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mai 2008 – No 237

Sommaire


 

Article du Maître —

Les villes de demain [sommaire]

par Le Maître –,

Par l’entremise de Benjamin Creme, 12 avril 2008

Quand un homme de Mars arrive sur la Terre et découvre ce qui l’entoure, quel ne doit pas être son étonnement ! A moins que sa mission ne l’ait conduit à la campagne, il se demandera sûrement comment les peuples de cette planète peuvent tolérer l’affreuse monotonie et l’obscène laideur de tant de villes du monde. Ici, la misère sordide de légions de démunis a pour seule contrepartie l’étalage de richesses brut et glacial des nantis. Sur toute la surface de la Terre semblerait-il, des immeubles de bureaux couvrent le sol tels de gigantesques nids de fourmis, autour desquels s’étendent à l’infini des rangées de cubes presque identiques où ces fourmis épuisées vont dormir pour retrouver des forces. Bien sûr, notre ami martien s’apercevrait qu’il y a quelques exceptions à cette médiocrité omniprésente et mutilante, mais il ne tarderait pas à découvrir que ces singularités ne sont que des reliques du passé, fièrement préservées et entretenues pour l’agrément de touristes que les gens du coin sont réduits à envier en silence.

L’embellissement des villes

Il s’agit là, bien sûr, d’une caricature, mais ce n’est pas pour rien qu’au nombre des priorités de Maitreya figure l’embellissement de nos villes. La ville ne peut se réduire à un endroit où l’on gagne de l’argent et où l’on jouit des plaisirs qu’il procure. Elle est un centre magnétique qui attire des groupes de gens pour qu’ils élèvent et enrichissent ensemble la conscience de tous. Elle est un lieu où l’âme du pays auquel elle fait la grâce d’appartenir peut se manifester et embellir partout les réalisations des hommes. Une ville doit donc être un lieu de beauté, plein de couleur et de diversité, qui offre en abondance des zones de tranquillité pour la méditation et le repos. Elle ne doit pas être trop grande : nombreuses sont les agglomérations qui repoussent leurs habitants plus qu’elles ne les attirent. Elle doit être ouverte, accueillante, et dispenser ses bienfaits aux résidents comme aux visiteurs.

Les villes sont des centres d’énergie ; toutes différentes, elles expriment une grande diversité de rayons ou de qualités. Ensemble, elles façonnent la personnalité d’un pays, et fournissent à l’âme de la nation l’opportunité de s’exprimer. Quand Maitreya et les Maîtres travailleront au grand jour, on comprendra mieux l’importance de certaines villes.

La science de la Lumière

La future science de l’énergie s’épanouira naturellement dans les grands centres de population. La nouvelle science de la Lumière transformera l’aspect extérieur de toutes les grandes villes du monde. L’énergie de la lumière, en provenance directe du Soleil, se déversera dans des conteneurs de taille variable où elle sera stockée, tandis que les ondes de forme détermineront selon les besoins la nature de l’énergie distribuée.

Il faudra certainement de longues années pour transformer les villes d’aujourd’hui en ces lieux de beauté qu’elles doivent devenir. Toutefois, les hommes ont besoin de pouvoir se représenter l’édification de telles villes, de savoir qu’elle se fera, et que les villes actuelles seront lentement reconstruites. A mesure que la population de la Terre diminuera, ce qui ne manquera pas de se produire, les villes parviendront à leur taille optimale, et elles s’épanouiront.

 

Editorial

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Point de vue

Crise économique : le capitalisme mis en cause [sommaire]

par Johan Galtung,

Tokyo, Japon Les informations que les médias nous délivrent quotidiennement sur la crise économique relèvent de la rengaine. Chaque fois, la crise frappe les riches. L’« économie » est présentée comme un système impersonnel, et rien ne transpire de la misère.

On parle de « resserrement du crédit », « manque de liquidité » ou « perte de confiance des investisseurs », qui ne sont, en fait, rien de plus que des symptômes. C’est comme si un médecin considérait de simples chevilles gonflées, sans s’attarder sur l’état général du patient, passant à côté du diagnostic d’une maladie cardiovasculaire grave.

Il existe, bien sûr, un resserrement du crédit, car ceux qui les accordent savent mieux que quiconque combien le système financier est perturbé. Ils savent très bien comment certaines formes de dettes, comme les hypothèques, sont regroupées sous forme de titres et passent de main en main à des prix qui reflètent seulement la probabilité de remboursement.

De nombreuses hypothèques titrisées prévoient des augmentations exorbitantes de leur taux d’intérêt, à l’expiration d’un taux initial alléchant utilisé pour leurrer les emprunteurs naïfs.

Le monde financier sait très bien, aussi, que les agences de cotation appartiennent aux institutions mêmes dont elles sont chargées d’évaluer la fiabilité des instruments financiers.

Avidité, malhonnêteté et peur

Pourquoi le monde des finances agit-il ainsi ? L’avidité et la malhonnêteté sont une partie de la réponse, mais il existe un autre mobile : chacun tente de se protéger avant que la vraie crise n’éclate.

Les institutions financières ont de bonnes raisons d’être inquiètes. Le taux élevé de défaillance des emprunteurs, qui a eu un effet domino à l’intérieur du secteur bancaire, avec des répercussions dans celui des assurances, a fait chanceler ces institutions. La solution a alors consisté à regrouper ces crédits risqués sous forme de titres et de les vendre tant qu’il restait des investisseurs consentants, profitant d’une réglementation floue sur bien des points.

La situation s’est compliquée davantage en raison du mensonge et des tricheries de certains débiteurs qui invoquaient des actifs inexistants pour garantir leurs emprunts, espérant pouvoir rembourser les banques avant l’expiration des taux avantageux, par exemple en utilisant des cartes de crédit.

Actuellement, les deux craintes majeures sont les paniques bancaires et une chute encore plus importante du dollar.

Récemment, une ruée s’est produite sur la Northern Rock, une banque anglaise ; les gens ont fait la queue sur le trottoir pour retirer leurs économies, ayant perdu confiance dans cette institution. La banque d’Angleterre a dû la renflouer. La même chose se produit aux Etats-Unis : espérant étouffer la crise dans l’œuf, le gouvernement est intervenu pour organiser un renflouement des banques ayant à la fois des fonds privés et fédéraux (semi privés). C’est la ruée sur les banques des années 1930 qui a causé la dépression, et non le krach boursier de 1929. Des banques sur-vivront, d’autres non.

Mais le pire reste à venir. Les espèces que les gens retirent au guichet pourraient se trouver dévaluées bien avant que les banques ne sombrent, pour au moins trois raisons.

Premièrement, le total de l’argent en circulation est tenu secret par le gouvernement américain, signe certain que les presses du Trésor fonctionnent 24 heures sur 24 pour imprimer des dollars, ce qui se traduira tôt ou tard par une inflation galopante.

Deuxièmement, le coût de la guerre en Irak, estimé maintenant à 3 000 milliards de dollars, représente une part importante du PIB américain. Mais encore plus important est le service de cette dette colossale, assumé par le budget des Etats-Unis, qui ne voulaient pas que cette guerre soit directement financée par les contribuables américains.

Troisièmement, cette dette est détenue sous forme de bons du Trésor par des étrangers anxieux de s’en débarrasser. Lorsqu’ils commenceront à vendre ces obligations, le marché sera inondé de dollars, sans compter ceux fraîchement imprimés, ce qui érodera davantage la valeur de ces obligations, du dollar, et des Etats-Unis eux-mêmes.

La spéculation

Sous-jacente à presque toute la crise financière actuelle est la « spéculation ». Elle est un autre visage d’une économie en difficulté qui attire la richesse vers le haut, de sorte que certains nagent dans la liquidité, alors que d’autres coulent au fond. Quand la véritable économie stagne, les riches se tournent vers les secteurs en rapide croissance, les inondant d’argent et créant des bulles financières, aujourd’hui sur le marché de l’immobilier, comme il y a quelques années sur celui d’Internet.

Mais à la différence du secteur .com, celui de l’habitat répond à un besoin essentiel. Les gens ont investi de l’argent dans une habitation, en partie pour y vivre, en partie pour spéculer. Et ils ont vu la bulle éclater, perdant ainsi leurs économies et leur maison, contraints de loger chez des parents ou dans des mobile homes. Les banques, en revanche, qui ont quelquefois agi de façon criminelle, font l’objet de généreux renflouements. Les gens, qui sont pour la plupart honnêtes, sont victimes de la malhonnêteté des banques. C’est abominable. Tout argent public fourni pour soulager la crise devrait au moins être utilisé pour rembourser les hypothèques, ce qui bénéficierait à la fois aux débiteurs et aux créanciers. Qu’en pensent Barack Obama et Hilary Clinton ?

Mais ce système s’appelle capitalisme et non humanisme. Il bénéficie aux capitalistes et non aux êtres humains. Il est plus que temps d’en changer.

Source : IPS

 

Compte rendu de lecture

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Compilation

Nous publions dans cette rubrique une sélection de citations de Maitreya (Messages de Maitreya le Christ et Enseignements de Maitreya : les lois de la vie), du Maître de Benjamin Creme (Un Maître parle) et de Benjamin Creme (divers ouvrages).

Liberté et justice [sommaire]

Lorsque vous me verrez et m’entendrez, vous réaliserez que, depuis longtemps, vous connaissez les vérités que j’énonce. En votre cœur, demeurent les vérités de Dieu. Ces vérités simples, mes amis, sous-tendent toute existence. Partage et Justice, Fraternité et Liberté ne sont pas des concepts nouveaux. Depuis la nuit des temps, l’humanité a lié son aspiration à ces étoiles lui faisant signe. Maintenant, mes amis, nous devons les ancrer dans le monde. [Maitreya, message n° 105]

Liberté et justice sont divines et la divinité est indivisible. Il ne peut y avoir de liberté sans justice, ni de justice sans liberté. Bientôt, les hommes se verront offrir l’occasion d’en finir à jamais avec cette parodie de vérité et de combler ainsi le gouffre qui sépare les nations. Il suffit pour cela d’une simple prise de conscience du fait que tous les hommes sont divins et ont le même droit sacré de partager les dons et les projets de Dieu. Faute d’une telle prise de conscience, l’humanité ne connaîtra pas la paix. [Un Maître parle, Le représentant de Dieu]

Le temps approche rapidement où les totalitarismes – politique, économique et religieux – qui refusent à l’homme sa liberté, son bien-être et le droit de croire ce qu’il veut, prendront fin. Une nouvelle liberté attend maintenant l’humanité. Mais cette nouvelle liberté requiert avant tout la responsabilité. Il nous faut assumer mutuellement notre responsabilité envers autrui. Maitreya l’exprime en termes très simples : « Prenez le besoin de votre frère comme mesure de votre action et résolvez les problèmes du monde. Il n’y a pas d’autre voie. » [La Mission de Maitreya, tome II]

Des millions d’hommes vivent aujourd’hui dans des conditions de misère et de servitude abjectes, exploités par des tyrans qui se camouflent sous des dehors démocratiques. Cependant, la plupart du temps, ces hommes souffrent en silence, de crainte que leur résistance ne rende l’insupportable pire encore.
Est-il possible de persuader l’humanité d’envisager le changement d’un œil plus hardi, d’accepter l’idée que les maux dont souffre le monde doivent absolument être guéris faute de quoi c’est l’homme qui périra ? Pendant combien de temps et jusqu’à quel point les hommes doivent-ils souffrir avant de passer à l’action pour la défense de leurs droits ?
La tâche de Maitreya sera de montrer aux hommes que leur souffrance n’est pas nécessaire, que le remède est dès aujourd’hui  entre leurs mains, qu’ensemble ils sont invincibles. Il montrera que le seul obstacle à la libération de la peur est la peur elle-même, qu’un monde nouveau attend d’être créé, un monde fondé sur la justice et la confiance.
Lorsque les hommes comprendront cela, ils soutiendront sa cause et amorceront les changements qui régénéreront le monde. Rassemblés dans une fraternité commune, ils exigeront alors la liberté et la justice qui leur reviennent de droit. Ainsi en sera-t-il. Ainsi les institutions du passé cèderont-elles la place aux formes nouvelles dont la nature permettra l’expression de la véritable divinité des hommes. [Un Maître parle, La peur du changement]

Lorsque je me ferai connaître, j’exprimerai l’espoir de toute l’humanité pour une vie nouvelle, un nouveau départ, son empressement à changer de direction, à voir se construire un monde nouveau dans lequel les hommes pourront vivre en paix, vivre libérés de la peur d’eux-mêmes ou de leurs frères, libres de créer en puisant à la source même de la joie en leur cœur, libres d’être eux-mêmes, en toute honnêteté. Ma tâche ne fait que commencer, mais dès à présent, existe dans le cœur des hommes une lumière nouvelle, un nouvel espoir, le sentiment d’un nouveau départ, une prise de conscience que l’homme n’est pas seul, que le Protecteur universel a envoyé son messager. [Maitreya, message n° 8]

Les anciennes barrières à la liberté et à la justice devront être éliminées ; tous devront partager les richesses de la Terre ; tous devront apprendre le langage de la confiance. La planète Terre, notre habitat, devra recevoir les soins et l’attention nécessaires, son air, son sol et ses eaux purifiés et rendus de nouveau viables pour l’homme. [Un Maître parle, Le sentier de l’amour et de la paix]

Comme un frère parmi ses frères, je parlerai pour vous tous, ma voix exprimera vos aspirations et vos espoirs. Faites connaître le désir de tous les hommes de vivre dans un monde de paix, de manifester un juste et noble empressement à partager, de créer une société fondée sur la liberté et l’amour. [Maitreya, message n° 61]

Nous sommes des âmes en évolution. Par conséquent tout ce qui dans notre vie reflète cette réalité, la réalité de l’âme, la créativité de l’âme, s’accorde avec l’art de vivre au meilleur sens du terme. Ce qui est connu, ce qui est déjà mort, ce qui est simplement un souvenir, venant du passé et n’ayant plus d’utilité, mais chéri par des millions de personnes qui y restent sentimentalement attachées, est préjudiciable pour l’instauration de structures justes qui permettront à l’art de vivre de s’épanouir. L’art de vivre apportera une plus grande liberté, de meilleures chances et davantage de justice pour un maximum de gens. C’est cela l’art de vivre. Lorsque, dans tout ce que nous faisons, que ce soit en tant qu’individus ordinaires ou en tant que personnalités importantes, nous créons des conditions bénéficiant au maximum de personnes, le bien commun est exalté, maintenu et renforcé. C’est cela l’art de vivre. [L’Art de Vivre]

La destruction de tout ce qui fait obstacle à la manifestation de la divinité humaine : c’est cela dont nous sommes témoins. La liberté et la justice sont divines ; d’où cet élan nouveau qui anime les hommes dans le monde entier, les poussant par millions à se libérer des chaînes du passé. C’est dans la douleur que se font souvent ces premiers pas urgents, mais les hommes savent dans leur cœur que l’heure du changement est proche. Depuis trop longtemps, l’homme exploite son semblable. Depuis trop longtemps, les riches accroissent leur fortune au détriment de ceux qui n’ont rien. Un nouveau réalisme commence à gagner les pensées des hommes quand ils considèrent les excès et les échecs de la décennie passée. [Un Maître parle, Lorsque retentira l’appel]

Ma mission consiste à évoquer le principe de l’Amour en tout homme et, pour ceux qui sont prêts, à leur montrer une Vérité supérieure. Les moyens sont simples : Par la Justice et la Liberté pour tous, cet Amour pourra être exprimé. Par la manifestation de la Fraternité humaine, la Source de tout pourra être connue. Puissiez-vous voir cela rapidement, comprendre le but de la vie et montrer la voie à vos frères. [Maitreya, message n° 41]

Pourquoi attendre de me voir pour agir alors que, par vous-mêmes, en confiance, vous pouvez faire beaucoup ? Faites preuve de foi, mes amis, et agissez aujourd’hui comme les guerriers d’antan, n’attendant pas de confirmation, mais heureux d’être à l’avant-garde. Faites connaître à tous le fait de ma présence et venez joyeusement à mes côtés. Faites connaître le besoin de partage et de justice, et sonnez l’appel à la liberté. [Maitreya, message n° 109]

Quand vous nous verrez, vous saurez que le moment est venu de travailler ensemble pour sauvegarder la race humaine : il ne faut plus laisser les « forces du marché » barrer la voie à l’homme dans son ascension. Il ne faut plus que la cruauté et l’ambition tiennent la vie des gens sous leur emprise. Il ne faut plus jamais que des millions d’hommes meurent de faim dans un monde d’abondance. Il ne faut plus que l’avenir des jeunes soit bradé par-dessus leur tête. C’est un futur de liberté et de justice qui point à l’horizon. Acceptez-le, acceptez-le. [Un Maître parle, Un avenir de liberté et de justice]

Si vous ne comprenez pas la liberté et que vous la prêchez, il n’en résultera que destruction. La liberté n’est pas le libre jeu des forces du marché. Les forces du marché n’ont pas « d’yeux », elles sont aveugles, donc sataniques. [Les Lois de la Vie]

Les forces du marché, affirme Maitreya, sont les forces du mal, de la confusion et du chaos. Ses enfants s’appellent compétition et comparaison. La liberté ne peut être trouvée dans le libre jeu des forces du marché, elles conduisent inévitable-ment à la possessivité et à l’avidité. C’est un cycle sans fin. Les forces du marché conduiront cette civilisation, telle que nous l’avons connue, au bord de l’abîme. [La Mission de Maitreya, tome II]

Tenter de vivre dans le passé n’apporte pas la liberté, mais au contraire la détruit. Vivez dans le présent et regardez vers l’avenir. Nous pouvons parfois regarder le passé, comme par une fenêtre, mais il ne nous appartient plus.
On ne peut faire l’expérience de la liberté tant que l’on est prisonnier du conditionnement du mental, de l’esprit et du corps. Seul le Soi peut connaître la liberté. Croyez-vous vraiment qu’un prisonnier puisse apprécier la liberté alors qu’il est toujours en prison ? [Les Lois de la Vie]

L’injustice est la négation du potentiel divin de chacun ; elle sépare l’homme de son semblable et l’humanité de Dieu. Nombreux sont ceux qui luttent de par le monde pour se libérer d’injustices, exploitations et tyrannies séculaires, pour se débarrasser enfin du joug porté par leurs ancêtres. Nous, membres de la Hiérarchie, restons vigilants et soutenons leur lutte, que nous considérons comme l’expression de l’étincelle divine qui réside en chaque homme aspirant à la liberté et à la justice. Nous les prenons par la main, tout en regardant leur malheur avec compassion.
Certains nient que tous les hommes aient les mêmes droits à partager la providence divine. Ceux qui raisonnent ainsi n’entendent que la voix du soi séparé, oubliant qu’il n’est rien de ce qu’ils détiennent et possèdent qui ne vienne de Dieu. Lorsqu’ils prêtent attention à la voix de Dieu en eux-mêmes, ils découvrent que la seule réponse aux maux de l’humanité réside dans le partage et la justice. [Un Maître parle, La justice est divine]
L’humanité s’est vu proposer un choix ridicule : liberté ou justice. Si vous vivez en Amérique du Nord ou en Europe, vous choisirez en général la liberté. Les Amé-ricains en particulier, aiment l’idée de liberté ; mais il y a peu de justice en Amérique, et guère plus en Europe. Si vous vivez dans le bloc soviétique (qui n’existe plus en tant que bloc, mais dont la conscience est encore présente), vous opterez pour la justice, mais vous n’aurez pas la liberté. Ce choix est totalement absurde. Liberté et justice sont toutes deux divines, et la divinité est indivisible.
On ne peut donner le choix à l’humanité et dire : « Si vous votez pour moi, je vous donnerai la liberté, mais sans justice » ou « si vous votez pour nous, nous vous donnerons la justice, mais sans liberté. » Elles sont toutes les deux essentielles, car toutes deux font partie de la nature humaine et donc de la nature divine. Elles viennent de l’âme. Si l’âme se manifeste à travers un individu, celui-ci voudra à la fois liberté et justice pour tous. En essence, elles sont une seule et même chose. Elles ne peuvent être séparées, parce que l’esprit n’est pas séparable. La divinité est un tout et a besoin de s’exprimer dans sa totalité. C’est une question d’unité, et l’unité résulte de la fusion de la justice et de la liberté. [Le Grand Retour]

Les anciennes formes de politiques polarisées vont disparaître. Les concepts de démocratie et de capitalisme vont changer. Il n’y pas de place pour le communisme car il signifiait la perte de la liberté. La démocratie autorisait une liberté limitée alors que le capitalisme ne signifiait liber-té que pour les riches. [Les Lois de la Vie]

La liberté réside dans l’art de la communication. Celui-ci crée l’harmonie, l’équilibre. Le résultat en est une véritable démocratie. S’adressant aux hommes politiques du monde entier, Maitreya ajoute : « Vous ne pouvez espérer avancer en restant à l’abri entre vos quatre murs, alors que des êtres humains n’ont ni une nourriture correcte, ni un endroit décent où habiter. » [Les Lois de la Vie]

Nombreux sont ceux qui craignent le changement et considèrent l’effondrement des vieilles structures comme une perte douloureuse de formes auxquelles ils sont profondément attachés. Beaucoup rejettent ces changements, qu’ils perçoivent comme une menace pour leurs privilèges et leur prestige. Ils confondent les aspirations légitimes des peuples à la liberté et à la justice avec une tentative de subversion venant de l’intérieur. Par ailleurs, il y a ceux qui voudraient balayer tout ce que l’humanité a engrangé de beau et de vrai. Impatients de voir surgir de nouvelles formes, ils sont incapables de saisir la nécessité d’un progrès graduel et font peu de cas de beaucoup d’acquis inestimables du passé.
Notre problème, à nous, les Gardiens de la race humaine, est de tenir la barre entre ces deux extrêmes en appuyant sur le frein ou l’accélérateur quand nous en ressentons le besoin. Notre but est de parvenir à un changement ordonné avec le minimum de clivage. Cherchez par conséquent notre main dans les événements mondiaux et jugez avec sagesse. Beaucoup de ce qui s’accomplit est le fruit de nos projets et doit mener à un monde meilleur. Lorsque vous nous verrez, vous comprendrez que ce monde est entre de bonnes mains. [Un Maître parle, Une époque de changement]

La liberté est un droit pour chaque individu. Si la liberté est mise en péril au nom des forces du marché, cela ne fera qu’engendrer des problèmes. Les forces de marché seront dorénavant contrôlées par le peuple, et non par les hommes politiques. [Les Lois de la Vie]

Comparez la Constitution russe et la Constitution américaine, vous constaterez une grande similitude dans les idéaux qui y sont exprimés. L’ennui avec le communisme, c’est qu’il est venu d’en haut. Il a été imposé par environ dix millions de personnes, tout au plus, à 250 millions d’autres. Celles-ci ont dû l’accepter que cela leur plaise ou non. Le communisme n’est pas né du peuple, il a été imposé d’en haut par le parti. C’était très difficile de devenir membre du parti. Seulement dix millions d’individus en devinrent réellement membres. Ils dirigèrent l’Union soviétique, un vaste pays qui couvrait un sixième de la surface du monde. Ce dont ils n’ont pas tenu compte, c’est du besoin de liberté. La liberté individuelle est essentielle. Mais également la justice. Aux Etats-Unis vous avez un certain degré de liberté individuelle mais peu de justice. On a besoin à la fois de la justice et de la liberté. C’est un paradoxe, mais c’est vrai. La meilleure justice dans le monde est la liberté. La meilleure liberté dans le monde est la justice. [L’Art de Vivre]

A l’Ouest, les gens prennent conscience des valeurs de la vie que sont la liberté individuelle et la liberté civile. Mais être libre ne signifie pas copier son voisin, ce qui mène au conditionnement. Etre libre ne se résume pas à acheter une maison ou une voiture. Etre libre, c’est être conscient du Soi dans le mental, l’esprit et le corps. A l’Est, si les gens approchent intelligemment cette énergie, elle ne pourra causer en eux ni ravages ni chaos.
Maitreya transformera cette énergie, en en libérant de nouvelles qui changeront l’organisation de la vie.
« L’oppression, la contrainte et la dépression existent dans le mental. » L’idéologie, par exemple, conditionne le mental. (Ce qui implique que tout comme l’Europe de l’Est délaisse aujourd’hui les vieilles idéologies et ouvre ses portes, de même l’Occident devra abandonner l’idéologie des forces du marché.) Mais le danger, lorsqu’on abandonne une idéologie, est d’en adopter une autre. C’est pourquoi il est important de comprendre ce que le mot « liberté » signifie réellement. [Les Lois de la Vie]

Le capitalisme sans le socialisme est une sorte de grand requin qui dévore tout ce qui passe à sa portée, sans conscience de groupe ni responsabilité sociale. Il nous faut donc retenir le meilleur de chacun de ces systèmes, et les rassembler. Selon Maitreya, l’unification de l’Allemagne en est le symbole. L’union des deux Allemagnes représente aujourd’hui la réconciliation de deux systèmes opposés, le capitalisme et le communisme. Maitreya affirme qu’il en résultera une forme de démocratie sociale qui opérera la fusion des meilleurs aspects de chacun de ces systèmes et ne pourra être assimilée ni à l’un, ni à l’autre. Ils sont tous les deux nécessaires : l’Occident a besoin de développer le sens de la justice, de la fraternité et de la protection sociale, mais dans les pays du bloc socialiste, la liberté individuelle de pensée, d’expression et de mouvement est tout aussi nécessaire. Selon Maitreya, ce nouveau système social est appelé à gagner progressivement toute l’Europe et, avec le temps, le monde entier. [La Mission de Maitreya, tome II]

La liberté individuelle s’applique à la personne. La liberté civilese situe au niveau national. Le salut relève du niveau spirituel. Ces trois principes opèrent de manière simultanée. [Les Lois de la Vie]

Quand, en réponse à l’appel de Maitreya, les peuples du monde exprimeront leur désir de justice et de paix, les murs d’ignorance et de cupidité qui séparent aujourd’hui les nations s’écrouleront. Elevant la voix à l’unisson, les peuples attaqueront les anciens bastions des privilèges et du pouvoir et les réduiront en poussière. Ainsi en sera-t-il. Ainsi la pensée nouvelle émergera-t-elle du confinement d’un passé vermoulu.
Quand viendra ce moment, les Maîtres eux-mêmes se joindront au concert des revendications de liberté et de justice. Enfin libérés de l’obligation de silence que leur imposait la Loi, les Maîtres et les hommes dresseront ensemble la carte des temps à venir, et traceront l’esquisse d’un plan de changements acceptable par tous. Le consensus sera de mise, et chaque mesure nouvelle sera approuvée et ins­­­taurée par l’humanité elle-même. [Un Maître parle, La réalisation du Plan]

Les Etats-Unis ont placé si haut le concept de liberté, qu’ils sont allés, à mon avis, au-delà de la liberté. C’est, pour eux, la liberté de faire ce qu’ils veulent, quelles que soient les circonstances, sans aucune restriction. Dès que l’on gratte un peu, on trouve chez l’Américain ordinaire le puissant 6e rayon, toujours prêt à balayer le moindre obstacle qui se met en travers de sa route. Pour lui, il n’y a rien de mal à cela, c’est le chemin de son idéal personnel, c’est la liberté […].
La liberté a été tellement élevée, qu’à ce niveau il ne s’agit plus de liberté. La liberté est l’un des besoins primordiaux de l’homme. Sans liberté, il n’y a pas vraiment de vie. C’est une qualité divine fondamentale, mais il y a aussi la justice. Il ne peut y avoir de liberté sans justice ni de justice sans liberté.
Le « mythe » américain de la liberté est basé sur le fait que les masses américaines croient en ce qu’elles appellent la liberté, mais de toute évidence ne croient pas en la justice. J’ai pu me rendre compte que dans l’esprit américain « justice » signifie « système légal ». L’aspect légal des choses est capital pour vous. Le système légal est très développé aux Etats-Unis. Mais il n’a rien à voir avec la justice, si ce n’est la justice institutionnelle. La justice, c’est autre chose. La justice a trait aux relations justes, tout comme la liberté. On ne peut avoir l’une sans l’autre […].
Selon Maitreya, aucune nation ne peut fonctionner avec une seule roue. Si l’on considère une nation comme une charrette, elle doit avoir deux roues, faute de quoi, elle n’avancera pas. Si elle n’a qu’une roue et que cette roue est le capitalisme, elle n’avancera pas. Si cette roue est le socialisme, elle n’avancera pas davantage. La seule chose qui puisse faire fonctionner correctement la charrette – c’est-à-dire votre structure politico-économique –c’est d’avoir le meilleur du socialisme et le meilleur du capitalisme. La proportion idéale conseillée par les Maîtres est de 30 % de capitalisme et 70 % de socialisme.[The World Teacher for all Humanity]

Ainsi la voix du peuple gagnera-t-elle en vigueur et en détermination, retentira-t-elle avec force à travers le monde, appelant les dirigeants à la raison, la justice et la paix. Alors, les puissants commenceront à comprendre que leur règne s’achève, que les peuples reconnaissent et revendiquent leur droit divin à la santé et au bonheur, à la liberté et la justice, à la confiance et à une paix bénie. [Un Maître parle, Une sérénité nouvelle]

La liberté, de même que la connaissance et la sagesse, relèvent du domaine de la création. La liberté signifie mouvement d’une étape à une autre. Il ne faut pas rester statique. Sinon, vous vous apercevrez que les énergies vous débordent et vous poussent dans toutes les directions. Afin de garder une orientation à travers les obstacles, vous devez croire en quelque chose et vous battre pour cela. Dans la création, la liberté n’est jamais absolue. [Les Lois de la Vie]

Le temps est venu où tous devront prendre position : pour ou contre tout progrès futur sur Terre – telle est la question à laquelle chacun se verra confronté. L’avenir vous appelle à la liberté et la justice, et vous convie à prendre part aux réjouissances. [Un Maître parle, Prenez part aux réjouissances]
Je viens pour vous emmener avec moi dans cette contrée nouvelle, le pays de l’Amour, le pays de la Confiance, de la Beauté et de la Liberté. Je vous y emmènerai si vous pouvez me suivre, m’accepter, me laisser montrer le chemin et être votre guide. Et, s’il en est ainsi, ensemble nous construirons un monde nouveau : un monde dans lequel les hommes pourront vivre sans crainte, sans méfiance, sans division, partageant ensemble les bienfaits de la Terre, connaissant ensemble la félicité de l’union avec notre Source. Tout ceci peut être vôtre. Vous n’avez qu’à faire les premiers pas et je pourrai vous guider. Permettez-moi de vous aider. Permettez-moi de vous montrer le chemin qui mène à une vie plus simple, où personne ne connaît la privation, où chaque jour est différent, où la joie de la Fraternité se manifeste à travers tous les hommes. [Maitreya, message n° 3]

Maitreya s’apprête à frapper fort aux portes qui mènent à la liberté, à la justice et à la paix. Prêtez l’oreille, reconnaissez son appel, et préparez-vous en allier l’audace à la sagesse en lui emboîtant le pas dans l’action. [Un Maître parle, Le nouveau millénaire commence]

 

De nos correspondants

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Dossier

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Signes des temps

Certains des « signes d’espoir » et des « signes des temps » que nous présentons ici n’ont pas été confirmés par le Maître de Benjamin Creme. Nous les soumettons à votre seule considération car nous ne sommes pas en mesure de vérifier leur nature « miraculeuse »

Croix manifestée à l’intérieur d’une pomme de terre [sommaire]

Cher Monsieur,

Le 8 avril 2008, alors que je coupais une pomme de terre en deux, j’ai trouvé une croix à l’intérieur. Était-ce un miracle ?

M. B., Rome (Italie)

[Voir la photographie dans la version imprimée de la revue Partage international.]

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que la croix a été manifestée par Maitreya.

Motifs lumineux (01) [sommaire]

Cher Monsieur,

Le 14 février 2008, en sortant faire des courses vers 13 h, je vis immédiatement des motifs lumineux sur les murs. Ils semblaient apparaître sur un immeuble sur trois au début de la rue, puis sur chaque immeuble situé à ma droite. Je ne pouvais en croire mes yeux.

Ce n’était pas la première fois que je voyais des motifs lumineux à Paris. Ces derniers temps, ils apparaissent de plus en plus souvent – presque tous les jours. J’étais stupéfaite par l’abondance soudaine et inattendue des motifs. Il y en avait sur tous les immeubles, même sur les murs du lycée, et on en voyait également sur le trottoir. Il devait y en avoir une centaine au moins. Leur forme variait, des X entourés d’un cercle ou des X sans cercle, d’autres ressemblant davantage à des os de pattes de poulet.

J’ai ressenti une grande joie au fond de mon cœur et je me suis souvenu des paroles de Maitreya disant qu’il allait « inonder le monde de signes ».

M.-A. A., Paris, France

Motifs lumineux (02) [sommaire]

Cher Monsieur,

Depuis que j’ai emménagé dans mon nouvel appartement, en 2005, j’ai commencé à voir des formes curieuses sur le mur en face de chez moi (rue Barthélémy, Paris 15e).

Connaissant l’existence des cercles de lumière, je ne m’y étais jamais vraiment intéressé. Or, après avoir transféré mon bureau dans l’ancienne chambre de mon fils, je me suis retrouvé dans la pièce face à ces signes. J’ai commencé à être amusé par la créativité de ces formes mystérieuses, changeantes et parfois très lumineuses, juste à côté du reflet habituel et pâle des fenêtres d’en face.

Je contemple tous les jours ces formes lumineuses, de mon balcon, et je me rends compte que cela m’apporte de la joie.

D. G., Paris, France

Motifs lumineux (03) [sommaire]

Cher Monsieur,

J’ai commencé à voir des cercles de lumière il y a  quatre ans (en 2004) dans l’usine où je travaillais. Je vivais un moment difficile, car j’avais peur de perdre mon emploi. Leur présence me réconfortait, j’avais le sentiment que les Maîtres étaient avec moi, que je n’étais pas seule face à mes problèmes, et cela m’a aidée.

D. A., Rueil-Malmaison, France

Motifs lumineux (04) [sommaire]

Motifs lumineux photographiés à Lyon, envoyés par G. J., en septembre 2007.
[Voir la photographie dans la version imprimée de la revue Partage international.]

Motifs lumineux (05) [sommaire]

Cercles lumineux sur un camion devant le centre d’informations de Share International, à Amsterdam, le 25 février 2008., Photo envoyée par G. A.
[Voir la photographie dans la version imprimée de la revue Partage international.]

Les forces de Lumière – Apparitions d’ovnis [sommaire]

« D’importants événements sont en train de se produire dans différentes parties du monde, suivis de témoignages qui partout susciteront l’étonnement. Un nombre sans précédent de personnes verront des vaisseaux spatiaux en provenance des planètes proches de la nôtre, Mars et Vénus en particulier. » [Extrait de l’article du Maître de B. Creme, Le rassemblement des forces de Lumière, Partage international, mars 2007.]

Apparitions d’ovnis

1) Angleterre Dans les communes de Luton et de Houghton Regis, au nord de Londres, des témoins ont raconté qu’ils avaient vu une lumière rouge inhabituelle dans le ciel, dans la nuit du 27 février 2008. Dave Fullbrook, de Luton, l’a vue au-dessus de l’hôpital de Luton et Dunstable vers 21 h. «  Je n’ai jamais rien vu de semblable dans ma vie, a-t-il déclaré. Ce que c’était, je n’en ai pas la moindre idée. Depuis, je regarde dans cette direction régulièrement, mais je ne l’ai jamais revue. » Après qu’un journal local, Bedford Today, eut fait paraître ce récit, la rédaction reçut de nombreux témoignages d’expériences similaires.

Nemide Ibrahim, de la ville voisine d’Eaton Bray, a raconté qu’elle et son ami avaient vu deux lumières dans le ciel le 8 mars, dans la soirée. « En quittant Eaton Bray, nous avons remarqué des lumières étranges, d’un rouge brillant, planant très bas dans le ciel. On voyait nettement deux lumières rouges ensemble. L’une était une lumière rouge fixe, alors que l’autre juste à côté clignotait constamment. Aucun élément (signe distinctif, son, forme) ne pouvait faire penser qu’il puisse s’agir d’un aéronef connu. » Les lumières disparurent,puis réapparurent en direction du sud.

2) Texas Un habitant de Corpus Christi a vu un ovni d’un blanc éclatant pendant environ quinze minutes, dans la nuit du 22 mars 2008, et l’a filmé sur son téléphone portable. Il a déclaré ceci : « A un moment donné, l’objet se trouva suffisamment près pour qu’un de mes chihuahuas le voit et se mette à aboyer pour me protéger. Mon chien s’est mis à aboyer lorsque la lumière a commencé à faire un mouvement bizarre. » Le témoin, qui a conservé l’anonymat, envoya la séquence à KIII-TV, une station de télévision locale qui l’a diffusée.
Selon Katia Uriarte, la journaliste qui fit le reportage : « L’image ressemblait à un point blanc brillant se déplaçant ici et là. » Après avoir comparé la séquence à un film montrant une récente apparition d’ovni à Stephenville (Texas), Katia Uriarte a déclaré : « Il y a certaines similitudes. Les deux objets se déplaçaient d’avant en arrière et d’un côté vers l’autre de la même manière. »
Après l’émission, la station de télévision a reçu de nombreux appels et emails d’autres témoins locaux, dont l’un a décrit l’ovni comme « un cercle de lumière brillante ».

3) Floride De nombreux habitants de Wesley Chapel, petite ville située près de Tampa, ont raconté qu’ils avaient vu un ovni le 14 mars 2008, le matin très tôt. Les témoins ont décrit trois lumières bleu clair formant un triangle tournant sur lui-même, accompagnées d’une lumière rouge clignotante qui ne changeait pas de position. 18.
Luis Jiminez, un habitant de la région, a filmé l’ovni : « Je ne sais pas ce que c’était, a t-il déclaré, mais il s’agissait de lumières vraiment très brillantes. Il y eut d’abord trois lumières bleues et elles semblaient tourner dans le sens des aiguilles d’une montre. Puis apparut la lumière rouge clignotante, et à un moment donné les lumières commencèrent à tourner dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. » Il filma l’ovni pendant environ quinze minutes avant que celui-ci ne s’éloigne à grande vitesse.

4) Californie photographie prise le 08.04.2008, à Palm Desert., Californie, Etats-Unis

[Voir les photographies dans la version imprimée de la revue Partage international.]

1)Le Maître de Benjamin Creme a indiqué qu'il s'agissait d'un authentique vaisseau spatial martien.
2)Le Maître de Benjamin Creme a indiqué qu'il s'agissait d'un authentique vaisseau spatial martien.
3)Le Maître de Benjamin Creme a indiqué qu'il s'agissait d'un authentique vaisseau spatial martien.
4)Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que l'objet en-dessous du nuage est un vaisseau spatial martien.

Source : 1) bedfordtoday.co.uk - 2) KIII-TV, Etats-Unis - 3) myfoxtampabay.com ; herald tribune.com

 

S.O.P. — Sauvons notre planète

Hormis la guerre, rien ne compromet aussi gravement l’avenir de l’humanité que la pollution. Constatant qu’il en est ainsi, certains pays ont pris des mesures pour la réduire et pour limiter le réchauffement climatique. D’autres, parfois parmi les plus gros pollueurs, nient la réalité d’un tel réchauffement en dépit des preuves qui s’accumulent. A tout moment, dorénavant, les changements climatiques montrent sans l’ombre d’un doute que la planète est malade, qu’elle a besoin de soins immédiats et attentifs pour retrouver l’équilibre. Le temps nous est compté pour mettre fin aux ravages que subit quotidiennement la planète Terre. Chaque homme, chaque femme, chaque enfant a son rôle à jouer dans sa restauration. Oui, le temps presse. Save Our Planet (S.O.P.), sauvons notre planète ! (Source : Le Maître de B. Creme, S.O.P. Sauvons notre planète, 8 septembre 2012)
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Tendances

Dans le monde actuel s’affirme une tendance de plus en plus prononcée à la synthèse, au partage, à la coopération, à de nouvelles approches et avancées technologiques pour la sauvegarde de la planète et le bien-être de l’humanité. Cette rubrique présente des événements et courants de pensée révélateurs d’une telle évolution.

Un complément minéral contre la malaria [sommaire]

Le supplément minéral miraculeux (SMM) diminue les symptômes de la malaria en 48 heures. Ce nouveau traitement a été découvert par hasard par Jim Humble, un chercheur d’or américain. Dans son livre sur Internet, Découverte capitale, il décrit l’histoire de sa découverte, lors d’une expédition en Guyane, en 1997. Perdu dans la jungle, éloigné du moindre hôpital, deux membres de son équipe avaient été pris de violents symptômes de la malaria. Suivant son intuition, il leur avait donné un peu d’une solution aqueuse qu’il avait apportée. Après quelques heures, les hommes semblaient guéris. Plus tard, il s’est laissé infecté à dessein par la malaria, pour démontrer l’efficacité du traitement. La solution a aussi marché pour lui.

Selon J. Humble, le principe actif de la solution SMM est le chlorite de sodium, une molécule très proche de l’eau de Javel. Selon sa théorie, quand le chlorite se mélange aux acides de l’estomac, il relâche un gaz réactif dans le sang, le dioxyde de chlore. Ce gaz tue les parasites, sans endommager les cellules saines, puis se décompose en sel et en eau.

On utilise beaucoup le chlorite de sodium et le dioxyde de chlore pour la purification de l’eau, et on les considère bien moins dangereux que le chlore lui-même. En revanche, ils ne sont pas reconnus comme médicament. J. Humble prétend que l’ingestion de toutes petites doses est sans danger, même si des nausées temporaires surviennent assez fréquemment. Il suffit de quelques gouttes diluées dans de l’eau ou dans un jus de fruit.

Après avoir affiné le dosage du SMM, J. Humble a lancé une campagne pour le promouvoir en Afrique, là où la malaria est très répandue. Après avoir aidé plusieurs médecins africains à l’utiliser dans leurs prescriptions, il a persuadé le gouvernement du Malawi de promouvoir des essais cliniques dans une prison.

Sur 29 prisonniers infectés par la malaria et traités par le SMM, les tests de détection du parasite étaient tous négatifs après 48 h.

J. Humble rapporte que le gouvernement du Malawi a pratiqué des essais à plus grande échelle, avec des résultats tout aussi couronnés de succès, même si l’étude n’est pas encore parue.

A son retour aux Etats-Unis, J. Humble a trouvé peu de soutien pour son traitement. Il n’a pas été approuvé par la Food and Drug Administration (FDA), si bien que les ONG ne peuvent l’utiliser.

En 2006, mécontent du manque d’enthousiasme de ses collaborateurs, et devant la quasi certitude que la FDA n’autoriserait pas le SMM, il a décidé de publier sur Internet un rapport sur sa découverte, ainsi que la formule exacte du SMM, dans l’espoir que l’information serait si largement répandue qu’il serait impossible de la contenir.

Le SMM coûte moins d’un centime d’euro par dose. Aujourd’hui, la plupart des médicaments efficaces contre la malaria ne sont pas à la portée des Africains pauvres.

Grâce à des ONG, la distribution gratuite de moustiquaires traitées à l’insecticide a eu un impact significatif sur la maladie dans des pays tels que la Zambie. Mais la malaria touche encore 500 millions de personnes dans le monde chaque année, et en tue entre 1,5 et 4 millions – pour la plupart des enfants africains.

Si le SMM continue à montrer son efficacité, son innocuité, et commence à être reconnu, il pourrait aider à combattre une maladie qui tue des millions de personnes, en conjonction avec les méthodes actuelles de prévention et de traitement.

Le Maître de Benjamin Creme confirme que le SMM est efficace contre les symptômes de la malaria, parmi les autres remèdes connus. Ce n'est cependant pas un remède miracle qui guérit toutes les maladies.

Source : miraclemineral.org ; Seattle Times, The New York Times, E.-U.

La thérapie par le pardon [sommaire]

Alors que presque toutes les religions enseignent que le pardon nourrit l’âme, les scientifiques démontrent ses bénéfices pour notre santé physique et psychologique.

Les psychologues ont découvert que l’on peut apprendre à pardonner, et ainsi dépasser le stress de la colère permanente, lors de courtes cessions de « thérapie par le pardon ».

Des tests effectués dans plusieurs universités américaines ont montré une amélioration de la fonction cardio-vasculaire, une diminution des douleurs chroniques, un soulagement des dépressions et une amélioration de la qualité de vie pour les gens qui, au lieu d’intérioriser leur colère, la prennent en compte, pardonnent la personne qui leur a fait du tord, et continuent leur vie.

Un psychologue de l’Université du Wisconsin, Robert D. Enright, à l’avant-garde de la nouvelle « science du pardon », souligne l’importance de ce dernier pas, qu’il appelle « faire un geste de bonté » envers celui qui a blessé.

Everett Worthington, professeur de psychologie à l’Université du Commonwealth en Virginie, a lui-même pratiqué le pardon actif après un deuil familial. Ses études montrent que le stress physiologique causé par la colère chronique est diminué lorsque les sentiments négatifs et hostiles sont remplacés par la compassion, l’empathie et l’amour nécessaires au pardon.

Des recherches antérieures, publiées dans une enquête faite en 2001 par la psychologue Loren Toussaint et ses collègues de l’Université Luther à Decorah dans l’Iowa, ont établi une corrélation entre la santé et la capacité à pardonner, spécialement chez les gens d’une cinquantaine d’année.

Maintenant, les études en cours montrent les bienfaits de se pardonner à soi-même. Les découvertes révèlent que les gens qui tendent à se critiquer eux-mêmes souffrent plus que ceux qui se pardonnent. « Le pardon à soi-même est terriblement efficace, affirme L. Toussaint. Ses effets sont spectaculaires. »

Source : Los Angeles Times, Etats-Unis

Partage des terres à Cuba [sommaire]

Cuba met en œuvre une réforme agraire discrète mais révolutionnaire. L’augmentation de la production agricole et la fourniture de denrées alimentaires à des prix raisonnables étant une priorité nationale, le gouvernement de Raúl Castro a entrepris d’introduire des changements structurels dans les méthodes de culture, impliquant que les terres inutilisées ou en friche soient restituées au gouvernement afin d’être cédées à des fermiers pauvres.

Un plan agraire récemment approuvé propose une décentralisation radicale de l’agriculture et l’augmentation des quotas de production que les fermiers sont autorisés à vendre sur les marchés libres.

Orlando Lugo, président de l’Association nationale de petits agriculteurs, a déclaré que le partage de terres agricoles avait déjà commencé entre les membres de coopératives et que « des études pour l’attribution massive de terrains à des agriculteurs individuels étaient déjà très avancées ».

Les fermiers cubains seront désormais autorisés à vendre leurs productions directement et localement ; cela réduira les prix et rendra les produits plus accessibles aux consommateurs. La philosophie prévalant à cette idée est de rendre leur dignité aux fermiers cubains pauvres.

Source : El País, Espagne

Donner apporte la joie [sommaire]

Selon le rapport d’une équipe de sociologues publié dans la revue Science en mars 2008, le don aux autres amène de grands bénéfices.

Des chercheurs à l’Université de Colombie britannique et de Harvard, ont découvert que les personnes qui offrent des cadeaux ou qui contribuent à des œuvres charitables sont notablement plus heureuses que celles qui dépensent l’argent pour elles-mêmes. Les chercheurs ont été très surpris par l’ampleur de l’effet positif amené par le don ; cela dépasse le seul fait que donner rend heureux.

L’étude a porté sur un échantillon représentatif de 630 Américains qui ont communiqué leurs revenus annuels, le détail de leurs dépenses mensuelles et ont évalué leur niveau de bonheur. L’étude a montré que le fait de dépenser de l’argent pour les autres, plutôt que pour soi-même, était corrélé avec un plus grand bonheur, quel que soit le niveau de revenus.

Une autre étude a suivi un groupe de 16 employés dans une société de Boston. On leur a demandé leur niveau de bonheur un mois avant et six semaines après avoir reçu une prime. Ceux qui donnaient le plus étaient les plus heureux. « La façon dont ils dépensaient leur prime permettait de mieux prédire leur niveau de bonheur que le montant de la prime elle-même. »

Dans une troisième étude, on a donné entre 5 et 20 dollars à 46 étudiants canadiens, en leur demandant de les dépenser dans la journée. On a demandé à la moitié d’entre eux de les dépenser en achetant un cadeau à quelqu’un ; on a demandé aux autres de dépenser l’argent pour eux.

Ceux qui ont dépensé l’argent pour les autres ont déclaré se sentir plus heureux que ceux qui l’ont dépensé pour eux-mêmes.

Une fois de plus, la façon dont l’argent était dépensé avait un impact sur le bonheur, tandis que le montant de l’argent en jeu n’en avait pas.

Source : Associated Press

 

Vers un meilleur avenir pour tous

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Entretien

Les conséquences de l’injustice sociale [sommaire]

Interview de Jan Pronk par Eva Beaujon,

Ses qualités personnelles et ses compétences ont valu à Jan Pronk une estime internationale et des états de service impressionnants, en particulier dans les domaines de l’économie durable et de l’environnement : trésorier de la Commission Brandt (1979-1982), secrétaire général adjoint de la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced) de 1980 à 1986, envoyé spécial du secrétaire général de l’Onu au Sommet mondial sur le développement durable de Johannesburg (2002) et, dernièrement, représentant du secrétaire général au Soudan et chef des opérations du maintien de la paix (2004-2006).

Membre du parti néerlandais, outre des mandats de député, il a occupé plusieurs postes ministériels. Il enseigne actuellement la théorie et la pratique du développement international à l’Institut d’études sociales de La Haye.

Eva Beaujon l’a interviewé pour Partage international.

Partage international : Les diverses études sur le suivi des Objectifs de développement du millénaire (ODM) laissent toutes présager qu’ils ne seront pas atteints d’ici 2015. Vous avez déclaré que l’extension de la pauvreté dans le monde, ainsi que l’augmentation des inégalités entre riches et pauvres viennent principalement du succès de la mondialisation…
Jan Pronk : L’augmentation des inégalités est un fait. L’ensemble des indicateurs ne laissent aucun doute sur ce point. Le problème vient principalement de ce que dans la mondialisation telle qu’elle se fait actuellement, tout tourne autour du marché mondial. C’est pour cela qu’elle favorise une partie de la population, au détriment de l’autre. Les uns voient leur fortune s’agrandir à une vitesse accélérée pendant que les autres sont précipités toujours plus vite dans la misère et la marginalisation. Ils sont pratiquement condamnés à vivre dans une errance sans fin, à quitter leurs pays pour tenter de s’installer dans des régions vulnérables, à peine viables d’un point de vue environnemental car peu à peu asséchées par les changements climatiques. Nos sociétés refusent à ceux d’entre eux qui viennent chez nous sans papiers le droit de s’installer. L’aggravation des pénuries en eau, en ressources énergétiques et en terres cultivables engendrera automatiquement un climat de luttes pour avoir accès à ces ressources devenues rares. Les premiers arrivés se les approprieront et les défendront chèrement – ce qui ne fera qu’accroître encore plus les inégalités.
La question ne porte plus sur les inégalités entre les très riches et les très pauvres, comme c’était le cas dans les premières étapes du capitalisme. Car celui-ci s’est, pour ainsi dire, « démocratisé », de sorte que nos sociétés se divisent aujourd’hui en deux couches, l’une richissime, et l’autre constituant, sur l’ensemble de la planète, une vaste « classe moyenne ». Et l’une comme l’autre sont les grandes bénéficiaires de la situation. La plupart des habitants des pays occidentaux en font partie, à quelques exceptions près ; c’est pourquoi les citoyens ordinaires partagent en partie la responsabilité des plus riches. Personne n’est coupable, mais tout le monde est responsable.
Ce que l’on constate également dans les partis sociaux-démocrates occidentaux, c’est qu’ils se sont éloignés des membres les plus faibles de la société, qu’ils ne se sentent plus à leur service comme c’était le cas par le passé. Le Parti travailliste s’est construit en servant la classe ouvrière, qui est devenue aujourd’hui la classe moyenne. Mais il a oublié les pauvres du monde, et ceux qui, parmi eux, rentrent illégalement chez nous. Son attitude jadis critique du capitalisme s’est largement émoussée.

PI. Le fossé ne s’élargit pas seulement entre les pays, mais à l’intérieur même de ceux-ci, riches, émergents, ou en développement. Vous avez été envoyé en mission au Darfour par l’Onu. Quelle est la situation au Soudan, actuellement ?
JP. La mondialisation permet d’investir de plus en plus facilement d’un coin à l’autre de la planète, notamment entre les membres de cette classe moyenne mondiale. Mais il y a aussi, effectivement, des divisions internes très fortes à l’intérieur même des pays : le Soudan, la Chine et l’Inde, par exemple, comptent des classes aisées, voire très aisées, qui co-existent avec des centaines de millions de citoyens restés sur le bord de la route.
Le tiers monde reproduit ce que le monde industrialisé lui avait infligé : les riches se coupent de leurs compatriotes pauvres. Le gouvernement du Soudan, par exemple, ne dépense pas un dinar pour créer des infrastructures de fourniture d’eau ou éducatives dans le sud du Soudan ou au Darfour – ce qui ne fait, là encore, qu’accroître les inégalités.
Khartoum est en plein boom : le pétrole et les investissements y coulent à flots, et l’industrialisation se fait à marche forcée. D’un point de vue politique, c’est un régime dictatorial, qui étouffe dans l’œuf la moindre velléité de révolte dans les classes pauvres. Cette classe moyenne mondiale a les moyens et le pouvoir de décider quelles parts des différents budgets nationaux allouer à l’éducation ou à la santé, par exemple, mais sur les critères de son seul profit.

PI. Le climat est l’une des priorités vitales de ce siècle. Le monde se réchauffe plus vite que prévu. Nous savons ce qu’il faut faire, nous avons la technologie nécessaire, mais l’action tarde à venir…
JP. Ce sont les pays occidentaux qui sont, pour l’essentiel, responsables de l’augmentation du CO² dans l’atmosphère, et, par conséquent, de la hausse de la tempé-rature moyenne que nous pouvons constater aujourd’hui. Ils ont néanmoins toutes les peines du monde à prendre les mesures concrètes pour la combattre. Il nous faut absolument atteindre les objectifs que nous nous sommes fixés pour 2012 [date fixée par le Protocole de Kyoto aux pays signataires pour ramener leurs émissions de gaz à effets de serre au-dessous de niveaux qui leur ont été assignés individuellement]. Sans quoi nous perdrions toute crédibilité lorsqu’il s’agira de fixer la prochaine étape avec des pays comme la Chine et l’Inde, qui n’ont pas participé à l’élaboration du premier accord. Ces deux pays, et ce ne sont pas les seuls, rejoignent très rapidement les premiers rangs des pollueurs de la planète, et ils ne participeront au prochain cycle de négociation que pour autant que les pays occidentaux respecteront leurs engagements pour 2012.

PI. J’ai l’impression que l’on a pas vraiment pris conscience de la gravité de la situation.
JP. Je crois que les gens en ont davantage conscience qu’auparavant ; mais ce dont nous avons besoin, c’est d’une volonté, d’un leadership politiques capables de transformer cette prise de conscience en actes. Les gens ne le feront pas d’eux-mêmes, en dehors d’une petite minorité. Une fois encore, cette classe moyenne mondiale, qui forme une bonne partie de la population de nos sociétés occidentales, ne voudra jamais consommer moins. C’est pourquoi l’initiative doit venir du secteur public. Il en va de même pour les grandes entreprises, les multinationales : les constructeurs automobiles pourraient produire des voitures bien plus propres, mais ils reculent sans cesse à cause des coûts ; les compagnies pétrolières refusent d’investir dans les énergies propres – ce qu’elles masquent en faisant le forcing [par des campagnes publicitaires] pour se faire passer pour des entreprises durables… mais dès qu’il s’agit de prendre une décision, elles freinent des quatre fers. Aucune entreprise ne veut perdre son avantage économique, aucune ne veut prendre d’initiative, à moins que les autres ne fassent de même en même temps.
De ce point de vue, la coopération des Etats européens peut jouer un rôle précieux pour faciliter les choses dans le cadre de l’Europe. La Commission européenne travaille en permanence à avancer des propositions concrètes à ses Etats membres pour préparer l’après 2012. Ces propositions ne pèchent certes pas par excès d’audace ; par exemple, fixer à 20 % la part des énergies propres sur l’ensemble de la production énergétique peut sembler beaucoup, alors qu’en fait, c’est tout juste suffisant. La prochaine étape consistera à négocier les efforts que devront faire chacun des Etats. Ce qui promet de belles batailles à Bruxelles… Je fais malgré tout relativement confiance aux institutions et à l’expérience de l’UE pour nous faire accepter, dans un esprit d’égalité, les mesures qui nous conduiront vers plus de durabilité. Ce système [européen] marche, le problème, c’est qu’il prend du temps.

PI. Il y a actuellement un certain nombre de conflits dangereux en cours sur la planète, en particulier en Afghanistan. Les Pays-Bas sont partie prenante de la Force internationale d’assistance à la sécurité (FIAS), menée dans le cadre de l’Otan. Pourquoi y êtes-vous défavorable ?
JP. C’est un conflit violent, mené sur une grande échelle, que l’on ne peut résoudre par la seule force des armes, comme prétendent le faire les Etats-Unis et l’Otan (et les Pays-Bas).
Le mouvement des talibans n’est pas de nature terroriste. Il est fondamentalement nationaliste. Pour eux, les étrangers sont des occupants qu’il faut expulser à tout prix de leur pays. Ils ont un objectif politique. Ils sont également profondément enracinés dans la population. Le gouvernement néerlandais a déclaré qu’ils trompaient le peuple afghan, leur peuple. Preuve, s’il en est, qu’il ne connaît pas très bien le dossier, car de nombreux Pachtounes, l’ethnie majoritaire du pays, apportent leur soutien aux talibans. Ceux-ci tuent des gens de leur peuple, mais ils en font partie. Quand leurs compatriotes se détournent d’eux, ils reprennent leurs tueries. Les Afghans n’ont pas vraiment d’alternative. Ce mouvement est là pour y rester ; c’est un fait historique. Il est enraciné dans le passé de la région. Un flux incessant de jeunes gens le rejoignent, beaucoup poussés par la soif de vengeance. Et ils ne viennent pas tous de l’Afghanistan, loin de là.
Tout ce que cela veut dire, c’est qu’il faut accepter de parler avec eux, de les considérer comme faisant partie intégrante du système, de la nation, du pouvoir. Et qui sommes-nous, nous, de toutes façons ? Juste des étrangers.
Les ignorer, c’est couper la voie à toute solution du conflit, c’est envoyer des troupes en mission impossible. Des soldats néerlandais sont tués, au service d’un objectif politique totalement irréaliste, et faux.
On pourrait y envoyer des troupes pour mener des missions de paix, à condition que ce soit dans le cadre plus général de la recherche d’une solution politique au conflit et avec la volonté de considérer les « opposants » comme parties prenantes dans la construction de l’avenir de l’Afghanistan. Aujourd’hui, nos troupes ne sont pas des troupes de paix, ce sont des troupes de guerre.
Dans le monde, de plus en plus d’opposants tirent leur force de leur enracinement dans leur peuple. Prenez le Hamas et le Hezbollah, par exemple, ou en Somalie les tribunaux islamiques. Si certains groupes commettent des violations des droits de l’homme, c’est en grande partie dû à l’intensification des conflits. Les ignorer ne fera qu’accroître la violence et rendre plus difficile les contacts avec eux, comme, d’ailleurs, de justifier cette approche aux yeux de l’opinion publique, heurtée par l’escalade de la violence.
Inévitablement, ces groupes s’enferment très vite dans l’échec. En conséquence, une partie de leur peuple, déçue et découragée, se détourne d’eux pour se lancer dans des positions plus radicales encore, pour passer, par exemple, de l’OLP (Organisation de libération de la Palestine) au Hamas, du Hamas à son aile dure, puis au jihad islamique, etc. On s’éloigne ainsi de plus en plus de l’objectif de départ : l’instauration d’une paix durable. En excluant votre opposant, vous devenez vous-même son opposant, et vous ne faites donc que nourrir le conflit et multiplier ses victimes. Un jour ou l’autre, il vous faudra bien, pourtant, l’inviter à la table de négociations.
Je suis tout à fait favorable à l’envoi de troupes de paix, pour les interventions de paix quand il s’agit de protéger des civils, mais à condition que ce soit avec l’approbation pleine et entière du Conseil de sécurité ou de l’ensemble des parties concernées.
Toute intervention unilatérale, comme celle qui a eu lieu en Irak, ne fait que jeter de l’huile sur le feu. Quant aux soi-disant interventions de maintien de la paix, comme celles en Afghanistan, se font au détriment des populations.

PI. Qu’en est-il des risques de contagion et d’extension de ces conflits ?
JP. Ces risques n’existent que parce que, ailleurs, on soutient explicitement une des parties d’un conflit donné, cela par manque de confiance en la communauté internationale, les Etats-Unis, ou l’Onu. Certaines factions prennent cette méfiance comme prétexte pour faire l’impasse sur toute recherche de solution viable.
Autre raison de ces risques de contagion, nombre de conflits actuels sont intrinsèquement transnationaux, ils dépassent les cadres strictement nationaux, car ils sont à l’origine de nature ethnique, tribale, politique, culturelle ou religieuse. C’est pourquoi ils se répercutent à des degrés divers sur les communautés de la planète qui leur sont apparentées. Cela explique aussi pourquoi les activités terroristes se déplacent d’une région du monde à l’autre.
Avant l’invasion de l’Irak, Jan Pronk a utilisé tous les moyens à sa disposition pour faire obstacle à l’entrée en guerre, dont il prédisait qu’elle serait une catastrophe. Il estime essentiel qu’on lance une commission d’enquête parlementaire sur les raisons qui ont poussé le gouvernement des Pays-Bas à se ranger aux côtés de la coalition. Dans une interview donnée à un quotidien néerlandais en septembre 2007, il déclare : « Comment faire confiance à un premier ministre qui ment sur quelque chose d’aussi fondamental que les raisons d’une entrée en guerre ? » et « Cette enquête n’a pas pour seul but de se pencher sur le passé. Je suis très préoccupé par la menace d’une guerre contre l’Iran. Que feront, alors, les Pays-Bas ? »

PI. Comment en est-on arrivé là aussi facilement ?
JP. Un pays peut se dire une « démocratie », tout en ayant au pouvoir une élite qui peut déformer les faits pour servir ses intérêts, qui peut manipuler l’opinion et lui présenter ses objectifs sous une apparence parfaitement acceptable. Pour les vendre à son peuple. Ce fut clairement le cas avec l’Irak. Plus tard, on a vendu le même mensonge à la communauté internationale. L’invasion de l’Irak a été fondée sur des mensonges, sur les mensonges des officiels américains. Vous demandez comment cela a pu se produire. Peut-être parce qu’il existait alors des intérêts particuliers aux Etats-Unis qui ne voulaient pas informer correctement le président et le vice-président. Mais comme président et vice-président, vous êtes aussi responsables si vous êtes mal informés – c’est ainsi que marche la démocratie. Les autres pays qui soutiennent les Etats-Unis et continuent à se satisfaire des mêmes arguments et à les fourguer à leurs opinions se rendent complices d’une violation du droit international.
Comme vous le voyez, il est primordial de renforcer la pratique démocratique. Pour ce faire, il faut, en premier lieu développer autant que possible l’ouverture d’esprit, la capacité à créer une opposition de qualité, ainsi qu’exercer une vigilance sans faille. Les citoyens doivent être sans cesse en alerte. Il faut, également, une presse libre, une véritable alternance politique – ce qui présuppose l’existence de partis dotés d’une direction stable, et capables de durer plus que quelques années. Espérons que c’est ce qui se passera aux Etats-Unis. C’était plus ou moins le cas en Grande-Bretagne. Le problème, c’est qu’alternance ne veut pas forcément dire changement de politique. Aux Pays-Bas, par exemple, le nouveau gouvernement n’a jamais eu l’intention de lancer une enquête sur la guerre d’Irak [décision prise par son prédécesseur].
Et c’est toujours comme ça : les gouvernements ont tous pouvoirs pour manipuler les opinions publiques par l’intermédiaire des médias et des techniques de communication. Cela m’inquiète. On y consacre des sommes phénoménales.
D’un autre côté, heureusement, on a la mondialisation de l’information permise par Internet et l’élévation générale du niveau d’éducation. Mais ceux qui sont au pouvoir ont un énorme avantage, et si les moyens et techniques d’information échouent, ils disposent de la machinerie militaire.

PI. Les médias ont-ils une responsabilité dans cette perpétuation du mensonge, en particulier les plus commerciaux, c’est-à-dire les plus dépendants de leurs propriétaires ?
JP. Oui, et aux Etats-Unis, ils sont tous complètement commerciaux. Il existe un certain nombre de médias publics indépendants intéressants, comme C-Span, mais ils sont peu nombreux et ont un public quasi-confidentiel. C’est une situation très dangereuse lorsqu’on sait que les moyens de diffusion de la culture sont dominés par un système construit sur une valeur unique. Rien de plus efficace, naturellement, pour protéger des mensonges…
Considérons l’éducation. Les changements introduits ces dernières décennies dans les systèmes éducatifs de la plupart des pays occidentaux ont conduit à la centrer de plus en plus sur la formation professionnelle. Les cours sont plus courts, davantage orientés vers la pratique d’un métier, y compris à l’université, et une bonne part d’entre eux sont financés par les entreprises. De sorte qu’un autre mode de diffusion de la culture se voit fragilisé, voire menacé. On peut, bien sûr, trouver d’autres universités, les étudiants peuvent protes-ter. Tout cela est possible, parce qu’on vit dans une société libre, mais ça arrive rarement, et sur une petite échelle. Ou alors, ça peut déboucher sur un brusque mouvement de révolte. C’est le cas quand les gens ne se sentent pas respectés. Prenez, par exemple, les groupes économiquement marginalisés d’une société, comme les banlieues en France. On a vu des jeunes se réclamant d’un autre système de valeurs s’en prendre avec une extrême violence aux classes moyennes au pouvoir, à qui ils reprochaient de ne pas les comprendre, ce qui, en retour, a conduit ces dernières à faire usage de la force.
Je ne veux pas peindre un tableau trop en noir et blanc ; il n’empêche qu’un processus de manipulation et de désinformation est discrètement en cours.

PI. La guerre contre le terrorisme ainsi que l’augmentation du nombre des guerres civiles ont miné le système légal international et les Nations unies. Les droits de l’homme eux-mêmes n’en sont pas sortis indemnes. Comment restaurer la confiance envers les Nations unies ?
JP. Les Nations unies sont faibles. Elles perdent toujours plus de leur légitimité aux yeux d’une large fraction de la population mondiale. Cela vient de ce que les pays occidentaux qui les ont créées se sont, en fait, emparés des principaux leviers de commande qu’ils avaient mis en place, et qu’ils font tout pour les garder. Ce que se refusent à accepter les pays d’Asie et du Moyen-Orient. D’autant qu’ils peuvent constater la maigreur des efforts faits pour résoudre leurs problèmes.
L’Onu est un bon système, et il est important de le renforcer en menant toute une série de réformes qui le réhabiliteront aux yeux de ses détracteurs. La première chose dont les membres permanents du Conseil de sécurité doivent prendre conscience, c’est qu’il est dans leur intérêt même d’élargir leurs rangs. Ce ne sera pas facile, mais peut-être que le changement climatique ou le terrorisme les conduiront à reconnaître qu’il n’est plus guère pensable qu’ils puissent régler les grands problèmes du monde sans l’aide et le soutien des autres pays et que, par conséquent, ils faut donc accepter qu’ils participent aux mécanismes de prises de décision.
On a aussi besoin, à l’Onu, de disposer d’un mécanisme de réaction rapide pouvant court-circuiter le Conseil de sécurité. Cela aurait pour avantage de renforcer les pouvoirs du secrétaire général, dont le rôle s’est peu à peu réduit à celui d’une sorte de serviteur public aux pouvoirs très réduits.
Autre question importante, celle des droits de l’homme. Nombre de pays ont des dictatures qui oppriment leurs minorités. Ce genre de problème se retrouve rarement sur l’agenda du Conseil de sécurité, parce que, du fait du principe intangible de souveraineté nationale, les Etats membres du Conseil peuvent bloquer toute résolution qui ne leur convient pas. Même si d’autres pays peuvent demander qu’on mette à l’ordre du jour des problèmes liés aux droits de l’homme, il est rare que cela aboutisse, car cela ne touche aucun intérêt véritable.
Donner aux minorités de la planète la possibilité constitutionnelle de participer à l’élaboration de l’agenda, même contre l’avis de leurs gouvernements, serait sans aucun doute un excellent moyen de rapprocher les Nations unies des gens.

PI. Le gouvernement soudanais essaie par tous les moyens de retarder le déploiement de la force de paix onusienne et, les troupes de l’Union africaine étant pour le moment pratiquement hors course, les camps de réfugiés du Darfour sont sans protection. Tout se passe comme si le gouvernement avait les mains libres. La communauté internationale a-t-elle encore les moyens de débloquer cette situation ? Et qu’en est-il de la position de la Chine envers le Soudan ?
JP. L’Onu devrait faire davantage. On pourrait prendre des sanctions économiques et appliquer des pressions diplomatiques ou politiques. Mais sans la coopération de la Chine, aucune action n’aura véritablement d’effet. Elle est, en effet, le principal partenaire économique du Soudan et, par conséquent, l’un des rares pays qui puisse réellement l’influencer. Mais elle reste neutre. Elle devrait pourtant comprendre qu’il n’est pas dans son intérêt de soutenir le gouvernement soudanais parce qu’un enlisement de la situation pourrait à la longue conduire à la mise à mal de ses investissements pétroliers dans le pays, voire à un nouvel état de guerre, qui bloquerait de fait ses importations de pétrole. Si les Chinois n’interviennent pas, c’est précisément dans l’espoir que les choses resteront en l’état encore longtemps.

PI. Devrait-on prendre des mesures économiques ?
JP. Les mesures économiques ne seront efficaces que si l’on est prêt à aller suffisamment loin. Aux Etats-Unis, en ce moment, les jeunes font pression sur le Congrès pour qu’il décide d’un retrait des investissements américains au Soudan. Ils essaient également de convaincre les universités et les Eglises de suspendre toutes relations d’affaires avec les banques et les sociétés actives dans ce pays. Cela pour-rait avoir un effet boule de neige et produire certains effets politiques. Il faut mettre la pression. Aujourd’hui, le gouvernement soudanais fait ce que bon lui semble en toute impunité.

PI. Les jeunes générations se sentent-elles concernées par cette question des droits humains ?
JP. Oui, en particulier aux Etats-Unis et au Canada, où les groupes et associations de jeunes se mobilisent en nombre toujours plus grand pour faire pression sur leurs gouvernements afin qu’ils prennent enfin leurs responsabilités face au génocide. Pour l’instant, force est de constater que leur réponse n’a guère dépassé le stade des paroles.
Ces jeunes sont bien plus actifs ici qu’en Europe. Je suis intervenu en octobre 2007 dans le cadre d’une conférence sur le génocide, organisée par l’Université McGill de Montréal, ainsi qu’en décembre à une conférence sur le Darfour à la Columbia University de New York. J’ai été surpris de voir le nombre d’initiatives, sous forme d’actions, de conférences, que suscite cette question du génocide, surtout en Amérique du Nord, et la plupart d’entre elles viennent des jeunes générations. Les jeunes refusent de fermer les yeux sur cette injustice. Ils ne descendent pas dans la rue actuellement, mais sont à la recherche de nouvelles façons d’exprimer leur engagement.

PI. Vous êtes d’avis qu’il faudrait renouveler de fond en comble les politiques d’aide au développement, dans la mesure où elles n’atteignent pas les pays qui en auraient le plus besoin…
JP. Les aides publiques au développement vont pratiquement toutes aux pays jouissant d’une certaine stabilité et d’une gouvernance satisfaisante. Ce qui est du gaspillage dans la mesure où ces pays pourraient résoudre leurs problèmes en faisant appel à des capitaux privés.
Par contre, il y a nombre de sociétés (les Etats en faillite ou ravagés par les conflits) où personne ne veut investir parce que les risques sont trop grands. Ce sont précisément ces pays qui ont besoin d’aide, et spécialement d’une aide centrée sur les besoins fondamentaux et de faible intérêt commercial, comme tout ce qui concerne l’eau et la scolarisation des filles. Cette scolarisation est rarement prise au sérieux par les gouvernements. Les actions dans ce domaine peuvent connaître des difficultés, déboucher parfois dans des impasses, mais c’est justement pour ça que les risques doivent être assumés par le secteur public, qui doit sortir des politiques routinières et inefficaces.
Les processus de développement sont, par nature, conflictuels ; le succès n’y est jamais garanti. Ce sont des processus. Les agences publiques d’aide au développement doivent sortir des modes de fonctionnement rigides et frileux qui les emprisonnent, qui leur font refuser de prendre des risques et de s’exposer à l’échec, par crainte de compromettre les carrières de leurs agents. Il y a bien trop de bureaucratie. On en est venu au point où toute initiative doit avoir des résultats mesurables dans le court terme. Voilà comment on en est arrivé à organiser le secteur public. Regardez, par exemple, ce qui se passe dans le domaine de la santé : la pratique de la médecine qui, autrefois, reconnaissait comme essentielle la dimension évolutive du traitement, est aujourd’hui devenue une médecine minutée, à la chaîne. Pour moi, cela relève de la maltraitance. Nous sommes en train de pervertir notre secteur public.
Ce sont les pays instables, mal gouvernés qui devraient recevoir l’aide internationale. Faute de quoi, on peut être sûr que la misère augmentera le nombre de violations des droits de l’homme, et donc le climat d’insécurité, qui déborderont de leurs frontières. Il faut de toute urgence entreprendre les réformes nécessaires. Un immense chantier nous attend.

 

Environnement

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Esotérisme

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Faire le lien

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Faits et prévisions

Au fil des années, Partage international a régulièrement publié des articles soulignant les attentes de Maitreya, telles qu'elles ont été présentées par l'un de ses collaborateurs vivant à Londres au sein de la même communauté, à propos d'un certain nombre de changements politiques, sociaux, écologiques et spirituels devant se produire dans le monde. Périodiquement, Benjamin Creme et son Maître ont également partagé leur point de vue sur les développements à venir. Dans cette rubrique intitulée « Faits et Prévisions » notre rédaction analyse les nouvelles, les événements et les déclarations ayant un rapport avec ces prévisions et points de vue.

Des Kenyans font revivre leur lac [sommaire]

«…l’humanité finira par comprendre la véritable nature de sa relation avec les règnes inférieurs et acceptera de bon cœur le rôle de gardien de leur évolution. » [Le Maître de B. Creme, décembre 1985]

Après plus d’une décennie de destruction de l’environnement, les riverains du lac Nakuru (Kenya) ont entrepris de restaurer la qualité environnementale de leur lac.

Au cours des années 1990, pour échapper à la misère et aux famines aggravées par l’augmentation de la population, ces mêmes riverains avaient transformé les forêts alentour en terres arables. Les pluies avaient alors diminué, ainsi que la surface du lac. La pollution agricole avait décimé les poissons, les oiseaux et les grenouilles, si bien que la population de flamants roses – principale attraction touristique de la région – était passée d’un million à dix mille. L’économie locale en avait grandement souffert.

Comme l’explique l’un des responsables du Parc national du lac Nakuru : « L’économie de la région dépend de ses visiteurs. Si vous détruisez les forêts, vous détruisez la région du lac Nakuru. »

Mais depuis deux ans, les riverains replantent leurs forêts décimées. En 2007, des groupements de riverains ont planté plus de trois mille arbres. Certes, il leur faudra de nombreuses années pour restaurer entièrement leur environnement, mais des progrès sont déjà visibles : de nombreux flamants roses se sont réinstallés sur le lac.

Source : Reuters ; Yes ! Magazine, Etats-Unis

Alerte au gaz carbonique [sommaire]

Tandis que les Etats-Unis bataillaient pour empêcher toute déclaration contraignante lors de la Conférence de Bali, ignorant les mises en garde du Programme des Nations unies pour l’environnement affirmant que le réchauffement climatique pourrait « déclencher une guerre civile mondiale », l’Académie des sciences des Etats-Unis a publié une étude qui révèle que le taux de CO2 dans l’atmosphère progresse plus rapidement que prévu.

Selon cette étude, la concentration des émissions de gaz carbonique a augmenté de 35 % entre le début des années 1990 et 2006, passant de 7 à 10 milliards de tonnes par an, alors que le protocole de Kyoto a fixé comme objectif un taux inférieur de 5 % à celui de 1990 à l’horizon 2012.

Les carburants polluants sont responsables de plus de la moitié de cette hausse, tandis que l’autre moitié est la conséquence directe du déclin de la capacité d’absorption des « puits » naturels comme les forêts et les océans. Pep Canadell, du Global Carbon Project, et auteur de l’étude, explique « qu’il y a cinquante ans, pour chaque tonne de CO2 émise, 600 kg étaient absorbés par les puits naturels. En 2006, seulement 550 kg par tonne ont été absorbés, et cette quantité continue à baisser. »

Les résultats de cette étude toute récente obligent les experts du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (Giec) à réviser à la hausse leurs prévisions d’augmentation des températures de 1,8 à 4° à l’horizon 2100.

Source : Le Monde, France

 

Fenêtre sur le monde

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La voix de la raison

« Hormis la guerre, rien ne compromet aussi gravement l’avenir de l’humanité que la pollution. Constatant qu’il en est ainsi, certains pays ont pris des mesures pour la réduire et pour limiter le réchauffement climatique. D’autres, parfois parmi les plus gros pollueurs, nient la réalité d’un tel réchauffement en dépit des preuves qui s’accumulent. A tout moment, dorénavant, les changements climatiques montrent sans l’ombre d’un doute que la planète est malade, qu’elle a besoin de soins immédiats et attentifs pour retrouver l’équilibre. Le temps nous est compté pour mettre fin aux ravages que subit quotidiennement la planète Terre. Chaque homme, chaque femme, chaque enfant a son rôle à jouer dans sa restauration. Oui, le temps presse. Save Our Planet (S.O.P.), sauvons notre planète ! » Source : Le Maître de B. Creme, S.O.P. Sauvons notre planète, 8 septembre 2012
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La voix des peuples

Cette rubrique est consacrée à une force en plein développement dans le monde. La voix du peuple ne cessera de s’amplifier jusqu’à ce que, guidés par la sagesse de Maitreya, les peuples conduisent leurs gouvernements à créer une société juste dans laquelle seront respectés les droits et les besoins de tous.

Des manifestations mondiales en faveur du Tibet [sommaire]

Un réseau d’associations locales, nationales et internationales de soutien au Tibet a organisé une journée d’action mondiale le 31 mars 2008. Des milliers de personnes ont marché dans 84 villes pour la justice au Tibet. Elles ont protesté, prié et organisé des veillées en demandant à la Chine de négocier avec le dalaï-lama et de cesser de violer les droits des Tibétains. L’organisation Avaaz, active à l’échelle mondiale, a remis une pétition signée par 1,5 million de personnes aux ambassades et consulats chinois à travers le monde (le mot Avaaz signifie « voix » dans la langue de nombreux pays d’Asie, du Moyen-Orient et d’Europe orientale).

A Katmandou (Népal), des accrochages ont opposé des manifestants pro tibétains aux forces de l’ordre. A New Delhi (Inde), des exilés tibétains ont tenu des réunions de prière publiques. Aux portes de la Maison blanche, à Washington, des centaines de personnes ont exhorté les Etats-Unis à boycotter la cérémonie d’ouverture des Jeux à Pékin. Pendant les semaines qui ont suivi, des milliers de personnes ont manifesté à Paris, Londres, San Francisco et Buenos Aires, pour protester contre le passage de la flamme olympique dans leur ville.

Source : Reuters ; Avaaz.org

Cinq ans de marches pour la paix [sommaire]

Entre le 15 et le 22 mars 2008, des manifestants se sont réunis dans plusieurs villes à travers le monde pour marquer le cinquième anniversaire de l’invasion de l’Irak et lancer un appel pour un « monde sans guerre ».

Aux Etats-Unis, plus de 1 000 actions se sont déroulées à travers 50 Etats, pour manifester contre un conflit qui a déjà fait plus de 4 000 morts du côté américain. A San Francisco, le 19 mars, jour anniversaire du début de la guerre, quelque 7 000 personnes ont participé à une marche de nuit organisée par le groupe Answer. Des slogans tels que « L’occupation est un crime, de l’Irak à la Palestine », « Plus jamais la guerre » et le « Peuple uni ne sera jamais vaincu » ont résonné à travers les quartiers du district Mission. Cindy Sheehan, dont le fils Casey a été tué à la guerre, faisait partie des manifestants.

Le 15 mars, près de 10 000 personnes ont envahi les boulevards du centre-ville de Los Angeles, sous une bise soufflant en bourrasque. Roy Kovic, vétéran de la guerre du Vietnam et auteur du livre Né le 4 juillet, s’est joint à la foule composée en majorité de jeunes gens ; il a déclaré à la presse : « Plus que jamais, quand je vois ce qui se passe en Irak, je me sens déterminé à lutter avec toute mon énergie pour arrêter cette folie. » Quand la marche est passée devant les bâtiments de CNN, les manifestants ont scandé : « CNN, tu ne vois pas ? Montre la marche pour la paix à la télé ! 

Dans le cadre d’une série de manifestations qui se sont déroulées durant quelques jours à Washington, l’association Les vétérans iraquiens contre la guerre a organisé des conférences au cours des-quelles des anciens qui ont servi en Irak et en Afghanistan ont présenté des compte rendus de ce qui se passe réellement dans ces deux pays.

Le 19 mars, à Washington, des manifestants ont exprimé leur colère à l’égard non seulement du président mais également d’Halliburton et d’autres sociétés qui ont profité de la guerre. « La guerre est fondamentalement destinée à ceux qui en profitent », a déclaré Jessica P. 23 ans, du Réseau d’action des étudiants pour la paix. « Les dirigeants de ces entreprises gagnent jusqu’à 3 000 dollars par jour. » « Nous essayons de faire comprendre aux gens que lorsqu’ils rempliront leur déclaration d’impôts le mois prochain, ils apporteront leur soutien à un génocide », déclare Debbie B, 24 ans, qui a fait le trajet du Colorado jusqu’à Washington pour participer à la manifestation. Malcom Chaddock, membre des forces armées dans les années 1980, est venu d’Oregon pour se joindre aux manifestants. En s’adressant à la foule, il a formulé un souhait pour l’avenir : « Mon espoir est, qu’à partir d’aujourd’hui, de plus en plus de gens se redressent pour remettre ce pays dans la bonne direction. »

Le 15 mars, des manifestations ont également eu lieu en Grande-Bretagne. A Londres et Glasgow, des délégués de syndicats et de partis politiques ont rejoint la foule, lors de la marche organisée par la Coalition contre la guerre.

Environ 8 000 personnes ont marché jusqu’à la place du Parlement à Londres, où ils ont déposé des fleurs en hommage aux morts. Comme lors de beaucoup d’autres manifestations, les participants ont réclamé l’arrêt du siège d’Israël sur Gaza et se sont opposés à toute attaque future contre l’Iran.Lors d’un rassemblement à Trafalgar Square, Jenny Tong, membre du parti libéral démocrate et de la Chambre des Lords, a déclaré : « Pourquoi Israël peut -il se permettre de bafouer le droit international, de défier les conventions de Genève, d’enfreindre les droits fondamentaux des Palestiniens, alors que le monde entier ferme les yeux et que personne ne réagit ? »

Tony Benn, militant de longue date, a rappelé qu’ils n’étaient pas seuls : « A Porto Rico, en Corée, en Islande, en Nouvelle-Zélande et dans onze villes américaines, des gens sont rassemblés comme nous le sommes. Nous représentons les peuples du monde – c’est un point important que nous devons rappeler – nous ne sommes pas des groupes isolés qui protestent. » Dans un discours inspiré, il a déclaré : « Depuis le début des temps, dans le cœur de chaque homme, il y a deux flammes qui brûlent : la flamme de la colère contre l’injustice et celle de l’espoir en notre capacité à construire un monde meilleur. Et ces deux flammes brûlent dans nos cœurs aujourd’hui ainsi que dans les cœurs et les esprits de millions de personnes. »

Environ 500 personnes ont marché à travers le centre-ville de Stockholm, en Suède, sous une pluie verglaçante, en portant des banderoles avec des messages tels que : « Cinq années de guerre, un million de morts. » Leif Staalhammer, ancien acteur âgé de 67 ans a déclaré : « Je suis ici parce que je pense qu’il est extrêmement important de manifester contre la politique américaine en Irak, en particulier maintenant que les médias se focalisent moins sur cette tragédie ». Environ 600 personnes ont également manifesté à Gothembourg, la deuxième ville de Suède. En Norvège, 200 personnes ont marché à travers le centre d’Oslo jusqu’au Parlement.

Des manifestations ont également eu lieu dans tout le Canada, y compris à Toronto, où 1 000 personnes ont protesté contre la récente décision du Parlement de prolonger la présence de 2 500 hommes en Afghanistan. A Montréal, une manifestation s’est déroulée contre l’engagement du Canada en Afghanistan et la guerre en Irak. A Ottawa, des manifestants se sont réunis à proximité de l’ambassade américaine à l’occasion d’une marche organisée par l’Alliance canadienne pour la Paix.

Source : Guardian, G.-B. ; united forpeace.org ; answerla.org ; afp.com ; respect.co.uk ; bbc.co.uk; yahoo.com ; indymedia.org ; stopwarcoalition.co.uk

Prix des denrées alimentaires : les protestations prennent de l’ampleur [sommaire]

Suite à la hausse des prix des produits alimentaires (40 % en moyenne au niveau mondial depuis l’été 2007), des émeutes éclatent dans certains des pays les plus pauvres du monde. Sir John Holmes, sous secrétaire général pour les Affaires humanitaires et coordinateur pour les Secours d’urgence aux Nations unies, a déclaré lors d’une récente conférence à Dubaï que l’escalade des prix allait déclencher des protestations et des émeutes dans les pays les plus vulnérables. Il a affirmé que la pénurie alimentaire et la flambée des prix du pétrole aggraveraient les effets néfastes des bouleversements climatiques. « Les implications en matière de sécurité ne devraient pas non plus être sous-estimées. La hausse actuelle des prix est susceptible d’augmenter fortement l’ampleur de l’insécurité alimentaire », a-t-il déclaré.

En Haïti, des manifestations ont causé la mort de quatre personnes lorsque la foule, pour protester contre la hausse des prix de la nourriture, a procédé au blocage des routes, au pillage des magasins et à des tirs dirigés contre des soldats de la paix des Nations unies, dans la ville de Les Cayes. Quand les manifestants armés ont fait irruption dans le complexe des Nations unies à Les Cayes et ont commencé à tirer sur les soldats de la paix, les soldats de l’Onu ont riposté, tuant un jeune homme. Trois autres personnes sont mortes dans l’agitation qui a suivi. La violence a également éclaté dans d’autres régions d’Haïti au cours de plusieurs journées de protestations.

Les prix des aliments de base en Haïti, comme les fruits, le riz et les haricots, ont augmenté de 50 % en un an. Haïti est le pays le plus pauvre des Amériques, 80 % de la population y vit avec moins de deux dollars par jour.

Sur le continent africain, la situation n’est pas meilleure : des émeutes de la faim se produisent au Cameroun depuis février, tandis que de vastes mouvements de protestation ont éclaté en Côte d’Ivoire, en Mauritanie, au Sénégal et, plus récemment, au Burkina Faso. Depuis fin 2007, 37 pays ont connu des crises alimentaires, et 20 ont imposé une forme de contrôle des prix des produits alimentaires.

En Egypte, le prix du pain a augmenté de 35 % et celui de l’huile de cuisson de 26 %. En conséquence, le gouvernement a proposé de supprimer les aides alimentaires pour les remplacer par des paiements en espèces aux nécessiteux. Cette proposition a provoqué tant de mécontentement que le gouvernement a été contraint de geler le projet. « Une révolution de la faim est en route », a déclaré Mohammed el-Askalani, membre de l’Association des citoyens contre la hausse du coût de la vie, groupe d’action créé pour faire presion contre la suppression des aides.

Bien qu’il s’agisse d’un cas particulier et d’un environnement politique complexe –, le pays connaît 100 000 % d’inflation – les prix des produits alimentaires au Zimbabwe reflètent la tendance mondiale. Pendant ce temps, au Maroc, les aides pour l’acquisition des produits de base ont été multipliées par cinq en six ans. Le coût du riz a augmenté de 300 % en Sierra Leone ; le gouvernement a annoncé vouloir commencer à cultiver du riz à partir de 2009, et interdire les importations de cette céréale. Dans ces pays, les autorités s’inquiètent de plus en plus de la colère du peuple.

Pour faire face à la colère publique et à la crise croissante, les gouvernements du Cameroun, du Sénégal et de Côte d’Ivoire ont cessé de percevoir la TVA sur les principaux produits de base. Le Cameroun a également augmenté le salaire des fonctionnaires. Le Soudan a augmenté les subventions pour certains produits et l’Egypte a suspendu les exportations de riz pour six mois.

L’Onu prédit que les prix des denrées alimentaires vont augmenter de 20 à 50 % d’ici 2016. La hausse des prix des produits de base frappe le plus durement les pauvres des zones urbaines, car leur accès aux produits est précaire et ils sont obligés de consacrer une proportion plus élevée de leur revenu pour nourrir leurs familles.

Source : AFP, Associated Press, The Guardian, BBC News, G.-B.

 

Le point de vue de Maitreya

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Le respect de la loi

« Chaque fois qu’il y a affaiblissement de la loi… et accroissement général du désordre, alors je me manifeste. » (Bhagavad Gita). La promesse de Krishna, l’Avatar, semble particulièrement d’actualité. C’est pour tenir cette promesse que Maitreya, l’Avatar de notre ère, est présent dans le monde à une époque où l’anarchie est si répandue. « Lorsqu’une nation parvient à l’âge adulte, à la maturité, les relations qu’elle établit avec les autres changent du tout au tout. Elle commence à respecter l’autorité de la loi qui unit toutes les nations, les liant dans leurs responsabilités et leurs besoins mutuels. Le développement vers la maturité se signale précisément par un tel respect des lois que les hommes ont estimées nécessaires pour vivre ensemble en paix… Lorsque, parmi les nations, l’on ignore l’autorité de la loi, c’est le monde entier qui en souffre. » (Le Maître — PI, avril 2004) Actuellement, les traités et les résolutions de l’Onu sont méprisés, et les lois nationales et internationales sont bafouées. Dans ce contexte, nous présentons des brèves mettant en exergue la nécessité d’un respect renouvelé de la loi.
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Les enseignements de Maitreya

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Les mensonges dévoilés

Le 15 février 2003, à Londres, Maitreya a été filmé sous les traits d’un Antillais, lors de la marche pour la paix (voir PI, avril 2003). « Je suis fier aujourd’hui d’entendre mes frères et mes sœurs dire la vérité et dénoncer les mensonges. C’est tellement magnifique ! » a-t-il déclaré. Depuis, les mensonges sont de plus en plus dénoncés.
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Les priorités de Maitreya

« Pour aider les hommes dans leur tâche, Maitreya, l’Instructeur mondial, a formulé certaines priorités. Assurer à tous un approvisionnement correct en nourriture ; procurer à tous un logement convenable ; fournir à tous soins médicaux et éducation, désormais reconnus comme un droit universel. » Le Maître de Benjamin Creme, Partage international, janvier 1989. Dans cette rubrique, notre rédaction aborde les questions relatives aux priorités énoncées par Maitreya et présente des expériences orientées dans cette direction.

Promouvoir l’éducation des jeunes Africains [sommaire]

MM. Brown et Sarkozy ont fait cause commune avec les instances internationales du football pour contribuer à la scolarisation de 16 millions d’Africains au cours des deux prochaines années. Leur but est de s’associer pour scolariser 16 millions d’enfants africains d’ici à 2010, et tous les enfants africains d’ici à 2015.

Les deux chefs d’Etat ont souligné l’urgence de la situation, car 33 millions d’enfants africains ne reçoivent aucune éducation primaire. Ils ont promis d’aider à scolariser chacun 8 millions de jeunes Africains, ainsi qu’à construire des écoles et à former des enseignants.

Les deux nations travailleront avec la Fédération internationale de football (Fifa), ainsi qu’avec leurs ligues nationales de football. La Fifa recrutera des vedettes internationales de football pour aider à intéresser les jeunes à leur scolarisation. Les ligues de football britanniques et françaises aideront financièrement les « orphelins du sida » à se scolariser, et participeront financièrement à la formation des enseignants. Pour permettre la scolarisation de tous les enfants de l’Afrique sub-Saharienne d’ici 2015, il faudra former 3,8 millions d’enseignants.

Source : The Guardian, G.-B.

Prévision d’une pénurie alimentaire [sommaire]

L’Organisation mondiale des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a récemment publié un rapport indiquant que les prix des aliments de base avaient beaucoup augmenté en 2006 et que, dans certains cas, ils augmenteraient encore plus en 2008. En 2006, le prix des aliments a augmenté de 9 % par rapport à 2005. Ceci est dû principalement à l’augmentation des prix des produits laitiers et des céréales, mais les prix des autres produits de base, mis à part le sucre, ont aussi augmenté significativement.

Les variations des prix sont fréquentes sur le marché agricole, même si les baisses durent généralement plus longtemps que les hausses. Ce qui caractérise la situation actuelle est bien une conjonction mondiale de hausses des produits agricoles de base.

Ces derniers mois, les prix élevés des céréales se répercutent sur toute la chaîne d’approvisionnement, impactant ainsi le prix de produits tels que le pain, les pâtes, la viande et le lait. Rarement le monde s’est autant préoccupé de l’augmentation du prix des aliments de base. L’inquiétude provoque des débats sur la politique tarifaire des produits alimentaires de base, aussi bien dans les pays importateurs qu’exportateurs, qu’ils soient riches ou pauvres.

L’envolée des prix est aussi accompagnée par une plus grande volatilité, particulièrement pour les céréales et les huiles végétales. La rareté d’une matière première amène souvent une grande volatilité des prix de ce marché. Maintenant, les périodes de forte volatilité sont plus longues, partiellement à cause du manque de ressources, mais aussi en conséquence de la dépendance grandissante des marchés vis-à-vis du cours des matières premières.

Face à cet état de faits, la directrice du Programme alimentaire mondial des Nations unies, Josette Sheeran, a déclaré : « Nous devons traiter en toute urgence la famine mondiale qui menace. » A cet effet, la FAO fournit aux fermiers des coupons de réduction pour l’achat de semences et d’engrais permettant d’augmenter la production de produits locaux de base. L’objectif est de diminuer les risques de malnutrition qui menacent de nombreux pays en voie de développement.

Source : FAO ; El País, Espagne

Banques alimentaires en difficulté [sommaire]

Aux Etats-Unis, les banques alimentaires jouent un rôle primordial dans l’approvisionnement en nourriture des pauvres, habitants traditionnels des quartiers défavorisés des centres villes. Mais à présent, le nombre de personnes dépendant de ces banques ne cesse de croître, et certains quartiers naguère aisés – en dehors des centres ville – ont désormais besoin, eux aussi, des banques de nourriture, qui ont de plus en plus de mal à répondre à la demande.

Les prix des denrées alimentaires montent, la crise économique commence à faire sentir ses effets, des propriétaires reprennent possession des logements qu’ils louaient, et les stocks et les approvisionnements de nourriture sont affectés par l’effet domino. Les aides gouvernementales et les dons privés baissent dramatiquement : « Pour nous, ils sont passés de 240 millions de dollars en 2003 à 58 millions l’année dernière, se plaint George Braley de la banque Second Harvest. Ainsi, nous ne pouvons plus nous procurer que 25 % de la nourriture que nous obtenions en 2003, alors que, le nombre de nécessiteux a augmenté de 20 à 70 %. »

A noter que le ministère de l’Agriculture attribue à la Fédération des banques alimentaires une subvention globale maximale de 190 millions de dollars par an.

Source : CNN

 

L’humanité une

Lorsque l’homme acceptera vraiment le fait que l’humanité est une et que les hommes, entre eux, sont frères, quand il traduira ces vérités en actes, toutes choses pourront en toute sécurité lui appartenir. Son héritage l’attend. Ainsi les hommes devront-ils apporter la preuve qu’ils sont prêts pour la paix, prêts à pénétrer ensemble dans l’avenir, sans effusion de sang ni compétition. Ils devront se réjouir de partager et de travailler en harmonie pour le bien de tous. Quand les hommes, d’eux-mêmes, seront dans ces dispositions, ils en appelleront à Maitreya (quel que soit le nom sous lequel ils le connaîtront) pour leur montrer le chemin, les faire sortir du chaos, et les conduire vers une ère de paix. (L’héritage de l’homme, par le Maître de Benjamin Creme).
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L’Unité dans la diversité

« Le but de notre vie, que nous en ayons pris conscience ou non, est l’instauration de l’unité, la manifestation de l’unité qui existe déjà. Chaque atome de l’univers est relié à tous les autres atomes. » Benjamin Creme, L’Unité dans la diversité.
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Regard sur le monde

Dans cette rubrique, Partage international met en lumière certains problèmes urgents qui nécessitent une nouvelle approche et des solutions durables.
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Autres

Un appel au peuple chinois [sommaire]

Extraits d’une allocution de Sa Sainteté le XIVe dalaï-lama

Aujourd’hui, je présente mes sincères salutations à mes frères et sœurs chinois de par le monde, particulièrement à ceux de la République de Chine. A la lumière des récents évènements au Tibet, j’aimerais vous faire partager mes pensées au sujet des relations entre les peuples tibétain et chinois, et lancer un appel personnel à vous tous.

Je suis profondément attristé par les pertes en vies humaines survenues lors de ces récents évènements tragiques. J’ai conscience que des Chinois ont également trouvé la mort. Je compatis pour les victimes et leurs familles et je prie pour eux. Ces troubles ont clairement démontré la gravité de la situation au Tibet et le besoin urgent de chercher, grâce au dialogue, une solution pacifique au bénéfice de tous. Déjà à ce moment-là, j’avais exprimé mon désir aux autorités chinoises de travailler ensemble afin d’établir la paix et la stabilité.

Mes frères et sœurs chinois, je vous assure que je n’ai pas l’intention de chercher la séparation du Tibet. Je n’ai pas non plus le désir d’éloigner les peuples tibétain et chinois. Au contraire, mon engagement a toujours été de trouver une solution véritable au problème du Tibet qui assure à long terme les intérêts à la fois des Tibétains et des Chinois. Mon principal souci, comme je l’ai répété maintes et maintes fois, est d’assurer la survie de la culture, de la langue et de l’identité distinctives du peuple tibétain. En tant que simple moine qui s’efforce de vivre quotidiennement selon les préceptes bouddhistes, je vous assure de ma sincère motivation.

Depuis des temps anciens, les peuples tibétain et chinois ont vécu en voisins. Depuis les deux mille ans d’histoire connue de nos peuples, nous avons parfois développé des relations amicales, et même des alliances matrimoniales, et parfois nous nous sommes combattus. Cependant, depuis que le bouddhisme a prospéré en Chine avant d’arriver au Tibet en provenance de l’Inde, nous, les Tibétains, avons historiquement accordé au peuple chinois le respect et l’affection dus à nos frères et sœurs aînés dans le Dharma. Ceci est bien connu des membres de la communauté chinoise vivant hors de Chine – certains ont même assisté à mes conférences sur le bouddhisme – de même que des pèlerins de la grande Chine que j’ai eu le privilège de rencontrer […]

Cette année, le peuple chinois attend fièrement et avec impatience l’ouverture des Jeux olympiques. Depuis le début, j’ai soutenu Pékin afin que lui soit accordé l’opportunité d’accueillir les Jeux. Ma position reste inchangée. La Chine a la plus importante population au monde, une longue histoire et une civilisation extrêmement riche. Aujourd’hui, en raison de ses progrès économiques impressionnants, elle émerge en tant que grande puissance. Cela est certainement bienvenu. Mais la Chine a aussi besoin de gagner le respect et l’estime de la communauté mondiale par l’établissement d’une société ouverte et harmonieuse basée sur les principes de transparence, de liberté, et d’application des lois […]

Frères et sœurs chinois – où que vous soyez – avec un souci profond j’en appelle à vous afin d’aider à dissiper les incompréhensions entre nos deux communautés. De plus, j’en appelle à vous afin de nous aider à trouver une solution pacifique et durable au problème du Tibet, grâce au dialogue, dans un esprit de compréhension.

Avec mes prières,

Dalaï-Lama

Source : Bureau de Sa Sainteté le dalaï-lama, Genève

Biens communs : lancement d’un plan d’action [sommaire]

Un effort sans précédent pour rallier toutes les énergies autour d’un nouveau projet de société applicable à l’ensemble de la planète a été annoncé au cours d’une rencontre en mars 2008 à Berlin. La Coalition pour les biens communsest constituée d’un groupe de personnalités de la société civile, du monde des affaires et de la politique, qui souhaitent organiser un débat de grande envergure sur un plan d’action dont tous les peuples du monde seraient les auteurs. Il s’agit de trouver des solutions aux problèmes mondiaux et de mettre en place des « freins et contrepoids » aux actions des gouvernements et des entreprises.

La stratégie de ce dialogue mondial a été exposée dans ses grandes lignes par le prince El Hassan ben Talal de Jordanie, qui préside un groupe de leaders internationaux qui supervisera le processus de consultation. « Si nous ne parvenons pas à instaurer ce dialogue et à mettre en pratique un nouveau cadre relationnel entre toutes les nations dans les années qui viennent, les tensions économiques et religieuses que nous voyons se créer aujourd’hui entraîneront en toute probabilité un conflit mondial, a déclaré le prince Hassan. Le temps est venu pour nous tous d’écouter, de nous parler et de demander à tous les peuples du monde de se mettre d’accord sur un plan d’action responsable. »

La Coalition recueillera l’opinion de tous, simples citoyens et experts, sur des questions qui transcendent les frontières nationales, et auxquelles ni les gouvernements ni les entreprises ne peuvent apporter de réponse. Les consultations aborderont aussi la question de la réforme de l’économie mondiale, la création de taxes sur les transactions internationales pour financer le développement durable, et la mise en place d’institutions multilatérales pour une gouvernance mondiale.

« La plupart du travail de coordination du projet se fera par Internet, a annoncé Frithjof Finkbeiner, l’un des organisateurs. Avec les outils de communication qui existent aujourd’hui, les réunions de planification et de stratégie peuvent avoir lieu n’importe où, ce qui économise beaucoup de voyages, et donc du temps et des ressources. Internet permettra de canaliser les retours des consultations dans les villages et les communautés autour du monde, les sondages électroniques, les forums, les réunions de quartier, les séminaires, les conseils de tribu, et d’être à l’écoute de tous les projets. »

Les informations et les idées qui seront collectées autour du monde seront mises en ligne sur un site Internet interactif, global-commons.org, afin d’être accessibles à tous et faire l’objet de débats.

L’étape initiale de cette consultation mondiale se poursuivra jusqu’en 2010, date à laquelle se tiendra la première Convention sur les biens communs. Des délégués représentant tous les peuples du monde  s’y rencontreront pour déterminer la conduite à suivre.

« Certains de ces sujets ont déjà été abordés par des groupes un peu partout, mais jamais à cette échelle, a observé le prince Hassan. Pour la première fois, des représentants internationaux dans tous les secteurs – les gouvernements, les affaires et la société civile – sont invités à participer. Toutes les questions transfrontalières seront mises sur la table. »

Le prince Hassan a ajouté que les échanges pourront déboucher sur un referendum mondial – une « voix des peuples » – sur toutes les questions relevant de l’interdépendance des nations. Il a déclaré que les nouvelles technologies, associées aux réseaux informatiques en plein développement et à l’intérêt du public pour les questions d’ordre mondial, ont permis l’éclosion de ce projet unique visant à obtenir un consensus mondial sur les problèmes les plus urgents de la planète.

Le groupe du prince Hassan, le Conseil éminent, fera office de corps consultatif dans le cadre du processus de consultation internationale, coordonné par un secrétariat. Les retours émanant tant d’individus que de groupes de toutes sortes seront collectés sur le site Internet. En parallèle, au fur et à mesure de ces retours, des changements seront apportés au plan global qui sera l’objet d’un processus évolutif permanent grâce au travail de synthèse effectué par des rédacteurs.

Les discussions s’organiseront autour des thèmes suivants :

  1. Vivre selon les principes d’une spiritualité, d’une morale et de valeurs qui soient universelles.
  2. Atteindre les Objectifs de développement du millénaire.
  3. Protéger nos ressources mondiales communes.
  4. Restructurer les lois de l’économie et les institutions mondiales.
  5. Etablir de nouvelles formes de gouvernance.
  6. Générer des financements multilatéraux à travers la mise en place de normes internationales.
  7. Réaliser les potentiels humains et sociaux.

« Nous avons tenu cette conférence à Berlin pour démontrer les défis qui se présentent à nous, a déclaré James B. Quilligan, l’un des organisateurs de la rencontre. Quand le mur de Berlin est tombé, en une semaine, en 1989, personne n’avait pu prédire qu’un tel événement se produirait aussi vite. En moins d’un an, l’Allemagne a été réunifiée. Le processus de consultation sur les biens communs est aussi un véritable défi, mais Berlin a déjà été le témoin du retournement inopiné de choses apparemment impossibles. »

  1. Les biens communs sont ceux qui « n’appartiennent (ou ne devraient appartenir) à personne, dont nous partageons tous les bienfaits et qui sont essentiels à la vie. Cela va de l’air que l’on respire, à l’eau que l’on boit, jusqu’aux identités culturelles et à la paix.

Source : global-commons.org

 

Citation

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Message de Maitreya

Message du 27 mars 2008 [sommaire]

par Maitreya,

Le 27 mars 2008, Benjamin Creme était l’invité de la station de radio parisienne Ici et Maintenant. L’émission a été suivie en direct dans le monde entier, via Internet. A la fin de l’interview, Maitreya a béni les auditeurs et leur a adressé un message, par télépathie mentale, par l’entremise de Benjamin Creme.

Je suis vraiment très proche de vous mes amis,
Je suis si proche de vous qu’il ne vous reste que peu de temps à attendre avant de me voir.
Beaucoup d’entre vous ont été très patients.
Mais le moment de mon apparition auprès de vous dans le monde obéit à de nombreuses lois
et je viendrai dès que cela sera possible.
Attendez-vous donc à me voir plus tôt que vous ne le pensez.
Peut-être pas demain, ni la semaine prochaine, ni même le mois prochain, mais très, très bientôt.

Mon cœur déborde du besoin impérieux de mener à bien cette grande entreprise.
J’aurai besoin pour cela de l’aide de tous ceux qui aiment leur prochain.
Les hommes doivent sauver le monde qui souffre gravement.
Mes Maîtres et moi-même vous montrerons le chemin pour y parvenir.
Cela nous réjouit le cœur de voir que les gens ordinaires dans le monde se sont déjà attelés à cette tâche.
C’est à eux que je parle maintenant.

Faites entendre votre voix ; dites vos besoins au monde,
Votre besoin de paix, votre besoin de justice et de liberté,
Le besoin qu’ont tous les êtres de vivre en harmonie.
Quelles que soient leur religion, leur couleur, leur race,
Tous les hommes, en essence, sont un.
Ils sont mes frères, et j’aime chacun d’entre eux.

Ma bénédiction et mon amour s’écoulent vers vous tous.

A bientôt mes amis.

 

Brève

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Courrier des lecteurs

Cette rubrique est alimentée par une réserve importante de courriers confirmés par le Maître de Benjamin Creme comme relatant de véritables rencontres avec des Maîtres, ou un « porte-parole », non encore publiés. S’y ajoutent d’autres courriers, plus récents, qui n’ont pas pu être vérifiés.

Maitreya montre la voie [sommaire]

Le courrier intitulé Signe des temps, publié dans notre numéro d’avril, aura été le premier d’une série de lettres adressées par certains de nos collaborateurs à travers le monde pour nous faire part d’une aide mystérieuse concernant la publicité sur l’émergence de Maitreya. Dans ce même numéro, le courrier intitulé les Maîtresses de Sagesse décrit comment Maitreya et le Maître Jésus, sous l’apparence de deux femmes, s’adressèrent en ces termes à deux membres du groupe au centre d’information de Share International à Amsterdam  : « Vous devez faire davantage de publicité. Ces choses sont importantes. Les gens devraient être au courant de tout cela … »

Le Maître de Benjamin Creme a confirmé que Maitreya avait eu récemment une influence très positive sur notre publicité. Au moment de mettre sous presse, nous avons maintenant connaissance de cinq circonstances particulières où Maitreya a apporté une aide significative. La première fois, ce fut avant la conférence de Benjamin Creme à Barcelone en février dernier.

Venant de Maitreya, nous prenons ceci comme une incitation à augmenter largement notre publicité à partir de maintenant, son émergence semblant très proche.

Ceci met en question le financement et nous savons que de nombreux lecteurs souhaiteront aider. Tout don, adressé avec la mention « pour la publicité », serait le bienvenu

Maitreya montre la voie – Barcelone [sommaire]

Cher Monsieur,

Nous avons lu dans le numéro d’avril 2008 de Partage international la lettre Signe des temps, racontant comment Maitreya avait aidé des groupes pour des annonces concernant la Réapparition. Nous nous sommes alors souvenu de quelque chose qui était arrivé lors de notre campagne publicitaire pour la conférence de Benjamin Creme, à Barcelone en février 2008.

L’une de nos annonces fut mise dans le journal gratuit Metro qui est largement diffusé. Elle fut publiée le jeudi 21 février, deux jours avant la conférence. Nous avons mis des annonces auparavant dans ce journal et elles sont normalement situées dans la rubrique culturelle, vers la fin du journal.

A notre étonnement, cette fois notre annonce parut en deuxième page – une place privilégiée. Cette page donnait également des nouvelles concernant un événement très attendu : l’arrivée du train à grande vitesse reliant Barcelone à Madrid, retardée depuis des années. Au cours des derniers mois, les travaux avaient causé un immense chaos à Barcelone et nous pensâmes que beaucoup plus de lecteurs liraient notre annonce à cette page-là plutôt qu’à la rubrique culturelle.

L’annonce a-t-elle été placée là par hasard ou est-il possible qu’il y ait eu une aide venant de la Hiérarchie ?

H. L., Barcelone, Espagne

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que Maitreya avait effectivement exercé une influence sur ce choix.

Maitreya montre la voie – San Francisco [sommaire]

Cher Monsieur,

Pendant la saison de Pâques 2008, le groupe de méditation de transmission de San Francisco Bay décida de dépenser 2 000 dollars pour une série d’annonces de trente secondes sur une chaîne de télévision locale.

Le texte de l’annonce était : « Si le Christ ou le Bouddha revenait aujourd’hui, le reconnaîtriez-vous ? Celui qu’attendent toutes les grandes religions est venu lorsque nous l’attendions le moins. Il est prêt à apparaître ouvertement très prochainement. Où est-il ? Pourquoi est-il ici ? Pour le découvrir appelez le numéro 888-296-1969 afin d’entendre un extraordinaire message enregistré. »

Nous avions déjà travaillé avec cette chaîne de télévision auparavant et la responsable commerciale nous connaissait. Elle sympathisait avec notre message et elle déclara qu’elle essaierait de nous obtenir quelques spots supplémentaires gratuits. Notre contrat prévoyait seize annonces réparties sur les deux semaines avant Pâques. Lorsque nous reçûmes de la chaîne l’enregistrement indiquant l’heure exacte et la date de parution de l’annonce, nous constatâmes qu’en fait celle-ci était parue trente fois, et non seulement avant Pâques mais également au cours de la semaine suivante.

Environ deux cents personnes appelèrent notre numéro et écoutèrent le message enregistré de quatre minutes. Plus de quarante d’entre elles laissèrent leurs noms et leurs adresses pour recevoir davantage d’information.

Nous avons lu dans Partage international que Maitreya incitait les groupes à faire de la publicité, en faisant lui-même apparaître plusieurs annonces. Nous nous sommes demandé si le nombre de spots publicitaires était passé de seize à trente grâce à une petite aide divine ?

R. T., San Francisco, Etats-Unis

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que Maitreya était à l'origine des annonces supplémentaires

Maitreya montre la voie – Japon [sommaire]

Cher Monsieur,

J’ai reçu un coup de téléphone d’un responsable d’une agence de publicité d’Osaka vers 18 h, le 11 avril 2008. Il me fit une forte impression, il était tout à fait différent de l’homme avec lequel nous avions l’habitude de négocier. Il déclara qu’ils avaient une opportunité soudaine pour une annonce en pleine page dans un journal pour le 26 avril et il nous offrait l’espace avec une importante réduction, tout en sachant que la conférence de Benjamin Creme aurait lieu trois semaines plus tard. Lorsque j’appris dans quelle zone le journal serait diffusé, je fus stupéfaite. C’était la partie nord d’Osaka où nous, le groupe de Kansai, focalisons toujours nos efforts de publicité. Et le prix était très avantageux. Normalement nous n’aurions jamais pu nous permettre une annonce en pleine page dans ce journal.

J’eus un merveilleux contact avec cet homme et nous parlâmes pendant environ trente minutes. Mais pour finir, je dus malheureusement refuser l’offre. Il me demanda si c’était seulement une question de prix. Je lui répondis que c’était une opportunité fantastique, mais que nous n’avions pas un budget suffisant. Lorsque je lui téléphonai à nouveau trente minutes plus tard, il avait négocié avec son supérieur dans l’intervalle et le prix avait encore baissé un peu. Au milieu de mon second appel téléphonique, mon mari prit les négociations en mains. Nous négociâmes à nouveau le lendemain matin et ils baissèrent leur prix encore davantage et finalement nous acceptâmes l’offre.

Quatre jours plus tard, je me suis souvenu de l’homme qui m’avait fait une si forte impression et qui manifestait une si grande joie d’avoir la possibilité de nous proposer une offre si magnifique. J’interrogeai mon mari à son sujet, mais il me répondit que l’homme avec qui il avait parlé avait l’air tout à fait ordinaire.

L’homme avec qui j’ai parlé était-il différent de celui avec qui mon mari a parlé ?

M. U., Kusatsu-shi, Japon

Le Maître de B. Creme a confirmé que les deux hommes étaient différents. L'homme avec qui Midori a parlé était Maitreya.

Maitreya montre la voie – Grande Bretagne [sommaire]

Cher Monsieur,

Je joins à ma lettre une coupure de notre journal gratuit local The Advertiser. Cette photographie et le compte rendu qui l’accompagne sont apparus sur deux pages séparées du même numéro, le 20 mars 2008, et la coupure montre clairement le message concernant le partage. Lorsque je téléphonai au journal pour les remercier de cette double publication, ils me répondirent que cette erreur les laissaient tout à fait « perplexes ».

Un article et une photo sony également parus dans le Sentinel qui couvre l’ensemble de Stoke-on-Trent, Newcastle-under-Lyme et les environs. Il pourrait s’agir d’une simple erreur, mais en voyant le courrier « Signe des temps », publié dans notre numéro d’avril, j’ai pensé que cela valait la peine d’être signalé.

 M. I., Stoke-on-Trent, G.-B.

Voir la photographie dans la version imprimée de la revue Partage international n° 237 de mai 2008, page 25.

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que la photographie supplémentaire et le compte rendu avaient été manifestés par Maitreya.

Une sainte famille [sommaire]

Cher Monsieur,

Lors du salon « Génération 50 » à Avignon (France), en décembre  2007, un homme d’une cinquantaine d’années est venu à notre stand le dimanche en fin d’après midi et a regardé les documents. Nous en sommes venus à parler de Jésus. Il faut dire que mon mari, qui n’était pas impliqué dans mon travail concernant le salon, était venu me rejoindre. Il se documentait alors pour savoir si ce que dit l’Eglise sur la vie de Jésus correspondait à la vérité historique. Dans l’après-midi, j’avais fait pour lui des recherches sur le sujet dans les livres de Benjamin Creme. Cet homme dit alors : « Ah  Jésus, c’est le nom de mon ami, il est allé voir un autre stand,  il m’attend à l’entrée. Tenez, il  m’appelle. » Et il me montra son portable où le nom de son correspondant « Jésus » s’affichait à l’écran puis il partit, vraisemblablement le rejoindre.

Cela m’a plutôt amusée, j’ai pensé que son ami devait être d’origine portugaise pour porter un tel prénom et n’y ai pas attaché plus d’importance. Alors que le salon allait se terminer, cet homme est revenu avec un autre homme sensiblement du même âge, une femme plus  jeune et un enfant et il m’a dit d’un air joyeux : « Voilà mon ami Jésus, je  l’ai retrouvé. »  Ils ont feuilleté les documents tout en discutant et, en regardant des photos de croix de lumière, celui qui s’appelait Jésus dit : « J’en ai fait apparaître beaucoup de croix comme celles-ci. » : alors j’ai eu un déclic. Jésus a parlé de l’importance du symbole de la croix comme lien entre le ciel et la terre. Je ne me souviens malheureusement pas de tout ce qu’il a dit tant j’étais occupée à me demander  « Se peut-il que ce soit vraiment lui qui me parle, et donc son ami, ce pourrait être Maitreya ? ». 

Il a également déclaré que nous sommes tous des Christs, qu’il y a beaucoup de Christs et de Bouddhas, que nous pouvons faire aussi bien qu’eux puisque nous avons le Christ en nous. Il a également mentionné l’adombrement de Jésus.

Ils ont regardé le classeur avec des photos de Signes et lorsque nous nous sommes séparés, je leur ai donné le document sur le trentième anniversaire de la présence de Maitreya dans le monde.

Qui étaient ces hommes ? Et qui étaient la femme et l’enfant ?

G. G., Bourgoin-Jallieu, France

Le Maître de B. Creme a indiqué que le premier homme était Maitreya. « Jésus » était le Maître Jésus. La femme était une disciple du Maître Jésus, et l'enfant, un « familier » manifesté par le Maître Jésus.

Une devineresse [sommaire]

Cher Monsieur,

Le 29 mars 2008, jour de mon anniversaire, pendant la conférence de Benjamin Creme à Paris, mon mari et moi tenions un stand pour la vente des revues Partage international.

Pendant la pause, une dame d’une soixantaine d’années vêtue d’un tailleur mauve s’approcha. Elle feuilleta l’une des revues, puis pointant du doigt la photo de Maitreya à Nairobi elle demanda : « Est-ce sous cette apparence que nous verrons Maitreya à la télévision ? » Répondant elle-même à sa question elle continua : « On ne sait pas. » Je lui dis alors que Maitreya se présentait pour l’instant sous diverses apparences, des formes-pensées qu’il créait selon les circonstances, puis tournant quelques pages je lui montrai les photos du joueur de flûte, de l’Antillais à Hyde Park et de la femme qui mendie à Florence, en lui disant que c’était là différentes manifestations de Maitreya. Pointant du doigt la femme de Florence elle s’exclama : « Mais là c’est une femme ! Mais elle me ressemble ! Regardez comme elle me ressemble ! » Pour ma part je trouvais qu’elle ne lui ressemblait pas du tout. Mais elle insistait : « Regardez ! Regardez ! Mêmes cheveux (elle avait les cheveux blancs et la femme qui mendie a les cheveux noirs). Regardez !

Regardez ! Même bouche ! » (Mon mari me dit par la suite qu’elle était complètement édentée, ce que je n’avais pas remarqué car je focalisais surtout sur son regard. Elle portait des lunettes aux verres épais qui lui faisaient de grands yeux noirs).  Mais elle insistait comme si elle désirait que nous comprenions bien qu’elle était, elle aussi, une manifestation féminine de Maitreya.

Puis elle nous déclara qu’elle connaissait bien l’astrologie chinoise et ajouta : « Cette année est l’année du Rat, 2009 sera l’année du Bœuf et 2010 l’année du Tigre. L’année du Tigre est toujours une année exceptionnelle, mais 2010 sera vraiment une année exceptionnelle, ce sera une année tout à fait extraordinaire ! » Puis s’adressant à trois dames qui s’étaient approchées, intéressées, elle dit : « Je sais comment tout cela va se dérouler, tout commencera aux Etats-Unis, des gens dans la rue exigeront que les médias fassent connaître Maitreya, puis au Japon, des gens dans la rue exigeront la même chose, puis dans le reste du monde. Tout partira de la rue. Rendez-vous dans la rue ! » Elle parlait si fort et avec une voix si haut perchée que je regardai, amusée, à droite et à gauche pour voir si l’effervescence gagnait du terrain, mais non. Il m’a semblé que nous étions dans une bulle à part (les trois dames, la dame édentée, mon mari et moi), une bulle pétillante et légère comme une bulle de champagne. Puis les trois dames accaparèrent notre attention et je ne la vis pas partir. L’instant magique était passé.

Si cette dame était bien Maitreya, alors ce fut un beau cadeau d’anniversaire.

R. G., Etampes, France

Le Maître de B. Creme a confirmé que la « dame édentée » était bien Maitreya

Super pomme de pin [sommaire]

Cher Monsieur,

Je vous adresse cette photo prise en décembre 2007 (voir ci-contre).

Devant ma porte, il y a une jardinière avec des pommes de pin. Je constatais depuis quelque temps qu’une, puis deux d’entre elles grandissaient à vue d’œil sans que je sois certaine de ce que je voyais tant cela me paraissait inimaginable. J’ai donc laissé passer du temps puis un jour, j’en ai parlé à quelqu’un qui m’a conseillé de prendre une photo. J’ai encore attendu et un jour, j’ai su très clairement que la pomme de pin avait encore poussé. Au moment précis de prendre la photo, j’ai souhaité intérieurement qu’une bénédiction apparaisse pour me le confirmer.

Une fois la photographie développée, elle présentait une traînée blanche sur le côté gauche. J’ai été transportée de joie et de bonheur. Etait-ce une bénédiction ? La pomme de pin avait-elle effectivement grandi ?

G. J., Lyon, France

[Voir la photographie dans la version imprimée de la revue Partage international.]

Le Maître de B. Creme confirme que la croissance de la pomme de pin et la bénédiction ont été manifestées par Maitreya.

Bien lu [sommaire]

Lors de la conférence de Benjamin Creme à Paris, le samedi 29 mars 2008, je tenais le stand de livres avec des amies.

A un certain moment, un homme en costume sombre, portant un cartable, s’est présenté à moi, très souriant, irradiant ; il a acheté le dernier livre de Benjamin Creme, puis a demandé très précisément les Lois de la vie qu’une collègue lui a alors tendu. Il a insisté pour ce livre, « le violet », sûr de son choix. Ma collègue m’a alors fait du coude. A ce moment-là, cet homme nous a regardées toutes les deux, l’une après l’autre, en riant et a dit : « Je vous connais. » Il a payé les deux livres, avec une grosse coupure, puis est allé s’asseoir.

G. J., Lyon, France

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que cet homme était Maitreya

 

Rayons

Selon le Maître DK, un rayon est « le nom donné à une certaine force ou à un certain type d’énergie, considéré sous l’angle de la qualité qui en émane ». Les rayons transmettent ainsi leurs qualités à toute la création, y compris la constitution humaine. L’âme, la personnalité, le corps mental, le corps émotionnel et le corps physique, sont tous colorés par l’un ou l’autre des sept rayons. De manière à faciliter l’étude et la compréhension des rayons, le Maître de Benjamin Creme, au fil des ans, a accepté de répondre à des questions portant sur la structure de rayons (et le niveau d’évolution) de certaines personnalités mais, par discrétion, jamais pour des personnes en vie. Pour approfondir cette étude, nous renvoyons le lecteur aux enseignements d’Alice Bailey (Lucis Trust), aux ouvrages de Benjamin Creme et aux précédents numéros de Partage international.
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Forum Partage

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Dernière de couverture

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Cahier anniversaire

Le 19 juillet 1977, Maitreya, l’Instructeur mondial, est arrivé dans la communauté asiatique de Londres − son point d’attache dans le monde moderne − et le 22 juillet il a commencé sa mission. Trente ans plus tard, nous célébrons cet événement extraordinaire à travers les pages suivantes.
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Questions-réponses de Benjamin Creme

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Questions-réponses

Réponses de Benjamin Creme

Depuis de nombreuses années j’ai dit à tout le monde que Maitreya arrivait ! Où est-il ? Je suis déprimé et je perds tout espoir. L’autre jour j’ai lu l’histoire d’une fillette torturée par son père qui l’avait plongée dans de l’eau bouillante. Si c’est cela le karma, il est cruel et stupide, et celui qui l’a instauré doit être sadique. Oui, je suis en colère que les soi-disant Maîtres (et je ne nie pas le fait qu’ils puissent exister) doivent observer sans rien faire l’horreur manifestée par ce que nous appelons « l’humanité » en torturant des enfants. Si nous devons avoir la paix dans le monde, la seule paix que le monde pourra voir est l’extermination des êtres humains. Il y a quelque chose d’inhérent en nous, êtres humains, qui apparemment rend la paix impossible à moins que les Maîtres ne l’imposent et prennent totalement les rênes. [sommaire]

Je peux comprendre votre frustration et votre colère, mais ne perdez pas espoir maintenant. C’est presque la fin d’une longue attente imposée à Maitreya par nous, l’humanité. A n’importe quel moment au cours des trente dernières années, nous avons eu l’opportunité de faire venir Maitreya ouvertement dans le monde. Il suffisait d’entamer le processus de nettoyage, et de commencer à agir en tant qu’humanité une. La souffrance (qui vous révolte à juste titre, vous et des millions d’autres personnes) est le résultat du fait que l’humanité agit « à contre courant » de son véritable Soi et opte avec avidité pour le mercantilisme. Un grand nombre de gens sont déshumanisés par l’avidité et un matérialisme grossier. Il en résulte les horreurs que vous lisez chaque jour.
Maitreya connaît mieux que personne les lois qui le lient dans sa relation avec nos actions. Il est le Seigneur de l’Amour, sa compassion est sans limites et il la manifeste de très nombreuses façons dont personne n’entend jamais parler. Tenez bon encore un peu et très bientôt votre colère disparaîtra et se transformera en larmes de joie. Promis.

Le partage est un but admirable et nécessaire, mais c’est ce que les gens sont le moins susceptibles de faire. Même des gens « bons » ne semblent pas disposés au partage. L’égoïsme, me semble-t-il, est pandémique. Que doit-il arriver sur Terre pour changer cet état d’esprit ? Etre disposé à partager est très différent d’être forcé à le faire. Que Maitreya nous réserve-t-il pour changer cet état d’esprit, mis à part les expériences du jour de la Déclaration qui a mon avis ne seront pas suffisantes, car beaucoup diront qu’il s’agit de fraudes, d’hallucination, etc. [sommaire]

Ceci est une réaction assez habituelle à mon information, même de la part de personnes qui n’ont aucune difficulté à accepter le fait de la présence des Maîtres ou de Maitreya, ou la nécessité du partage en tant que seule voie vers la justice et à la paix. Cependant, je crois qu’il s’agit d’une grave erreur. Il est vrai que nous sommes tombés dans un matérialisme profond qui se manifeste par l’étranglement que le mercantilisme exerce maintenant sur tous les aspects de notre vie. Le mercantilisme, avertit Maitreya, est plus dangereux pour l’humanité qu’une bombe atomique. L’un des problèmes est la difficulté pour les gens de visualiser les moyens par lesquels le partage se mettra en place et sera organisé. Les gens imaginent être personnellement forcés à partager leurs revenus avec des étrangers au-delà des mers. Le principe du partage, lorsque l’humanité en verra la nécessité, sera organisé de manière globale, chaque nation donnant à une réserve centrale ce qu’elle possède en excédent de ses besoins. A partir de la réserve commune les besoins de tous pourront être satisfaits. Cela n’arrivera pas tant que l’humanité n’aura pas accepté le principe du partage. Notre libre arbitre n’est jamais enfreint par les Maîtres. En réalité, dans le monde réel (pas dans le monde commercial), nous n’avons pas d’autre option que le partage. Toutes les autres méthodes ont échoué et conduit au triste état actuel des structures économiques mondiales qui sont au bord du gouffre et qui ont conduit l’écologie planétaire à un déséquilibre dangereux. Le partage peut seul établir la confiance nécessaire entre les nations pour traiter sérieusement les nombreux problèmes dangereux auxquels est confrontée l’humanité. Qu’est que Maitreya a « en réserve » pour nous inciter à faire la seule chose juste pour sauver la planète ? Son énergie d’amour qui va droit au cœur et fait sortir ce qu’il y a de meilleur chez les hommes et les femmes. Personne ne connaît le pouvoir de Maitreya.

Partage international a récemment publié deux courriers des lecteurs qui semblaient attirer l’attention sur l’importance de la publicité, pour faire connaître votre information plus largement. [1] Pourquoi est-ce si important ? [2] Maitreya met-il tout particulièrement l’accent sur la nécessité d’une publicité efficace pour votre information, que ce soit pour les conférences, les livres, la revue ou l’information elle-même ? [3] Peut-on dire que les groupes à travers le monde pourraient faire beaucoup plus de publicité et peut-être une publicité plus efficace ? [4] Les groupes devraient-ils poursuivre leurs campagnes de publicité au niveau local et national ou serait-ce une bonne idée d’envisager une publicité coordonnée dans le monde entier ? [sommaire]

Notre tâche est d’éveiller l’humanité au fait du retour de Maitreya et des Maîtres dans le monde extérieur, de créer un climat d’espoir et d’attente pour cet événement, et ainsi permettre à Maitreya et son groupe d’entrer dans nos vies sans enfreindre notre libre arbitre. Maitreya va émerger très prochainement et il reste donc très peu de temps pour préparer la voie. [2] Oui. [3] Oui. [4] Les deux en même temps.

J’aimerais servir bien que je me demande si j’en suis capable. J’ai écouté la conférence de B. Creme à New York et j’ai pleuré comme un petit enfant. J’avais l’impression de me retrouver chez moi. [sommaire]

Il n’existe personne qui soit incapable de servir. C’est pour servir que nous sommes venus au monde. Si vous pouvez « pleurer comme un petit enfant » en écoutant une de mes conférences, vous êtes très certainement prêt à répondre à l’appel au service de Maitreya. Ne tardez pas !