Sehat d’Aceh. C’était tout à fait extraordinaire pour les enfants qui ont survécu au tsunami de décembre 2004 de pouvoir faire quelque chose et d’avoir un lieu pour apprendre dans leur pays encore brisé et dévasté.

PI. Quel type de services d’urgence Yayasan Bumi Sehat fournit-elle aux communautés touchées par la catastrophe ?
RL. Des soins d’urgence de médecine générale et des services de santé pour la procréation, disponibles 24 h sur 24, 7 jours sur 7. De même que des transports en ambulance gratuits. Nous fournissons également de l’éclairage solaire, des filtres à eau, des outils pour la reconstruction, des seaux et des bâches (qui offrent un abri immédiat et la possibilité de collecter l’eau de pluie), des barres énergétiques, du riz et des vêtements, des kits éducatifs et des kits d’hygiène.

PI. Qu’en est-il de la planification familiale de la contraception ?
RL. Le système de santé indonésien fournit des moyens de contraception, principalement des injections hormonales de Provera Depo pendant trois mois. Cela a de nombreux effets néfastes pour la santé des femmes. Mais les grossesses non désirées peuvent être fatales. A Bumi Sehat, nous enseignons la méthode très efficace (si elle est bien suivie) d’ovulation Billings de planification familiale naturelle. Cela offre aux couples un choix plus sain. Cependant, aucune de ces méthodes n’offre une protection contre les infections sexuellement transmissibles. Nous distribuons donc gratuitement des tas et des tas de préservatifs.

PI. Quelle est l’importance de respecter les croyances culturelles et les traditions des patients ? Y a-t-il des cas où ces croyances ne doivent pas être respectées ?
RL. Il est impératif d’être respectueux. C’est pourquoi nous chantons les chants rituels des familles lors des naissances. Cependant, parfois, la cruauté est déguisée en culture. Personne dans les soins de santé ne devrait être cruel. Ce n’est simplement pas acceptable. Je refuse par exemple de pratiquer la circoncision d’enfants ou de bébés, garçons ou filles. Je refuse de cautionner cela. Certaines personnes disent que c’est leur culture. La culture se réinvente en permanence. Nous les humains devons décider ce qu’est notre culture. En cas d’atteinte aux personnes, en particulier celles qui sont trop petites pour s’y opposer, je dis qu’il est temps de corriger sa culture.

PI. Voulez-vous ajouter quelque chose ?
RL. Le plus important, et nous en avons tous besoin, ce qui guérit le mieux, c’est d’être cru et d’être aimé !

Pour plus d’informations : www.bumisehatfoundation.org

 

Environnement

Aucun article pour cette rubrique

 

Esotérisme

Aucun article pour cette rubrique

 

Faire le lien

Aucun article pour cette rubrique

 

Faits et prévisions

Au fil des années, Partage international a régulièrement publié des articles soulignant les attentes de Maitreya, telles qu'elles ont été présentées par l'un de ses collaborateurs vivant à Londres au sein de la même communauté, à propos d'un certain nombre de changements politiques, sociaux, écologiques et spirituels devant se produire dans le monde. Périodiquement, Benjamin Creme et son Maître ont également partagé leur point de vue sur les développements à venir. Dans cette rubrique intitulée « Faits et Prévisions » notre rédaction analyse les nouvelles, les événements et les déclarations ayant un rapport avec ces prévisions et points de vue.

L’âge de l’humanité remis en question [sommaire]

« Selon les enseignements ésotériques, l’origine de la race humaine remonte à dix-huit millions et demi d’années. A cette époque, l’homme-animal avait atteint un stade de développement relativement élevé. Il possédait un puissant corps physique, pensant et coordonné, un corps astral qui lui permettait d’éprouver sentiments et émotions, et le germe du mental qui put, par la suite, former le noyau du corps mental. L’énergie de l’esprit, le cinquième principe, fut amené sur cette planète depuis Vénus par les « Seigneurs de la Flamme » ; il en résulta un stimulus considérable pour l’évolution. Les égos humains – les âmes – attendant sur leur propre plan une occasion de ce genre, s’incarnèrent alors dans l’homme-animal. L’individualisation de l’homme-animal devint un fait, et l’histoire humaine commença. » [La Mission de Maitreya, tome I]

L’examen d’un maxillaire fossile découvert en Ethiopie a contraint les scientifiques à reculer de 450 000 ans l’origine supposée de l’humanité. Ce maxillaire inférieur a été exhumé dans l’Etat d’Afun (Ethiopie), berceau de l’humanité. Des faisceaux de preuves paléontologiques permettent d’affirmer avec certitude que de grands singes possédant des caractéristiques humaines ont vécu dans cette région il y a au moins trois millions d’années. En 1974, on avait trouvé « Lucy » une primate de 3,2 millions d’années, dans cette même région d’Afrique. Il a aussi été mis au jour des restes humains datant de 2,35 millions d’années, dans l’est de l’Afrique. Ce qui s’est passé précisément entre-temps est enveloppé de mystère. La découverte de ce maxillaire inférieur indique que les premiers humains sont probablement apparus il y a 2,8 millions d’années en Ethiopie.

Le professeur Brian Villmoare de l’Université du Nevada, à Las Vegas (Etats-Unis), qui a dirigé l’étude, affirme que le maxillaire avait des dents beaucoup plus petites que celles de Lucy, ce qui met en évidence un lien clair entre les humains et les singes. Cette évolution a pris place alors que le climat dans la région s’était asséché, les forêts laissant la place aux prairies. Ce changement climatique a créé une nouvelle niche écologique permettant aux premiers humains de s’épanouir. Cependant, le professeur Chris Stringer du Muséum d’Histoire naturelle de Londres affirme que ce maxillaire est une découverte importante, mais ne permet pas de décrire précisément cette créature humaine. « Ces récentes études nous permettent d’entrevoir une image des premiers êtres humains encore plus complexe que nous le pensions, déclare-t-il. Ils nous incitent à réfléchir sur la nature de l’être humain. Sommes-nous déterminés par nos petites dents, nos mâchoires, notre grand cerveau, nos longues jambes, notre capacité à fabriquer des outils, ou l’association des ces caractéristiques ? »

Source : BBC World Service ; www.bbc.co.uk

 

Fenêtre sur le monde

Aucun article pour cette rubrique

 

La voix de la raison

« Hormis la guerre, rien ne compromet aussi gravement l’avenir de l’humanité que la pollution. Constatant qu’il en est ainsi, certains pays ont pris des mesures pour la réduire et pour limiter le réchauffement climatique. D’autres, parfois parmi les plus gros pollueurs, nient la réalité d’un tel réchauffement en dépit des preuves qui s’accumulent. A tout moment, dorénavant, les changements climatiques montrent sans l’ombre d’un doute que la planète est malade, qu’elle a besoin de soins immédiats et attentifs pour retrouver l’équilibre. Le temps nous est compté pour mettre fin aux ravages que subit quotidiennement la planète Terre. Chaque homme, chaque femme, chaque enfant a son rôle à jouer dans sa restauration. Oui, le temps presse. Save Our Planet (S.O.P.), sauvons notre planète ! » Source : Le Maître de B. Creme, S.O.P. Sauvons notre planète, 8 septembre 2012

Le grand pouvoir des jeunes [sommaire]

par David Suzuki,

A l’âge de douze ans, ma fille Severn a fait un discours lors du Sommet de la Terre en 1992 à Rio de Janeiro. Sa conviction a porté les délégués au bord des larmes. Ce fut un moment d’intense fierté paternelle.  Plus de vingt ans plus tard, Severn est mère de deux enfants, et la vidéo de son discours est toujours une source d’inspiration dans le monde entier – preuve que les jeunes peuvent exercer une influence sur les problèmes planétaires les plus urgents.

Plus de la moitié de la population mondiale a moins de 30 ans. Cette donnée, prise en compte prioritairement dans les décisions internationales, est très visible au Canada en rapport avec certains des changements environnementaux les plus remarquables. D’un bout à l’autre du pays, les jeunes canadiens réfléchissent à la manière de mieux servir nos vastes paysages, notre faune et notre flore si spectaculaires, en protégeant l’air, l’eau, la terre et la diversité de cette nature à qui nous devons vie et santé. Dans leurs propres communautés, ils exigent des mesures de protection environnementale plus fortes et une plus saine gestion des ressources.

Prenez Stephen Thomas, jeune ingénieur résidant à Halifax, dont l’influence en matière d’énergie propre est déterminante pour l’avenir écologique de notre pays. Il a cofondé If You Build It (Si vous le considériez), une association de bénévoles matérialisant des projets d’énergie renouvelable comme des éoliennes et des générateurs solaires. Dans sa province canadienne de Nouvelle Ecosse, il a aussi catalysé de vastes projets de parcs d’éoliennes financés par la communauté, et initié la campagne des étudiants de l’Université de Dalhousie pour l’abandon des combustibles fossiles.

Prenez aussi Vanessa Gray, 22 ans, qui a mobilisé d’autres jeunes pour faire campagne contre le projet de pipeline destiné à transporter jusqu’à Montréal, en traversant l’Ontario, le pétrole issu des sables bitumineux, afin de pouvoir l’exporter. Elle continue à dénoncer la pollution causée par les raffineries et organise des « circuits toxiques » dans la Vallée de la Chimie, où 63 usines pétrochimiques entourent sa propre communauté.

Certains jeunes répondent à l’appel de la Fondation David Suzuki à défendre leur droit à un environnement urbain sain. En décembre, après avoir assisté à un meeting d’étape de la Fondation Point Bleu, Rupert Yakelashek, âgé de 10 ans, a réussi à faire adopter par la municipalité de Victoria une déclaration donnant aux citoyens le droit à respirer un air pur, à consommer de l’eau et de la nourriture saines, et à participer aux décisions concernant leur environnement. La Fondation Point Bleu a récemment organisé une tournée d’interprètes, d’artistes et de dirigeants à travers le pays pour soutenir le droit de tous les Canadiens à consommer de l’eau pure, une nourriture saine, et à respirer un air pur.

Pour sa part, Ta’Kaiya Blaney a suivi un chemin semblable à celui de ma fille en parlant à la conférence Rio+20 de 2012, alors qu’elle n’avait que onze ans (voir Partage international, novembre 2012). Elle est aussi connue pour avoir eu l’idée de la Fondation des jeunes pour la Mer salée, et pour parler, écrire et chanter en faveur de la santé des animaux, des hommes, des plantes et des écosystèmes. Elle introduit des messages environnementaux dans ses chansons, comme on a pu s’en rendre compte lors de la tournée Point Bleu.

Les jeunes jouent également un rôle de premier plan dans l’un des plus grands mouvements indigènes de masse dans l’histoire du Canada. Les séminaires qui protestaient dès 2012 contre des projets de loi visant à éroder la souveraineté des Indigènes du Saskatchewan et certaines protections environnementales, ont changé le paysage social et politique du Canada.

Ces jeunes défenseurs de l’environnement partagent leurs engagements entre leurs communautés et le monde. Ils savent que les jeunes ont le pouvoir de rassembler dans le but de créer des changements positifs. Et lorsque les gens s’unissent autour d’une cause commune, la magie opère. Beaucoup de ces jeunes n’ont pas le droit de vote et pourtant, ce sont eux qui devront subir les conséquences des décisions prises aujourd’hui.

L’organisation à but non lucratif The Starfish Canada, cofondée par Kyle Empringham, spécialiste en matière d’engagement citoyen à la Fondation David Suzuki, encourage les jeunes avec son programme distinguant les « 25 premiers écologistes de moins de 25 ans ». Tous les ans, 25 jeunes sont distingués pour leurs efforts visant à améliorer l’environnement. Ils sont jardiniers municipaux, scientifiques, avocats, à moins qu’ils ne travaillent dans des centres de loisirs. Grâce à eux, le programme ne cesse d’attirer l’attention sur les changements positifs à travers le pays.

Si vous connaissez un jeune dont les entreprises méritent d’être connues au plan national, proposez sa candidature à « Starfish Canada ». Il deviendra peut-être l’un des « 25 premiers écologistes de moins de 25 ans » de l’année, insufflant ainsi à d’autres jeunes le désir de changer le monde.

Fondation David Suzuki : www.davidsuzuki.org

Discours de Severn Suzuki, 12 ans, aux délégués du Sommet de Rio en 1992

« Je suis venue vous parler de la part des enfants affamés dans le monde entier, et dont personne n’entend les cris. Je suis venue défendre les innombrables animaux qui meurent sur cette planète parce qu’ils ne peuvent plus aller nulle part […]

Je ne suis qu’une enfant, mais je sais que nous sommes tous concernés, et que nous devrions tous nous unir dans ce but commun […]
Dans mon pays, nous produisons tant de déchets […] Nous achetons et jetons, achetons et jetons. Et pourtant, les pays du nord ne veulent rien donner aux pays dans le besoin. Même lorsque nous avons trop, nous avons peur de partager. Nous avons peur de perdre un peu de notre richesse.

Au Canada, nous avons une vie privilégiée. Nous avons beaucoup de nourriture, d’eau, de quoi nous abriter. Nous avons des montres, des bicyclettes, des ordinateurs et des télévisions. Cette liste pourrait durer deux jours. Ici au Brésil, nous avons parlé à des enfants des rues. Voici ce que l’un d’eux nous a dit : « Je voudrais être riche. Si je l’étais, je donnerais de la nourriture à tous les enfants des rues, des vêtements, des médicaments, un toit, de l’amour et de l’affection. » Si un enfant des rues, qui n’a rien, veut partager, pourquoi sommes-nous encore si avides, nous qui avons tout ?

Je ne peux pas m’empêcher de penser que ces enfants ont le même âge que moi, que cela fait une énorme différence selon que l’on naît à un endroit ou à un autre, que je pourrais être un de ces enfants des favelas de Rio. Je pourrais être un enfant mourant de faim en Somalie, une victime de la guerre au Moyen-Orient, ou une mendiante en Inde.

Je ne suis qu’une enfant, mais je sais que si tout l’argent dépensé à la guerre était dépensé à trouver des solutions pour l’environnement, à arrêter la pauvreté, et à préparer des traités de paix, quel endroit merveilleux ce serait, la Terre ! » [publié dans le numéro de mars 1993 de Share International

 

La voix des peuples

Cette rubrique est consacrée à une force en plein développement dans le monde. La voix du peuple ne cessera de s’amplifier jusqu’à ce que, guidés par la sagesse de Maitreya, les peuples conduisent leurs gouvernements à créer une société juste dans laquelle seront respectés les droits et les besoins de tous.

La marche de la « Moralité » [sommaire]

Des milliers de personnes se sont rassemblées, le 14 février 2015, dans le centre ville de Raleigh, en Caroline du  Nord (Etats-Unis), pour la marche annuelle de la « Moralité » visant à réclamer des salaires décents, la justice environnementale, des soins médicaux accessibles à tous et la fin du racisme et des inégalités.

Organisée par le NAACP (Association nationale pour l’évolution des gens de couleur) et une centaine de groupes de défense, cette marche est une extension des Moral Mondays (les Lundis moraux), mouvement de protestations et d’actions de désobéissance civile qui existe en Caroline du Nord depuis 2013. Ce mouvement s’oppose « à la politique très radicale et régressive menée en Caroline du Nord », où le gouvernement républicain a fait passer des lois qui restreignent le droit de vote, empêchent l’extension de Medicaid, bloquant ainsi l’accès aux soins pour un grand nombre de personnes, et réduisent le budget de l’éducation publique et de l’assurance chômage – politique qui, selon ce mouvement, est « un reflet de ce qui se passe partout aux Etats-Unis ».

Source : commondreams.org

 

Le point de vue de Maitreya

Aucun article pour cette rubrique

 

Le respect de la loi

« Chaque fois qu’il y a affaiblissement de la loi… et accroissement général du désordre, alors je me manifeste. » (Bhagavad Gita). La promesse de Krishna, l’Avatar, semble particulièrement d’actualité. C’est pour tenir cette promesse que Maitreya, l’Avatar de notre ère, est présent dans le monde à une époque où l’anarchie est si répandue. « Lorsqu’une nation parvient à l’âge adulte, à la maturité, les relations qu’elle établit avec les autres changent du tout au tout. Elle commence à respecter l’autorité de la loi qui unit toutes les nations, les liant dans leurs responsabilités et leurs besoins mutuels. Le développement vers la maturité se signale précisément par un tel respect des lois que les hommes ont estimées nécessaires pour vivre ensemble en paix… Lorsque, parmi les nations, l’on ignore l’autorité de la loi, c’est le monde entier qui en souffre. » (Le Maître — PI, avril 2004) Actuellement, les traités et les résolutions de l’Onu sont méprisés, et les lois nationales et internationales sont bafouées. Dans ce contexte, nous présentons des brèves mettant en exergue la nécessité d’un respect renouvelé de la loi.
Aucun article pour cette rubrique

 

Les enseignements de Maitreya

Aucun article pour cette rubrique

 

Les mensonges dévoilés

Le 15 février 2003, à Londres, Maitreya a été filmé sous les traits d’un Antillais, lors de la marche pour la paix (voir PI, avril 2003). « Je suis fier aujourd’hui d’entendre mes frères et mes sœurs dire la vérité et dénoncer les mensonges. C’est tellement magnifique ! » a-t-il déclaré. Depuis, les mensonges sont de plus en plus dénoncés.
Aucun article pour cette rubrique

 

Les priorités de Maitreya

« Pour aider les hommes dans leur tâche, Maitreya, l’Instructeur mondial, a formulé certaines priorités. Assurer à tous un approvisionnement correct en nourriture ; procurer à tous un logement convenable ; fournir à tous soins médicaux et éducation, désormais reconnus comme un droit universel. » Le Maître de Benjamin Creme, Partage international, janvier 1989. Dans cette rubrique, notre rédaction aborde les questions relatives aux priorités énoncées par Maitreya et présente des expériences orientées dans cette direction.
Aucun article pour cette rubrique

 

L’humanité une

Lorsque l’homme acceptera vraiment le fait que l’humanité est une et que les hommes, entre eux, sont frères, quand il traduira ces vérités en actes, toutes choses pourront en toute sécurité lui appartenir. Son héritage l’attend. Ainsi les hommes devront-ils apporter la preuve qu’ils sont prêts pour la paix, prêts à pénétrer ensemble dans l’avenir, sans effusion de sang ni compétition. Ils devront se réjouir de partager et de travailler en harmonie pour le bien de tous. Quand les hommes, d’eux-mêmes, seront dans ces dispositions, ils en appelleront à Maitreya (quel que soit le nom sous lequel ils le connaîtront) pour leur montrer le chemin, les faire sortir du chaos, et les conduire vers une ère de paix. (L’héritage de l’homme, par le Maître de Benjamin Creme).
Aucun article pour cette rubrique

 

L’Unité dans la diversité

« Le but de notre vie, que nous en ayons pris conscience ou non, est l’instauration de l’unité, la manifestation de l’unité qui existe déjà. Chaque atome de l’univers est relié à tous les autres atomes. » Benjamin Creme, L’Unité dans la diversité.
Aucun article pour cette rubrique

 

Regard sur le monde

Dans cette rubrique, Partage international met en lumière certains problèmes urgents qui nécessitent une nouvelle approche et des solutions durables.
Aucun article pour cette rubrique

 

Autres

 

Citation

Aucun article pour cette rubrique

 

Message de Maitreya

Aucun article pour cette rubrique

 

Brève

Aucun article pour cette rubrique

 

Courrier des lecteurs

Cette rubrique est alimentée par une réserve importante de courriers confirmés par le Maître de Benjamin Creme comme relatant de véritables rencontres avec des Maîtres, ou un « porte-parole », non encore publiés. S’y ajoutent d’autres courriers, plus récents, qui n’ont pas pu être vérifiés.

Continuez ce que vous faites ! [sommaire]

Le jeudi 13 novembre vers 17 h 30, je me tenais à la sortie Lescot de la station de RER de Chatelet/Les Halles, à Paris, pour distribuer des flyers annonçant le retour de Maitreya. Il y avait beaucoup de monde, et tout se passait bien. Un bel homme de type « Rasta » entre 30 et 40 ans, portant de grosses lunettes noires, un chapeau et les cheveux tressés, m’aborda, le flyer à la main, et entama la discussion. Il me dit que ce qui l’avait accroché dans le flyer, c’était le mot Maitreya. Il me raconta qu’il avait reçu de ses parents un enseignement spirituel, qu’il connaissait Maitreya, que c’était le bouddha qui devait revenir maintenant parmi les hommes ; que le Bouddha Shakyanuni l’avait annoncé et que les paroles du Bouddha Shakyanuni étaient vraies. Ses propos me surprirent. Il ajouta en regardant les passants : « Les gens ici ne le savent pas, personne ne sait que Maitreya revient, il faut le leur dire, puis il continua : les forces noires lancent encore des attaques, vous voyez, il y a la guerre dans certains pays, et ici, les gens ne vivent plus sans leur téléphone portable. » La discussion se poursuivit et lorsque je lui parlai des raisons du retour de Maitreya et de ses priorités, il me répondit : « Oui je sais. » Puis, regardant le flyer, il ajouta : « Vous avez aussi une radio ? » Je lui expliquai : « Oui, ce sont des conférences basées sur l’enseignement, qui annoncent le retour de Maitreya. »« Mes parents doivent avoir tout cela aussi » me répondit-il. En se préparant à me quitter il me dit : « Continuez ce que vous faites ! » Puis il s’engouffra dans la bouche de la station RER et disparut. Cette personne était-elle un Maître ?

I. G., Gometz-le-Chatel, France

Le Maître de Benjamin Creme indique que l’homme était un porte-parole du Maître Jésus.

Frères sur le chemin [sommaire]

Cher Monsieur,

Le 23 février au soir, je fis une rencontre inhabituelle. Je vais souvent me promener dans le quartier où j’ai vécu pendant plus de trente ans. C’est une banlieue sûre, même après la tombée de la nuit, mais en général quand il fait sombre je ne rencontre jamais personne. Ce soir-là, il faisait très froid et les chances de rencontrer quelqu’un étaient encore plus minces.

Je marchais sur le trottoir d’une jolie rue mal éclairée, quand je vis un homme s’approcher. Quand nous fûmes très proches, il se dirigea droit sur moi et je dus lui faire face. C’était un Noir, d’environ quarante ans. Il me regarda droit dans les yeux et me tendis la main. J’ôtai mon gant et lui serrai la main. Il me demanda comment j’allais et je lui rendis son salut. Je m’attendais à ce qu’il me demande de l’argent, mais il n’en fit rien. Il avait l’air grave. Après nous être serré la main, je lui dis : « Bonne nuit » et il répondit de même. Et nous continuâmes notre chemin. Une minute plus tard, je me retournai mais il faisait trop sombre pour que je puisse le voir.

Je pensai à cette rencontre tout le reste de ma promenade. J’eus le sentiment, quand nous étions tout près l’un de l’autre, qu’il était un vieil ami de confiance ou un frère.

N’était-il qu’un passant aimable ou quelqu’un de particulier ? J’ai récemment étudié sérieusement le livre : Les Enseignements de Maitreya, les Lois de la Vie.

K. G., Overland Park, Kansas, Etats-Unis

Le Maître de Benjamin Creme indique que l’homme était un porte-parole du Maître Jésus.

Bien à l’heure [sommaire]

Cher Monsieur,

J’attendais le bus au carrefour de quatre voies de circulation dans chaque sens. Il ne passait qu’un bus par heure et pour une quelconque raison il n’était pas à l’heure. J’étais à six kilomètres de la gare et les trottoirs enneigés n’avaient pas été dégagés, il aurait donc été dangereux de marcher sur la route à cause de la circulation. J’étais pressée de rentrer et envisageai de faire du stop, ce que je n’avais jamais fait de ma vie.

Je me dirigeai vers l’accotement de la route et vis un jeune homme s’arrêter pour tourner mais il ne me vit pas agiter mon pouce. Je me demandai comment j’allais pouvoir rentrer chez moi. A ce moment même, un véhicule s’arrêta soudain devant moi, la vitre baissée. Un homme âgé arborant un grand sourire était au volant d’un ancien modèle de berline de luxe noire. Avant de m’approcher de la portière, j’eus l’impression qu’il savait ce que j’allais lui demander. Je lui dis : « Vous n’iriez pas par hasard à la gare ? » Il sourit et acquiesça de la tête un peu brusquement en déverrouillant la portière. Une partie de moi hésita mais l’autre partie eut l’impression qu’il était vraiment là pour moi. Quand je fus dans la voiture, la première chose que je remarquai fut les sièges qui étaient très confortables. Il me dit en souriant : « Heureux de vous revoir. » Je lui répondis : « Est-ce que je vous connais ? » mais j’ai presque tout oublié de ce qu’il m’a répondu.

Sa présence était agréable, il était enjoué et pas du tout menaçant mais je suis de nature méfiante, même en face de la bonté, aussi étais-je un peu sur mes gardes. Après l’avoir remercié chaleureusement d’avoir bien voulu m’aider, je discutai avec lui un peu nerveusement sur le trajet de la gare. L’intérieur de la voiture était en désordre avec des sacs de chips et autres snacks ouverts et toutes sortes d’objets sur le siège arrière. Je remarquai une absence d’odeur dans la voiture. Cela me parut un peu bizarre. Je jetai un coup d’œil par dessus mon épaule et vis un chapeau de cow-boy blanc sur le siège derrière le conducteur. Il était énorme. Il me dit : « Avez-vous remarqué mon chapeau de cow-boy sur le siège arrière ? » Je répondis oui et lui demandai alors où il allait par une si belle journée. Il dit qu’il allait voir ses amis, vous savez les « alter kakers ». Il me demanda si je connaissais des Yiddish. Je lui répondis que j’en connaissais quelques-uns et pensai à mon beau-père qui joue au bridge avec ses « alter kakers ». Alors je lui demandai s’il jouait au bridge et il répondit : « Poker ». En disant cela, il prit un des nombreux jetons rouges et blancs de poker alignés dans le cendrier sur le tableau de bord et me le mis dans la main. Je le regardai en essayant d’enregistrer tous les détails bizarres de ce trajet puis lui rendis le jeton. Je remarquai aussi que le pare-soleil du conducteur comportait de nombreux pins et des autocollants bizarres collés dessus. Nous sommes enfin arrivés à la gare et je lui demandai comment le remercier pour sa gentillesse. Il sourit, une petite étincelle dans les yeux, et me tendit la joue pour une bise que je lui fis en sortant de la voiture.

Tout cela fut si étrange et en même temps si doux et agréable. C’était comme si la voiture était apparue au moment même où j’avais besoin d’aide. En me dirigeant vers le train, je pensai à ce qui m’était arrivé et me souvins que la revue Share International nous rappelle que quand nous avons besoin d’aide, il est toujours là pour nous. J’étais tellement reconnaissante, que cette aide vienne d’un Maître ou non. Puis-je savoir qui était cet homme ?

M. T., New York, Etats-Unis

Le Maître de Benjamin Creme indique que l’homme était un porte-parole du Maître Jésus.

Confirmation [sommaire]

Cher Monsieur,

En mars 2014, je tenais un stand sur la Réapparition à Betheda, dans le Maryland. Le matin, avant que les gens commencent à arriver, je fus soudain submergée par l’idée qu’il serait bien d’avoir un « bureau » c’est-à-dire un local où les gens puissent disposer à tout moment de livres et d’informations à feuilleter, à emporter, assister à des discussions et des méditations de transmission, et peut-être y organiser des conférences à un moment donné : un endroit public consacré à cette activité avec une petite bibliothèque et divers évènements connexes.

Quelques heures plus tard, comme les gens commençaient à affluer et s’agglutiner autour du stand, je vis un grand Noir passer sans regarder ni s’arrêter. Ce qui attira mon attention fut sa taille ainsi qu’un tuyau qui l’aidait à respirer. Plus tard dans la journée alors qu’il n’y avait pas de visiteurs près du stand, il se dirigea droit vers moi, sans regarder la documentation ni s’informer et demanda : « Avez-vous un bureau ? » Je fus surprise par la façon et le ton que je trouvais plutôt agressifs mais aussi par la question. Il ne cessa de répéter : « Où est votre bureau ? Avez-vous un bureau ? » Je réussis à lui dire que nous étions un groupe de bénévoles qui faisions ce travail mais que nous n’avions pas de local pour le moment.

Ces questions me rappelèrent précisément l’idée qui me trottait si intensément dans l’esprit ce matin-là. En fait mes pensées les plus fortes et les plus distinctes étaient d’avoir un bureau et comment agir face aux gens agressifs. Sa rencontre ainsi que la force qui émanait de sa personnalité et de ses mots m’ont laissée perplexe et désorientée comme si du point de vue énergétique j’avais reçu un coup de poing dans l’estomac. Alors je priai la « main » de Maitreya de pouvoir me concentrer car je devais faire un exposé dans la soirée. Heureusement, tout se passa mieux que je m’y attendais. Cet homme était-il quelqu’un de spécial ?

S. K., Potomac Falls, Virginie, Etats-Unis

Le Maître de Benjamin Creme indique que l’homme était un porte-parole du Maître Jésus.

Du même avis [sommaire]

Cher Monsieur,

Le 21 juin 2014, je suis allée distribuer des tracts sur la Réapparition au centre commercial de Beverwijk. A la fin de la journée, une dame de 75 ans s’approcha de moi. Elle était habillée de façon très conventionnelle et ressemblait à Major Bosshardt (une célèbre femme officier de l’Armée du salut) décédée il y a longtemps. Elle regardait beaucoup de personnes dire : « Non merci » à l’information que je leur tendais. Alors elle dit d’une voix très forte mais amicale que tout le monde alentour pouvait entendre : « Comment est-il possible que les gens disent non à une telle information ? » Elle prit un tract en disant : « Vous ressemblez à Major Bosshardt », et je répondis : « vous aussi. » Qui était cette dame si amicale ?

C. N., Pays-Bas

Le Maître de Benjamin Creme indique que la « femme » était une porte-parole du Maître Jésus.

Inspiration [sommaire]

Cher Monsieur,

Le 12 octobre 2014 ma mère et moi nous rendîmes au cimetière d’Anderlecht. Nous rentrâmes chez nous par le métro depuis Bruxelles. Dans le métro un couple très agréable vint s’asseoir en face de nous. L’homme avait des tatouages étranges. Soudain ma mère voulut à tout prix prendre une photo des mains de l’homme. Je fus surprise mais l’encourageai à lui demander la permission. C’est ce qu’elle fit et il fut d’accord. Toujours étonnée, je la regardai prendre la photo. Elle fut très satisfaite du résultat et leur montra la photo. Tous deux sourirent de façon très spontanée. Une fois dehors, je regardai la photo et à ma grande surprise je vis le mot « HOPE » (espoir) tatoué sur ses doigts. Était-ce un couple spécial ?

K. M., Bruxelles, Belgique

[Voir la photographie dans la version imprimée de la revue Partage international.]

Le Maître de B. Creme indique que le couple était des porte-parole du Maître Jésus.

 

Rayons

Selon le Maître DK, un rayon est « le nom donné à une certaine force ou à un certain type d’énergie, considéré sous l’angle de la qualité qui en émane ». Les rayons transmettent ainsi leurs qualités à toute la création, y compris la constitution humaine. L’âme, la personnalité, le corps mental, le corps émotionnel et le corps physique, sont tous colorés par l’un ou l’autre des sept rayons. De manière à faciliter l’étude et la compréhension des rayons, le Maître de Benjamin Creme, au fil des ans, a accepté de répondre à des questions portant sur la structure de rayons (et le niveau d’évolution) de certaines personnalités mais, par discrétion, jamais pour des personnes en vie. Pour approfondir cette étude, nous renvoyons le lecteur aux enseignements d’Alice Bailey (Lucis Trust), aux ouvrages de Benjamin Creme et aux précédents numéros de Partage international.
Aucun article pour cette rubrique

 

Forum Partage

Aucun article pour cette rubrique

 

Dernière de couverture

Aucun article pour cette rubrique

 

Cahier anniversaire

Le 19 juillet 1977, Maitreya, l’Instructeur mondial, est arrivé dans la communauté asiatique de Londres − son point d’attache dans le monde moderne − et le 22 juillet il a commencé sa mission. Trente ans plus tard, nous célébrons cet événement extraordinaire à travers les pages suivantes.
Aucun article pour cette rubrique

Questions-réponses

Réponses de Benjamin Creme

Lors de la Conférence européenne des groupes de transmission et dans la revue Partage international, vous avez déclaré qu’il serait souhaitable qu’un centre comme celui d’Amsterdam existe dans tous les pays. Je suppose cependant que vous ne vouliez pas dire qu’il fallait que cela se fasse à tout prix et dans n’importe quelles conditions. J’ai le sentiment que cela n’a pas été bien compris dans les groupes. Nous demandez-vous de louer ou d’acheter un local à tout prix, même si cela se fait aux dépens d’activités dont nous sommes certains qu’elles attireront du public ? [sommaire]

Il n’y a aucune obligation à ouvrir un magasin ou un centre. J’ai voulu dire qu’il fallait saisir les occasions s’il s’en présentait une. Sinon, continuez de faire le travail.

Maitreya continue-t-il de travailler au Moyen-Orient ? [sommaire]

Oui.

Maitreya est-il interviewé seul ou participe-t-il aussi à des débats ? [sommaire]

Les deux.

A quel point d’évolution le mirage est-il à son paroxysme ? [sommaire]

Entre la première et la deuxième initiation. Pour être plus précis lorsque le point d’évolution est 1,3.

Dans le numéro de janvier-février 2015 de la revue Partage international, quelqu’un a demandé si méditer sur la lithographie Mandala ouvert était bénéfique pour le sentiment d’unité dans le groupe. D’autres lithographies de Benjamin Creme pourraient-elles être utilisées de la même manière pour renforcer le sentiment d’unité ? [sommaire]

Plus ou moins.

En quoi est-il utile de connaître son point d’évolution ? [sommaire]

En général, cela donne à la personne concernée un certain sens des proportions et de la réalité.

La psychologie moderne a-t-elle contribué à l’évolution de la conscience ? [sommaire]

Oui.

Combien de fois Maitreya est-il apparu en Chine ? [sommaire]

Maitreya a donné cinq interviews depuis son retour en Chine, soit un total général de cent cinquante interviews, dont quinze en Chine.

Comment les téléspectateurs chinois ont-il réagi jusqu’à maintenant ? [sommaire]

Les réactions sont mitigées. Tout dépend du niveau de vie et des attentes des gens.

Certains changements seraient-ils souhaitables en psychologie et en psychothérapie ? [sommaire]

Oui. Tout d’abord, les psychologues doivent prendre conscience de l’existence de l’âme et l’accepter. Sans ce changement, la psychologie restera enfermée dans des mirages dépassés. Dans la même veine, Cézanne a fait une déclaration intéressante à propos de la peinture : « Les gens ne comprennent-ils donc pas que les objets ont une âme ? »

[1] Votre Maître et vous-même approuvez-vous le traitement imposé par l’Allemagne à la Grèce (et à d’autres pays européens) ? [2] L’allègement de la dette doit-il s’appliquer à la Grèce ? [sommaire]

[1] Non. [2] Oui, sans aucun doute.

Nouveau dans le groupe, j’aimerais savoir pourquoi Maitreya a choisi Londres comme centre ? [sommaire]

La réponse à cette question a été donnée en juillet 1982. Merci de consulter La Mission de Maitreya, Tome I. Voici néanmoins quelques détails complémentaires : à l’origine, Maitreya avait le choix entre Londres et New York. A l’époque, les disciples de Londres ont été considérés comme plus mûrs que ceux de New York, particulièrement dans le domaine politique. Ils maîtrisaient mieux les questions de politique mondiale.

Pourquoi Maitreya a-t-il décidé que son Emergence se ferait à Londres ? [sommaire]

On m’a souvent demandé : « Pourquoi Londres ? » avec une pointe de jalousie. « Quel est le problème avec New York, par exemple ? » Effectivement. Comme je l’ai dit dernièrement à Los Angeles, si j’avais été à la place de Maitreya, j’aurais certainement choisi Laguna Beach ou la Côte d’Azur. En fait, tout a été fonction du travail de préparation accompli par les disciples. Il s’est établi dans la partie du monde où les disciples ont le mieux suivi sa ligne de conduite et se sont montrés le plus efficaces, principalement dans les domaines économique et politique. Les disciples de Grande-Bretagne ont été plus efficaces que ceux travaillant dans d’autres parties du monde. C’est la raison principale qui l’a conduit à choisir Londres. Bien entendu, une autre raison évidente de son choix est que, venant de l’Himalaya et ayant séjourné au Pakistan, il a pu venir en Angleterre en visiteur pendant quelques années et se fondre dans la communauté indo-pakistanaise, ce qu’il a fait avec un certain succès.

[1] L’Instructeur mondial est-il en relation avec l’Esprit de vérité dont il est question dans l’Évangile de St Jean (16-13) ? [2] Quelle influence cela aura-t-il sur le message de l’Instructeur mondial ? [3] L’Instructeur mondial prévoit-il d’instituer des ministères dans un avenir proche ? [sommaire]

[1] Oui. [2] Il s’agit du même message d’Amour. [3] Ils existent déjà.

Maitreya est-il retourné en Russie dernièrement, eu égard à la situation instable qui y règne à l’heure actuelle ? [sommaire]

Non.

Travaille-t-il dans plusieurs pays ? [sommaire]

Oui, dans plusieurs pays du Moyen-Orient.