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décembre 2001 – No 160

Sommaire


 

Article du Maître —

Maitreya entre en scène [sommaire]

par Le Maître –,

par l’entremise de Benjamin Creme

Lorsque, comme aujourd’hui, l’homme se tient à la croisée des chemins et attend qu’on lui indique la direction à prendre, il lance un appel invocatoire pour demander de l’aide. Inévitablement, quand cet appel atteint un certain niveau d’intensité, nous, vos Frères aînés, y apportons réponse. Ainsi en est-il aujourd’hui, tandis que les hommes s’enlisent follement dans le chaos qu’ils ont eux-mêmes créé, craignant de prendre les seules mesures qui leur éviteraient de s’y enfoncer davantage.

C’est dans ce maelström que Maitreya s’apprête à entrer, pleinement conscient de la tâche qui l’attend. Seul un être doté de son incommensurable sagesse peut accepter pareille charge. Seul un être doté de son incomparable courage peut entreprendre semblable mission.

A partir des conditions anarchiques de l’époque actuelle, il doit construire un nouvel ordre meilleur. A partir du tourment que vivent les multitudes, il doit façonner un monde nouveau.

Sur qui peut-t-il compter pour l’aider dans son œuvre salvatrice ?

Qui est prêt à se rallier à sa cause et à venir en aide à ses frères et sœurs ?

Maintenant, plus que jamais, se présente l’opportunité de servir un monde en proie aux douleurs de l’enfantement, un monde nouveau qui n’attend que de naître.

L’héritage de l’homme

Maitreya aspire à élever l’homme jusqu’à l’héritage qui l’attend. Son dessein est d’inspirer la création d’un monde nouveau et plus heureux.

Le Grand Seigneur entend conférer un caractère digne et sacré à la vie de chaque être humain.

Il veut délivrer le monde de la violence et de la guerre.

Où trouvera-t-il ceux dont il a besoin pour lui prêter main-forte ?

Qui est prêt à répondre à son appel ?

Qui a le courage de venir en aide au Seigneur de l’Amour ?

Déjà, il connaît ceux sur qui il peut compter.

Préparez-vous à le voir.

Faites preuve d’une détermination nouvelle.

Ne vous laissez pas abattre par l’immensité de la tâche.

Agissez en toutes circonstances avec simplicité et avec cœur.

Maitreya s’approche rapidement, chevauchant un coursier d’un blanc éclatant.

Il a pour mantram : n’ayez nulle crainte !

Avec le temps, tout sera renouvelé.

Avec le temps, tout retournera à la lumière.

Réfléchissez à cette parole : « Faites que votre action soit à la mesure des besoins de vos frères, et résolvez les problèmes du monde. Il n’y a pas d’autre voie possible. »

Un monde d’infortune

Maitreya pénètre maintenant dans votre monde d’infortune. Il connaît vos tourments et vos souffrances encore mieux que vous, car il connaît aussi la joie qui est votre droit de naissance.

Cette joie, il aspire à vous la restituer dans sa pleine et juste mesure. C’est pour cela qu’il est parmi vous.

Prenez-le dans votre cœur et laissez-le vous servir. Reconnaissez en lui votre ami et frère de jadis. Permettez-lui de vous guider, et de vous prodiguer son enseignement ; ainsi grandirez-vous dans votre divinité.

L’heure est venue où vous allez le voir. L’amour dans son sourire vous servira de signe de ralliement. Vous verrez votre propre amour magnifié mille fois, et, l’offrant en service à sa cause, vous entrerez dans le Plan dont vous faites partie.

Cette traduction est celle publiée dans l’ouvrage Un Maître parle (Partage Publication, 2007), et non celle figurant originellement dans la revue Partage international.

 

Editorial

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Ce mois-ci dans Partage international

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Point de vue

 

Compte rendu de lecture

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Compilation

Nous publions dans cette rubrique une sélection de citations de Maitreya (Messages de Maitreya le Christ et Enseignements de Maitreya : les lois de la vie), du Maître de Benjamin Creme (Un Maître parle) et de Benjamin Creme (divers ouvrages).
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De nos correspondants

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Dossier

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Signes des temps

Les « Signes des temps » présentés dans cette rubrique ont été confirmés par le passé par Benjamin Creme ou s’imposent d’eux-mêmes sur la base de l’espoir et de la foi qu’ils suscitent. Nous les soumettons à votre réflexion.

Un bébé avatar [sommaire]

 Satyam, dix-huit mois, qui vit dans la ville de Amersfoot, aux Pays-Bas, n’est pas un bébé ordinaire. Ses parents hindous, originaires du Suriman, sont des dévots de Saï Baba. La naissance du garçon a été prédite en rêve à sa grand-mère par Saï Baba. Il lui a dit qu’un avatar naîtrait dans la famille.

Presque depuis sa naissance, Satyam matérialise la même sorte d’objets que Saï Baba (vihbuti, statuettes de divinités hindous, ornements et lingams, et il guérit aussi des personnes). Les dévots néerlandais de Saï Baba lui présentent leurs respects avec des mandirs, comme pour tout avatar.

On prétend que Saï Baba a prédit la naissance et l’apparition de douze avatars (dont Satyam) à notre époque. Un autre petit avatar de ce genre aurait été découvert à Melbourne (Australie).

Le Maître de Benjamin Creme a confirmé que ce bébé était un avatar.

Le bison qui change de couleurs [sommaire]

Toutes les cultures et toutes les croyances reçoivent des signes qui leur sont propres. Les Indiens d’Amérique ne font pas exception. Il y a sept ans est née une petite bisonne blanche – un miracle en soi, et ceci pour deux raisons : d’abord, cette naissance avait été prédite il y a longtemps et était devenue une partie intrinsèque de la culture populaire transmise de génération en génération, et ensuite, parce que la naissance d’un bison blanc symbolise une époque de régénération.

Membre de la communauté des Sioux Lakota, Crow Dog, âgée de 70 ans, parcourt le monde afin de répandre les croyances des Amérindiens. Elle se souvient avoir entendu ses grands-parents parler de la venue d’un bison blanc, symbole d’un renouveau pour l’humanité. Maintenant, la petite bisonne a grandi, et un autre miracle la rend célèbre : au fil des ans, elle a changé plusieurs fois de couleurs, passant du blanc au roux, et puis du brun foncé au blond. Ces couleurs symbolisent les races de la Terre. On s’attend à ce qu’elle redevienne blanche et, son septième anniversaire étant imminent, on surveille de près tout changement de couleur.

Pour plus d’informations voir miracleEarlyYears.html.

Le Maître de B. Creme a indiqué que les changements de couleurs de la jeune bisonne ont pour auteur un Maître américain.

Création d’un « crop circle » devant témoins [sommaire]

 La neuvième formation géométrique dans un champ de céréales, à Stadskanaal, dans la province de Groningen (Pays-Bas), est apparue soudainement, alors que des spécialistes en la matière se trouvaient sur place, occupés à mesurer d'autres formations apparues peu auparavant. Cet événement a fait les grands titres des médias internationaux. « C'est la première fois qu'un « crop circle » s'est formé sous nos yeux, tout près de nous », déclare Robert Boerman, spécialiste de l'étude de ces formations.

La formation en question est apparue dans le champ de Jan Adams, alors que Robert Boerman et son collègue, le physicien Eltjo Haselhoff, étaient en train d'examiner une formation représentant un scorpion : en quelques minutes une formation complète fut ajoutée à la queue du scorpion. R. Boerman et E. Haselhoff sont absolument certains qu'il n'a pas fallu plus de sept minutes pour créer cette nouvelle formation : « Quand nous l'avons examinée, le sol était encore chaud et nous avons ressenti comme des douleurs musculaires. » E. Haselhoff a également constaté que la pile de sa caméra semblait déchargée, alors que quelques minutes plus tôt il avait noté qu'elle avait encore une autonomie de 35 minutes.

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que ce crop circle de Stadskanaal a été créé par un vaisseau spatial martien.

Source : Nieuwsblad van het Noorden, Pays-Bas.

L’adombrement de Benjamin Creme par Maitreya [sommaire]

 Au commencement et à la fin de ses conférences, Benjamin Creme est adombré par Maitreya durant environ vingt minutes. Maitreya communique ainsi son énergie à l’auditoire, comme une forme particulière de nourriture spirituelle ou de bénédiction. De nombreuses personnes ayant un certain degré de clairvoyance ont raconté avoir observé ce phénomène, mais jusqu’à présent nous n’en avions aucune photographie.

Cette photographie a été prise le 26 septembre, au cours de la conférence de Benjamin Creme à Amsterdam. La photographe, Ellen Bernards, était assise au premier rang, à gauche de la salle, et elle a pris la photo au tout début de l’adombrement. Une fois le cliché développé, elle a constaté qu’au lieu des deux personnes présentes sur l’estrade (Benjamin Creme et le traducteur Gerard Aartsen), il y en avait trois : B. Creme, qui porte une veste et une cravate est face à l’audience, tandis que le mystérieux personnage supplémentaire, qui fait face à l’appareil, ne porte pas de cravate et a le col de sa chemise déboutonné.

Le flou des deux personnages est provoqué par la lumière émanant de Maitreya pendant l’adombrement. D’ailleurs, de nombreuses personnes voient B. Creme littéralement disparaître dans la lumière, lors de ces adombrements.

[Voir la photographie dans la version imprimée de la revue Partage international n° 160 de décembre 2001, page 19.]

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que le troisième personnage sur la photo était Maitreya.

Guérison miraculeuse [sommaire]

Le Papworth Hospital, dans le Cambridgeshire, en Angleterre, a signalé l’étonnante guérison d’une jeune malade cardiaque. Agée de dix-huit ans, Leanne Faulkner, d’Alconbury, dans le Cambridgeshire, a été équipée d’un stimulateur cardiaque après avoir contracté une myocardite (maladie due à un virus qui fait enfler le cœur) et elle attendait pour subir une transplantation qu’un organe soit disponible. Cependant, au bout de quatre mois, on découvrit que son cœur s’était guéri tout seul et le stimulateur cardiaque fut enlevé.

Le Papworth Hospital n’a enregistré qu’un seul autre cas similaire.

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que Maitreya avait guéri la maladie cardiaque de Leanne et que l'autre cas signalé était une guérison faite par le Maître Jésus.

Source : Ceefax, BBC-tv, G.-B.

Des ovnis en Bourgogne [sommaire]

 Pas moins de sept apparitions d’ovnis ont été enregistrées en Bourgogne au cours de l’été 2001.

En trois semaines, dix-sept témoins ont confirmé avoir observé des « boules lumineuses » dans le ciel, au-dessus de la ville de Chalon-sur-Saône ainsi que d’autres bourgades et villages aux alentours.

Source : Le Bien Public, France

 

S.O.P. — Sauvons notre planète

Hormis la guerre, rien ne compromet aussi gravement l’avenir de l’humanité que la pollution. Constatant qu’il en est ainsi, certains pays ont pris des mesures pour la réduire et pour limiter le réchauffement climatique. D’autres, parfois parmi les plus gros pollueurs, nient la réalité d’un tel réchauffement en dépit des preuves qui s’accumulent. A tout moment, dorénavant, les changements climatiques montrent sans l’ombre d’un doute que la planète est malade, qu’elle a besoin de soins immédiats et attentifs pour retrouver l’équilibre. Le temps nous est compté pour mettre fin aux ravages que subit quotidiennement la planète Terre. Chaque homme, chaque femme, chaque enfant a son rôle à jouer dans sa restauration. Oui, le temps presse. Save Our Planet (S.O.P.), sauvons notre planète ! (Source : Le Maître de B. Creme, S.O.P. Sauvons notre planète, 8 septembre 2012)
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Tendances

Dans le monde actuel s’affirme une tendance de plus en plus prononcée à la synthèse, au partage, à la coopération, à de nouvelles approches et avancées technologiques pour la sauvegarde de la planète et le bien-être de l’humanité. Cette rubrique présente des événements et courants de pensée révélateurs d’une telle évolution.

Changement d’attitude des Américains à l’égard de la politique étrangère [sommaire]

Signe d'un changement majeur d'attitude, deux Américains sur trois déclarent que la meilleure façon d'éviter le terrorisme pour les Etats-Unis est de s'efforcer d'aider à résoudre les problèmes mondiaux. Selon un récent sondage, réalisé par le Pew Research Center, six Américains sur dix pensent que leurs dirigeants devraient prendre sérieusement en compte les intérêts de leurs alliés en s'engageant dans la guerre contre le terrorisme. Avant les attentats du 11 septembre, un peu moins de la moitié des personnes interrogées par le même institut de sondage pensaient que les Etats-Unis devraient, dans leur propre politique étrangère, sérieusement considérer les intérêts de leurs alliés.

Source : San Francisco Chronicle, E.-U.

Bill Clinton : « La mondialisation peut gagner la guerre » [sommaire]

Le commerce mondial peut aider à gagner la guerre contre le terrorisme si l'Occident répartit les richesses qu'il produit de manière plus équitable, a déclaré l'ancien président américain à l'occasion d'une conférence sur la mondialisation, à l'Université de Gand, en octobre 2001. « Tout ceux qui sont en colère ne sont pas en colère contre le monde civilisé et ne veulent pas le détruire, a déclaré B. Clinton. Beaucoup sont en colère car ils ne peuvent en faire partie. »

Cette conférence fut organisée par l'actuel président de l'Union européenne, le premier ministre belge, Guy Verhofstadt, qui tenait à promouvoir un débat sur une « mondialisation éthique » depuis les manifestations anti-mondialistes qui avaient accompagné le sommet européen de juin 2001.

Partisan de davantage de mondialisation, plutôt que d'un recul, à la suite des attentats du 11 septembre aux Etats-Unis, Bill Clinton a déclaré que faire comparaître en justice le terroriste présumé Oussama Ben Laden n'était pas suffisant. « Il nous faut réduire la réserve de terroristes en puissance en augmentant le nombre de partenaires potentiels dans le monde du XXIe siècle », a-t-il dit. Il a appelé les nations occidentales à contribuer à l'élévation du niveau de vie et à l'amélioration de l'éducation dans les pays en développement, de manière à offrir les mêmes chances à tous. « Le commerce mondial n'est pas une mauvaise chose, mais ce n'est pas suffisant, a déclaré B. Clinton. Il nous faut répartir les bénéfices entre tous et réduire le fardeau qui pèse sur certains. »

Plutôt que de s'attarder sur la question des attentats, les participants se sont montré d'accord sur le fait que résoudre des problèmes comme le fossé grandissant entre riches et pauvres, ce que Bill Clinton a appelé « la face noire » de la mondialisation, était devenu plus urgent que jamais. « D'une certaine façon, le monde occidental a vu le coût de la pauvreté sur ses écrans de télévision le 11 septembre, a déclaré Guy Verhofstadt. Les pays et les régions pauvres et instables qui deviennent la proie de bandes de criminels, comme le réseau Al-Quaida de Ben Laden, sont dans une certaine mesure le prix à payer pour la mondialisation. »

Quelques participants ont exprimé la crainte que la réponse militaire des Etats-Unis aux attentats ne détourne les ressources et l'attention des programmes contre la pauvreté. Naomi Klein, écrivain canadien et activiste anti-trust, a déclaré que les besoins des pauvres et des exclus devaient être pris en compte. « C'est devenu une question de sécurité », a-t-elle déclaré.

Source : Newsday.com, Etats-Unis

Kofi Annan, lauréat du Prix Nobel de la Paix [sommaire]

Le secrétaire général des Nations unies, Kofi Annan, a reçu le prix Nobel de la Paix de l’année 2001. Ce Ghanéen, âgé de soixante-trois ans, a partagé le prix avec les Nations unies. Le docteur Gro Harlem Brundtland, directeur général de l’Organisation mondiale de la santé, a déclaré : « C’est une décision juste et qui survient au bon moment d’honorer et de louer le secrétaire général Kofi Annan et les Nations unies en tant que rempart de nos valeurs partagées et de notre engagement en faveur de la paix, de la sécurité, de la liberté et de la prospérité pour tous[…]. Kofi Annan a soutenu sans relâche ces valeurs. Par la force de son engagement personnel, il a accru la crédibilité des Nations unies en ce début de millénaire. M. Annan a l’extraordinaire capacité de faire naître le consensus et la bonne volonté. Il a grandement contribué à unir le monde dans ses efforts pour réduire la pauvreté et l’inégalité. »

Source : OMS

Congrès sur la démocratie à Madrid [sommaire]

Un congrès sur la transition et la consolidation démocratique s'est récemment tenu à Madrid. Organisé par la Fondation Gorbatchev et la Fride (Fondation en faveur du dialogue international) à la suite des événements du 11 septembre, il réunissait des chefs d'Etat actuellement en fonction ainsi que d'anciens dirigeants. Les participants, dont l'ex-président des Etats-Unis, Bill Clinton, et l'ex-président de l'URSS, Mikhaïl Gorbatchev, y ont analysé les causes du terrorisme et ont proposé des actions concrètes permettant son éradication.

Lors de ce congrès, le roi d'Espagne, Juan arlos, déclara que « La démocratie appartient à un domaine éthique élevé, car c'est le moyen indispensable de combattre le terrorisme et tout système totalitaire quel qu'il soit. Il y a toujours des gens qui tenteront d'annuler nos systèmes libertaires, en amplifiant leurs points faibles et en minimisant leurs réalisations. La démocratie a été accusée, par exemple, d'indifférence envers l'inégalité. Et bien qu'il soit exact que la démocratie ne conduise pas automatiquement à l'élaboration d'une société parfaite, c'est actuellement le meilleur système que nous possédions ».

M. Gorbatchev a déclaré, quant à lui, que « la démocratie est précieuse pour autant qu'elle puisse garantir les droits et la liberté. Mais nous ne devons pas faire de la démocratie un mythe, comme ce fut le cas pour le communisme. »

Source : El País, Espagne

 

Entretien

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Environnement

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Esotérisme

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Faits et prévisions

Au fil des années, Partage international a régulièrement publié des articles soulignant les attentes de Maitreya, telles qu'elles ont été présentées par l'un de ses collaborateurs vivant à Londres au sein de la même communauté, à propos d'un certain nombre de changements politiques, sociaux, écologiques et spirituels devant se produire dans le monde. Périodiquement, Benjamin Creme et son Maître ont également partagé leur point de vue sur les développements à venir. Dans cette rubrique intitulée « Faits et Prévisions » notre rédaction analyse les nouvelles, les événements et les déclarations ayant un rapport avec ces prévisions et points de vue.

Un terrain de jeu inégal [sommaire]

« La nouvelle religion est l’argent […]. Chaque idée susceptible de promouvoir le bien-être de l’humanité est utilisée comme moyen d’enrichir quelques individus aux dépens de tous les autres. C’est la nature même des forces de marché. Elles reposent sur le mensonge énorme qui consiste à faire croire que nous faisons tous du commerce sur un terrain équitable […]. L’esclavage accompagne chaque transaction boursière. Le temps est venu d’en finir avec ce terrible système et c’est son effondrement qui y mettra un terme. » [The Great Approach, juillet 2000, page 25]

Le financier George Soros écrit dans son ouvrage The Crisis of Global Capitalism (la Crise du capitalisme mondial) (1998) : « Le développement d’une économie mondiale n’a pas été accompagné du développement d’une société mondiale. La référence de base pour la vie politique et sociale demeure l’Etat nation. La loi et les institutions internationales, dans la mesure où elles existent, ne sont pas assez fortes pour empêcher la guerre ou l’atteinte aux droits de l’homme à grande échelle dans certains pays. Les menaces écologiques ne sont pas abordées correctement. Les marchés financiers mondiaux échappent dans une large mesure au contrôle des autorités nationales ou internationales. J’affirme que l’état actuel du monde des affaires est malsain et insoutenable. »

S’exprimant dans une interview télévisée, en octobre 2001, sur la situation financière actuelle dans le monde, George Soros a fait les commentaires suivants sur la mondialisation et les effets possibles des attentats du 11 septembre :

« Je pense que la mondialisation est là pour rester, mais ce qui importe est le genre de mondialisation que nous aurons. Je pense que celle que nous avons actuellement est très déséquilibrée. Nous avons des marchés mondiaux, mais un système politique fondé sur l’Etat souverain, et c’est un terrain d’action très inégal. Je pense que nous devons faire davantage pour aplanir ce terrain, et à mon avis les événements du 11 septembre ont rendu cela plus urgent que jamais auparavant […].

La mondialisation accroît les inégalités entre riches et pauvres. Elle est dirigée par les pays riches, et ne bénéficie en rien aux pays pauvres. Je pense donc qu’il faut prendre davantage en compte les intérêts des pays les plus pauvres, les pays en marge. Pensez par exemple à un pays comme le Brésil, qui a fait tout ce qu’il fallait pour s’en sortir, mais qui doit actuellement payer deux fois plus d’intérêts que les Etats-Unis, en raison de la prime de risque qu’il doit accorder à ses créanciers […].

Ce que nous avons découvert aux Etats-Unis, c’est que nous ne sommes pas invulnérables, qu’en fait ce qui se passe à l’intérieur des autres pays est d’une importance vitale pour notre propre sécurité, et que par conséquent nous devons réellement avoir une vision constructive et positive d’un monde meilleur, et pas seulement faire la guerre au terrorisme, car cela ne suffira pas. Nous devons également envisager de construire ce monde meilleur. »

Source : BBC-tv, Grande-Bretagne

L’économie américaine est chancelante [sommaire]

« La bulle [économique] éclatera et cela entraînera la chute des marchés boursiers aux Etats-Unis et dans le reste du monde. Le gouvernement américain ne peut maintenir cette bulle, qui est sans rapport avec la productivité réelle de la nation. C’est tout simplement impossible, et Maitreya n’est pas le seul à avoir donné cet avertissement, il y aura un krach boursier mondial. » [The Great Approach, pp 23/24]

Le taux de croissance de l’économie américaine est descendu à 0,4 % au cours du troisième trimestre 2001, le plus faible depuis plus de dix ans. La consommation, qui constitue les deux tiers de l’ensemble de l’activité économique, a chuté de 1,8 % en septembre 2001, la plus importante baisse mensuelle depuis quinze ans. Par ailleurs, plus de 400 000 personnes ont perdu leur emploi aux Etats-Unis en octobre 2001, le maximum jamais vu en un seul mois depuis plus de vingt ans, la réaction du monde des affaires face à la détérioration de l’économie étant d’accroître les licenciements. Le taux de chômage est passé de 4,9 % en septembre à 5,4 % en octobre, le plus haut niveau depuis 1996.

Environ un quart des licenciements ont pour cause directe les attentats terroristes du 11 septembre, selon les chiffres du gouvernement américain.

La question que se posent les analystes n’est plus de savoir si les Etats-Unis sont en récession, mais quelle sera la gravité de cette récession, et combien de mois il faudra attendre avant de retrouver le plein emploi. « Le plus grave, c’est que les choses vont en empirant, a déclaré Michael Evans, responsable de l’American Economic Group, un cabinet de consultation de Washington. Les investissements se font rares, l’immobilier commence à battre de l’aile, les exportations sont en chute. Nous sommes dans une récession générale. En faisant l’addition de tout cela, on ne peut s’attendre à aucune bonne nouvelle avant au moins six mois. » 

Source : CNN, New York Times, San Francisco Chronicle, Etats-Unis

L’économie japonaise en mauvaise posture [sommaire]

 L’économie japonaise se détériore davantage que prévu, selon le ministère de l’Economie et des finances. « La situation économique devient de plus en plus critique », a déclaré Heizo Takenaka. Un économiste japonais réputé a indiqué que le gouvernement réviserait à la baisse ses prévisions de croissance économique pour l’année fiscale 2001 ; elles passeraient de 1,7 % à 1 %, sui-vant ainsi la courbe descendante de la Banque du Japon.

Source : The Japon Time, Japon

 

Fenêtre sur le monde

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La voix de la raison

« Hormis la guerre, rien ne compromet aussi gravement l’avenir de l’humanité que la pollution. Constatant qu’il en est ainsi, certains pays ont pris des mesures pour la réduire et pour limiter le réchauffement climatique. D’autres, parfois parmi les plus gros pollueurs, nient la réalité d’un tel réchauffement en dépit des preuves qui s’accumulent. A tout moment, dorénavant, les changements climatiques montrent sans l’ombre d’un doute que la planète est malade, qu’elle a besoin de soins immédiats et attentifs pour retrouver l’équilibre. Le temps nous est compté pour mettre fin aux ravages que subit quotidiennement la planète Terre. Chaque homme, chaque femme, chaque enfant a son rôle à jouer dans sa restauration. Oui, le temps presse. Save Our Planet (S.O.P.), sauvons notre planète ! » Source : Le Maître de B. Creme, S.O.P. Sauvons notre planète, 8 septembre 2012
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La voix des peuples

Cette rubrique est consacrée à une force en plein développement dans le monde. La voix du peuple ne cessera de s’amplifier jusqu’à ce que, guidés par la sagesse de Maitreya, les peuples conduisent leurs gouvernements à créer une société juste dans laquelle seront respectés les droits et les besoins de tous.
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Le point de vue de Maitreya

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Le respect de la loi

« Chaque fois qu’il y a affaiblissement de la loi… et accroissement général du désordre, alors je me manifeste. » (Bhagavad Gita). La promesse de Krishna, l’Avatar, semble particulièrement d’actualité. C’est pour tenir cette promesse que Maitreya, l’Avatar de notre ère, est présent dans le monde à une époque où l’anarchie est si répandue. « Lorsqu’une nation parvient à l’âge adulte, à la maturité, les relations qu’elle établit avec les autres changent du tout au tout. Elle commence à respecter l’autorité de la loi qui unit toutes les nations, les liant dans leurs responsabilités et leurs besoins mutuels. Le développement vers la maturité se signale précisément par un tel respect des lois que les hommes ont estimées nécessaires pour vivre ensemble en paix… Lorsque, parmi les nations, l’on ignore l’autorité de la loi, c’est le monde entier qui en souffre. » (Le Maître — PI, avril 2004) Actuellement, les traités et les résolutions de l’Onu sont méprisés, et les lois nationales et internationales sont bafouées. Dans ce contexte, nous présentons des brèves mettant en exergue la nécessité d’un respect renouvelé de la loi.
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Les enseignements de Maitreya

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Les mensonges dévoilés

Le 15 février 2003, à Londres, Maitreya a été filmé sous les traits d’un Antillais, lors de la marche pour la paix (voir PI, avril 2003). « Je suis fier aujourd’hui d’entendre mes frères et mes sœurs dire la vérité et dénoncer les mensonges. C’est tellement magnifique ! » a-t-il déclaré. Depuis, les mensonges sont de plus en plus dénoncés.
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Les priorités de Maitreya

« Pour aider les hommes dans leur tâche, Maitreya, l’Instructeur mondial, a formulé certaines priorités. Assurer à tous un approvisionnement correct en nourriture ; procurer à tous un logement convenable ; fournir à tous soins médicaux et éducation, désormais reconnus comme un droit universel. » Le Maître de Benjamin Creme, Partage international, janvier 1989. Dans cette rubrique, notre rédaction aborde les questions relatives aux priorités énoncées par Maitreya et présente des expériences orientées dans cette direction.

Des millions d’Afghans menacés de famine [sommaire]

Selon le FAO (Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture), plus de cinq millions d’Afghans, un quart de la population du pays, sont menacés par la famine. Avant même les attentats du 11 septembre et l’action militaire des Etats-Unis en Afghanistan, les agences internationales avaient averti qu’une catastrophe alimentaire était à prévoir. Le pays souffre de la sécheresse depuis trois ans et de la guerre civile depuis des décennies, ce qui met en danger de famine des millions d’individus. Des efforts internationaux sont en cours pour acheminer de la nourriture en Afghanistan avant l’hiver. Kofi Annan a demandé une trêve dans la campagne de bombardements des Etats-Unis afin que l’on puisse acheminer davantage de nourriture.

Source : FAO

Un million de personnes menacées de famine au Tadjikistan [sommaire]

Au Tadjikistan (Etat d’Asie centrale), un million de personnes sont au bord de la famine après deux années consécutives de sécheresse. Des associations humanitaires ont appelé à l’aide, mais elles craignent que leur appel ne soit pas entendu, toute l’attention étant accaparée par les combats en Afghanistan, pays voisin.

Après une succession de maigres récoltes, le Tadjikistan va affronter l’hiver avec une énorme pénurie de blé : selon les estimations, un déficit de 375 000 tonnes par rapport aux besoins, soit une pénurie de 57 kilos par personne pour chacun des 6,6 millions d’habitants. Le Programme alimentaire mondial (Pam) a lancé un appel urgent pour obtenir 73 000 tonnes de nourriture comme pis-aller. « Une brèche de cette amplitude, si on n’y fait rien, aura un impact dramatique sur un million de Tadjiks, a déclaré Ardag Medhdessian, directeur du programme pour le Tadjikistan. Le spectre de la famine menace une grande partie de cette population. »

Source : Associated Press, Etats-Unis

Importante pénurie de nourriture en Corée du Nord [sommaire]

 Le Pam espère mobiliser l’aide internationale en faveur de millions de Nord Coréens qui seront confrontés à une importante pénurie de nourriture dans les mois à venir. En dépit d’une récolte abondante, la meilleure depuis six ans, la production de nourriture a chuté au-dessous des besoins alimentaires de la population et une sérieuse aide extérieure sera nécessaire au cours de l’année 2002. « Le déficit de nourriture est important et doit être envisagé très sérieusement. Il faut insister sur le fait que, sans une aide substantielle de la communauté internationale, des millions de gens, dans la République démocratique de Corée, notamment de très nombreux enfants, des personnes âgées, des femmes enceintes et des femmes qui allaitent leurs enfants, souffriront de la faim pendant de longues périodes, ce qui aura des conséquences graves sur leur santé et leur bien-être, selon un rapport du FAO et du Pam. Le filet de sécurité essentiel que représente l’aide alimentaire doit être maintenu jusqu’à ce qu’une sécurité alimentaire durable puisse être mise en place grâce à une restauration de l’économie et une réhabilitation du secteur agricole, qui nécessiteront une aide internationale substantielle ».

Source : Pam

La pollution de l’air plus meurtrière que les accidents de la route [sommaire]

 « Nous avons pu montrer que la pollution de l’air consécutive à la circulation automobile tue davantage que les accidents de la route », déclare Devra Lee Davis, auteur d’une étude parue dans le magazine Science. D. Davis, professeur à l’Université (High School for Policy and management) Carnegie Mellon de Pittsburgh (Pennsylvanie, E.-U.), affirme que l’ozone, les particules, le dioxyde de carbone et autres polluants provenant de la combustion des énergies fossiles, pourraient affecter le climat dans les décennies à venir. Mais son équipe a également prouvé qu’ils sont dangereux pour la santé publique.

« Il existe plus de mille études provenant de vingt pays qui démontrent toutes qu’il est possible de corréler le taux de mortalité au degré de pollution, déclare D. Davis, qui ajoute que « la combustion de l’essence et du charbon provoque des décès prématurés par asthme, maladies cardiaques et pulmonaires. Nous espérons que les politiques comprendront que les décisions en matière d’énergie et de technologie sont avant tout des décisions de santé publique ».

Dans cette étude, D. Davis et son équipe démontrent les effets sur la santé de la pollution due aux combustibles fossiles, en étudiant les causes de décès dans quatre villes : Sao-Paulo, Mexico, Santiago du Chili et New York. Ils ont pu déterminer que l’adoption des énergies vertes actuelles sauverait, pour ces villes, 64 000 vies dans les vingt prochaines années. Les chercheurs estiment que cela préviendrait également 65 000 cas de bronchite chronique et ferait économiser quelque 37 millions de jours d’arrêt de travail, total ou partiel.

Bien que cette étude ne se base que sur ces quatre villes, ses conclusions sont probablement applicables à toutes les villes du monde. D. Davis explique que ces résultats sont compatibles avec ceux de l’OMS, qui avait estimé que la pollution de l’air provoquerait environ huit millions de décès dans le monde d’ici à 2020. « Des politiques d’introduction des énergies vertes dispenseraient immédiatement des bienfaits substantiels aux trois milliards d’individus qui résident en zone urbaine à travers le monde. Nous ne parlons même pas de technologies futuristes, ajoute-t-elle à propos de la réduction de la pollution due aux combustibles fossiles. Si les technologies que nous avons déjà étaient adoptées rapidement, elles auraient un effet immédiat sur la santé publique. »

Source : Assiociated Press

 

L’humanité une

Lorsque l’homme acceptera vraiment le fait que l’humanité est une et que les hommes, entre eux, sont frères, quand il traduira ces vérités en actes, toutes choses pourront en toute sécurité lui appartenir. Son héritage l’attend. Ainsi les hommes devront-ils apporter la preuve qu’ils sont prêts pour la paix, prêts à pénétrer ensemble dans l’avenir, sans effusion de sang ni compétition. Ils devront se réjouir de partager et de travailler en harmonie pour le bien de tous. Quand les hommes, d’eux-mêmes, seront dans ces dispositions, ils en appelleront à Maitreya (quel que soit le nom sous lequel ils le connaîtront) pour leur montrer le chemin, les faire sortir du chaos, et les conduire vers une ère de paix. (L’héritage de l’homme, par le Maître de Benjamin Creme).
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L’Unité dans la diversité

« Le but de notre vie, que nous en ayons pris conscience ou non, est l’instauration de l’unité, la manifestation de l’unité qui existe déjà. Chaque atome de l’univers est relié à tous les autres atomes. » Benjamin Creme, L’Unité dans la diversité.
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Regard sur le monde

Dans cette rubrique, Partage international met en lumière certains problèmes urgents qui nécessitent une nouvelle approche et des solutions durables.
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Autres

Le déclin de l’intégrisme [sommaire]

Des paroles prophétiques

A la lumière de la crise mondiale actuelle, nous reproduisons ci-dessous l’article du Maître intitulé le Déclin de l’intégrisme (Partage international, octobre 1990) pour l’éclairage qu’il apporte sur le problème confus et déroutant de l’identité intégriste, religieuse et politique, au Moyen-Orient.

Le déclin de l’intégrisme

à travers Benjamin Creme

Chaque fois que les hommes sentent venir l’assaut du changement, ils ont tendance à se replier sur eux-mêmes, à opérer un retour aux origines, à rétablir et renforcer leurs liens avec le passé. Ainsi en est-il aujourd’hui dans tous les secteurs, religieux, politique et économique, où se fait sentir l’impact d’énergies qui mettent à rude épreuve leurs préconceptions et leurs idées reçues, menaçant le mode de vie auquel ils sont attachés.

Dans chacun de ces domaines, l’intégrisme a atteint l’apogée de sa puissance et il est désormais confronté à un inévitable déclin.

Cela se traduit déjà par l’affaiblissement de l’idéologie communiste, surtout en Europe de l’Est et en Union soviétique ; par l’érosion progressive, à l’échelle mondiale, du capitalisme, tant sur le plan théorique que pratique ; et, sur le plan religieux, par la diminution du prestige et de l’autorité de l’Eglise catholique romaine et des autres branches du christianisme. Seuls les mouvements évangélistes en Occident, et les divers courants de l’Islam en Orient, continuent d’exercer sur les masses un attrait magnétique.

Pour le monde dans son ensemble c’est une évolution des plus souhaitables, car elle indique que l’on surmonte les attitudes dogmatiques du passé, et que l’émergence des nouvelles formes est à portée de main.

La guerre sainte

Pendant un certain temps encore, le militantisme intégriste continuera d’influer sur les décisions des gouvernements, particulièrement au Moyen-Orient. Mais, progressivement, une approche plus pragmatique des problèmes l’emportera, et les mollahs perdront de leur influence.

Les peuples eux-mêmes réclameront des réformes qui, immanquablement, mineront l’autorité du canon religieux, et affaibliront les prêtres. Cela n’est pas pour tout de suite, mais ne saurait tarder beaucoup.

Nous assisterons alors à la résurgence d’un esprit de bon sens, de pragmatisme et de mesure dans les affaires de nations qui, jusqu’à présent, étaient prises au piège d’une idéologie dogmatique, sans lien véritable avec le monde réel. Un nouvel esprit de compromis, d’initiative et de bonne volonté leur permettra de surmonter leur isolationnisme, et un nouveau chapitre commencera dans les annales de ces peuples et de ces cultures anciennes.

A l’époque actuelle, il semblerait que des nations entières soient prisonnières du mirage de la « guerre sainte ». Nombreuses sont les factions qui la préconisent, lançant des appels en ce sens. Pourtant, les dirigeants qui font preuve d’une plus grande sagesse sont écoutés eux aussi ; et les réalités d’un monde moderne interdépendant seront là pour ramener à la raison ces peuples, qu’elles conduiront finalement à une paix durable dans le respect de leur dignité.

« L’intégrisme islamique s’est réveillé au Moyen-Orient. Il s’agit d’une idéologie qui n’a pas sa place en politique, car elle est de nature à réduire les gens en esclavage. Elle ne peut leur apporter ni la liberté, ni la solution de leurs problèmes. »
[Un collaborateur de Maitreya, PI, mai 1991]

Le partage

« Je présenterai à l’humanité les deux lignes d’action qui s’offrent à elle ; de sa décision dépend l’avenir de ce monde. Je lui montrerai que le seul choix possible est celui du partage et de l’interdépendance. De cette manière, l’homme entrera dans un état de conscience de lui-même et de son but qui l’amènera aux pieds de Dieu. L’autre voie est trop horrible à envisager, car elle signifierait l’anéantissement de toute forme de vie sur cette Terre. L’avenir est entre les mains de l’homme. »
[Messages de Maitreya le Christ, message n° 17, 14 février 1978]

Partage et coopération

« Nous entrons dans une période de paroxysme menant à des événements qui vont modifier fondamentalement la vie telle que nous la connaissons. De formidables changements surviennent dans tous les domaines, préfigurant l’établissement d’une vie sociale et relationnelle entièrement nouvelle, fondée sur la coopération et le partage. »
[Benjamin Creme, la Réapparition du Christ et des Maîtres de Sagesse, 1980]

Une affaire de croyances [sommaire]

par McNair Ezzard,

 « Est-il possible de vivre sans croyance, de sorte qu’à chaque minute on aborde une nouvelle vie ? » J. Krishnamurti.

Le long de l’A8, à dix minutes de Burkes Pass, sur l’île sud de la Nouvelle-Zélande, on trouve une clôture très célèbre entourant un pré. Cette section de fil de fer d’environ 500 mètres est appelée la « barrière aux chaussures ». Des centaines de chaussures y sont suspendues, des vieilles, des usées, des éculées et d’autres en bon état, accrochées là par des gens qui n’en voulaient plus. C’est ainsi que cette clôture est devenue depuis des années une attraction touristique inattendue. Il y a toujours quelque voyageur qui s’arrête pour contempler ou photographier ce phénomène des temps modernes. Souvent des échanges s’opèrent, certains abandonnant leurs vieilles chaussures pour en choisir une autre paire. D’autres se contentent d’attacher leurs souliers par les lacets, puis repartent pieds nus.

En matière de croyances, la barrière aux chaussures de Burkes Pass est une bonne image. Dans leur désir ardent de donner un sens à leur existence, des groupes ou des individus amassent un nombre incroyable de croyances. Celles-ci sont une frontière permanente qui limite leur existence et les protège contre un environnement capricieux. Que ces croyances soient anciennes ou récentes, qu’elles soient inadéquates, caduques ou dépassées, elles restent des limites à l’intérieur desquelles la vie continue. Mais que les gens le sachent ou non, une clôture représente toujours un obstacle qui les sépare d’une expérience profonde de la réalité, c’est-à-dire de Dieu.

On pense couramment que les croyances ne concernent que le domaine religieux. Mais elles touchent l’ensemble des activités humaines, depuis les domaines politique et économique, culturel et artistique, jusqu’aux domaines de l’éducation et de la science. Les croyances font partie intégrante de l’existence humaine. Elles peuvent être profondes ou superficielles, sophistiquées ou simplistes, mais elles influencent toutes les activités humaines.

Cette question des croyances peut engendrer la confusion, aussi bien pour le professeur d’université que pour l’individu ordinaire. Une personne croyante déclarera que toute sa vie elle a cru en Dieu, alors qu’elle continue à être malheureuse. Un athée avouera qu’il ne croit pas en Dieu, mais son bonheur et son succès font l’envie de tous ses amis. Le politicien affirme qu’il croit en son gouvernement. L’anarchiste ne croit en aucun gouvernement. Les capitalistes croient à la concurrence. Les marxistes croient au communisme.

Les croyances forment le cadre dans lequel un groupe développe ses objectifs. Si les membres du groupe n’adhèrent pas à des croyances similaires, les objectifs du groupe ne seront pas atteints et le désordre régnera. Si une nation ne croyait pas en son idéologie juridique, comment pourrait-elle maintenir l’ordre et le respect des lois ? Si une entreprise commerciale n’opérait pas selon ses croyances fiscales, comment pourrait-elle fonctionner au sein de l’arène économique ? Si une culture donnée était dénuée de toute croyance, comment pourrait-elle perpétuer ses traditions et leur pratique ? Si une religion ne s’organisait pas en fonction de certaines croyances, comment pourrait-elle attirer des fidèles ?

On dit que sans croyances, les satisfactions personnelles et collectives resteraient insaisissables. Les gens recherchent la sécurité, la paix, la satisfaction de leurs besoins et le salut. Mais pour les obtenir, ils doivent croire (à la démocratie, au socialisme, à l’hindouisme, au judaïsme, à l’Eglise). Sans les croyances, ces idéaux ne se réaliseraient jamais.

Cependant, où peut-on trouver la sécurité ? Combien de gens se sentent en paix ? Qui est satisfait ?

L’insatisfaction et le désespoir règnent partout. La violence fait rage dans tous les pays. De profondes divisions engendrent constamment des guerres, comme une tempête menaçant l’humanité. Gouvernements et religions ont propagé leurs croyances pendant des milliers d’années, mais l’humanité s’est-elle pour autant rapprochée des objectifs promis ?

Si les croyances sont un moyen d’atteindre un but et que, pour la plupart des gens, ce but n’est jamais atteint, alors il est certain que nous devons remettre en question l’utilité de ce moyen.

Signification des croyances

Selon l’Encyclopedia Britannica, la croyance est « une attitude mentale d’acceptation ou de consentement d’une proposition sans en avoir la connaissance intellectuelle totale permettant d’en garantir la véracité. » Benjamin Creme, auteur britannique, a écrit : « La croyance est une fonction du mental. C’est ce qui, au niveau mental, vous apparaît vrai. » [La Mission de Maitreya, tome II (MMII) p. 708]

Ces deux définitions méritent réflexion. La première idée concerne le fait que la croyance est un produit de l’activité mentale ou pensée. Aucune croyance ne peut voir le jour sans avoir été préalablement soumise à une sorte de débat mental, même si ce débat est un processus inconscient. Selon Benjamin Creme, la pensée est un mécanisme, un outil grâce auquel les idées du mental prennent forme. Le pouvoir de la pensée est réel, mais contrairement à ce que certains affirment, il n’est pas tout puissant. Comme tout mécanisme, la pensée a ses limites. En tant que produit de la pensée, la croyance aussi à ses limites. On croit souvent que la pensée est un processus vivant, vital. Elle peut prendre autant d’importance dans l’esprit du croyant que l’objet même de la croyance. Mais la croyance est-elle un processus vivant ?

J. Krishnamurti, philosophe et instructeur, affirmait que la pensée est le résultat de la mémoire. Que si la mémoire n’existait pas, il n’y aurait pas de pensée, et que c’est la réponse de la mémoire qui engendre le processus de la pensée [The Book of Life, Daily Meditations with Krishnamurti (TBL) p. 8/9]. La mémoire est la somme, dans l’esprit, de toutes les expériences que fait un individu au cours de sa vie. C’est essentiellement un résumé du passé.

Benjamin Creme suggère que la mémoire n’est pas vraiment réelle : « Nous gardons en mémoire tout ce qui nous est arrivé, d’aussi loin que nous puissions nous en souvenir, et nous nous identifions à tout cela. Mais ce n’est que de la mémoire, et en aucun cas notre véritable identité. Ce n’est pas nous, tout cela est mort, passé. A l’heure actuelle, tout cela n’a plus de réalité. » [MMII, p. 696/697]. Si c’était réel, cela signifierait que la pensée, qui émane de la mémoire, serait elle-même un produit du passé, donc non réelle. Cela veut-il dire que la croyance, qui est le produit de la pensée, est réelle ?

Une personne peut se trouver tellement absorbée par le pouvoir de ses croyances que le faux processus de la croyance n’est pas reconnu. La croyance en Dieu est considérée comme un témoignage d’une expérience réelle de Dieu. La croyance en Jésus est considérée comme indiquant la certitude du salut. Mais la croyance en Dieu n’est pas une expérience de Dieu. La croyance en Jésus n’est pas une expérience de salut. La croyance n’est qu’un produit du mental, de l’intellect, de la pensée. Cela appartient au passé. Ce n’est pas réel. Une fillette peut croire qu’elle va manger le repas préparé par sa mère, mais cette croyance représente-t-elle le fait de manger ? Un garçon peut croire que demain matin il va grimper dans l’arbre qui a poussé au fond de la cour, mais cette croyance représente-t-elle le fait de grimper dans l’arbre ?

Si la croyance est un faux processus, quelles implications cela a-t-il dans le fait d’atteindre l’objectif d’avoir une expérience plus profonde de Dieu ? Krishnamurti disait que la croyance ne conduira pas une personne vers cette expérience plus profonde. « La croyance est une négation de la réalité, elle fait obstacle à la réalité. Croire en Dieu ne veut pas dire trouver Dieu. Ni le croyant ni l’athée ne trouveront Dieu, parce que la réalité est inconnue et que votre croyance ou non croyance en l’inconnu n’est que votre propre projection, et que par conséquent elle n’est pas réelle. » [The First and Last Freedom, p. 205]

La seconde idée à considérer, quant à ces définitions, est qu’il peut exister une croyance en quelque chose, en un objet, sans qu’il s’agisse d’un fait prouvé dans l’expérience du croyant. Cette idée n’est pas nouvelle. En 1580, Michel Montaigne, essayiste français, écrivait : « Il arrive que rien ne soit aussi fermement ancré que la croyance en ce que nous connaissons le moins » [TGT]. Pourquoi certaines personnes maintiennent-elles que l’objet de leur croyance est réel ? Est-ce parce qu’elles en ont la preuve ? Pas nécessairement. Souvent quelque chose est accepté comme vrai simplement parce que cela a été affirmé par quelqu’un ayant une certaine autorité. Cela se produit avec l’acceptation d’une idéologie politique. Cela se produit avec l’acceptation des croyances religieuses.

Un argument fréquemment soulevé est que l’objet d’une croyance peut être considéré comme légitimé sur la seule base du nombre de personnes qui y croient. Cela constitue-t-il un témoignage crédible de véracité ? Non, rétorque le philosophe britannique Bertrand Russell. Dans son livre Christian Ethics, il écrit : « Le fait qu’une opinion est largement répandue ne prouve aucunement qu’elle n’est pas totalement absurde ; en effet, en raison de la bêtise de la majorité de l’humanité, une croyance largement répandue a plus de chances d’être stupide que sensée. » Nos ancêtres croyaient que la Terre était plate, mais ce n’était pas vrai. Ils croyaient que le soleil tournait autour de la Terre, mais c’était faux.

Le témoignage d’un grand nombre de personnes n’est pas à l’évidence une garantie que quelque chose est réel.

Cela ne veut pas dire que l’objet d’une croyance n’est pas réel. Mais si le faux processus de la croyance ne peut pas apporter une expérience plus profonde de Dieu, qu’est-ce qui le fera ? Si la croyance en quelque chose ne garantit pas sa réalité, alors qu’est-ce qui pourra la prouver ? On ne peut répondre à ces questions que si tout le monde est ouvert à la possibilité d’une nouvelle expérience, d’une nouvelle preuve, au-delà du niveau de la croyance.

Aller au-delà de la croyance

Pour ceux qui sont sur le chemin spirituel, les croyances ont longtemps servi de guides pour une vie plus épanouie. Les individus ont recherché la certitude de cette nouvelle existence par l’accumulation de croyances. Mais derrière chaque croyance se cachait le besoin de quelque chose de plus, quelque chose de permanent et de sûr, au-delà du monde transitoire. C’est ce que Benjamin Creme appelle le désir de savoir que nous « sommes ». « Si nous explorons l’essence de cette sensation générée par la peur, le manque, le désir, l’espoir, nos croyances, nous nous apercevrons qu’il s’agit du désir de savoir que nous sommes ; que nous sommes un Etre, plutôt que ce sentiment de devenir, de vouloir et de désirer sans fin. » [MMII, p. 315] Il s’agit réellement d’un désir d’atteindre l’objectif d’avoir une expérience profonde et continue de cette réalité qui englobe tout, Dieu. Mais cet objectif ne peut être atteint par l’accumulation de croyances.

Jésus a dit : « Un homme riche n’entrera que difficilement dans le royaume des cieux » (Matthieu 19 : 23). Une interprétation de cette déclaration pourrait être que ceux qui sont attachés à leurs possessions (travail, carrière, relations, argent) et qui s’identifient à elles, ne seront pas capables d’évoluer dans la conscience qu’ils ont du royaume des cieux. Leur expérience ne laisse aucune place à des réalités autres que celles auxquelles ils s’identifient. De la même manière, ceux qui s’identifient et s’attachent à leurs multiples croyances ne laissent pas de place à une expérience plus profonde de Dieu.

La croyance est une activité limitée. Comment peut-on expérimenter ce qui est illimité au moyen de ce qui est limité ? La croyance peut faciliter le chemin. Elle peut indiquer la voie à suivre. Mais elle ne révélera jamais la vérité. L’auteur et instructeur Alice A. Bailey a écrit : « La croyance ne doit jamais être que le premier stade » (la Lumière de l’âme, p. 52). Et Maitreya, l’Instructeur mondial, suggère que l’idéologie est le premier pas, un simple tremplin. [MMII, p. 286]

La voie la plus directe pour dépasser la croyance est la prise de conscience. Aussi bien J. Krishnamurti que Benjamin Creme en ont parlé dans leurs écrits. C’est un état d’observation sans effort dans lequel on prend conscience de la croyance dès qu’elle se présente à l’esprit, lorsqu’on observe simplement « ce qui est ». La croyance ne doit pas être condamnée, effacée, rejetée ou justifiée. Il est simplement question d’en prendre conscience calmement, sans effort et dans le silence. L’activité du mental, toujours prompt à suivre les méandres de la pensée, à rationaliser et à analyser, peut rendre difficile cette première approche de l’observation, mais cela peut être fait.

Dans cet état d’observation, l’individu va de la surface vers une appréciation plus profonde de la nature de sa croyance. La conscience de « ce qui est » révèle que la croyance est une fausse réalité. Quelque chose de magique se produit lors de cette prise de conscience, de cette observation sans effort. L’écrivain Murdo MacDonald-Bayne a écrit : « Quand je vois que le faux est le faux, mon esprit est capable de percevoir la vérité à propos de ce qui est faux, je vois que c’est faux et cela disparaît. » [The Yoga of the Christ, p. 201]

C’est alors que dans cet espace de silence, lorsque le mental cesse de croire, de composer et de penser, ce qui est inconnu se fait connaître. Krishnamurti affirmait : « Ce n’est que lorsque je vois que le faux est faux que mon esprit est capable de percevoir ce qui est vrai. » [TBL, p. 2/8]. Et M. MacDonald-Bayne a écrit : « Quand le mental est libéré de ses propres formulations, ses croyances, ses idées, alors le silence s’établit au-delà du temps, un silence dans lequel vous devenez conscients de la Réalité de votre Etre. » [Beyond the Himalayas, p.182]

Lorsqu’on maintient l’observation sans effort, la nature de la réalité, ou de Dieu, devient une expérience vécue. L’individu ressent une liberté inconnue auparavant, dans laquelle chaque moment est porteur de possibilités, sans les limites de la structure de la croyance. Le Maître DK disait : « L’homme est d’essence divine. Ceci a toujours été énoncé au cours des siècles, mais reste pour le moment une belle théorie ou croyance, et non un fait scientifique prouvé. » [Un Traité sur le Feu cosmique, p. 682]

Grâce à l’observation de ce qui est faux, la théorie devient un fait démontré. La croyance se transforme en connaissance. Lorsque quelque chose devient connu en tant que fait, la croyance est-elle encore nécessaire ? J. Krishnamurti ne le pensait pas. Il disait qu’une personne n’a pas besoin de croire à des choses comme le soleil, les montagnes et les rivières, qui sont des faits connus [TBL, p. 2/9]. La croyance n’apparaît que lorsque quelque chose n’est pas connu en tant que réalité. Quand une personne expérimente la réalité de quelque chose, celle-ci devient vraie. Elle ne fait plus l’objet d’une théorie. Cette personne n’a alors plus besoin de dépendre de l’expérience ou des croyances d’autrui. Elle ne se sent plus frustrée par l’incapacité de la croyance à fournir une expérience de la réalité. Sa propre expérience devient la réalité. Sa propre expérience devient la connaissance qui conduit au-delà de la croyance, au-delà des formulations du mental.

Références :
MMII : La Mission de Maitreya, tome II, Benjamin Creme.
TBL : The Book of life : Daily Meditations with Krishnamurti, Harper, San Franciscco 1995.
The First and Last Freedom, J. Krishnamurti, Harper & Row, San Franciscco 1954 (Source de la première citation).
TGT : The Great Thoughts, George Seldes, Ballantine, New York 1985.
Christian Ethics, Bertrand Russel, Live-right New York 1929, p. 29.
La Lumière de l’âme, Alice A. Bailey, Lucis trust.
Beyond the Himalayas, Murdo MacDonald-Bayne, L.N. Fowler & Co Ltd London.
The Yoga of the Christ, Murdo MacDonald-Bayne, L.N. Fowler & Co Ltd London.
Un Traité sur le Feu cosmique, Alice A. Bailey, Lucis trust.

Mines antipersonnel : des engins de mort embusqués [sommaire]

 Certaines situations critiques suscitent une vive émotion, puis sont vite oubliées. L’attention mondiale se concentre sur un point particulier du globe et sur une série d’événements pendant un certain temps. Puis le monde et les médias se tournent vers autre chose, et ce qui était une catastrophe est relégué en dernière page des journaux ou ne mérite plus qu’un court paragraphe ; les grandes organisations humanitaires sont défiées par d’autres événements graves et importants. Certaines urgences, cependant, gardent toute leur acuité à long terme. C’est le cas des mines antipersonnel.

Au début du XXe siècle, près de 80 % des victimes des mines antipersonnel faisaient partie du personnel militaire, alors qu’au début du XXIe siècle, près de 80 % sont des victimes civiles. C’est effroyable : toutes les vingt minutes, une personne est tuée ou mutilée par une mine antipersonnel.

Dans le cadre de la réforme du Secrétariat général, le Service d’action contre les mines des Nations unies (Samnu) fut créé pour coordonner les activités de onze départements et agences des Nations unies. Les activités du Samnu ne sont cependant pas financées par le budget régulier de l’ONU, mais grâce au soutien du Volontary Trust Fund for Assistance in Mine Action et par des donations annuelles. Sa mission est très vaste et inclut le travail crucial de formation du personnel, de localisation des mines, de cartographie des régions minées et de déminage, aussi bien que le lancement et le développement de programmes éducatifs destinés à rehausser la conscience du danger. Ces programmes incluent la création et la dissémination de matériel d’information afin d’alerter les populations vivant dans les régions minées, et également une campagne d’information visant à stigmatiser l’usage des mines. Certains de ces programmes ont été créés en collaboration avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS), et l’Unicef.

Le Samnu développe un projet d’assistance aux victimes des mines. Au cœur du programme se trouve la volonté de porter tout d’abord secours aux victimes, puis de leur apporter une aide physique et psychologique à long terme, et enfin de les aider à se réinsérer socialement et économiquement.

En 1999, le Traité d’Ottawa fut ratifié et prit officiellement effet, interdisant les mines antipersonnel. La communauté internationale a finalement reconnu formellement que ce problème faisait partie des urgences humanitaires. Sur les 135 signataires du traité, jusqu’à présent seulement 72 l’ont ratifié, et 59 l’ont mis en vigueur.

En tant que signataires, ces pays se sont engagés à ne jamais utiliser, développer, produire, stocker ou transporter des mines antipersonnel, ni aider un pays tiers à le faire. Ils ont de plus accepté de détruire tous les stocks existant dans un délai de quatre ans après la ratification du traité. Il existe un consensus général sur l’obligation d’aider à soutenir les efforts internationaux concernant le déminage, les programmes destinés à une prise de conscience, et l’assistance aux victimes qui inclut les soins médicaux, la réhabilitation, et une réinsertion économique et sociale.

Source : UN Special Issue : A review of UN Activities in Mine Action

Pourquoi le terrorisme existe-t-il ? [sommaire]

par Mikhaël Gorbatchev,

« Les Arabes aussi désirent la paix. Pourquoi le terrorisme existe-t-il ?

Nous devons continuer à en débattre sérieusement, à chercher la racine du problème, et à collaborer aux mesures à venir.

Nous devons examiner nos actes et nos prises de position au sujet des nouvelles armes. Nous aurions dû aborder le problème depuis longtemps. En Afghanistan, tant de personnes vivent dans une extrême pauvreté. Les musulmans doivent être intégrés dans toute initiative. »

Source : Berlin Mitte, TV2, Allemagne

Un nouvel ordre international [sommaire]

par Johannes Rau,

« Manquer de respect envers les sentiments religieux et les traditions culturelles d’un peuple, revient à lui ôter tout espoir et toute dignité, ce qui conduit à la violence et à la terreur.

Cela sème la haine dans le cœur des enfants. Une personne vivant dans la dignité et l’espérance deviendra rarement un assassin suicidaire.

Un nouvel ordre international constituerait la meilleure protection contre la terreur, la violence et la guerre. »

Source : Süddeutsche Zeitung, Allemagne

Le cycle de la violence [sommaire]

par Dalaï Lama,

  « Nous devons réfléchir sérieusement afin de savoir si, à longue échéance, un acte de violence est la bonne action dans l’intérêt d’un peuple et d’une nation. Je suis persuadé que la violence ne fait qu’accroître le cycle de la violence. »

Source : Comité canadien pour le Tibet

Notre humanité unique [sommaire]

 Ariel Dorfman, écrivain chilien, a vu un « parallèle entre cette souffrance et celle vécue au Chili lors du coup d’Etat militaire du 11 septembre 1973 : Ces dernières semaines, j’ai vu des centaines de gens errant dans les rues de New York, montrant des photos de leurs proches, quêtant toute information, se demandant s’ils étaient encore en vie ou morts. Les Américains ont été forcés de faire l’expérience de l’immense souffrance que connaissent les proches des desaparecidos (personnes disparues), incertains sur le sort des êtres chers portés disparus.

Une façon pour les Américains de surmonter leur traumatisme, leur peur, et de continuer à vivre au milieu de l’insécurité qui les a soudainement submergés, est d’admettre que leur souffrance n’est ni unique ni exclusive, et qu’ils sont reliés – aussi longtemps qu’ils désirent se considérer comme membres de l’humanité unique – à tant d’autres êtres humains qui, dans des régions lointaines, ont souffert de situations semblables engendrées par une violence et une fureur imprévisibles et souvent prolongées.

Nous découvrirons dans les années futures si les nouveaux Américains, forgés dans la douleur et la résurrection, sont prêts et ouverts, désireux de participer au laborieux processus de réparation de notre humanité divisée et meurtrie. Créant, tous ensemble, un monde dans lequel nous n’aurons plus jamais à nous lamenter, et plus jamais à vivre un 11 septembre si terrible. »

Source : The Independent, G.-B.

Justice et prospérité pour tous [sommaire]

Tony Blair, premier ministre de Grande-Bretagne : « C’est d’une plus grande compréhension entre les pays et entre les croyances dont nous avons besoin ; et plus que tout de justice, de prospérité pour les pauvres et les démunis, afin que chacun, où qu’il soit, puisse connaître un futur meilleur, par le dur labeur et la force créative des citoyens libres, et non par la violence et la sauvagerie des fanatiques.

Mais quelle leçon tirer des marchés financiers, du changement climatique, du terrorisme international, de la prolifération nucléaire et du commerce mondial ? C’est de savoir que nos intérêts personnels sont intimement liés aux intérêts mutuels.

Les affamés, les misérables, les démunis, les ignorants, ceux qui vivent dans le besoin, dans la saleté des déserts d’Afrique du Nord, des taudis de Gaza, ou des montagnes d’Afghanistan, tous sont aussi notre cause.

De nos jours, l’homme peut se détruire ou fournir la prospérité à tous par le biais de la science ou de la technologie. Cependant, la science ne peut pas faire ce choix à notre place. Seule la force morale du monde, agissant en tant que communauté, le peut. »

Source : BBC Online

Il ne s’agit pas d’indifférence mais de sagesse [sommaire]

Arunhati Roy, auteur : « On peut se demander pourquoi les symboles de la puissance économique et militaire américaine, le World Trade Center et le Pentagone, ont été les cibles des récents attentats. Et pourquoi pas la statue de la liberté ? La colère sourde qui sous-tend ces attentats n’aurait pas ses racines dans la liberté ni la démocratie américaine, mais à l’inverse, dans l’engagement et le soutien du gouvernement américain dans le terrorisme militaire et économique, l’insurrection, la dictature militaire, le fanatisme religieux et le génocide inimaginable (mais hors des frontières américaines). Il doit être pénible pour l’Américain moyen, tout récemment endeuillé, de porter des yeux pleins de larmes sur le monde et y rencontrer ce qu’il pourrait prendre pour de l’indifférence. Et pourtant, ce n’est pas d’indifférence dont il s’agit ; mais d’évidence, d’absence de surprise, de la sagesse qui sait que ce que vous émettez finit par vous revenir.

Les Américains devraient savoir que c’est la politique de leurs gouvernements qui est détestée et non eux-mêmes. »

Source : The Guardian, Grande-Bretagne

La justice et non la vengeance [sommaire]

 Propos de Robin Therukauf, dont le mari est décédé dans le World Trade Center : « La priorité devrait être de traquer et d’arrêter les criminels, avec l’objectif de faire justice. Mais pas dans un but de vengeance.

Les Américains peuvent combattre la crainte de la haine en se rapprochant des musulmans dans leurs communautés, et en patronnant les commerces arabes. Cette marque de solidarité entravera en partie le but criminel qui consiste à engendrer la division au sein des communautés américaines.

A long terme, l’éradication du terrorisme ne nécessitera pas l’élimination d’un groupe de personnes, mais plutôt d’une série d’idées. Les impulsions terroristes fermentent dans des cultures de pauvreté, d’oppression et d’ignorance. L’élimination de ces conditions et la promotion active d’un respect universel des droits de l’homme doivent devenir une priorité de sécurité nationale.

Les Etats-Unis doivent, dans une optique politique, reconnaître et accepter leur vulnérabilité. Dans l’environnement hyper-militarisé actuel, aucun Etat ne peut assurer sa sécurité à l’intérieur de ses frontières sans la coopération des autres Etats. Aujourd’hui, le bombardement de l’Afghanistan n’empêchera pas la tragédie de demain. Nous devons regarder au-delà des options militaires pour des solutions à long terme. »

Source : The Spectator, G.-B.

 

Citation

Extrait du message n° 105 [sommaire]

par Maitreya,

« Partage et Justice, Fraternité et Liberté ne sont pas des concepts nouveaux.
Depuis la nuit des temps, l'humanité a lié son aspiration à ces étoiles qui lui font signe.
Maintenant, mes amis, nous devons les ancrer dans le monde. »

 

Message de Maitreya

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Brève

Le pape Jean-Paul II affirme que la paix et la justice sont inséparables [sommaire]

Se référant aux événements du 11 septembre, le pape Jean Paul II a déclaré que l’Eglise est consciente que « la paix va de paire avec la justice, cette justice devant être nourrie par la compassion et l’amour ». De retour de son voyage au Kazakhstan et en Arménie, il a soutenu que le dialogue et la négociation sont les méthodes qui permettent de résoudre les conflits, afin de réaliser la paix si chère à l’humanité. Dans son discours, Jean-Paul II a aussi pris la défense de l’Islam, insistant sur la vocation de pacifisme des trois grandes traditions religieuses monothéistes : « Nous ne devons pas oublier que les juifs, les chrétiens et les musulmans adorent un Dieu unique. Ces trois religions doivent tendre vers la paix et l’unité. »

Source : El País, Espagne

 

Courrier des lecteurs

Partage international dispose d’une réserve importante de courriers qui ont été confirmés par le Maître de Benjamin Creme comme relatant de véritables rencontres avec des Maîtres, ou un « porte-parole », mais qui n’ont pas encore été publiés. D’autres courriers présentés ici sont plus récents. Pour ces derniers, bien que nous ne puissions pas confirmer ou indiquer si un Maître est impliqué, l’expérience peut être telle qu’elle « parle d’elle-même » en apportant espoir, inspiration et réconfort. Nous présentons ces courriers à votre considération.

Bénédictions new-yorkaises [sommaire]

Cher Monsieur,

Ces photos ont été prises à à l’Union Square Park, de New York, pendant la semaine qui a suivi l’attentat terroriste contre le World Trade Center. Le parc est devenu un des plus vastes champs du souvenir de la ville.

K. G., New York, Etats-Unis

[Voir la photographie dans la version imprimée de la revue Partage international n° 160 de décembre 2001, page 20.]

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que chacune des photos montre une bénédiction lumineuse de Maitreya.

L’amour est la réponse, pas la guerre [sommaire]

Cher Monsieur,

Le 11 septembre, je séjournais à Brooklyn, à moins de trois kilomètres du World Trade Center. Ce matin-là, mon hôte me conduisit à la fenêtre et me montra les deux tours en feu. Nous restâmes là, stupéfaits et horrifiés, cherchant à comprendre ce qui se passait, tandis que le ciel s’emplissait de fumée noire. Comprenant que la perte en vies humaines serait énorme, je me mis à prier avec ferveur pour les victimes et tous ceux qui avaient besoin de réconfort. C’était terrible de voir se dérouler cette tragédie sous nos yeux sans pouvoir rien faire. Nous nous sommes demandé s’il ne fallait pas voir là un signe du destin car, si nous avions commencé la journée comme nous l’avions prévu, nous nous serions retrouvés sous les tours, dans le métro, au moment de l’explosion. J’avais l’impression qu’il y avait une raison pour laquelle j’assistais à cet événement : n’y avait-il pas là une leçon spirituelle dont je devais témoigner ?

Le temps que je m’habille, et les tours s’étaient écroulées. Lorsque nous sortîmes, l’air était rempli de fumée et nous dûmes nous protéger le nez et la bouche avec un tissu. Une rue plus loin se trouvait l’église des Pèlerins de Plymouth, et, au moment où je passais devant sa porte ouverte, quelque chose me poussa à entrer. Une veille avait lieu, et les gens du quartier s’étaient rassemblés pour se réconforter mutuellement. A l’intérieur, un calme incroyable imprégnait la totalité de ce lieu, et je me suis tout de suite sentie réconfortée de partager ces instants avec ces gens. Cela m’a rappelé aussitôt qu’à la mort de la princesse Diana, les gens s’étaient également spontanément rassemblés pour vivre ensemble leur chagrin. Ici, les gens étaient calmes, et personne ne pleurait bruyamment.

On me dit que beaucoup d’habitants de ce quartier travaillaient ou avaient travaillé dans les tours. Une énergie de régénération spirituelle semblait émaner du cœur même de ce sanctuaire éclairé de grands vitraux, tandis que des airs religieux et de musique « country » provenaient d’un orgue placé à l’étage.

Les jours suivants, pendant la fin de mon séjour à New York, j’ai éprouvé à plusieurs reprises ce type d’énergie spirituelle. Je me suis rendue deux fois au mémorial « Strawberry Fields » dédié à John Lennon, dans Central Park, où le mot IMAGINE apparaît en lettres capitales sur une mosaïque. Beaucoup de gens se rassemblaient là pour honorer la mémoire de leurs chers disparus. Certains portaient des bougies et formaient un cercle, tandis qu’un homme âgé jouait l’air de « Amazing Grace » à la flûte. Ces visites à Central Park furent les moments les plus réconfortants de mon séjour à New York, au point que j’eus du mal à quitter cette ville à la fin de mes dix jours de vacances. La présence divine était palpable au cœur même de ces moments de douleur. Je sais que tous ceux qui sont venus près de cette mosaïque ont éprouvé le même genre de réconfort. Il y avait là, au milieu des bougies, des lettres, des dessins et des poèmes, qui, tous, exprimaient le même sentiment : l’amour est la réponse, non la guerre. Quelqu’un avait laissé un mot pour nous rappeler que la loi du talion « œil pour œil » rend aveugle.

Je garderai de mon séjour à New York un autre souvenir poignant : celui de l’interview d’une femme enceinte de huit mois, dont le mari avait été tué dans une des tours. La grâce et la force qui émanaient d’elle, malgré sa douleur, étaient très émouvantes. Ses paroles allaient droit au cœur. Elle disait qu’elle savait que son mari n’avait pas perdu la vie en vain. Elle était certaine qu’un bien sortirait de cet événement, même si elle ne savait pas très bien comment cela se produirait.

[1] Les Maîtres étaient-ils impliqués dans l’énergie spirituelle sensible dans l’église des Pèlerins de Plymouth et au mémorial de John Lennon de Central Park ?

[2] L’homme qui jouait de la flûte au mémorial de John Lennon avait-il une signification particulière ?

[3] Etait-ce seulement par chance que mon hôte et moi-même n’étions pas dans le métro au moment de l’attaque, ou avons-nous été protégés ?

M. A. S., San Francisco, Californie, Etats-Unis

[1]Le Maître de Benjamin Creme confirme que l'Eglise des Pèlerins de Plymouth fut l'un des nombreux temples et églises à travers lesquels Maitreya a répandu son énergie d'amour.
[2] Non.
[3] Seulement par chance.

Un anglais à l’étranger [sommaire]

Cher Monsieur,

A la fin du mois d’avril 2000, s’est tenue à Barcelone, en Espagne, la foire alternative de la Journée de la Terre. Elle dura trois jours et cent mille personnes y assistèrent. Les exposants partageaient le souci de soutenir un développement durable et les stands étaient consacrés aux énergies alternatives, à la nourriture bio, à l’artisanat, etc. Le groupe « Emergence » de Barcelone avait un stand à la foire et le public s’est montré très intéressé.

Le premier jour, à midi, je me trouvais seule quelque temps pendant la pause du déjeuner. Je me tenais derrière notre stand lorsqu’un homme poussant une bicyclette s’arrêta et s’approcha de moi. Il paraissait avoir une quarantaine d’années.

Il me posa des questions sur la nature de la foire. Je lui expliquai que les participants et les visiteurs étaient des personnes soucieuses de l’état de la Terre et cherchant des moyens de développement durable. Je lui dis également qu’ils s’intéressaient aux droits de l’homme en matière de nourriture, de logement, d’éducation, de santé et de relations, visant à rendre le monde plus humain et plus juste. Il m’écouta avec beaucoup d’attention. Puis il me dit qu’il ne savait pas que ce genre d’initiatives étaient prises ici mais qu’il était néanmoins très heureux de l’apprendre et que de plus en plus de gens montraient de l’intérêt pour ces questions et agissaient en conséquence. Je sentais que ses paroles étaient vraiment sincères.

Nous continuâmes à parler de ces questions pendant un certain temps. Puis il m’expliqua qu’il était actuellement en voyage mais qu’il vivait habituellement en Angleterre avec ses fils. Il me montra une photo, on y voyait une petite maison en bois ressemblant à un bungalow avec une minuscule cheminée, située au milieu d’une prairie avec une forêt à l’arrière plan. Par une fenêtre grande ouverte je pouvais le distinguer avec deux petits garçons penchés vers l’extérieur et faisant des signes de la main. Nous échangeâmes encore quelques mots avant de nous séparer. Bien qu’il puisse s’agir d’une rencontre avec un Anglais ordinaire, j’eus le sentiment qu’il y avait en lui quelque chose de particulier, notamment une sincérité hors du commun. Pourriez-vous me dire qui était cet homme ?

H. L. Barcelone, Espagne

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que « l'Anglais » était Maitreya.

Des visiteurs bienvenus [sommaire]

Cher Monsieur,

Le 8 avril 2001, je travaillais à la réception de l’exposition de photos de Share International qui se tenait dans l’immeuble de la gare Kokubunji, à Tokyo. Ce matin-là, le premier visiteur fut une femme habillée d’une robe en soie démodée et qui portait un sac en satin, comme pour se rendre à une réception. Son chapeau n’était pas assorti avec le reste de sa tenue. Il était triangulaire, de forme tétraédrique au motif stylisé. Après avoir examiné toutes les photos, elle salua d’un charmant sourire et partit. J’en suis encore à me demander pourquoi elle portait un chapeau de forme si inhabituelle.

Le même jour, à l’approche de 19 heures, un garçon d’environ 15 ans entra et demanda : « Puis-je voir les photos ? », auquel je répondis : « Oui, je vous en prie », pensant qu’un jeune de cet âge ne resterait guère longtemps. Il était prévu que nous fermions à 19 heures. Cependant, le garçon regarda chaque photo avec la plus grande attention, en y passant beaucoup de temps. Alors que je l’observais, un sentiment de joie et de gratitude m’envahit, mon cœur se mit à battre très fort et des larmes me montèrent aux yeux. Il était déjà plus de 19 heures, et pourtant je ne m’inquiétais pas du temps qui passait.

A la réception, il y avait un cahier pour recevoir les commentaires des visiteurs. Il y écrivit quelque chose soigneusement et dit très poliment : « Merci beaucoup. » Je lui dis sans hésiter qu’il était le visiteur que j’avais le plus apprécié de toute la journée et le remerciai de sa visite. Après son départ, je lus son commentaire ce qui m’émut encore davantage. Je me sentais tellement reconnaissante que j’aurais pu rester à travailler à la réception toute la nuit. Son annotation était la suivante : « Moi aussi, j’aimerais faire à l’avenir quelque chose pour qu’une vraie paix règne dans le monde. »

Etait-ce quelqu’un de particulier ?

Y. I., Tokyo, Japon

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que la femme du matin était Maitreya, et que le garçon était le Maître Jésus.

La belle étrangère [sommaire]

Le 12 mai 2001, je me trouvais assise au troisième rang à une conférence de Benjamin Creme, à Tokyo. Après la bénédiction, quand il s’apprêta à parler, j’éprouvai une forte envie de me retourner. Je vis alors une femme extraordinairement belle, assise sur le siège central de la rangée du milieu. C’était une étrangère aux cheveux blonds, portant un pull-over rouge vif. Bien que la conférence de M. Creme eût commencée, elle restait là, les yeux fermés, comme si elle était en méditation. Je me retournais un grand nombre de fois pour la voir et elle était toujours assise là dans la même posture. C’était si beau que j’aurais voulu continuer à la regarder pour l’éternité. Plus tard, pendant la pause et après la conférence, je ne pus la trouver nulle part. Qui était cette belle étrangère ?

Y.  I., Tokyo, Japon

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que cette femme était Maitreya.

Une guitariste aux pas légers [sommaire]

 Cher Monsieur,

En mars 1994, j’ai visité Strasbourg avec des parents pour leur faire découvrir la vieille ville. En entrant dans le square devant la cathédrale, je les attendais un instant car ils avaient de jeunes enfants avec eux. A ce moment, une jeune et belle femme d’environ 27 ans me croisa. Elle me regarda en riant. Son rire était pur, merveilleux, sans aucun préjugé. Elle portait une tenue décontractée et avait les cheveux raides et foncés. Chose remarquable, elle tenait une guitare et ses pas étaient étonnamment légers.

J’aurais aimé la suivre, mais mes parents étaient avec moi et elle semblait inabordable ; ensuite je ne l’ai plus vue. Etait-ce Maitreya ?

R. M., Karlsruhe, Allemagne

Le Maître de Benjamin Creme confirme que cette « jeune femme » qui riait était Maitreya.

Surprise [sommaire]

 Il y a quelques années, en 1997, je me trouvais dans une petite ville au nord de Strasbourg, sur la rive allemande du fleuve. C’était un samedi. Je sortais d’un parking souterrain. Alors que j’ouvrais une lourde porte, je me trouvai face à face avec une jeune femme aux cheveux foncés et ondulés. Je fus vraiment étonné car elle me souriait avec beaucoup de plaisir, d’autant plus surpris qu’elle ne pouvait pas savoir qui ouvrait la porte.

R. M., Karlsruhe, Allemagne

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que cette « jeune femme » était Maitreya.

Une multitude de petites lumières [sommaire]

 Cher Monsieur,

Alors que je posais une affiche concernant Maitreya et Gautama Bouddha sur le tableau d’affichage d’une boutique diététique, une multitude de petites lumières se matérialisèrent pendant 10 ou 20 secondes entre mon visage et le tableau d’affichage.

Pourriez-vous me donner la raison de ce phénomène ?

J. O., Boulder, Etats-Unis.

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que cette manifestation de lumière venait de Maitreya.

 

Rayons

Selon le Maître DK, un rayon est « le nom donné à une certaine force ou à un certain type d’énergie, considéré sous l’angle de la qualité qui en émane ». Les rayons transmettent ainsi leurs qualités à toute la création, y compris la constitution humaine. L’âme, la personnalité, le corps mental, le corps émotionnel et le corps physique, sont tous colorés par l’un ou l’autre des sept rayons. De manière à faciliter l’étude et la compréhension des rayons, le Maître de Benjamin Creme, au fil des ans, a accepté de répondre à des questions portant sur la structure de rayons (et le niveau d’évolution) de certaines personnalités mais, par discrétion, jamais pour des personnes en vie. Pour approfondir cette étude, nous renvoyons le lecteur aux enseignements d’Alice Bailey (Lucis Trust), aux ouvrages de Benjamin Creme et aux précédents numéros de Partage international.
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Forum Partage

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Dernière de couverture

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Cahier anniversaire

Le 19 juillet 1977, Maitreya, l’Instructeur mondial, est arrivé dans la communauté asiatique de Londres − son point d’attache dans le monde moderne − et le 22 juillet il a commencé sa mission. Trente ans plus tard, nous célébrons cet événement extraordinaire à travers les pages suivantes.
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Questions-réponses

Réponses de Benjamin Creme

Maitreya est-il apparu à nouveau devant des groupes ? [sommaire]

Le dimanche 21 octobre 2001, Maitreya est apparu à un groupe d'environ 100 chrétiens, à Lloydminster, au Canada. Il a parlé pendant 18 minutes. Une source a été magnétisée auparavant dans les environs.
Le dimanche 4 novembre, Maitreya est apparu à un groupe d'environ 150 chrétiens, en Italie. Il a parlé pendant 18 minutes. Une source a été magnétisée auparavant dans les environs. La ville où Maitreya est apparu le dimanche 7 octobre, au Maroc, est Rabat.

Dans le numéro de novembre 2001 de Partage international, vous avez écrit : « Ce à quoi les Américains et leurs alliés doivent s'attendre, c'est à la possibilité d'une réaction de la part des terroristes qui sont en place, depuis des années peut-être, aux Etats-Unis et en Europe. » Est-il possible pour votre Maître d'indiquer la nature possible de cette réaction terroriste ? [1] Y aura-t-il d'autres attentats similaires à celui du 11 septembre en utilisant des avions, ou [2] des tentatives de bombardement de ponts, d'installations nucléaires, ou d'autres endroits sensibles, ou [3] peut-être des actions terroristes utilisant des armes biochimiques ou des armes nucléaires ? [sommaire]

[1] Ceci est improbable, étant donné les nouvelles mesures de sécurité, mais ne peut être totalement exclu. [2] Ce genre d'éventualité est plus vraisemblable. [3] L'utilisation d'armes nucléaires, à court terme, est improbable. La contamination du courrier par le bacille de l'anthrax est le fait d'extrémistes américains d'extrême droite, des terroristes eux aussi. L'Amérique va-t-elle, en conséquence, se bombarder elle-même en tant que nation abritant des terroristes ? On devrait se souvenir que les talibans ont déjà proposé de livrer Oussama Ben Laden pour qu'il soit jugé dans un pays neutre si les Etats-Unis apportent la preuve de son implication dans les attentats du 11 septembre.

Pourriez-vous donner quelques explications sur l'oracle qui se trouve sur la couverture de votre revue, ainsi que sur votre nouvel ouvrage la Grande Approche ? Qu'est-ce qu'un oracle ? [sommaire]

Dans l'Antiquité, l'oracle était une source d'inspiration, de révélation ou de prophétie. Dans le mythe grec, Œdipe consulta l'oracle de Thèbes qui lui annonça qu'il tuerait son père et épouserait sa mère, ce qu'il fit, sans le savoir. La tradition de l'oracle d'Etat persiste aujourd'hui encore, notamment au Tibet. L'oracle est le prophète ou le devin, celui qui sait ce que les autres ne savent pas et qui, pour cette raison, est consulté au sujet des événements futurs.

Ceux qui travaillent pour l’Emergence devraient-ils essayer d’entrer en contact, plus particulièrement maintenant, avec des groupes musulmans, des mosquées, des mollahs, pour leur donner l’information concernant Maitreya ? [sommaire]

Pourquoi pas, maintenant comme toujours. Mais il est important de se souvenir que tous les musulmans n’attendent pas l’Imam Mahdi. Les chiites l’attendent, mais pas les sunnites. Tous, cependant, comme chacun d’entre nous, ont besoin d’être guidés.

J’ai vu un jour à la télévision une femme qui semblait capable de communiquer avec les animaux ; elle les « écoutait » en silence, posait la main sur eux et donnait son diagnostic. Elle semblait parfois les guérir. Sa capacité de comprendre les animaux était souvent confirmée par les propriétaires de ceux-ci. [1] S’agit-il d’un don authentique, même s’il est assez rare ? [2] Est-ce une sorte de télépathie ? Elle semblait être capable d’entrer en contact avec l’état physique et émotionnel des animaux. [sommaire]

[1] Oui. [2] Oui. Cette sensibilité aux animaux deviendra une chose largement répandue au fil du temps. Elle fait partie de notre véritable relation avec le règne animal.

Pourquoi depuis 1992, si mes souvenirs sont exacts, Partage international n’a-t-il pas mentionné cette citation : « Les Palestiniens auront leur propre patrie, les Israéliens considèreront les Palestiniens comme des frères ; les Syriens quitteront le Liban » ? A la lumière de la situation actuelle qui ne cesse d’empirer au Moyen-Orient, pouvons-nous tirer certaines conclusions de ces deux faits séparés ? [sommaire]

Ces prédictions furent faites par Maitreya en 1988 et elles sont citées dans tous les envois destinés à la presse et dans chaque présentation des prédictions de Maitreya aux médias. En fait, elles ont été mentionnées chaque année dans la rubrique « Faits et Prévisions » de notre revue depuis 1988. Nous nous efforçons d’autant plus de faire connaître cette information que la situation se dégrade davantage au Moyen-Orient.

Dans un article du journal anglais The Independant, concernant le service des grands brûlés du Cornwell University Medical Center, où les médecins travaillèrent vingt-quatre heures sur vingt-quatre pour sauver des survivants de l’attentat du World Trade Center, on dit ceci : « Le fait que [les chirurgiens et les médecins] aient réussi à maintenir en vie tant de victimes a été décrit comme miraculeux ». Faut-il y voir une intervention des Maîtres ? [sommaire]

Dans des circonstances ordinaires, bon nombre de ces personnes seraient décédées. Le fait qu’un si grand nombre ait survécu est dû à l’action constante de Maitreya et des Maîtres, à la fois au moment de la tragédie et après.

Dans un Traité sur le Feu cosmique d’Alice A. Bailey j’ai lu ceci : « Le troisième effet de l’arrivée du septième rayon est quelque chose qui peut à priori choquer – il causera une grande destruction dans le règne animal. » [1] Faut-il voir dans l’épizootie actuelle de fièvre aphteuse un signe de cette prédiction faite par le Maître tibétain Djwhal Khul ? [2] Cela signifie-t-il que les éleveurs ne voudront plus désormais continuer à élever des animaux destinés à la consommation humaine ? Nous avons pu voir combien ils étaient chagrinés de voir leurs troupeaux abattus. [3] Cette crise est-elle destinée à nous faire comprendre que nous devrions cesser de manger de la viande ? [4] Les âmes des animaux massacrés évoluent-elles en tant qu’âme-groupe ? [5] Devrions-nous tous louer ou acheter une parcelle de terre des fermes abandonnées et cultiver nos propres fruits et légumes, notamment si le réchauffement de la Terre rend les choses plus faciles ? [sommaire]

[1] Non. Ceci fait référence au retrait délibéré d’incarnation de nombreuses espèces animales très anciennes, comme les rhinocéros, les hippopotames, les lions, les tigres, les crocodiles, les alligators, les requins. Il s’agit en fait de l’action du premier rayon (le destructeur des formes). Le septième rayon prépare le terrain, fait naître l’idéal spirituel, l’intention. [2] Pas nécessairement. Ceci dénote une relation mentale plus étroite entre le règne humain et le règne animal. [3] Non. [4] Oui. [5] Lorsque l’on vit en ville, comme la plupart des gens, ceci s’avère plutôt difficile. Si vous vivez à la campagne et désirez faire pousser vos propres légumes, pourquoi pas ?

Des Maîtres de Sagesse résident-ils au Mont Shasta (Californie, Etats-Unis) ? [sommaire]

Oui.

Hitler aurait pu se soucier du sort du peuple allemand, écrasé sur le plan économique et humilié à la fin de la première guerre mondiale, en partie à cause du Traité de Versailles. Cependant, il se trouvait sur le sentier de la main gauche et il utilisa la détresse allemande pour accomplir ses noirs desseins personnels. Staline, comme vous l’avez dit, fut responsable de certaines atrocités, mais il ne se trouvait pas sur le sentier de la main gauche. Quelle est votre opinion sur Oussama Ben Laden ? [1] Peut-on le comparer (lui ou les responsables de l’attentat du 11 septembre) à Hitler ? Se sert-il de la détresse de bon nombre de ses coreligionnaires pour réaliser ses propres intentions maléfiques ? Est-il un agent des Seigneurs de la matérialité qui souhaitent nous pousser vers une troisième guerre mondiale, dans une dernière tentative pour arrêter l’extériorisation de la Hiérarchie ? [2] Ou est-il plutôt, comme Staline, quelqu’un qui ne se trouve pas sur le sentier et qui se soucie réellement du sort de ses coreligionnaires, mais accomplit des actes horribles, poussé par un sentiment de colère et un radicalisme excessif ? [sommaire]

[1] Non. On ne devrait pas, comme le fait le gouvernement américain, assimiler automatiquement Oussama Ben Laden aux auteurs de la tragédie du 11 septembre. D’après mes informations, il a peut-être applaudi cet événement, pensé que c’était bien fait et bien mérité, mais il n’en est pas directement responsable. [2] Oui. C’est un fondamentaliste extrémiste (comme il en existe des milliers dans les Eglises chrétiennes aux Etats-Unis) mais, au lieu d’être chrétien, il est musulman. Le fondamentalisme est une phase traversée actuellement par les deux religions, leurs fidèles se sentant menacés par tout ce qui est nouveau.

Quel est votre avis sur le Grand Monarque, le roi qui est supposé s’installer bientôt sur le trône de France et réunir le matériel et le spirituel ? De nombreuses traditions prédisaient sa venue entre 1998 et 1999. S’agit-il de Maitreya ou d’un de ses disciples ? [sommaire]

Tout cela est dénué de réalité.

Qu’en est-il d’Issaa, le Christ cosmique, qui devait se manifester en France vers l’an 2000. Est-ce une prophétie ayant un lien avec Maitreya et les Maîtres ? [sommaire]

Cela n’a aucun sens.

Une image filmée pendant l’attentat sur le World Trade Center montre une traînée noire se déplaçant à grande vitesse auprès du World Trade Center au moment où l’un des avions s’est écrasé sur le bâtiment. Certains ont supposé qu’il s’agissait peut-être d’un ovni. Des ovnis étaient-ils présents auprès du World Trade Center au moment de l’attentat ? [sommaire]

Non.

Vous avez affirmé qu’Hitler (et les autres dirigeants des puissances de l’Axe) incarnaient les énergies de l’antéchrist. [1] Se savaient-ils en relation avec ces énergies ? [2] Quand Hitler était totalement possédé par l’un ou l’autre des Seigneurs de la matérialité, au moment de ses discours enflammés, sa conscience observait-elle ce qui se passait ou était-il si impliqué qu’il croyait qu’il s’agissait de ses propres paroles et de ses propres idées ? [sommaire]

[1] Non. [2] Il croyait que c’étaient ses propres idées et cela correspondait effectivement à ses visées personnelles. Sa personnalité était profondément négative, ce qui rendait possible sa possession par les « forces du mal ». L’énergie, la force destructrice de l’antéchrist, put être focalisée à travers Hitler et ses alliés.

Vous avez déclaré être l’une des cinq personnes dont la Hiérarchie avait espéré qu’elles accepteraient de parler publiquement de l’émergence de Maitreya. [1] La Hiérarchie espérait-elle également qu’un plus grand pourcentage de ceux d’entre nous qui savent (ou qui croient) que Maitreya est présent dans le monde travaillerait activement à faire connaître sa présence, et si c’est le cas [2] quel pourcentage de ceux qui savent réorientent leur chemin pour faire ce qu’il demande ? [3] Le fait d’ignorer sa requête (faire connaître sa présence) est-il considéré comme une forme de trahison ? [sommaire]

[1] Non. Ils savaient déjà lesquels répondraient. [2] Environ 70 %. [3] Non, mais comme une opportunité de servir manquée.

Y aura-t-il un avertissement dans Partage international, ou quelque « indication », avant que Maitreya ne parle sur les ondes pour la première fois ? [sommaire]

Oui, très probablement.

Selon votre avis et celui de votre Maître, quel rôle devrait jouer les Nations unies dans la recherche de solutions à la crise internationale due aux attentats du 11 septembre ? [sommaire]

Elles devraient au moins réunir tous ses membres afin de discuter ouvertement des problèmes liés au terrorisme, y compris de ses causes, et informer de leurs résolutions et de leurs recommandations.

Tout récemment, j’ai entendu sur la BBC un reportage mettant en évidence des preuves archéologiques enlevant tout crédit aux revendications israéliennes sur certaines parties de la Palestine. Il fut question des murs de Jericho et d’autres sites et, selon le reportage, bon nombre de revendications israéliennes basées sur « d’anciens droits de propriété » n’ont aucun fondement réel. Qu’en pensez-vous ? [sommaire]

C’est également l’avis des Maîtres.

Sous la photographie de votre adombrement par Maitreya, à Amsterdam (Share international, novembre 2001)(voir photo page 19 du présent numéro), Maitreya est décrit comme portant une chemise au col ouvert. S’agit-il réellement d’une chemise ou d’un autre vêtement, par exemple une tunique pakistanaise traditionnelle ? [sommaire]

C’était effectivement une tunique pakistanaise traditionnelle.

[1] Quel est le pourcentage de nourriture consommée en trop par un individu moyen dans le monde développé ? [2] Quel est le pourcentage de nourriture qui fait défaut à un individu moyen dans les pays en développement ? [3] Il est difficile d’évaluer combien de nourriture est gaspillée par la surproduction, les stocks inutiles, etc. Sur l’ensemble de la nourriture produite dans le monde, savez-vous quel pourcentage est effectivement gaspillé ? [sommaire]

[1] 40 %. [2] 45 %. [3] 30 %.

[1] Quelle serait la meilleure façon pour les hommes politiques et les diplomates de régler la situation au Moyen-Orient ? [2] Pensez-vous que le problème israélo-palestinien est la cause et la clé de la crise mondiale actuelle ? [sommaire]

[1] Par la reprise des discussions entre Palestiniens et Israéliens. Les Etats-Unis doivent user de leur influence pour que cela puisse s’effectuer sur une base totalement équitable. [2] C’est l’un des facteurs clés de la tension qui règne aujourd’hui. Deux autres facteurs tout aussi importants sont l’extrême différence de niveau de vie entre l’Orient et l’Occident, et l’hégémonie américaine en tant que seule superpuissance.

Il semblerait que l’ensemble du monde naturel envoie des signaux désespérés à l’humanité pour lui dire que tout l’écosystème est au bord de l’effondrement. Il semble parfois qu’il ne reste plus aucune nourriture saine sur notre planète. Pouvons-nous espérer que les hommes politiques, les cultivateurs et les consommateurs écouteront enfin cet avertissement ? Que peut faire le consommateur ordinaire pour aider à améliorer la situation ? [sommaire]

D’après les Maîtres, la pollution est responsable de la majorité des décès dans le monde. La pollution, spécialement les radiations nucléaires, diminue les défenses immunitaires des individus, laissant la porte ouverte à toutes sortes de maladies contre lesquelles existerait normalement une immunité naturelle. Le consommateur ordinaire peut participer à des campagnes contre la pollution de l’air, du sol et des mers, il peut également acheter uniquement ou principalement des produits biologiques. Je considère comme essentielle l’installation d’un système de filtrage de l’eau (le meilleur que l’on puisse se permettre).

[1] Votre Maître est-il en mesure de nous dire s’il existe actuellement des dirigeants et des hommes politiques qui commencent à désespérer de l’état dans lequel se trouve aujourd’hui le monde, et si c’est le cas, [2] demandent-ils de l’aide à un être supérieur ou à Dieu? [3] Certains d’entre eux se tournent-ils vers Maitreya ou l’un des Maîtres (qu’ils aient conscience ou non de leur identité réelle) ? [sommaire]

[1] Oui, dans de nombreux pays. [2] Oui, à leur manière. [3] Oui, dans certains cas.