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avril 2014 – No 308

Sommaire


 

Article du Maître —

Des problèmes qui appellent l’action [sommaire]

par Le Maître –,

par l’entremise de Benjamin Creme, le 5 mars 2014

On peut dire, sans crainte de se tromper, que tout ne va pas bien dans le monde. Par exemple, le fossé qui sépare la grande richesse de l’extrême pauvreté ne cesse de se creuser. Un déséquilibre aussi prononcé est préjudiciable à la santé de toute société. Certes, parmi les plus riches, il s’en trouve bien quelques-uns qui partagent leur fortune avec les pauvres ; mais le plus souvent les riches ne songent qu’à le devenir encore davantage, au détriment de tous.

La marchandisation croissante de tous les aspects de la vie est en elle-même une bombe à retardement dont l’explosion conduira l’économie mondiale à sa ruine. Cela ne saurait tarder à se produire. Les tensions engendrées par le profond matérialisme de notre époque sont d’une telle ampleur que nous ne sommes pas loin du point de rupture. La plupart des gens n’ont pas conscience de ces forces, tant ils sont eux-mêmes impliqués dans le processus qui les crée.

Après l’effondrement, une seule issue s’offrira naturellement à l’humanité : l’adoption du principe du partage. En nombre croissant, les hommes se tournent déjà vers cette solution, quelle que soit la distance qui les sépare encore de son application effective.

Parallèlement, les problèmes écologiques auxquels le monde est confronté ne cessent de s’aggraver. Aujourd’hui, la plupart des pays reconnaissent que le réchauffement global est leur ennemi commun. La question qui les divise est de savoir si l’homme en est responsable, et jusqu’à quel point.

La voie la plus sage que l’humanité ait à suivre consiste à accepter sa responsabilité pour la majeure partie des contraintes qui pèsent sur le climat, et à adopter toutes les mesures susceptibles de remédier au problème. Certaines nations se sont engagées sur cette voie, mais pas toutes. A nos yeux, les hommes sont responsables à 80 pour cent de cette situation, tant par leurs choix de société que par leur immobilisme face au problème lui-même, et ils doivent tout faire pour en atténuer la gravité dans leur propre intérêt et dans celui de leurs enfants. Nous les aiderons, soyez-en certains, mais ils doivent assumer leur rôle.

Avec l’effondrement de l’économie mondiale, les hommes commenceront à se rendre compte de leur unité. Cette prise de conscience aura un impact profond sur leur attitude envers la guerre. Ils comprendront qu’ils sont liés les uns aux autres dans leur lutte pour la survie, et les paroles de Maitreya trouveront en eux un puissant écho. Partage, justice et liberté revêtiront pour eux toute leur importance ; ils verront dans ces idées les symboles de l’avenir, des droits inhérents à chaque être humain, et les clés de relations justes entre tous les hommes.

 

Editorial

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Point de vue

Lutter contre le changement climatique [sommaire]

par Kofi Annan,

Lorsque Nelson Mandela a fondé le groupe des Elders1 en 2007, dans le but de promouvoir la paix et les droits humains dans le monde, il nous a exhortés à faire preuve d’audace et à prêter notre voix à ceux qui en sont privés. Courage et force de conviction sont d’autant plus nécessaires pour s’attaquer au problème du changement climatique que la communauté internationale a échoué jusqu’ici à le régler.

Le changement climatique constitue le plus grand défi de notre temps. Il est une menace pour le bien-être de millions d’individus aujourd’hui, et pour celui de milliards d’autres, demain. Il compromet les chances d’accès à l’eau, à la nourriture, à la santé et au logement – des droits humains pour lesquels nous nous sommes battus toute notre vie.

Aucun individu, aucun pays n’échappera à l’impact du changement climatique. Mais ceux qui n’ont pas la possibilité de se faire entendre – parce qu’ils sont déjà marginalisés ou parce qu’ils ne sont pas encore nés – sont ceux qui courent le plus grand risque. Nous, les Elders, avons un devoir moral urgent de parler en leur nom.

Face aux preuves qui s’amoncellent, on peine à comprendre pourquoi les uns ou les autres traînent les pieds pour mettre en place le plan d’action concerté qu’exige la réduction des émissions des gaz à effet de serre. Le dernier en date des rapports du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) indique clairement que « la tendance au réchauffement de notre système climatique est sans équivoque » et que l’activité humaine en est très probablement la cause principale.

Au cours des derniers mois, les typhons aux Philippines, le vortex polaire en Amérique du Nord ou les inondations multiples en Europe, ont constitué autant d’exemples de l’accumulation d’événements météorologiques extrêmes. Evénements, qui, pour reprendre les termes d’une mise en garde des experts, sont la conséquence inévitable du changement climatique. Les coûts sont déjà colossaux. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle la Banque mondiale, le FMI et l’Agence internationale de l’énergie se sont joints à la communauté scientifique pour nous mettre en garde contre les risques que nous encourons. Les environnementalistes ne sont plus seuls à tirer la sonnette d’alarme.

Chaque année d’inaction qui s’écoule nous voit nous rapprocher du point de basculement – moment où les scientifiques craignent que le changement climatique ne devienne irréversible. Ne pas agir, c’est faire un pari terrible sur l’avenir de la planète et sur la vie elle-même.

Nous savons ce qu’il faut faire pour empêcher cette catastrophe. Il nous faut limiter la hausse des températures globales à moins de 2° Celsius au-dessus des niveaux de l’ère préindustrielle. Cela implique de tourner le dos aux énergies fossiles et d’accélérer le déploiement d’énergies renouvelables abordables, en concluant, par exemple, un accord global sur le prix du carbone. La voie à suivre passe par le respect du calendrier fixé pour la conclusion, l’an prochain, d’un nouvel accord sur le changement climatique qui soit solide, international et juridiquement contraignant, en vertu duquel chaque pays s’engage à réduire progressivement ses émissions de gaz à effet de serre.

Une année décisive

2014 est une année décisive. Le secrétaire général des Nations unies a appelé à la tenue d’un sommet sur le climat à New York en septembre. Il faut impérativement que les gouvernements et les chefs d’entreprise se rendent à ce sommet, porteurs de mesures ambitieuses pour le climat, si nous voulons avoir une chance de parvenir, en 2015, à un accord à la hauteur du défi.

Nous sommes nombreux, au sein des Elders, à avoir assumé des responsabilités gouvernementales. Nous ne commettons pas l’erreur de penser qu’il est facile de s’attaquer au problème du changement climatique. Mais nous savons que dans certains cas, quelles que soient les difficultés du contexte immédiat, les dirigeants doivent faire preuve de courage et d’audace. C’est le cas actuellement.

Nous savons également par expérience que si les leaders prennent les bonnes décisions pour les bonnes raisons, leurs électeurs les soutiendront. En choisissant d’avoir une vision à long terme et en s’affranchissant des contraintes imposées par les intérêts particuliers et les considérations politiques à court terme, ils peuvent également insuffler l’espoir, rétablir la confiance et mobiliser la société dans l’action.

La justice climatique exige, par ailleurs, que les pays les plus riches, qui ont la plus grosse part de responsabilité dans l’accumulation des gaz à effet de serre dans l’atmosphère et qui en ont tiré les bénéfices, aident les nations plus pauvres à s’adapter au changement climatique déjà en marche.

La communauté internationale est à la croisée des chemins. Au cours des prochains mois, les Elders appelleront les gouvernements, les entreprises et l’ensemble des citoyens à exercer un leadership audacieux pour parvenir à un monde neutre en carbone d’ici 2050. Jeunes ou vieux, riches ou pauvres, s’il y a une cause qui doit tous nous unir, c’est celle du changement climatique.

[Cet article a été publié à l’origine par www.theElders.org.]

1. Les Aînés, les Anciens.

Source : www.theElders.org

 

Compte rendu de lecture

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Compilation

Nous publions dans cette rubrique une sélection de citations de Maitreya (Messages de Maitreya le Christ et Enseignements de Maitreya : les lois de la vie), du Maître de Benjamin Creme (Un Maître parle) et de Benjamin Creme (divers ouvrages).

Liberté et justice (seconde partie) [sommaire]

Ceux qui aiment leurs frères forment mon peuple. Ceux qui se tiennent sur le seuil de l’avenir sont mes élus.
Ceux qui connaissent le chemin sont mes élèves. Montrez au monde, vous qui m’êtes chers, comme l’on vous instruit bien. Montrez au monde, mes amis, que vous prônez la Justice et l’Amour, le Partage et la Liberté, et manifestez ma Loi. [Message n° 124 (Maitreya)]

Maintenant commence pour l’humanité une grande aventure qui la conduira jusqu’aux sommets les plus élevés. Dans la simplicité, les hommes connaîtront la plénitude d’une vie nouvelle dont ils comprendront enfin le sens et le but. Des « Eaux de Vie » du Verseau s’écoulera l’abondance spirituelle à laquelle tous les hommes aspirent au fond de leurs cœurs.
Ainsi naîtra une nouvelle manière d’aborder les problèmes d’argent et de pouvoir, de privilège et de prestige. Le désir de servir remplacera le désir de profit, et l’aspiration à la justice supplantera la cupidité qui divise les hommes. Chacun est partie prenante dans l’instauration de cette liberté nouvelle. Il incombe à tous ceux qui ont une perception des événements à venir de bien jouer leur rôle. [La nouvelle simplicité (Maître –)]

Il nous faut donc élargir notre concept de la spiritualité et voir qu’il devient indispensable de baser nos structures politiques et économiques sur un fondement spirituel. Cela implique le partage et la justice, qui sont des notions spirituelles. Maitreya a déclaré : « Le partage est divin […] Quand vous partagez, vous reconnaissez Dieu en votre frère. » Il ne s’agit pas simplement d’une bonne idée, mais d’une idée divine. C’est la nature même de la divinité. La justice est divine, la liberté est divine, et Maitreya vient afin de nous montrer comment instaurer la justice et la liberté grâce au partage. Alors pourrons-nous établir des structures politiques, économiques et religieuses spirituellement correctes. [La Mission de Maitreya, tome II (B. Creme) ]

Mes amis, je suis plus proche de vous que vous ne pourriez l’imaginer, car je suis dans le cœur de tous ceux qui aiment leurs frères, de tous ceux qui désirent partager et répandre la lumière de la Justice et de la Liberté dans le monde. Je suis en vous maintenant. Je me vois moi-même, ce que je suis, dans le lotus de votre cœur, revêtu des couleurs de votre aspiration, et j’en éprouve une grande joie. C’est cette lumière, à l’intérieur de vous, qui m’a amené vers vous. Qu’elle se manifeste en tous lieux dans toute sa puissance et sa gloire, et qu’elle éclaire pour moi un chemin dans le monde. [Message n° 62 (Maitreya)]

Beaucoup luttent pour la liberté mais la refusent aux autres, oubliant que la liberté elle-même, comme la justice, est indivisible. Beaucoup cherchent à répondre uniquement à leurs besoins, oubliant que seule l’interdépendance permet d’assurer la satisfaction des besoins de tous. L’appel de Maitreya retentira aux oreilles des hommes : partagez pour sauver le monde. Coopérez pour connaître la vraie liberté. « Prenez votre frère par la main, et sachez qu’il n’est autre que vous-même. » Ainsi en sera-t-il. Ainsi le Grand Seigneur inspirera-t-il les changements dont le monde a tant besoin, ce monde qui souffre le martyre à mi-chemin entre déclin et renouveau. [Un monde en mutation (Maître –)]

La présence de Maitreya galvanisera l’humanité et l’incitera à procéder aux changements politiques, économiques et sociaux qui garantiront la paix, la justice et la liberté pour tous. Sa préoccupation majeure est la disparité qui existe entre le niveau de vie des pays développés et celui des pays en développement, disparité qui, affirme-t-il, constitue une menace pour l’avenir de la race humaine. Le terrorisme est l’un des principaux symptômes de ces divisions. Maitreya considère le principe du partage comme la clé qui permettra de résoudre nos multiples problèmes et le moyen d’amener l’humanité à établir des relations justes. Il nous dit : « Faites que votre action soit à la mesure des besoins de votre frère, et résolvez les problèmes du monde. Il n’y a pas d’autre voie. » [Unité dans la diversité (B. Creme) ]

La libération est le but de l’humanité. Je vous montrerai le chemin vers ce but, vous y conduirai et taillerai devant vous les marches de l’ascension. Mes Maîtres vous montreront comment vivre bien et simplement, dans un bonheur complet. Ils ont parcouru le chemin avant vous et le connaissent bien. Tels des enfants entièrement confiants, laissez-les vous montrer ce chemin ; laissez-les vous diriger pas à pas à travers le labyrinthe.
Et lorsque vous serez prêts, vous serez amenés devant ma Splendeur et, à travers moi, vous verrez le visage de Dieu. Faites le bon choix, mes amis ; faites-le maintenant. Prenez place aux côtés de ceux qui désirent partager et aimer, de ceux pour qui la Justice est divine. [Message n° 18 (Maitreya)]

Lorsque vous ferez l’expérience de la liberté, vous découvrirez qu’elle ne se trouve pas à l’extérieur, mais en vous. Vous comprendrez que la vraie liberté, la vraie sécurité, le vrai salut sont en vous.
Dès lors que vous faites l’expérience de la libération par rapport au mental, à l’esprit et au corps (c’est-à-dire par rapport au conditionnement), vous réalisez que vous êtes l’étincelle éternelle du Créateur suprême. Tout ce qui est autour de vous et en vous appartient au Tout-Puissant. Cela ne peut être gagné ni perdu. C’est indivisible. Cela appartient à tous et à chacun. [Les lois de la vie (Maitreya)]

Maitreya n’est pas un enseignant religieux. Il est essentiellement un Instructeur spirituel qui se soucie des besoins politiques, économiques et sociaux du monde. Il est l’Instructeur mondial pour tous, croyants ou non. On a tendance à considérer le sentier religieux comme le seul sentier spirituel. C’est seulement l’un des nombreux sentiers qui mènent à l’expérience de Dieu. Nous avons enfermé la politique et l’économie dans un matérialisme si profond que nous nous sommes mis dans les conditions critiques actuelles. Nous devons parvenir à une politique et une économie spirituelles grâce au partage, à la justice et à la liberté pour tous. Tel est le but de Maitreya. L’amour est l’action qui consiste à partager de manière juste. C’est le chemin qui mène à la paix. [Unité dans la diversité (B. Creme) ]

La destruction de ce qui fait obstacle à la manifestation de la divinité humaine : c’est cela dont nous sommes témoins. La liberté et la justice sont divines ; d’où cet élan nouveau qui anime les hommes, les poussant par millions à se libérer des chaînes du passé. C’est dans la douleur que se font souvent ces premiers pas urgents, mais les hommes savent dans leur cœur que l’heure du changement est proche. Depuis trop longtemps, l’homme exploite son semblable. Depuis trop longtemps, les riches accroissent leur fortune au détriment de ceux qui n’ont rien. Un nouveau réalisme commence à gagner les pensées des hommes quand ils considèrent les excès et les échecs de la décennie passée. [Lorsque retentira l’appel (Maître –)]

J’ai l’intention de me manifester rapidement et, en maintenant un certain rythme, de révéler au monde le fait de ma présence. Là où je réside, des mesures ont déjà été prises pour permettre à nombre de vos frères et sœurs de voir mon visage, d’entendre mes paroles, de répondre à ma présence et à mon appel à l’action. Grand a été l’enthousiasme de vos frères, ce qui constitue un heureux présage pour l’avenir de ma mission. Vous aussi, lorsque vous me verrez, vous répondrez de même, j’en suis convaincu, car en vous tous demeure la même lumière de vérité, de justice et de liberté que j’éveille en tous ceux qui m’entendent. Par conséquent, mes amis, ne craignez pas que l’humanité me rejette. Mes Plans sont en sécurité entre vos mains. [Message n° 65 (Maitreya)]

Rares sont ceux qui savent ce qu’est la fraternité, nombreux sont ceux qui rêvent de justice et se battent pour elle, mais jamais, à ce jour, ils n’ont réussi à la faire régner à l’échelle mondiale. Une justice relative a parfois été obtenue dans certains domaines : les syndicats ont combattu pour la justice dans les usines, des batailles ont fait progresser la justice dans le monde politique et économique. Jamais, semble-t-il, la quasi totalité de l’humanité n’a cessé de lutter pour la justice, parce que c’est le concept qui tient la première place dans l’esprit humain, qui est synonyme de relations justes. Voilà le sens du mot « justice ». Les hommes savent instinctivement, dans leurs aspirations les plus élevées, que la vie n’a de sens que dans et par l’établissement de relations justes. Mais comment y parvenir, si la justice n’existe pas ? […] La justice, comme l’amour, est considérée comme une expression de la nature de notre être divin. Et elle est indivisible. Il n’y a qu’une justice, qu’un amour, qu’une liberté, et c’est à cela que tous les êtres aspirent. [L’éveil de l’humanité (B. Creme) ]

Le processus de la glasnost en Union soviétique peut être perçu comme la nécessité de renoncer aux « anciennes méthodes » pour laisser place aux nouvelles. Cela vaut non seulement pour l’Union soviétique, mais pour de nombreux pays. Cette vision permet de comprendre les inévitables bouleversements qui se produisent dans le monde. Il s’agit du prélude à un changement nécessaire vers une société plus équitable où la liberté ne sera pas obtenue au détriment de la justice, ni la justice au détriment de la liberté. L’Union soviétique et les Etats-Unis préféreraient camoufler leurs points faibles, et leur tendance à vouloir prendre le contrôle d’autres pays reste forte. Cependant, ils commenceront à freiner leurs interventions et ce processus se poursuivra, ce qui contribuera à améliorer le climat régnant dans le monde et à augmenter la confiance en l’avenir. [Les lois de la vie (Maitreya)]

Le capitalisme sans le socialisme est un requin qui dévore tout ce qui passe à sa portée, sans conscience de groupe ni responsabilité sociale. Il nous faut donc retenir le meilleur de chacun de ces systèmes et les rassembler. Selon Maitreya, l’union des deux Allemagnes représente la réconciliation de deux systèmes opposés, le capitalisme et le communisme. Maitreya affirme qu’il en résultera une forme de démocratie sociale qui opérera la fusion des meilleurs aspects de chacun de ces systèmes. Ils sont tous les deux nécessaires : l’Occident a besoin de développer le sens de la justice, de la fraternité et de la protection sociale, mais dans les pays du bloc socialiste, la liberté individuelle de pensée, d’expression et de mouvement est tout aussi nécessaire. Selon Maitreya, ce nouveau système social est appelé à gagner progressivement toute l’Europe et, avec le temps, le monde entier. [La Mission de Maitreya, tome II (B. Creme) ]

Les peuples, lucides et résolus, ont tourné leur regard vers l’avenir : ils ont vu qu’il était possible de réaliser leurs aspirations à un monde de justice et de paix. Ils savent que ce monde ne se fera pas tout seul et que tous doivent ensemble se doter des moyens d’accomplir leur destinée. Ils savent aussi que le chemin sera ardu et dangereux mais que leur objectif est trop précieux pour qu’ils puissent tolérer un échec : leur récompense sera la fraternité, la justice et la paix ; et une vie meilleure, plus simple et plus vraie pour tous. Ils savent qu’aucun sacrifice n’est trop grand pour un tel but, et la mort elle-même ne les en détournera pas. Ainsi les peuples du monde prendront-ils possession de l’héritage de liberté et de justice auquel ils ont un droit inaliénable. Ainsi leur voix se fera-t-elle entendre, toujours plus forte, dans les mois et les années qui viennent. [PI, juillet/août 2013, La voix des peuples, messagère du futur (Maître –)]

Dans le monde entier les hommes s’ouvrent à l’idée qu’une vie meilleure est possible, fondée sur la liberté et la justice. Soyez sans crainte : la voix du peuple s’élève, ses revendications se répandent de façon contagieuse. Maitreya soutient ceux qui vivent – ou meurent – pour la liberté, la justice et l’unité du genre humain. Ce sont les jeunes qui montrent la voie, et l’avenir leur appartient. [PI, octobre 2011, L’épée de clivage en action (Maître –)]

Lorsque l’opinion publique mondiale s’exprimera par l’entremise des peuples de la Terre, c’est elle qui changera le monde. La tâche de Maitreya est de galvaniser l’opinion publique mondiale et de la focaliser sur quelques idées simples, de sorte que partout les gens réclament la justice, la liberté et le partage, seule voie possible pour parvenir à la justice, mettre un terme à la guerre et instaurer la paix. Nous ne parviendrons à instaurer la paix et à mettre fin au terrorisme que si nous établissons la justice sur Terre. Et la seule chose qui permettra d’instaurer la justice est le partage des ressources mondiales. [Unité dans la diversité (B. Creme) ]

L’humanité a les moyens de faire face, mais jusqu’à présent c’est la volonté qui lui a manqué. Nous devons comprendre que nous ne faisons qu’un, que tous les hommes et femmes sont des reflets du divin, qu’ils sont frères et sœurs, fils et filles d’un seul et même Père. Nous devons bannir à jamais la guerre  et partager les ressources de cette planète, car elles appartiennent à tous. Nous devons apprendre à vivre en harmonie avec la planète pour connaître entre nous un avenir d’harmonie.
Maitreya est venu galvaniser l’humanité. Dans le monde entier les hommes font entendre leur voix, réclamant justice et liberté. Beaucoup sont morts pour exiger ce droit à la liberté et à la justice qui est un don de Dieu. Maitreya appelle tous les hommes et femmes du monde à se voir comme il les voit lui-même : essentiellement divins, fils et filles de la divinité même. [PI, avril 2011, La responsabilité de l’homme (Maître –)]

Prenez position pour la Justice, la Liberté et la Vie, et dotez-vous de la Puissance de Dieu. Rien ne peut entraver la Puissance de Dieu. Rien ne peut arrêter le Plan de Dieu. Rien ne peut, si ce n’est momentanément, entraver la Volonté de Dieu. Sachez qu’il en est ainsi. Gardez cela à l’esprit, mes amis, et travaillez comme jamais vous ne l’avez fait auparavant. [Message n° 128 (Maitreya)]

C’est à nous d’agir, d’accomplir les changements nécessaires. Comme le dit Maitreya : « Les choses ne se font pas d’elles-mêmes. L’homme doit agir et accomplir sa volonté. » [Message n° 31] Nous ne pouvons nous contenter de rester les bras croisés et de laisser les autres agir. Si nous voulons le changement, nous devons agir, appeler au changement, manifester, nous organiser, faire tout ce qui est en notre pouvoir dans la légalité pour faire connaître notre désir de changement à ceux qui ont le pouvoir de changer les choses. C’est l’occasion pour chacun d’ouvrir la voie, d’appeler au changement, de lancer un appel européen en faveur de la justice et de la liberté. Pourquoi ne le faites-vous pas ? Vous pourriez être en train de manifester en faveur de la paix, de la justice et de la liberté dans le monde. C’est la seule façon de faire bouger les choses. Ce genre d’action peut être inspiré par Maitreya ; son énergie y contribuera. Mais c’est nous qui devons réclamer le changement.
La voix du peuple monte, mais il faut encore trop souvent prêter l’oreille pour l’entendre. Nous devons la renforcer. Ce que Maitreya peut faire, c’est éduquer, informer, inspirer, créer un véhicule fiable – la voix des peuples de tous les pays de la Terre – contre laquelle aucune nation ne pourra résister. [L’éveil de l’humanité (B. Creme) ]

Aidez-moi dans ma tâche, mes frères et sœurs, et informez tous ceux que vous connaissez que le besoin de justice est d’une importance suprême dans notre vie. Seul le manque de justice sépare l’homme de l’homme et menace l’humanité elle-même. Sachez-le, mes amis et frères, et sachez que la Lumière triomphera. [Message n° 126 (Maitreya)]

Prenez part aux réjouissances
par le Maître –, par l’entremise de B. Creme, juin 1996
Ces dernières années, un phénomène nouveau a fait son apparition : les hommes ont commencé à exiger de leurs gouvernements le droit à la liberté et à l’autodétermination. Jusqu’à présent, il est vrai, l’Histoire a connu de brefs épisodes au cours desquels l’humanité a tenté de conquérir ces droits d’essence divine, et les grandes révolutions qui l’ont jalonnée marquent cette éternelle aspiration des hommes à l’héritage de liberté qui leur revient en tant que fils de Dieu. Aujourd’hui, cependant, c’est dans le monde entier que se répand un élan de liberté nouveau et puissant : par millions, les hommes revendiquent ce droit fondamental, qui consiste à déterminer eux-mêmes leurs conditions de vie et d’évolution.
Les gouvernements doivent désormais prendre cette exigence en considération, et adapter leurs stratégies à ce nouvel impératif. Il en est peu qui puissent impunément ignorer le légitime appel à la justice et à la liberté qui jaillit du cœur d’une humanité emprisonnée.
Derrière cette quête, inutile de le dire, se tiennent Maitreya et son groupe. Depuis longtemps, ils s’efforcent de stimuler de telles revendications, et d’éveiller les hommes à la nécessité de la liberté individuelle sans laquelle les plus grands accomplissements ne signifient rien. Lentement mais sûrement, les hommes ont répondu à cet appel venu d’en haut et aujourd’hui, de plus en plus unis, ils se tiennent prêts à faire connaître leurs demandes et à prendre possession de leur héritage en tant que fils de Dieu en évolution.
Bientôt, leur cri bousculera la conscience de ce monde, et un nouveau chapitre s’ouvrira dans l’évolution de la race des hommes. Suscitant une réponse massive, Maitreya fera valoir que l’heure est venue de reconnaître à tous le droit de prendre part de manière équitable aux affaires mondiales ; de jouir d’une certaine liberté, comme il est juste et naturel que ce soit le cas ; et de bénéficier de mesures assurant à chacun la satisfaction de ses besoins fondamentaux.
Inévitablement, il y aura des résistances à cet appel à la justice et à la liberté, car il en est beaucoup qui ne chérissent ces valeurs que pour eux-mêmes. Toutefois, le monde s’apercevra bientôt de leur incontournable nécessité et, avec gratitude, les hommes se tourneront vers Maitreya pour solliciter aide et conseil. Ainsi en sera-t-il. Ainsi le Fils de l’Homme guidera-t-il à nouveau les fils des hommes. Ainsi les hommes renouvelleront-ils leur alliance avec le plan évolutionnaire, ainsi reprendront-ils leur ascension vers les cimes.
Le temps est venu où tous devront prendre position : pour ou contre tout progrès futur sur Terre – telle est la question à laquelle chacun se verra confronté. L’avenir vous appelle à la liberté et la justice, et vous convie à prendre part aux réjouissances.

 

De nos correspondants

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Dossier

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Signes des temps

Les « Signes des temps » présentés dans cette rubrique ont été confirmés par le passé par Benjamin Creme ou s’imposent d’eux-mêmes sur la base de l’espoir et de la foi qu’ils suscitent. Nous les soumettons à votre réflexion.

Israël : une statue de la Vierge verse des larmes [sommaire]

A Tarshiha, au nord d’Israël, des milliers de personnes ont rendu visite à une famille grecque orthodoxe pour voir une statue de la Vierge qui verse des larmes d’huile. Le 12 février 2014, Amira Kouri a remarqué de l’huile sur le visage de la statue que sa famille avait achetée l’année précédente. Elle raconte : « Ma sœur lui a nettoyé le visage et nous sommes restées là à observer. Alors nous vîmes de l’huile s’écouler de ses yeux. Nous fûmes bouleversées. Le lendemain matin nous constatâmes que la statue était couverte d’huile. » Amira Kouri affirme que la statue lui a dit de ne pas avoir peur.
[Voir les photographies dans la version imprimée de la revue Partage international.]

Le Maître de Benjamin Creme indique que le miracle est une manifestation de Maitreya.

Source : Associated Press, ITN News ; Sky News

Signe dans un fruit [sommaire]

Cher Monsieur,

Le matin du 28 août 2013, alors que mon moral était au plus bas, j’eus l’agréable surprise de trouver le dessin d’un cœur dans la partie centrale d’un kiwi que j’avais coupé en deux. J’eus le sentiment d’un amour évident. Je vous envoie une photo que j’ai prise juste après.
Etait-ce le signe d’un Maître ? Merci. Cœurs d’amour à tous.

A. L., Dijon, France

Le Maître de Benjamin Creme indique qu’il s’agit d’une bénédiction du Maître Jésus.

L’« étoile » de Maitreya à Ontario [sommaire]

Windsor, Ontario, Canada – Objet brillant et coloré filmé dans le ciel le 1er avril 2013.

[Voir la photographie dans la version imprimée de la revue Partage international.]

Le Maître de Benjamin Creme indique que cet objet coloré était l’« étoile » de Maitreya.

Source : YouTube : kayakless Ontario

Bénédiction du Maître Jésus dans le West Yorkshire [sommaire]

Cette photo, envoyée par M. W., a été prise juste avant Noël 2013 dans le West Yorkshire (G.-B). Elle montre son fils Leo. La lumière brillante est une bénédiction du Maître Jésus.
[Voir la photographie dans la version imprimée de la revue Partage international.]

Figure biblique [sommaire]

Cher Monsieur,

En juin 2013, mon neveu J. L., âgé de 19 ans, était à Rome. La nuit du 25, entre 4 et 5 h du matin, un ami et lui, assis sur un banc devant le Vatican, virent passer un homme grand aux cheveux noirs, portant une barbe et une robe blanche. Ils le prirent en photo. Il les salua en espagnol puis s’arrêta un peu plus loin et s’accroupit. C’est à ce moment que mon neveu et son ami partirent. Nous nous demandons si cet homme n’était pas le Maître Jésus ?

I. G. A., Valence, Espagne

 [Voir la photographie dans la version imprimée de la revue Partage international.]

Le Maître de Benjamin Creme indique que l’homme grand vêtu de blanc était Maitreya.

Une fillette de huit ans verse des larmes en forme de cailloux [sommaire]

Ce miracle qui en rappelle plusieurs autres relatés au fil des années dans Partage international, a déconcerté les experts médicaux yéménites. Lorsque Saadia Al Jaharani, une fillette de huit ans, se met à pleurer, de petits cailloux sortent de ses yeux.

Dans une interview accordée à Gulf News, dans son petit village situé dans la province de Hodeida à l’ouest du Yémen, le père de Saadia, Mohammad Saleh Al Jaharani, déclare que les petits cailloux ont commencé à sortir des yeux de sa fille fin janvier 2014. « Elle a passé de nombreuses radios dans des cliniques locales et les médecins n’ont rien trouvé de spécial en ce qui concerne ses yeux », a-t-il ajouté.

Une vidéo de la chaîne de télévision yéménite Azal publiée sur YouTube montre de minuscules cailloux ressemblant à du gravier sortant de la partie inférieure des paupières de la fillette, au lieu de larmes. Un médecin local interviewé par la chaîne de télévision déclare qu’il n’avait aucune explication scientifique à fournir.

La fillette verse également des larmes et ses yeux ne produisent pas de cailloux lorsqu’elle dort. La plupart des cailloux sortent dans l’après-midi et le soir. Les cailloux ne lui font pas mal et elle vit une vie normale. Selon son père, les yeux de Saadia produisent parfois jusqu’à cent cailloux par jour. « Aucun de mes enfants n’a vécu quelque chose de similaire », a-t-il déclaré.

[Voir les photographies dans la version imprimée de la revue Partage international.]

Le Maître de Benjamin Creme indique que ce miracle est manifesté par Maitreya.

Source : gulfnews.com

Stupeur en Israël à propos d’un cancer guéri par la prière [sommaire]

Thérèse Daoud, une Israélienne, était atteinte d’un cancer à la jambe. Selon le professeur Yaakov Bickels, chef du service d’oncologie orthopédique à l’hôpital Ichilov de Tel Aviv, la biopsie avait révélé un sarcome de la taille d’une orange : « C’est l’une des tumeurs cancéreuses les plus agressives et terrifiantes, a-t-il précisé. A ce stade, le seul traitement était l’amputation. »

En état de choc, Thérèse s’était résignée à vivre avec une seule jambe. Mais l’opération a été retardée deux fois et la troisième fois elle l’a reportée elle-même parce que sa mère était malade. C’est alors qu’elle changea d’avis. « Trois fois la chirurgie a été retardée, explique-t-elle. C’était pour moi un signe clair du ciel que je ne devais pas avoir de chirurgie. » Le professeur a déclaré : « Quand elle m’a annoncé qu’elle avait décidé de ne pas se faire amputer, il était évident pour moi qu’elle mourrait sous peu. J’étais désolé de sa décision. »

Thérèse a prié à l’église pour sa guérison. Trois mois plus tard, elle est entrée en marchant sans aide dans le bureau du professeur Yaakov Bickels avec un « large sourire. » Une IRM et une biopsie avaient révélé la disparition de la tumeur. Les médecins et les infirmières ne pouvaient pas croire les résultats. « Nous avons vérifié ses examens à plusieurs reprises, a déclaré Yaakov Bickels. Nous ne pouvions croire que la tumeur ait pu disparaître sans aucun traitement. »

Des chaînes d’information israéliennes ont déclaré que le miracle ne pouvait trouver aucune autre explication que la puissance de la foi. Le personnel médical a même analysé la nourriture et l’eau qu’elle avait prises, mais en vain. Selon le magazine Israel Today, il ne restait plus qu’une seule explication, « que la prière en Yeshua, le Messie d’Israël, guérit encore aujourd’hui. »

Le Maître de Benjamin Creme indique que la guérison de Thérèse Daoud a été manifestée par Maitreya.

Source : israeltoday.co.il

 

S.O.P. — Sauvons notre planète

Hormis la guerre, rien ne compromet aussi gravement l’avenir de l’humanité que la pollution. Constatant qu’il en est ainsi, certains pays ont pris des mesures pour la réduire et pour limiter le réchauffement climatique. D’autres, parfois parmi les plus gros pollueurs, nient la réalité d’un tel réchauffement en dépit des preuves qui s’accumulent. A tout moment, dorénavant, les changements climatiques montrent sans l’ombre d’un doute que la planète est malade, qu’elle a besoin de soins immédiats et attentifs pour retrouver l’équilibre. Le temps nous est compté pour mettre fin aux ravages que subit quotidiennement la planète Terre. Chaque homme, chaque femme, chaque enfant a son rôle à jouer dans sa restauration. Oui, le temps presse. Save Our Planet (S.O.P.), sauvons notre planète ! (Source : Le Maître de B. Creme, S.O.P. Sauvons notre planète, 8 septembre 2012)

Les enfants sont touchés par une pandémie chimique généralisée et silencieuse [sommaire]

par Andrea Germanos,

Des produits chimiques comme certains pesticides et solvants seraient à l’origine d’un nombre croissant de cas de désordres neuro-développementaux chez les enfants, comme l’autisme ou les troubles d’hyperactivité et de déficit d’attention.

Cette découverte, publiée en février 2014 dans Lancet Neurology, est présentée dans une étude réalisée par Philippe Grandjean, professeur adjoint de santé environnementale à l’Ecole de Santé publique de Harvard et Philip Landrigan, doyen pour la « Santé mondiale » à Mount Sinai (Etats-Unis).

« Le plus préoccupant, c’est le grand nombre d’enfants touchés par des troubles de développement du cerveau causés par des produits toxiques en l’absence de tout diagnostic formel. Ils souffrent de troubles de l’attention, de retards dans leur développement et ont de mauvais résultats scolaires. Des produits chimiques industriels pourraient en être la cause », déclare P. Grandjean.

Cette nouvelle étude fait suite à celle de 2006 réalisée par les mêmes auteurs, dans laquelle ils avaient passé en revue des études cliniques et épidémiologiques et identifié cinq produits chimiques industriels qui seraient à l’origine de troubles neuro-développementaux : le plomb, le méthylmercure, les biphényles polychlorés, l’arsenic et le toluène.

Dans leur dernière étude, P. Grandjean et P. Landrigan mettent à jour leur liste avec six nouveaux produits chimiques toxiques pouvant causer des troubles neuro-développementaux : le manganèse, le fluorure, le chlorpyrifos et les DDT (pesticides), le tétrachloroéthylène (un solvant) et les éthers diphényliques polybromés (souvent utilisés en tant que retardateurs de flamme).

Selon les auteurs, le manganèse est associé à la dégradation des fonctions intellectuelles et aux troubles moteurs, et les solvants sont associés à l’hyperactivité et aux comportements agressifs.

« La présomption que les nouveaux produits chimiques et les nouvelles technologies sont inoffensifs jusqu’à preuve du contraire représente un problème fondamental, écrivent les auteurs, ajoutant : Les contrôles volontaires ne sont pas significatifs. »

Afin de faire face à cette « pandémie généralisée et silencieuse », les auteurs soulignent l’urgence de mettre en place une stratégie internationale qui évaluerait exhaustivement la dangerosité des nouveaux produits chimiques avant de les mettre sur le marché. Ils ajoutent que les produits chimiques industriels et pesticides présents sur le marché devraient être testés.

« C’est un problème d’envergure internationale et sa résolution doit donc s’effectuer à ce niveau, explique P. Grandjean. Les méthodes pour tester les produits chimiques industriels existent et permettent de vérifier si ces produits ont des effets néfastes sur le développement du cerveau des enfants. Le moment de rendre ces tests obligatoires est maintenant arrivé. »

Source : commondreams.org

Vers l’élimination des déchets plastiques [sommaire]

Au cours des dernières années, des baleines sont mortes de malnutrition, de maladies de l’estomac et d’obstruction intestinale en raison du fait qu’elles avaient avalé plusieurs kilos de sacs en plastique, du matériel de pêche et des bâches utilisées dans les serres pour cultiver des produits en vente dans nos supermarchés. Différentes espèces de baleines telles que les baleines grises, les baleines de Cuvier et celles à bec de Gervais confondent nos déchets de plastique avec leurs proies, comme les calmars. Les tortues de mer prennent les sacs en plastique pour des méduses et des milliers de poussins d’albatros sur l’atoll de Midway meurent chaque année parce qu’ils sont nourris avec un régime de déchets en plastique que leurs parents prennent pour de la nourriture. Plus d’un million d’oiseaux et 100 000 mammifères marins meurent chaque année à cause de nos déchets de plastique soit après en avoir ingéré, soit se laissant lentement étouffer par ceux-ci. On estime que depuis les années 1970, environ six millions de tonnes de déchets sont déversés dans les océans de la planète chaque année ; ces déchets sont constitués à 80 % de plastiques.

Lors de fortes pluies et d’inondations, les déchets provenant de décharges peuvent être emportés par les cours d’eau jusqu’à la mer. Il faut aussi y ajouter les déchets provenant de la navigation maritime.

Les combustibles fossiles sont utilisés pour fabriquer des plastiques qui ne sont pas biodégradables mais se décomposent plutôt sous l’effet de la lumière en une multitude de morceaux microscopiques. Des particules de plastique colorées et microscopiques ont été retrouvées sur toutes les plages du monde. Les polymères qui composent le plastique conservent leur structure moléculaire intrinsèque, ce qui empêche toute dégradation ultérieure. Ces petits morceaux existent dans toute la colonne d’eau, depuis la surface de l’océan jusqu’au fond de la mer et on en trouve dans chaque mètre cube d’eau de mer. A l’heure actuelle, on estime que la mer Méditerranée contient plus de trois millions de tonnes de déchets en plastique et les océans de la planète plus de 200 millions de tonnes. Chaque personne dans le monde développé jette en moyenne 726 kg de déchets plastiques chaque année selon l’Agence américaine de protection de l’environnement.

Les produits chimiques ajoutés aux plastiques polymères pour permettre de les mouler sont des perturbateurs endocriniens et certains additifs sont cancérigènes. Ceux-ci migrent hors du plastique lorsqu’ils sont exposés à différentes températures et différentes solutions dans l’environnement naturel ; ils se retrouvent ainsi à l’intérieur de tous les êtres vivants qui les ingèrent, entraînant une contamination tout le long de la chaîne alimentaire. On a retrouvé des concentrations de phtalates et de bisphénol A dans le sang de 100 % des personnes qui ont participé à une étude américaine.

Beth Terry, d’Oakland, en Californie, a lu un article il y a six ans qui montrait la photo d’un poussin albatros mort rempli avec le type d’articles en plastique dont elle se servait tous les jours. Elle a décidé de renoncer à la consommation de produits en plastique autant que possible. Cela impliquait une remise en question systématique de ses achats quotidiens.

Il en est résulté une nouvelle approche avec un grand impact sur le plan personnel et philosophique afin de ne plus nuire à soi-même, aux autres et à l’environnement, afin de protéger notre santé, de soutenir les petites entreprises éthiques plutôt que les multinationales, de développer notre ingéniosité et notre autonomie, d’emprunter ou de partager plutôt que d’acheter de nouveaux produits en matière plastique et d’examiner nos valeurs et l’importance que nous accordons à certaines choses dans la vie.

B. Terry tente de travailler dans le sens d’un changement systémique, y compris par des mesures législatives contre les entreprises qui ne sont pas jusqu’à présent obligées de mentionner les composés chimiques utilisés dans les produits en plastique. Elle a ainsi été choquée de découvrir que les sacs plastiques alimentaires contiennent des produits chimiques antibactériens sans que le public en ait connaissance. En résumé, elle a pris conscience du fait que les choses qui font son bonheur n’arrivent pas enveloppées dans du plastique et qu’une seule personne peut faire la différence parce que la moindre contribution à l’élimination de plastique compte.

B. Terry est maintenant écrivain, elle milite pour sensibiliser au changement vers un mode de vie plus simple et plus sain pour tout le monde.

Source : Mermaid’s Tears, Oceans of Plastic, documentaire réalisé par Sandrine Feydel en 2009 ; Beth Terry, Plastic free, Skyhorse Publishing, E.-U., 2012 ; oceancrusaders.org

 

Tendances

Dans le monde actuel s’affirme une tendance de plus en plus prononcée à la synthèse, au partage, à la coopération, à de nouvelles approches et avancées technologiques pour la sauvegarde de la planète et le bien-être de l’humanité. Cette rubrique présente des événements et courants de pensée révélateurs d’une telle évolution.

La Journée internationale des femmes [sommaire]

Le 8 mars 2014, la Journée internationale des femmes a célébré les accomplissements sociaux, politiques et économiques de certaines femmes à travers le monde, tout en attirant l’attention sur les domaines où demeurent bien des inégalités entre les sexes. Une vidéo interactive met en valeur les réalisations inspirantes de plus de 100 femmes, comme la présidente de la Lituanie, et Malala Yousafzai, la courageuse militante pakistanaise en faveur de l’éducation des filles.

Les inégalités hommes/femmes ont diminué, sans toutefois disparaître. En particulier, l’accès à l’enseignement demeure semé d’obstacles pour des filles. Au Ghana, 34 % des filles doivent travailler avant l’adolescence et 20 % sont mariées avant l’âge de 18 ans. Dans ce pays, le manque d’enseignants et de locaux prive beaucoup de filles de toute scolarité.

Sport Relief soutient des projets de changements systémiques, s’associant avec VSO et Afrikids afin de travailler aux côtés des communautés locales. Ces organismes ont institué la formation continue à l’école primaire de Kparugu, et réduit le nombre des grossesses d’adolescentes et de mariages entre enfants en incitant à changer les réglementations locales. Ils ont également mis en œuvre de nouvelles mesures destinées à améliorer l’enseignement des filles et l’assistance aux enfants handicapés.

Il est également efficace de proposer des modèles à imiter. Les clubs de filles sont un moyen précieux de partager les informations sanitaires et de renforcer la détermination de certaines à terminer leur cursus scolaire en dépit des pressions extérieures.

La Journée internationale des femmes encourage partout et de toutes les manières possibles l’amélioration de la condition des femmes. Elle appelle à remettre en cause le statu quo, afin de progresser vers davantage d’égalité et de vigilance pour les femmes, et inspire ainsi des changements positifs. Le vaste éventail des moyens de communication, les soutiens publics à la cause de l’égalité des femmes avec les hommes, les recherches effectuées sur ce sujet, ainsi que des campagnes et les prises de responsabilité au sein de certaines entreprises, montrent que chacun peut désormais se faire l’avocat de la cause des femmes et induire des changements positifs dans ce domaine.

Source : The Independent, G.-B. ; internationalwomensday.com

Le conseil municipal de Los Angeles veut interdire la fracturation hydraulique [sommaire]

Los Angeles est devenue la plus grande ville des Etats-Unis à décréter un moratoire sur la fracturation hydraulique. En février 2014, le conseil municipal a approuvé à l’unanimité des projets de réglementations bannissant cette pratique sur le territoire de la ville. Selon Eco Watch, la fracturation hydraulique, ainsi que les forages similaires, seraient interdits jusqu’à ce que la ville « ait l’assurance que ces pratiques ne menacent ni la sécurité des résidents, ni l’eau potable. Cette assurance pourrait émaner de régulateurs fédéraux ou de l’Etat de Californie, s’ils fournissaient toutes les protections nécessaires ou bien assuraient que la fracturation hydraulique est sans danger. »

Le conseil municipal a réagi à un tollé contre ces pratiques de la part de résidents inquiets et d’écologistes. Une telle interdiction préserverait des milliers de puits abandonnés ou en service dans toute la ville.

Source : ecowatch.org ; Los Angeles Times

Accord mondial contre l’extermination illégale des animaux sauvages [sommaire]

Les représentants de 46 pays se sont mis d’accord pour prendre « des mesures urgentes et décisives » contre les trafics illégaux d’animaux sauvages responsables chaque année de la mort de milliers d’éléphants, de rhinocéros, de tigres, et d’autres animaux appartenant à des espèces en danger.

La déclaration adoptée par le Congrès sur le trafic illégal des animaux sauvages, qui s’est tenu à Londres en février 2014, exige qu’il soit mis un terme au commerce de produits illégaux issus d’animaux sauvages, le renforcement des moyens mis en œuvre pour faire respecter la loi, et que les communautés affectées par ce trafic soient aidées pour re-trouver un moyen de vivre décent.

L’Institution mondiale pour l’environnement, qui finance le plus grand nombre d’initiatives écologiques au monde, se trouve parmi les organismes ayant promis de consacrer des fonds importants à la mise en œuvre des projets du congrès. Autre conséquence de ce congrès : les présidents du Botswana, du Tchad, du Gabon et de Tanzanie, ainsi que le ministre des Affaires étrangères d’Ethiopie, ont promis d’allouer de nouveaux financements au Plan d’action africain pour les éléphants, de mettre fin pendant au moins dix ans à tout commerce de produits utilisant de l’ivoire, et de fermer les points de vente d’ivoire existant dans leurs pays respectifs.

Source : Environnement News Service ; theguardian.com

 

Entretien

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Environnement

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Esotérisme

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Faire le lien

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Faits et prévisions

Au fil des années, Partage international a régulièrement publié des articles soulignant les attentes de Maitreya, telles qu'elles ont été présentées par l'un de ses collaborateurs vivant à Londres au sein de la même communauté, à propos d'un certain nombre de changements politiques, sociaux, écologiques et spirituels devant se produire dans le monde. Périodiquement, Benjamin Creme et son Maître ont également partagé leur point de vue sur les développements à venir. Dans cette rubrique intitulée « Faits et Prévisions » notre rédaction analyse les nouvelles, les événements et les déclarations ayant un rapport avec ces prévisions et points de vue.

Expériences avec des cellules souches pour traiter le diabète [sommaire]

« Quand les médecins seront formés à l’utilisation de la technologie de la lumière, nous n’aurons plus besoin de médicaments, ni d’actes chirurgicaux dans le domaine de la santé. Les scientifiques, en Russie et en Amérique, effectuent déjà des expériences de manipulation génétique, et ces expériences se poursuivront jusqu’à ce qu’il devienne possible de transmettre une information génétique à un organe malade afin de le régénérer sans avoir recours à la chirurgie. A l’avenir, le besoin de disposer d’un si grand nombre d’hôpitaux diminuera, car les malades pourront être soignés en quelques heures, même dans les cas les plus graves. » [Maitreya, par l’entremise de son collaborateur, Partage international, juin 1989]

A l’Institut Gladstone de San Francisco, des chercheurs spécialistes des technologies sur cellules souches ont réussi à réparer des cellules endommagées dans le pancréas de souris atteintes de diabète de type 1, en les remplaçant par des cellules souches saines. Cela pourrait conduire à un traitement pour le diabète de type 1, maladie qui se développe dans l’enfance. Sans insuline, le corps ne peut absorber les sucres comme le glucose du sang. Le traitement du diabète de type 1 implique habituellement un suivi de l’apport alimentaire/glucose et des injections quotidiennes d’insuline.

Les scientifiques ont longtemps cherché à remplacer les cellules ß endommagées qui produisent normalement de l’insuline. Cela avait été l’un des premiers objectifs des expériences sur les cellules souches, mais jusqu’à présent, cela s’est avéré difficile, notamment parce que les cellules ß matures ne se régénèrent pas facilement.

Le scientifique Ke Li a indiqué que huit semaines après la transplantation des cellules de remplacement, elles s’étaient transformées en véritables cellules ß de pancréas, fonctionnelles et sécrétant de l’insuline.

Source : The Guardian, Royaume-Uni

Le génie génétique traite certaines maladies pulmonaires [sommaire]

Des recherches menées à l’Hôpital pour enfants de Boston, au Massachusetts (Etats-Unis), ont porté sur la possibilité de traiter certaines maladies pulmonaires par génie génétique.

Lors de la présentation de leurs conclusions dans le numéro de janvier de la revue Cell, Carla Kim et Joo-Hyeon, responsables du programme, ont constaté que le traitement peut être possible par l’introduction de protéines qui incitent les cellules souches pulmonaires à produire les types de cellules spécifiques nécessaires à la réparation du poumon endommagé.

Dans les maladies affectant les poumons, comme l’asthme, l’emphysème et la fibrose pulmonaire, ce sont les cellules épithéliales alvéolaires qui sont atteintes. Ce sont les cellules qui tapissent les petits sacs (alvéoles) où l’échange de gaz a lieu et les dégâts peuvent être irréversibles.

En utilisant un nouveau modèle de culture en trois dimensions qui imite l’environnement du poumon, les chercheurs ont montré que même une seule cellule souche pulmonaire pouvait être amenée à produire des cellules épithéliales alvéolaires et bronchiolaires. En ajoutant une protéine à ces cultures, ils ont favorisé la production des cellules alvéolaires par les cellules souches.

Source : sciencedaily.com

Des greffes de cellules souches pour rendre la vue aux aveugles [sommaire]

Le professeur Astrid Limb et l’équipe de recherche de l’Institut du collège universitaire d’ophtalmologie de Londres, au Royaume-Uni, ont mis au point une thérapie par greffe de cellules souches qui s’est avérée préserver l’intégrité de la rétine. On espère pouvoir l’utiliser pour traiter les effets du glaucome et d’autres atteintes du nerf optique.

Le glaucome est une maladie oculaire caractérisée par la perte progressive des cellules ganglionnaires de la rétine. L’Organisation mondiale de la santé indique que le glaucome est la deuxième cause de cécité dans le monde, après la dégénérescence maculaire liée à l’âge. Cela concerne dans le monde plus de 70 millions de personnes. Les traitements actuels contre le glaucome ne font qu’en ralentir la progression mais ne rétablissent pas la faculté visuelle. Ce gain partiel de capacité visuelle aidera à améliorer la qualité de vie des patients qui souffrent d’une cécité due au glaucome.

Source : bbc.co.uk

Traitement par cellules souches contre la cécité liée à l’âge [sommaire]

La dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) est la principale cause de cécité. Des chercheurs du service d’ophtalmologie de l’hôpital de l’Université de Bonn, en Allemagne, et le Neural Stem Cell Institute de New York aux Etats-Unis, ont mis au point une méthode utilisant des cellules souches pour remplacer les cellules détruites dans l’œil par la DMLA. Leurs résultats ont été présentés dans la revue Stem Cell Reports.

La DMLA est associée à une perte progressive de l’acuité visuelle avec incapacité de lire ou de conduire une voiture. Le champ de vision central est flou, comme recouvert par un voile, à la suite de dommages dans une couche de cellules sous la rétine. Jusqu’à présent, il n’existait aucun remède ; les traitements ne faisant seulement que soulager les symptômes.

« Les résultats des expériences montrent que les cellules de l’épithélium pigmentaire de la rétine obtenues à partir de cellules souches adultes sont capables de remplacer les cellules détruites. Cependant, l’application clinique demandera encore du temps », a déclaré le Dr Stanzel, de l’Université de Bonn.

Source : bbc.co.uk

Thérapie génique dans une maladie incurable de l’œil [sommaire]

Des chercheurs de l’Université d’Oxford au Royaume-Uni ont en partie corrigé l’anomalie génétique responsable de la choroïdérémie, maladie héréditaire de l’œil jusqu’ici incurable, grâce à la thérapie génique. Les résultats ont dépassé leurs attentes. Les six patients qui ont pris part aux essais cliniques ont connu une amélioration de la vue. « Nous ne nous attendions pas à voir de tels résultats », a déclaré Robert MacLaren, responsable de l’étude. Les premiers résultats des essais cliniques ont été publiés dans la revue britannique The Lancet. Cette maladie est causée par un défaut dans un gène qui détruit progressivement les cellules de détection de la lumière dans la rétine.

Le professeur MacLaren a déclaré que des traitements similaires pourraient aider les gens présentant des formes plus courantes de cécité progressive. « Nos résultats sont très prometteurs ; la thérapie génique peut éviter la perte de la vue dans d’autres maladies rétiniennes comme la dégénérescence maculaire liée à l’âge. »

Source : bbc.co.uk

 

Fenêtre sur le monde

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La voix de la raison

« Hormis la guerre, rien ne compromet aussi gravement l’avenir de l’humanité que la pollution. Constatant qu’il en est ainsi, certains pays ont pris des mesures pour la réduire et pour limiter le réchauffement climatique. D’autres, parfois parmi les plus gros pollueurs, nient la réalité d’un tel réchauffement en dépit des preuves qui s’accumulent. A tout moment, dorénavant, les changements climatiques montrent sans l’ombre d’un doute que la planète est malade, qu’elle a besoin de soins immédiats et attentifs pour retrouver l’équilibre. Le temps nous est compté pour mettre fin aux ravages que subit quotidiennement la planète Terre. Chaque homme, chaque femme, chaque enfant a son rôle à jouer dans sa restauration. Oui, le temps presse. Save Our Planet (S.O.P.), sauvons notre planète ! » Source : Le Maître de B. Creme, S.O.P. Sauvons notre planète, 8 septembre 2012
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La voix des peuples

Cette rubrique est consacrée à une force en plein développement dans le monde. La voix du peuple ne cessera de s’amplifier jusqu’à ce que, guidés par la sagesse de Maitreya, les peuples conduisent leurs gouvernements à créer une société juste dans laquelle seront respectés les droits et les besoins de tous.

Rio : l’augmentation du coût des transports provoque de nouvelles protestations [sommaire]

En 2013, plusieurs villes brésiliennes ont été le théâtre de manifestations qui ont débouché sur un mouvement national contre la corruption et les dépenses excessives engendrées par la Coupe du monde de football qui doit se tenir en juin et juillet 2014.

L’un des problèmes qui inquiètent les gens est l’augmentation du tarif des transports. Les protestations ont débuté en mai 2013 à São Paulo, lorsque les autorités locales ont annoncé une augmentation du prix des tickets de bus. En fin de compte, comme indiqué dans Partage international en janvier 2014, l’augmentation du prix des transports a été annulée après des semaines de protestations, tandis que le gouvernement fédéral subventionnait les Etats et les autorités municipales pour couvrir la différence.

Mais plus récemment, Eduardo Paes, le maire de Rio, a annoncé une augmentation de 9 % du prix des transports publics, aux effets presque immédiats. La réaction populaire ne s’est pas fait attendre. Les protestataires ont détérioré des distributeurs de tickets et des tourniquets tandis que la police anti-émeutes ripostait avec des matraques et des gaz lacrymogènes.

Malgré l’ambiance plutôt pacifique du début, la tension et les violences ont augmenté et quelques personnes ont été blessées, alors que d’autres étaient arrêtées. La marche du vendredi avait débuté pacifiquement dans le centre ville avec quelque 800 personnes exigeant de meilleurs transports publics, de meilleurs services de santé et d’éducation. « Nous ne payerons pas trois reals », clamaient les manifestants. « Nous aussi nous voulons des hôpitaux aux normes de la Fifa », criaient-ils, se référant aux exigences des organisateurs de la Coupe du monde pendant cet événement.

Un des protestataires, Thai Jordaõ, a expliqué pourquoi il participait : « Le problème n’est pas le coût des transports publics si de tels transports existaient et si nous avions de bons services de santé et un bon niveau d’éducation. Vous n’auriez alors pas autant de gens dans les rues. En outre, vous engagez des dépenses pour la Coupe du monde pour des choses dont nous n’avons pas vraiment besoin. Nous voulons un niveau de santé, d’éducation et de transports publics décents. »

Source : euronews.com

La voix du peuple à Bahreïn [sommaire]

Le 15 février 2014, à Bahreïn, des dizaines de milliers de personnes on manifesté pacifiquement pour fêter le troisième anniversaire du mouvement pro-démocratique conduit par la majorité shiite du pays. Ce rassemblement organisé par le mouvement d’opposition du royaume était le plus important depuis 2011. La population a investi les rues en demandant la démocratie, une réforme de la politique et la libération des prisonniers politiques. « Nous ne céderons pas tant que nous n’obtiendrons pas satisfaction, ont scandé les protestataires. Nous tous, shiites et sunnites, aimons ce pays. »

Le gouvernement de Bahreïn a réprimé par la force ces manifestations pro-démocratie qui ont débuté en février 2011, inspirées par d’autres soulèvements populaires dans la région. Malgré les pourparlers entamés entre la monarchie musulmane sunnite et l’opposition shiite, les shiites ne sont pas parvenus à se faire mieux représenter au gouvernement, ni à voir s’améliorer leurs conditions de vie.

Source : Reuters

 

Le point de vue de Maitreya

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Le respect de la loi

« Chaque fois qu’il y a affaiblissement de la loi… et accroissement général du désordre, alors je me manifeste. » (Bhagavad Gita). La promesse de Krishna, l’Avatar, semble particulièrement d’actualité. C’est pour tenir cette promesse que Maitreya, l’Avatar de notre ère, est présent dans le monde à une époque où l’anarchie est si répandue. « Lorsqu’une nation parvient à l’âge adulte, à la maturité, les relations qu’elle établit avec les autres changent du tout au tout. Elle commence à respecter l’autorité de la loi qui unit toutes les nations, les liant dans leurs responsabilités et leurs besoins mutuels. Le développement vers la maturité se signale précisément par un tel respect des lois que les hommes ont estimées nécessaires pour vivre ensemble en paix… Lorsque, parmi les nations, l’on ignore l’autorité de la loi, c’est le monde entier qui en souffre. » (Le Maître — PI, avril 2004) Actuellement, les traités et les résolutions de l’Onu sont méprisés, et les lois nationales et internationales sont bafouées. Dans ce contexte, nous présentons des brèves mettant en exergue la nécessité d’un respect renouvelé de la loi.
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Les enseignements de Maitreya

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Les mensonges dévoilés

Le 15 février 2003, à Londres, Maitreya a été filmé sous les traits d’un Antillais, lors de la marche pour la paix (voir PI, avril 2003). « Je suis fier aujourd’hui d’entendre mes frères et mes sœurs dire la vérité et dénoncer les mensonges. C’est tellement magnifique ! » a-t-il déclaré. Depuis, les mensonges sont de plus en plus dénoncés.
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Les priorités de Maitreya

« Pour aider les hommes dans leur tâche, Maitreya, l’Instructeur mondial, a formulé certaines priorités. Assurer à tous un approvisionnement correct en nourriture ; procurer à tous un logement convenable ; fournir à tous soins médicaux et éducation, désormais reconnus comme un droit universel. » Le Maître de Benjamin Creme, Partage international, janvier 1989. Dans cette rubrique, notre rédaction aborde les questions relatives aux priorités énoncées par Maitreya et présente des expériences orientées dans cette direction.
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L’humanité une

Lorsque l’homme acceptera vraiment le fait que l’humanité est une et que les hommes, entre eux, sont frères, quand il traduira ces vérités en actes, toutes choses pourront en toute sécurité lui appartenir. Son héritage l’attend. Ainsi les hommes devront-ils apporter la preuve qu’ils sont prêts pour la paix, prêts à pénétrer ensemble dans l’avenir, sans effusion de sang ni compétition. Ils devront se réjouir de partager et de travailler en harmonie pour le bien de tous. Quand les hommes, d’eux-mêmes, seront dans ces dispositions, ils en appelleront à Maitreya (quel que soit le nom sous lequel ils le connaîtront) pour leur montrer le chemin, les faire sortir du chaos, et les conduire vers une ère de paix. (L’héritage de l’homme, par le Maître de Benjamin Creme).
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L’Unité dans la diversité

« Le but de notre vie, que nous en ayons pris conscience ou non, est l’instauration de l’unité, la manifestation de l’unité qui existe déjà. Chaque atome de l’univers est relié à tous les autres atomes. » Benjamin Creme, L’Unité dans la diversité.
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Regard sur le monde

Dans cette rubrique, Partage international met en lumière certains problèmes urgents qui nécessitent une nouvelle approche et des solutions durables.
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Autres

Expériences de mort imminente : état de la recherche [sommaire]

par Patricia Pitchon,

« La mort n’est qu’un interlude dans une vie où l’expérience s’accroît de façon continue […] elle marque une transition, c’est-à-dire le passage d’un état de conscience à un autre. »

« La meilleure conception que l’on puisse se faire de la mort est de la considérer comme une expérience qui nous libère de l’illusion de la forme […] » Alice Bailey, De Bethléem au Calvaire, cité dans le prologue de La mort, cette grande aventure

Après des dizaines d’années de recherche dans le domaine des expériences de mort imminente, les scientifiques disposent aujourd’hui de plusieurs milliers de témoignages émanant des intéressés eux-mêmes. De très nombreuses personnes, après avoir été déclarées cliniquement mortes, semblent être passées dans une autre dimension, où elles sont entrées en contact avec des êtres aimés disparus et avec des entités d’une immense sagesse qui ont fait preuve à leur égard d’un amour de la plus grande pureté. Et surtout, beaucoup des individus qui ont survécu grâce aux progrès de la réanimation moderne ont déclaré avoir perdu toute peur de la mort après leur expérience. Tous ces témoignages semblent plus en accord avec les déclarations des grands maîtres spirituels qu’avec les idées des scientifiques matérialistes modernes. Ainsi, le Maître tibétain Djwhal Khul déclare : « La mort est pour l’essentiel une affaire de conscience. A un moment, nous sommes conscients sur le plan physique, et à l’instant suivant nous sommes passés sur un autre plan où nous sommes activement conscients. » [La Mort, cette Grande Aventure, chapitre 2]

Lorsqu’une personne a été victime d’un arrêt cardiaque ou d’une très grave blessure, que son cœur a cessé de battre et que son cerveau ne donne plus aucun signe d’activité, elle est généralement considérée comme cliniquement morte. Néanmoins, des recherches récentes semblent indiquer que, dans de nombreux cas, la conscience ait survécu indépendamment du corps physique, comme le démontrent les exemples ci-dessous, parmi tant d’autres.

Un homme qui avait de graves problèmes cardiaques était sur le point de mourir, alors que sa sœur, dans le même hôpital, se trouvait en coma diabétique. Quittant son corps, l’homme vit d’abord le personnel médical essayer de le réanimer, avant de se retrouver soudain en train de parler de ce qui était en train de se passer avec sa sœur. Celle-ci s’éloigna alors de lui, et il la vit disparaître dans un tunnel. A son réveil, l’homme annonça au médecin que sa sœur était morte. Le médecin refusa de le croire, mais l’infirmière arriva qui lui confirma que la femme venait de décéder. [cf. Raymond Moody, La Lumière de l’au-delà]

Nombreux sont ceux qui déclarent être passés par un tunnel avant d’émerger dans une magnifique lumière blanche. Ils rencontrent alors souvent des membres de leur famille décédés, voient des prairies merveilleuses, des fleurs aux couleurs vives d’une beauté indescriptible et se sentent enveloppés d’un amour inconditionnel. A ce stade, il arrive que des « Etres de lumière » se présentent et communiquent avec eux par télépathie. Beaucoup voient alors les événements majeurs de leur vie se dérouler devant eux : ils comprennent comment ils ont blessé leur entourage et ressentent les émotions provoquées par leurs mauvaises actions. Ce processus leur donne l’occasion de se juger eux-mêmes, car non seulement ils « voient » leurs actions comme dans un film, mais ils ressentent ce qu’ils ont fait, ce qui explique le regret qui est le leur. Un « Etre de lumière » (que les croyants appellent Dieu ou Jésus, et que les non-croyants décrivent comme exprimant un amour inconditionnel) guide la personne, tout en l’enveloppant d’amour et de lumière. Dans certaines descriptions, amour et lumière semblent interchangeables.

A un certain point, la personne concernée devient souvent consciente d’une frontière qui constitue un point de non retour, et au-delà de laquelle certains ont vu une merveilleuse cité de lumière : « Je voyais une ville […], avec des bâtiments […] étincelants. Les gens y étaient heureux. Il y avait des eaux scintillantes, des fontaines […] une cité de lumière, c’est ainsi que je décrirais cela. C’était merveilleux. Mais si j’y étais entré, je pense que je n’aurais jamais pu en revenir. » [cf. Raymond Moody, La Vie après la vie]. Même lorsque les gens ne souhaitent pas revenir, on les encourage souvent avec des mots comme « Vos enfants ont besoin de vous » ou bien « Vous avez encore des choses à faire ».

Certains reviennent à la vie inexplicablement guéris de maladies graves, et beaucoup parlent de l’envie de vivre renouvelée qui est la leur, ainsi que du sens nouveau que l’expérience a donné à leur existence. Ces dernières années, les chercheurs ont décrit une partie ou l’ensemble de ces « expériences de mort imminente » ou EMI (terme forgé par l’un des pionniers en la matière, le psychiatre Raymond Moody, auteur des travaux précurseurs présentés dans La Vie après la vie et ses autres livres). Il a même été démontré que ces expériences s’organisent selon un schéma indépendant des cultures (à ce propos, voir Jeffrey Long et Paul Perry, La vie après la mort, les preuves).

Les EMI qui ont eu lieu pendant l’enfance restent à jamais gravées dans les mémoires : une femme du nom de Katie s’est étouffée et a perdu connaissance à l’âge de trois ans sous les yeux de son grand-père, pompier, impuissant à la ranimer. Quittant son corps, elle s’est dirigée vers une lumière qui brillait dans une autre pièce. Elle raconte qu’une présence l’enveloppait, qui « était tout à la fois paix immense, amour, acceptation, calme et joie », et ajoute que le simple fait de raconter son expérience lui en fait « retrouver encore une fois les délices ». Elle précise qu’elle n’a pas pensé à Dieu pour expliquer cette présence, parce qu’elle était trop petite pour envisager le concept à l’époque, mais qu’elle avait bel et bien « vécu cette présence comme celle de son créateur ». [La vie après la mort, les preuves]

Le récit d’un neurochirurgien

Un neurochirurgien étasunien, le Dr Alexander Eben, restait imperméable à toutes les expériences dont ses patients tentaient de lui faire part. Se décrivant lui-même comme « praticien cinétique », il ne s’intéressait pas à ce qu’il ne pouvait pas toucher ou ressentir. Il appréciait la « netteté » des problèmes posés par la science. Comme il aimait à l’expliquer, un patient souffrant d’une migraine et, en conséquence, d’une perte partielle de conscience, passe une IRM qui révèle une tumeur du cerveau ; le patient est opéré, la tumeur enlevée, et les symptômes disparaissent. Le Dr Alexander Eben savait aussi que, quand il regardait des neurones au microscope, la science ne lui expliquait pas comment le cerveau produisait la conscience. Mais il était convaincu que la science donnerait un jour les réponses. Il approuvait totalement le point de vue matérialiste selon lequel le mental n’est que l’une des fonctions supérieures du cerveau. Cependant, quand il se trouva lui-même dans le coma pendant une semaine en raison d’une forme rare de méningite bactérienne, il fit un voyage extraordinaire lors duquel il fut contacté par un « être » ayant pris la forme d’une très belle jeune fille qui lui fit savoir (sans lui parler) qu’on l’aimait et le chérissait. Il comprit alors que l’amour était « la base de tout ce qui existe », qu’il ne s’agissait pas de quelque chose d’abstrait et de difficile, mais d’un amour pur, inconditionnel, et dénué de toute jalousie et de tout égoïsme. Il a rencontré également un être divin qui, d’une certaine façon, « était si proche de lui, qu’il lui semblait qu’il n’y avait pas la moindre distance entre Dieu et lui-même. » [La preuve du paradis, voyage d’un neurochirurgien dans l’après-vie]

Les nombreuses questions du docteur Alexander Eben reçurent une réponse de l’être divin qui, en dépit de son immensité, n’en restait pas moins « chaleureux » et « personnel ». « Je vis l’abondance de la vie dans les innombrables univers, y compris ceux dont l’intelligence surpassait de loin celle de l’humanité. » Il vit « d’innombrables dimensions supérieures » qui ne pouvaient être connues qu’en pénétrant en elles et en en faisant l’expérience directe [La preuve du paradis]. Il affirme que, dans cet état, ses connaissances furent acquises par vision directe, sans processus de mémorisation, et enregistrées directement.

Des vies transformées

De nombreux bénéficiaires d’EMI ont non seulement perdu toute peur de la mort, mais ils ont également revu « le film de leur vie », ce qui semble les avoir décidés à « en faire davantage », ne serait-ce qu’en se préoccupant davantage d’autrui : Victor, de Russie, qui n’avait eu aucune éducation religieuse, souffrait de dépression et était hanté par la peur de ne pas pouvoir terminer ses études. Sa vie lui semblait dénuée de sens. C’est alors que dans une EMI, il fut enveloppé d’une lumière extraordinaire dans laquelle il trouva paix, amour, et se sentit parfaitement à l’abri. « Une force invisible avait ouvert devant moi des voies nouvelles que je devais emprunter, m’avait fourni une raison de me battre qui donnait un sens à ma vie, qui me donnait pour but de « satisfaire les besoins de tous ceux qui étaient autour de moi en même temps que les miens, » et de remplir « chacune de mes journées d’activités bonnes et utiles ».

Gulden, de Turquie, déclare qu’après son EMI, il va au-devant des gens avec beaucoup plus de joie et ne se met presque plus en colère. « Ma journée est remplie d’amour et de paix. J’éprouve du plaisir à aider des gens que je ne connais pas. » Suresh, d’Inde, témoigne : « Dieu était amour, lumière et mouvement. » Il précise qu’il a dû « nettoyer son mental et son cœur pour le recevoir et s’excuser auprès de tous ceux avec qui il s’était querellé et à qui, consciemment ou non, il avait causé du chagrin ». Il conclut en disant que le type d’amour qu’il a expérimenté « ne peut pas être décrit par des mots ». (Voir J. Steve Miller, Near-Death Experiences, où sont décrites de fascinantes expériences multiculturelles]

« Au cours de l’ère du Verseau, on abordera la loi de renaissance sur des bases totalement nouvelles […] Les hommes sauront qu’ils sont eux-mêmes créateurs, par leurs pensées et leurs actions, de circonstances de leur vie, mais que, par le jeu de ces mêmes lois, ils peuvent aussi transformer et améliorer leur propre nature et leurs conditions de vie.

Cela mènera à une réévaluation du sens et du but de la vie et à une conception plus saine de la mort. La compréhension de toute vie, incarnée ou non, remplacera la crainte d’aujourd’hui ; la vieille phobie de la mort, considérée comme fin de toute chose, s’évanouira dans la nouvelle lumière qui viendra illuminer le mental des hommes. Eclairant les recoins les plus sombres de la superstition et de l’ignorance, cette nouvelle lumière brillera et éveillera les hommes à la conscience de leur divinité en tant qu’âmes immortelles. » [Un Maître parle, La Loi de renaissance, pp. 73-74.]

Références :
Alice A. Bailey : La mort, la grande aventure. (Compilation faite par deux étudiants, Lucis Trust)
Raymond Moody : La Vie après la vie. Enquête à propos d’un phénomène : la survie de la conscience après la mort du corps (1975), éditions J’ai lu, coll. L’Aventure mystérieuse, N° A379 (13 sept. 2006)
Raymond Moody : La Lumière de l’au-delà, Robert Laffont (19 sept. 1988)
Alexander Eben : La preuve du paradis, voyage d’un neurochirurgien dans l’après-vie, Guy Trédaniel, 2013
Jeffrey Long et Paul Perry : La vie après la mort, les preuves, JC Lattès, 2013
J. Steve Miller : Near-Death Experiences [Expériences de mort imminente, non traduit], Wisdom Creek Press, Acworth, Georgia, 2012

Des entreprises sans patron [sommaire]

par Thiago Staibano Alves,

Une des caractéristiques les plus paradoxales de nos démocraties modernes est le contraste entre d’un côté leurs systèmes de gouvernement démocratiques de type représentatif et participatif et, de l’autre, le monde du travail où règnent encore des règles et des attitudes parfaitement antidémocratiques, alors que les gens passent la plus grande partie de leur vie sur leur lieu de travail.

De nombreuses théories modernes du management et des ressources humaines soulignent l’importance des travailleurs dans les entreprises et les usines. Mais dans la réalité, ces derniers sont rarement consultés sur les sujets touchant à la production, aux salaires et aux politiques commerciales. Ceci a pour conséquence une forte inégalité sur les lieux de travail, où une minorité de dirigeants récolte les fruits du travail réalisé par la masse des petits salariés, et où les politiques conduites vont souvent complètement à l’encontre des intérêts des travailleurs, et souvent aussi ceux de la communauté où ils vivent.

Depuis quelques dizaines d’années, on voit cependant apparaître un nouveau modèle prônant davantage d’égalité, de participation et des rapports humains harmonieux. Ce modèle, appelé les « entreprises sans patron », présente d’énormes avantages pour les travailleurs et leurs familles.

Définition

Ces entreprises sans patron pratiquent l’autogestion et le contrôle des moyens de production par les travailleurs, qui en sont aussi propriétaires. Ils définissent les politiques de production, les salaires et les orientations commerciales lors d’assemblées plus ou moins fréquentes selon la taille et les besoins de l’entreprise ou de l’usine. Les petites entreprises ont tendance à réunir leurs employés plus souvent. Au cours de ces assemblées, certains employés sont élus aux postes de président, de secrétaire, de trésorier, pour des durées variant d’une entreprise à l’autre, mais avec une tendance marquée à la brièveté des mandats. Ces élus peuvent aussi être révoqués de la même façon. La caractéristique principale de ces structures est la prépondérance donnée à l’ensemble du personnel, qui est au cœur des préoccupations. L’échelle des salaires y est réduite ou même parfois parfaitement égalitaire.

En Amérique latine et dans d’autres pays, ce système est devenu une alternative efficace pour défendre les droits des travailleurs face à une tendance universelle à la dérégulation.

Les coopératives ouvrières en Amérique latine et en Europe

En Amérique latine, les coopératives ouvrières, ou usines sans patron, sont nées dans les années 1990. Avec les progrès du néolibéralisme, l’ouverture des marchés nationaux aux entreprises étrangères et la privatisation croissante, elles sont devenues une nouvelle façon pour les travailleurs de résister à des conditions de travail de plus en plus précaires.

En Europe, les coopératives ouvrières ont vu le jour à la suite de faillites d’entreprises qui n’avaient pas su prendre le virage de la restructuration économique. Des employeurs incapables de payer les salaires se sont vus contraints par la loi de laisser aux travailleurs la jouissance de l’outil de production pour compenser la perte de leur salaire et de leurs droits.

Les modèles d’économie solidaire brésiliens

Le Brésil possède l’un des modèles d’économie solidaire les plus avancés au monde, mais la presse internationale s’y est peu intéressée. C’est grâce à l’autogestion que la plupart de ces entreprises ont pu survivre aux difficultés. Au Brésil, les syndicats et les organisations de travailleurs ont aidé les travailleurs à opérer leur transition vers le nouveau modèle. Des organisations ont même été créées uniquement dans ce but, comme la coopérative solidaire et autogérée Unisol et l’Anteag – Association nationale des travailleurs des entreprises autogérées.

Comme dans d’autres parties du monde, on trouve au Brésil des entreprises autogérées dans lesquelles les travailleurs élisent leurs dirigeants, avec de petites différences de salaires, et d’autres qui ont entièrement confié leur gestion à l’ensemble de leurs travailleurs, qui décident de tout lors de réunions plénières et avec une égalité totale de l’ensemble des salaires. La PME Bruscor est un exemple de ce dernier modèle.

Les valeurs de l’économie solidaire brésilienne, citées par le Secrétariat national de l’Economie solidaire du Brésil :
1. L’autogestion ;
2. La démocratisation des relations économiques ;
3. La coopération remplace la compétition ;
4. La valorisation de la diversité. Les êtres humains sont plus importants que les profits ;
5. La valorisation des savoirs locaux ; apprentissage et formation permanents ;
6. La justice sociale et l’émancipation ;
7. La protection de l’environnement.

Les coopératives ouvrières argentines

Contrairement au Brésil, où les travailleurs ont été aidés par les syndicats et diverses organisations sociales, les coopératives ouvrières argentines ont évolué de façon beaucoup plus indépendante et autonome. Au début des années 2000, la crise économique en Argentine a provoqué la faillite de plusieurs usines.

Comme ailleurs, ce n’est qu’après de longues batailles juridiques que les travailleurs de ces usines ont obtenu le droit de les gérer à titre de compensation pour les salaires qui leur étaient dus. Néanmoins, le cas de l’Argentine est particulier pour la tension très forte qui a existé entre beaucoup de ces coopératives et les anciens propriétaires.

Le conflit a souvent été si violent que, dans certains cas, les propriétaires ont préféré détruire leurs propres usines plutôt que de les voir renaître entre les mains de leurs ex-employés. On a vu de nombreux travailleurs dormir dans les usines pour éviter ces issues dramatiques. Cette situation a engendré un fort sentiment de fraternité et de camaraderie entre les travailleurs argentins, qui ont été beaucoup aidés par la population, ce qui a aussi contribué à développer en eux le sentiment qu’ils avaient une mission de service social, au-delà du simple profit économique.

L’usine de céramique Zanon nous offre un exemple des plus intéressants d’autogestion, d’égalité salariale totale, et d’intégration dans le tissu social. Zanon fait don de pièces de céramique à la communauté environnante et projette de créer, au fil du temps, des hôpitaux et des écoles.

Ces coopératives ouvrières créent aussi de nouveaux produits ; l’une d’elles a créé son propre système de recyclage de l’aluminium qu’elle utilise.

Inveval au Venezuela

Une histoire particulièrement difficile s’est déroulée au Venezuela quand l’usine métallurgique autogérée Inveval a été victime d’un sabotage administratif de la part de fonctionnaires de l’Etat qui ne suivaient pas les ordres du gouvernement Chávez. Alors qu’elle s’appelait encore Constructora Nacional de Válvulas, cette entreprise a participé à un coup d’état visant à renverser le président Chávez.

Le propriétaire avait empêché les travailleurs d’entrer dans l’usine, et lorsque les travailleurs ont commencé à revendiquer leur droit au travail, il a été mis fin à leurs contrats.

Les travailleurs d’Inveval ont déposé une plainte contre le propriétaire. Après de longues luttes et manifestations ouvrières avec l’aide de la population locale, le gouvernement Chávez a autorisé en 2005 la nationalisation de l’usine et a dédommagé le propriétaire.

Les travailleurs ont pu retourner au travail et se sont organisés en coopérative, dont le contrôle est resté entre les mains d’un Conseil d’usine, composé de représentants de la coopérative et du gouvernement. Après quelque temps, les travailleurs ont exigé que l’usine soit entièrement autogérée, ce qu’ils ont obtenu après une rencontre avec le président Chávez en 2007.

Toutes les décisions sont maintenant prises par l’assemblée générale réunie une fois par mois, et lors d’occasions exceptionnelles. L’assemblée générale des travailleurs élit les membres du conseil d’administration dont le mandat est révocable à tout moment. En outre, l’usine a mis en place une politique qui vise à donner à tous les employés au moins une expérience de travail au sein du conseil d’administration et à divers postes au sein de l’usine. Le salaire, identique pour tous, se trouve légèrement au-dessus du salaire minimum au Venezuela.

Les liens d’amitié créés entre les travailleurs d’Inveval et les membres de leur communauté lors de la lutte pour la nationalisation de l’usine ont créé chez les salariés un fort sentiment de responsabilité sociale. L’usine est souvent ouverte au public pour des activités diverses. Les travailleurs ont également commencé à s’engager dans la résolution d’autres problèmes extérieurs à l’usine, à travers une assemblée populaire. Après avoir défendu la démocratie sur leur lieu de travail, les travailleurs d’Inveval la défendent maintenant au sein de leur communauté.

Il est également intéressant de noter que le président Chávez lui-même, dans sa proposition avortée de réformer la Constitution en 2007, avait souhaité définir un nouveau type de société, une société socialiste contrôlée par les travailleurs, semblable au modèle d’Inveval.

Inveval est peut-être l’exemple le plus parfait de la façon dont les entreprises autogérées ont le pouvoir, non seulement de transformer la vie de leurs travailleurs et des communautés environnantes, mais aussi d’influencer les politiques et les idées des gouvernements nationaux.

 

Citation

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Message de Maitreya

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Brève

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Courrier des lecteurs

Partage international dispose d’une réserve importante de courriers qui ont été confirmés par le Maître de Benjamin Creme comme relatant de véritables rencontres avec des Maîtres, ou un « porte-parole », mais qui n’ont pas encore été publiés. D’autres courriers présentés ici sont plus récents. Pour ces derniers, bien que nous ne puissions pas confirmer ou indiquer si un Maître est impliqué, l’expérience peut être telle qu’elle « parle d’elle-même » en apportant espoir, inspiration et réconfort. Nous présentons ces courriers à votre considération.

Ne pas se fier aux apparences [sommaire]

Cher Monsieur,

Le 1er mars 2014, ma fille, une amie et moi, prîmes le train pour nous rendre à la conférence sur l’Emergence de Maitreya à Barcelone. A la gare nous décidâmes de prendre un taxi, car nous avions nos bagages.

Devant la gare, à la station de taxi nous vîmes un homme très grand qui ouvrait et fermait les portières des passagers.  Il avait de longs cheveux et des lunettes noires. Sincèrement, je ne voulais pas prendre ce taxi mais j’eus l’impulsion de le faire. Nous constatâmes que le pare-chocs arrière était cassé sur le côté et rafistolé avec du scotch. Je me dis : « Hum, il n’a pas l’air fameux. »

Il ouvrit le coffre pour charger nos bagages. Mon amie y mit son sac à dos et l’homme était sur le point de le fermer alors que ma fille et moi nous apprêtions à déposer nos bagages. Il s’excusa en disant qu’il n’y avait plus de place dans le coffre. Je fus étonnée. Quand la voiture démarra, je ressentis une énergie de paix, de sérénité. Le trajet me parut agréable bien que ce ne fût qu’une course de dix minutes.

Je dois ajouter que ses mains étaient très grosses ; une sur le volant et l’autre sur le levier de vitesses et il ne changeait les vitesses qu’avec deux doigts.

Pourriez-vous nous dire qui était cet homme ? Se pourrait-il que j’ai vu un Maître ?

M. J. L, Soria, Espagne 

Le Maître de Benjamin Creme indique que l’homme était Maitreya.

Un rêve réalisé [sommaire]

Cher Monsieur,

Le fils d’un membre du groupe de transmission de Valence, âgé de 13 ans, a fait le rêve suivant et souhaiterait connaître sa signification : « Le rêve se passe dans le stade de football de l’équipe locale, Levante. Je cherchais quelqu’un mais je ne savais qui. J’étais seul sur le terrain, il n’y avait rien autour de moi, sauf les vestiaires tout au bout. Alors j’allai voir s’il y avait quelqu’un mais les vestiaires étaient fermés et soudain un homme en robe surgit de nulle part et se mit à me parler. Je l’écoutais sans peur et l’idée me vint de lui demander s’il était Maitreya. Il répondit en souriant : « Oui. » Alors je le serrais dans mes bras et il continua à me parler mais je ne me rappelle pas ce qu’il m’a dit. Je me rappelle lui avoir demandé : « Pourquoi tu me dis tout cela ? » Il m’expliqua que c’était pour ouvrir les cœurs des hommes et aider ce monde à devenir meilleur. Puis il dit que maintenant il devait aller aider et prononcer des paroles pour améliorer le monde. Je lui demandai de ne pas partir, que je voulais qu’il reste et il affirma qu’il reviendrait me voir. Et je m’éveillai à ce moment. Qui était l’homme de mon rêve ? Merci. »

P. R. Valence, Espagne 

Le Maître de Benjamin Creme indique que l’homme dans le rêve était Maitreya et que c’est Maitreya qui a donné ce rêve.

Un atterrissage en douceur [sommaire]

Cher Monsieur,

J’eus cette expérience il y a plus de 35 ans, alors que j’étais enfant. J’avais environ 11 ans. L’ami de mon frère cadet à qui nous rendions visite avait une balançoire attachée à une haute branche d’arbre au bord d’une fosse où le sol s’affaissait et les enfants se balançaient au-dessus du vide avec grand plaisir. Cette fosse était devenue une décharge et devait avoir 5 m de profondeur voire plus. Leur jeu paraissait si amusant, aussi, bien que je ne fusse pas un enfant très sûr de moi physiquement (contrairement à mon petit frère) et que d’habitude je refusais de participer à ce genre de jeu, cette fois-ci je montais sur la balançoire et me balançai au-dessus du vide. Cela devint vite douloureux et je ne pus maintenir ma prise ; je lâchai (bêtement) la corde et tombai dans la fosse. Ce fut une vraie chute. Je tombai sur une vitre en atterrissant sur mon arrière-train et, en tournant la tête je remarquai que je n’étais qu’à 30 cm d’une pointe rouillée qui dépassait. Bizarrement, comme par magie, je ne fus absolument pas blessé ; c’était comme si j’avais atterri sur un matelas de plumes ! Je me rappelle avoir pensé que j’avais eu de la chance d’avoir évité la pointe rouillée.

Les autres garçons et mon frère s’inquiétèrent pour moi ; mais tout allait bien et je rentrai à pied, pour ma part, très content de moi. C’est alors que, sur le chemin du retour, il m’a semblé entendre une voix très agréable, mais aussi légèrement sévère. La voix disait à peu près ceci : « Préoccupe-toi de ton corps physique. C’est un véhicule important. Ne le mets pas inutilement en danger. » Ce ne sont probablement pas les mots exacts. Mais je poursuivis mon chemin, un peu honteux !

N’ai-je eu que de la chance ou l’atterrissage en douceur était-il dû à une aide particulière ?

M. W., West Yorkshire, G.-B. 

Le Maître de Benjamin Creme indique que cette aide spéciale a été apportée par Maitreya.

Une visiteuse charmante [sommaire]

Cher Monsieur,

Un autre porte-parole a-t-il rendu visite à notre Centre d’Amsterdam, ce 14 février ? Comme la dernière fois (courrier des lecteurs PI mars 2014) c’était au moment où nous travaillions activement à la revue Share International ; trois d’entre nous étions présents. Quelques semaines auparavant nous nous étions dit en plaisantant que ce serait agréable d’avoir la visite d’une porte-parole plutôt que celle qu’un porte-parole !

Une belle jeune femme entra en disant qu’elle venait de voir notre panneau publicitaire sur le trottoir, qu’il l’intéressait mais qu’elle ne savait pas vraiment quelle sorte de lieu le Centre était. Mes deux autres collègues continuèrent leur travail alors que j’allai au devant d’elle pour lui parler. Elle affirma qu’elle avait entendu parler de Maitreya. Elle s’assit à l’accueil, nous discutâmes et je lui fournis plus d’informations sur notre travail.

Ce fut une visite courte et simple (comme la visite du porte-parole le mois précédent) mais une fois de plus, elle semblait nous conforter ou nous donner des conseils sur des sujets que nous avions juste envisagés ou planifiés. Par exemple, son commentaire sur notre panneau extérieur fit mouche car nous venions juste d’envisager de mettre une très grande affiche annonçant notre prochaine journée porte ouverte. Il s’est trouvé que j’ai incidemment mentionné une idée que nous avions évoquée. Je ne lui ai pas posé de questions à ce sujet mais elle affirma immédiatement que ce n’était pas vraiment nécessaire puisque notre zone d’accueil « présente déjà une sorte d’atmosphère accueillante très agréable ».

Je n’ai pas mentionné que nous travaillions sur la question depuis longtemps mais elle remarqua, avec insistance, qu’elle pensait que nous effectuions ce travail depuis si longtemps.

J’indiquai que notre revue était publiée depuis 33 ans sans être financée par la publicité. Elle le comprit tout de suite par ces mots : « Oui, vous avez conservé la pureté en toute chose. »

Après son départ, je remarquai combien sa visite fut élevante et rassurante. Cette jeune et belle personne était-elle un porte-parole ?

F. E., J. C. et E. H., Amsterdam, Pays-Bas 

Le Maître de Benjamin Creme indique que la jeune femme était une porte-parole du Maître Jésus.

Une influence apaisante [sommaire]

Cher Monsieur,

En septembre 2013, je séjournais une semaine dans le Kent (Angleterre) chez une amie à qui j’avais présenté la méditation de transmission et qui maintenant pratique régulièrement ! Nous nous promenions dans la campagne près de chez elle à Iden Green et nous arrêtâmes pour parler à une vieille dame qui cueillait des champignons. Une atmosphère calme mais saisissante environnait cette dame.
Je me demande si elle n’était pas en fait une des apparences du Maître Jésus.

R. W., La Haye, Pays-Bas

Le Maître de Benjamin Creme confirme que la « dame âgée » était le Maître Jésus.

Un badge honorifique [sommaire]

Début janvier 2014, je fus frappée par des événements qui ont eu lieu de façon synchrone au Cap en Afrique du Sud. Lors d’un voyage, je présentai la méditation de transmission à une autre amie. Elle eut l’intuition d’aller visiter la cathédrale St George. Dès que nous y entrâmes, nous ressentîmes, toutes deux, les énergies nous submerger.

Environ 30 mn avant d’y entrer nous étions assises à une terrasse. Une femme sud-africaine s’approcha soudain et me demanda lentement la direction du tribunal que mon amie lui indiqua. Cependant je restais silencieuse, intriguée par l’aura de cette dame. Elle portait un écusson vieillot où il était inscrit : « Jesus Convention 2007 ». Cela m’a frappé car quelques années auparavant j’ai rencontré le Maître Jésus pendant mon séjour à Londres (confirmé par votre Maître) sous l’apparence d’une femme irlandaise qui portait ce genre de badge.

Etait-elle aussi le Maître Jésus ?

R. W., La Haye, Pays-Bas

Le Maître de Benjamin Creme confirme que la « femme » était le Maître Jésus.

Une offrande parfumée [sommaire]

Cher Monsieur,

Le 17 décembre 2013 au soir, je regardai sur Internet deux vidéos de darshan : la première de Mère Meera, l’autre de Saï Baba. Je les avais regardées maintes fois auparavant mais en cette circonstance je ressentis dans ma bouche le goût et le parfum de la cendre de vibuthi. Le parfum et cette énergie merveilleuse ne m’ont plus quitté. S’agissait-il d’une bénédiction de Mère Meera ou Saï Baba, ou bien d’un Maître ?

M. E. R., Londres, G.-B. 

Le Maître de B. Creme indique que c’est le Maître Jésus qui est à l’origine du parfum, et non Mère Meera ou Saï Baba.

Un cadeau inattendu [sommaire]

Cher Monsieur,

Il y a deux ans je fis un voyage en train de Bratislava à Liptovsky Mikulas, en Slovaquie. En face de moi, il y avait un Libyen qui me regardait d’une étrange façon. Il se mit à me parler et nous échangeâmes des banalités. Il n’y avait rien d’étrange en cela si je n’en n’étais pas venu à parler de l’enseignement de la conscience du Christ. Au cours de notre conversation il m’acheta de la nourriture ; cela ne m’était jamais arrivé et pourtant je voyage souvent.

C’était une expérience très intéressante et surprenante car unique dans ma vie. Peut-être trouverez-vous cela insignifiant mais désormais, je ressens la présence de Dieu qui m’explique qui je suis et les raisons de mon passage sur Terre. Il me semble que c’était le grand Seigneur Maitreya lui-même ; il était, à la fois très surprenant et émouvant. C’était il y a longtemps mais je peux toujours voir son visage. Je ne sais si j’aurai une réponse et peut-être ce n’est pas important mais je suis si reconnaissante d’avoir eu cette expérience.

M. T., Bratislava Novemesto, Slovaquie 

Le Maître de B. Creme indique que l’homme était le Maître Jésus.

Souvenir [sommaire]

Cher Monsieur,

Dans les années 1970, j’avais l’habitude d’assister aux conférences de Benjamin Creme à la Friends House. C’est un homme merveilleux et très sincère. Agréable à rencontrer, il est toujours plein de vie à poursuivre son importante tâche. J’ai eu de nombreuses expériences en sa présence. Son travail est très précis et à une de ses conférences j’ai « vu » Saï Baba adombrer Benjamin. S’il vous plaît, saluez Benjamin de ma part, bien qu’il ne se souvienne probablement pas de moi. Ma vie et mon travail ont pris une autre direction mais des rencontres avec le groupe de Benjamin me mettraient certainement sur la bonne voie. J’ai encore quelques-unes des petites cartes du groupe avec des mots sur la Transmission. Je ne les ai jamais envoyées à quiconque car elles me sont précieuses.

Je vie actuellement en Australie et suis Ecossais ! Je suis arrivé à Londres à l’âge de 20 ans dans les années 1970, et la rencontre par hasard de son groupe fut la meilleure chose qui me soit arrivée à cette époque.

Meilleurs souhaits à vous tous. Dieu bénisse Benjamin.

R. W., Sydney, Australie

Note de l’éditeur : Merci pour vos mots agréables !

L’« étoile » de Maitreya en Allemagne [sommaire]

Cher Monsieur,

Le 13 août 2012, après la méditation de transmission, nous avons ouvert la fenêtre. Immédiatement apparut dans le ciel une grande étoile brillante qui se déplaçait lentement d’ouest en est. Etait-ce, à nouveau, l’« étoile » de Maitreya (voir notre lettre dans PI, juillet/août 2012) ?

J. A., W. N., Regensburg​, Allemagne

Le Maître de B. Creme confirme qu’il s’agissait de l’« étoile » de Maitreya.

 

Rayons

Selon le Maître DK, un rayon est « le nom donné à une certaine force ou à un certain type d’énergie, considéré sous l’angle de la qualité qui en émane ». Les rayons transmettent ainsi leurs qualités à toute la création, y compris la constitution humaine. L’âme, la personnalité, le corps mental, le corps émotionnel et le corps physique, sont tous colorés par l’un ou l’autre des sept rayons. De manière à faciliter l’étude et la compréhension des rayons, le Maître de Benjamin Creme, au fil des ans, a accepté de répondre à des questions portant sur la structure de rayons (et le niveau d’évolution) de certaines personnalités mais, par discrétion, jamais pour des personnes en vie. Pour approfondir cette étude, nous renvoyons le lecteur aux enseignements d’Alice Bailey (Lucis Trust), aux ouvrages de Benjamin Creme et aux précédents numéros de Partage international.

Quelques personnalités et leurs rayons [sommaire]

A : âme ; P : personnalité ; M : corps mental ; As : corps astral ; Ph : corps physique ; NE : niveau d’évolution. Le chiffre entre parenthèses représente le sous-rayon.

Francisco Sánchez Gómez (Paco de Lucía) (1947-2014),
Espagne, guitariste compositeur de flamenco :
A : 3 ; P : 4 (6) ; M : 2 (4) ; As : 4 (6) ; Ph : 3 (7). NE : 0,8

Alain Resnais (1922-2014),
metteur en scène français :
A : 2 ; P : 4 (4) ; M : 6 (3) ; As : 4 (2) ; Ph : 7 (3). NE : 1,3

Tom Sandberg (1953-2014),
photographe norvégien :
A : 2 ; P : 4 (6) ; M : 3 (7) ; As : 6 (4) ; Ph : 3 (7). NE : 1,6

Stuart Hall (1932-2014), Grande-Bretagne,
sociologue et théoricien culturel :
A : 2 ; P : 1 (4) ; M : 4 (6) ; As : 4 (2) ; Ph : 7 (3). NE : 1,3

 

Forum Partage

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Dernière de couverture

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Cahier anniversaire

Le 19 juillet 1977, Maitreya, l’Instructeur mondial, est arrivé dans la communauté asiatique de Londres − son point d’attache dans le monde moderne − et le 22 juillet il a commencé sa mission. Trente ans plus tard, nous célébrons cet événement extraordinaire à travers les pages suivantes.
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Questions-réponses

Réponses de Benjamin Creme

Beaucoup d’inquiétudes se sont exprimées ces derniers temps à propos de la sécheresse en Californie, où le président Obama s’est rendu il y a peu. Tous les yeux sont rivés sur cet Etat qui produit la moitié des denrées alimentaires du pays. Car si l’eau vient vraiment à manquer, ce ne sont pas les bons d’alimentation qui résoudront le problème. Outre une montée en flèche du prix des denrées alimentaires, à quoi faut-il s’attendre si le changement climatique provoque à long terme des diminutions importantes et permanentes des récoltes ? Je me demande pourquoi il n’y a eu aucune proposition de création d’usines de dessalement ? Ce type de technologie est-il lié d’une manière ou d’une autre au Jour de Déclaration ? Lecteur fidèle de Partage international depuis de nombreuses années, j’apprécie tout particulièrement le courrier des lecteurs pour ses délicieux compte rendus des rencontres avec les Maîtres. [sommaire]

Même s’il n’est pas directement lié au Jour de Déclaration, le dessalement peut fort bien devenir nécessaire si l’eau continue de manquer en Californie.

Maitreya était-il présent à Kiev lors des manifestations ? [sommaire]

Oui.

Où le désir de servir trouve-t-il son origine ? En observant les gens que je connais, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur des groupes, j’ai le sentiment qu’ils n’ont pas beaucoup d’ardeur au service. [sommaire]

L’âme vient en incarnation pour servir. Je ne peux pas parler pour ceux qui n’appartiennent pas à un groupe, mais ceux qui entrent dans un groupe le font parce qu’ils désirent servir d’une manière ou d’une autre.

Prenant beaucoup l’avion pour affaires et raisons familiales, je me sens coupable, mais ne peux rien y faire pour le moment. Je fais des dons à des organisations et à des œuvres écologistes, mais ce n’est peut-être pas suffisant. Que puis-je faire d’autre pour compenser mon empreinte carbone ? [sommaire]

Adhérer à Amis de la Terre ou à des organisations de ce type.

[1] Y a-t-il des pays qui combattent le changement climatique aujourd’hui ? [2] Certains pays sont-ils plus avancés dans l’utilisation et la recherche de sources d’énergie alternatives ? [sommaire]

[1] Oui, des pays comme la Chine et certains pays européens (comme la Grande-Bretagne, l’Allemagne et la Scandinavie). [2] Oui, tout à fait.

[1] Maitreya donne-t-il toujours des interviews télévisées en Russie ? [2] Combien en a-t-il données à ce jour ? Au 6 février 2014, il y en avait eu trente-six. Quel est le total en Russie aujourd’hui ? [sommaire]

[1] Oui. [2] 41 (au 14 mars).

[1] La focalisation de l’âme sur le corps astral (à ne pas confondre avec la polarisation) est-elle courante chez les disciples ? [2] Pourquoi est-elle donnée ? [sommaire]

[1] Assez courante. [2] Elle augmente la sensibilité à l’afflux d’énergie d’amour de Maitreya, dont la plus grande partie est focalisée sur le plan astral.

[1] En quoi les Transmissions de vingt-quatre heures sont-elles différentes des Transmissions habituelles ? [2] Ne vaut-il pas mieux se concentrer vraiment et transmettre correctement pendant dix, cinq ou trois heures par exemple, à dix ou vingt personnes, plutôt que vingt-quatre heures avec parfois seulement trois personnes présentes ? [sommaire]

[1] Elles sont beaucoup plus longues ! En outre, elles sont moins fréquentes. Elles se tiennent en général trois fois par an, lors des grandes fêtes de Printemps, de Pâques, du Wesak et de l’Humanité. [2] La réponse est un oui nuancé. Car les trois grandes fêtes du Printemps constituent malgré tout pour les groupes du monde entier une opportunité exceptionnelle d’établir ensemble un rythme puissant. Pendant 24 heures, la Hiérarchie peut relier tous les groupes de travail au réseau planétaire de lumière qu’elle crée et alimente en permanence. La célébration de ces fêtes est une stimulation supplémentaire à l’aspiration et au service, et elle constitue par là même un facteur psychologique important. [Partage international, avril 1992].

Selon un co-worker russe, les rayons de la Nouvelle-Zélande donnés dans la traduction russe de La Mission de Maitreya, tome I, sont le 7e rayon pour l’âme et le 5e pour la personnalité. Vous aviez précédemment dit que la Nouvelle-Zélande avait une âme de rayon deux et une personnalité de troisième rayon. Pourriez-vous confirmer que la structure de rayons de la Nouvelle-Zélande est bien 2/3 ? [sommaire]

Les rayons de la Nouvelle-Zélande sont : Ame : 2, Personnalité : 3.

[1] Dans le livre de Benjamin Creme La Mission de Maitreya, tome III, Haidakhan Baba est donné comme un initié de niveau 3,0. Pouvez-vous me dire s’il était adombré ? [sommaire]

Il n’était pas adombré.

Sur combien de personnes Maitreya peut-il compter aujourd’hui ? [sommaire]

Sur presque deux milliards de personnes.

Si la structure de rayons d’une personne lui donne une tendance à la peur, n’est-il pas illusoire de sa part d’essayer de s’en débarrasser ? [sommaire]

Il n’existe aucune structure de rayons qui donne une quelconque tendance à la peur. La peur est une maladie contagieuse que l’on attrape au contact des autres – parents, enseignants, etc.

Quelles sont les qualifications d’un Instructeur mondial, d’un Messie ? M. Creme révère un Messie déjà auto-proclamé, mais je ne peux m’empêcher de penser qu’il s’agit d’un faux prophète, même s’il annonce un magnifique avenir pour tous les hommes. Je ne peux pas me prononcer sur la question de savoir s’il existe ou non un être descendant de David, et malgré tout oint spirituellement, le tout réalisé en une semaine comme cela est décrit dans l’illumination de Maitreya. [sommaire]

Si vous voulez vraiment comprendre ce que je dis, lisez mes livres. Je ne peux pas, en une courte réponse, expliquer des choses qui nécessitent un certain temps pour être comprises. Lisez mes livres ou venez à l’une de mes conférences. Maitreya a eu besoin de quelques jours pour s’acclimater, et non pour s’illuminer.

Que répondriez-vous à ceux qui semblent relativement avancés mais tournent le dos au service sous prétexte qu’ils ne sont « pas prêts » à servir ? [sommaire]

« Dépêchez-vous et ne manquez pas cette opportunité ! Vous ne savez pas combien de temps il vous reste à vivre pour saisir l’occasion. ».

Pensez-vous que l’idée du partage tel que la Hiérarchie et vous-même la concevez gagne du terrain dans le monde ? Les gens commencent-ils à considérer le partage comme la seule solution possible ? Si tel est le cas, dans quels pays cette idée est-elle le plus avancée à l’heure actuelle ? [sommaire]

Une certaine compréhension de la nécessité du partage commence plus ou moins à apparaître dans de nombreux pays. A terme – très bientôt, j’espère – elle prendra de l’ampleur et deviendra la priorité numéro un dans le monde.

Pouvons-nous espérer que le peuple fera entendre sa voix en Russie pour demander la paix, et que son intervention sera suivie d’effets ? [sommaire]

Oui.

Pourriez-vous nous donner un récapitulatif des interviews données par Maitreya dans chaque pays à ce jour ? Cela nous serait très utile quand nous donnons des conférences. Le public aime connaître le nombre d’interviews données dans les différents pays. [sommaire]

États-Unis : 29 interviews (janvier 2010 à janvier 2011) ; Mexique : 14 interviews (janvier à septembre 2011) ; Brésil : 41 (septembre 2011 à janvier 2013) ; Russie : 41 interviews (de janvier 2013 à ce jour). Cela fait un total de 125 interviews.

Pourquoi la peur est-elle une si mauvaise chose ? Après tout, n’est-elle pas simplement une réaction humaine normale ? [sommaire]

Elle est sans aucun doute une réaction humaine, mais, à votre avis, quand donnez-vous le meilleur de vous-même ? Quand vous avez peur, ou quand vous n’êtes pas sous l’emprise de la peur ?

Les inondations récentes au Royaume-Uni sont-elles le résultat d’un karma négatif ? Une lettre publiée dans le dernier numéro de Partage international semble faire un lien entre la commercialisation, les inondations et le changement climatique ? [sommaire]

Elles sont le résultat du réchauffement climatique et de la perturbation de notre équilibre écologique.

Le Maître de Moscou est-il intervenu d’une quelconque manière pour faire baisser la tension dans le conflit opposant la Russie à l’Ukraine ? [sommaire]

Pas directement.

La « Philosophie du Partage » (« Filosofia della condivisione ») qui apparaît en Italie a-t-elle été inspirée par les Maîtres de Sagesse ? [sommaire]

Non, mais c’est un principe qui se répand de plus en plus.

La plupart des astronomes s’accordent aujourd’hui pour déclarer que l’expansion de l’univers continue, qu’elle ne s’arrêtera ni ne ralentira jamais, et qu’elle continuera à l’infini. [1] Les Enseignements de la Sagesse Eternelle n’affirment-ils pas que l’univers arrêtera son expansion à un certain point et commencera à se contracter, pour revenir au point unique dont toute création a émané ? [2] Et que, après une pause, la création et l’expansion reprendront ? Et ainsi de suite dans des cycles sans fin ? [3] S’il en est ainsi, pourriez-vous nous préciser ce que les astronomes ont manqué ou oublié ? [sommaire]

[1] Oui. [2] Oui. [3] La vérité.

Etant donné la situation en Ukraine et en Russie, Maitreya donne-t-il davantage d’interviews ? [sommaire]

Non.

En tant qu’artiste peintre, n’est-ce pas un immense sacrifice pour vous, M. Creme, de consacrer votre temps à faire connaître le retour de Maitreya et des Maîtres comme vous le faîtes ? [sommaire]

De quoi le monde a-t-il le plus besoin, de ma peinture ou de Maitreya ?

Dans le supermarché de mon quartier, je trouve des haricots verts frais en provenance d’Égypte, du Sénégal et du Maroc, ainsi que d’autres produits qui ne sont pas de saison sur mon lieu de résidence. En même temps, je ne peux pas m’empêcher de me demander si les gens pauvres de ces régions peuvent se procurer des légumes frais. D’autre part, si nous achetons leurs produits, cela soutient l’économie de ces pays, n’est-ce pas ? [sommaire]

Seul un système mondial de partage des ressources de la planète sera en mesure d’apporter une solution aux problèmes de ce type.

Comment se fait-il que la plupart des névroses et des mirages trouvent leur origine dans la peur ? [sommaire]

Parce que la peur gouverne l’élémental astral.

Peut-on se libérer de la peur, même si l’on n’est pas un initié du troisième, du quatrième ou du cinquième degré ? [sommaire]

Oui, on peut être sans peur à tous les niveaux d’évolution – la peur est une maladie contagieuse.