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mai 2001 – No 153

Sommaire


 

Article du Maître —

L’héritage de l’homme [sommaire]

par Le Maître –,

par l’entremise de Benjamin Creme

Aujourd’hui encore, beaucoup d’hommes sont saisis d’effroi à l’approche de la mort. L’on ne peut que s’attrister qu’il en soit ainsi, car rien ne justifie pareille terreur. Pour la plupart des gens, le stress engendré par la venue au monde est de loin supérieur à celui du départ : passant en douceur hors de la forme, ils acquièrent alors une liberté nouvelle et plus grande.

C’est une crainte semblable qui s’empare aujourd’hui de ceux qui voient s’écrouler les structures qui leur sont familières. Ignorant tout de l’avenir, ils savent seulement que leur monde s’effondre et se meurt sous leurs yeux terrifiés. Sur tous les fronts, économique, religieux et social, il en va de même : il ne se passe pas un jour qu’ils n’apprennent de nouvelles pertes.

Le monde est comme suspendu entre passé et avenir, obsolescence et renouveau. Les peuples retiennent leur souffle, cherchant quelque indice de ce qui les attend. Les signes sont là en abondance, offerts aux yeux de tous, pourtant beaucoup se refusent à y puiser l’espoir dont ils ont tant besoin, et leur sérénité s’en trouve amoindrie.

Un avenir resplendissant

N’ayez nulle crainte pour l’avenir car il sera, si telle est la volonté de l’homme, plus beau et plus grand qu’il ne saurait le concevoir, plus resplendissant qu’il ne pourrait l’imaginer dans ses rêves les plus fous. L’incertitude et l’anxiété, les souffrances liées à la perte et au changement, ne sont que les douleurs de l’enfantement d’un monde nouveau et meilleur qui lutte pour voir le jour.

Ce monde nouveau, cette civilisation nouvelle, reflétera, de plus en plus, la divinité essentielle de l’homme. Des qualités et des pouvoirs qui, jusqu’à présent, ont été attribués exclusivement à Dieu seront chaque jour manifestés pleinement par l’homme. Les miracles d’aujourd’hui, correctement compris, apparaîtront comme normaux et compatibles avec les lois de la nature, lorsque celles-ci sont sous le contrôle de l’esprit et de la volonté illuminés.

Ainsi en sera-t-il, et ainsi l’homme verra-t-il grandir en lui la certitude qu’il est vraiment de retour sur le sentier spirituel, et que les erreurs de l’époque actuelle sont désormais derrière lui.

Pénétrer ensemble dans l’avenir

Lorsque l’homme acceptera vraiment le fait que l’humanité est une et que les hommes, entre eux, sont frères, quand il traduira ces vérités en actes, toutes choses pourront en toute sécurité lui appartenir. Son héritage l’attend.

Ainsi les hommes devront-ils apporter la preuve qu’ils sont prêts pour la paix, prêts à pénétrer ensemble dans l’avenir, sans effusion de sang ni compétition. Ils devront se réjouir de partager et de travailler en harmonie pour le bien de tous. Quand les hommes, d’eux-mêmes, seront dans ces dispositions, ils en appelleront à Maitreya (quel que soit le nom sous lequel ils le connaîtront) pour leur montrer le chemin, les faire sortir du chaos, et les conduire vers une ère de paix.

Alors, le Grand Seigneur leur répondra. Il se tournera vers l’armée de ceux qui l’aident, rassemblés au fil des années. De tous les pays viendra ce groupe d’hommes de bonne volonté, dévoués à leur tâche, formés aux nouvelles méthodes et procédures.

Ainsi l’homme, disciple mis à l’épreuve, émergera-t-il comme un Fils de Dieu en devenir, ainsi héritera-t-il de son véritable rôle et de ses vrais pouvoirs.

Cette traduction est celle publiée dans l’ouvrage Un Maître parle (Partage Publication, 2007), et non celle figurant originellement dans la revue Partage international.

 

Editorial

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Ce mois-ci dans Partage international

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Point de vue

Halte aux POP [sommaire]

par Donella H. Meadows,

Quelque permissive que soit la politique actuelle des Etats-Unis en matière d’environnement, dans d’autres parties du monde de nouvelles attitudes, technologies et lois sont promulguées, qui pourraient bien nous aider à traverser avec davantage de sécurité le XXIe siècle. On note par exemple le nouvel accord mondial sur les POP, auquel vient s’ajouter une politique suédoise encore meilleure dans le même domaine.

POP est une abréviation pour « Persistant Organic Polluants » (polluants organiques persistants), produits chimiques dont la toxicité est immédiate, et qui peuvent provoquer des cancers, des troubles de la procréation ou des malformations à la naissance (ou tous ces troubles à la fois). Ces produits sont fabriqués par l’homme et sont presque indestructibles par la nature. Peu d’organismes vivants sont capables de les détruire. La plupart des POP ont une forte teneur en composés chlorocarbonés, ce qui tend à les rendre résistants au froid, à la chaleur et à la lumière du soleil. Cette stabilité est un atout sur le plan industriel mais rend difficile leur éradication dans les écosystèmes.

Le premier accord international sur les POP a été négocié avec succès le 10 décembre 2000, à Johannesburg. Après cinq ans de préparation et sept jours d’âpres négociations, les délégués des 122 pays se sont entendus sur un document qui, lorsqu’il sera ratifié, imposera dans le monde entier l’interdiction ou le contrôle d’une douzaine de « POP pollueurs ». Ceci comprend neuf pesticides (aldrin, chlordane, DDT (dichloro-diphényl-trichloréthane), dieldrin, endrin, heptachor, hexachlorobenzène, mirex et toxaphène) et trois familles de composés chimiques appelés PCB (biphényls polychloratés), dioxines et furans.

La plupart de ces produits chimiques sont déjà interdits dans les pays industrialisés, mais certains d’entre eux, notamment les Etats-Unis, les produisent encore et les exportent vers les pays en voie de développement. Un tel comportement est stupide car les POP reviennent nous hanter. Ce sont de grands voyageurs qui se laissent porter par l’air et l’eau. Le corps de l’Américain moyen contient vraisemblablement au moins 500 composés chimiques fabriqués par l’homme, la plus grande proportion revenant aux DDE (un produit dérivé des DDT) et aux PCB – bien que leur fabrication ait été interdite depuis des décennies aux Etats-Unis.

Notre monde est envahi par les POP

Les POP ont tendance à être plus facilement solubles dans la graisse que dans l’eau. Ainsi, lorsqu’un vairon happe un morceau de plancton contaminé par des POP, ceux-ci sont emmagasinés dans la graisse du poisson. Le vairon garde en lui presque tous les POP qu’il a ingurgités. Un poisson plus gros accumule les POP de tous les vairons qu’il aura mangés. Un aigle, un ours polaire, un phoque ou un être humain qui mange un gros poisson peut être contaminé par une dose de POP des centaines de milliers de fois plus concentrée que l’eau où nageait ce poisson.

Ainsi les aigles de la région des Grands Lacs ont du mal à se reproduire. Les phoques des mers du Nord imprégnés de fortes doses de PCB ont des systèmes immunitaires défectueux incapables de combattre les infections courantes. Des ourses polaires se retrouvent avec des organes reproducteurs mâles ce qui les rend stériles. En Inde et au Zimbabwe, les bébés nourris au lait maternel reçoivent une dose de DDE six fois supérieure à ce qui est normalement toléré. Les femmes ayant allaité sont moins susceptibles de développer un cancer du sein. Une des raisons possibles est qu’elles aient transféré une partie des POP contenue dans leur corps à leurs enfants.

Il est temps d’agir et cela aurait dû être fait depuis des décennies. Notre monde est envahi par les POP, en bien plus grand nombre que les douze pollueurs concernés par le nouvel accord mondial. Plus de 50 000 composés chimiques organiques synthétiques sont couramment utilisés, dont la plupart n’ont jamais été correctement testés quant à leurs effets sur la santé, l’environnement et leurs tendances à la bio-accumulation. Un millier de composés chimiques nouveaux sont produits industriellement chaque année. La porte a été laissée ouverte beaucoup trop longtemps. La refermer sur douze produits parmi des milliers est un début bien modeste.

La Suède fait les premiers pas

La Suède est en train de passer à l’étape suivante. Son premier ministre est sur le point de soumettre à un parlement favorable une loi interdisant le commerce de toute substance (organique ou inorganique) ayant une certaine persistance et une tendance à la bio-accumulation. Les industriels auront cinq ans pour tester à leurs propres frais les 2 500 substances chimiques qu’ils utilisent dans des quantités supérieures à mille tonnes par an. Les tests touchant aux effets sur la santé, coûteux en temps et en argent et souvent peu concluants, ne sont pas exigés – seuls le sont les tests concernant la persistance et la bio-accumulation, lesquels décideront de l’éventuelle interdiction. D’ici 2010, tous les produits chimiques industriels devront avoir été testés. En Suède, tout produit chimique utilisé devra être classé non dangereux par l’industrie, et ce ne sera plus au public de révéler, souvent à ses dépens, sa nocivité. Aucun produit chimique nouveau ne pourra être utilisé sans l’accord d’un jury constitué à cet effet. C’est le contraire de la politique pratiquée aux Etats-Unis (et dans d’autres pays), où tout produit chimique est présumé non dangereux jusqu’à preuve du contraire.

Le plus étonnant est l’attitude mature des sociétés suédoises. Cette politique a été façonnée par un ensemble d’experts du gouvernement, des milieux académiques et de l’industrie, sous la conduite de la société chimique Bayer. L’industrie suédoise a déjà mis en œuvre les moyens nécessaires pour les tests requis. Orrefors Kosta Boda, le producteur de verre, développe dans la sérénité de nouveaux moyens pour fabriquer du verre scintillant avec du barium au lieu du plomb.

Au même moment, à Johannesburg, les négociateurs de MM. Clinton et Gore s’opposaient à l’extension de la liste des POP au-delà de douze agents pollueurs. Tout le monde savait qu’un Congrès à dominance républicaine n’aurait de toutes les façons jamais ratifié le traité. On s’attend à ce que l’administration Bush et Cheney n’accorde son attention qu’aux vues à court terme de l’industrie chimique. Il est bon que les autres ne s’attardent pas à nous attendre.

 

Compte rendu de lecture

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Compilation

Nous publions dans cette rubrique une sélection de citations de Maitreya (Messages de Maitreya le Christ et Enseignements de Maitreya : les lois de la vie), du Maître de Benjamin Creme (Un Maître parle) et de Benjamin Creme (divers ouvrages).
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De nos correspondants

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Dossier

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Signes des temps

Les « Signes des temps » présentés dans cette rubrique ont été confirmés par le passé par Benjamin Creme ou s’imposent d’eux-mêmes sur la base de l’espoir et de la foi qu’ils suscitent. Nous les soumettons à votre réflexion.

Une vague de miracles balaie les Etats-Unis [sommaire]

Selon un article paru dans le tabloïd américain Weekly World News, « des miracles se produisent quotidiennement dans toute l’Amérique ». « Jamais auparavant, tant de miracles n’avaient été constatés par des personnes aussi nombreuses et appartenant à différentes religions », déclare le théologien Dr Grigor Orudjev. Bien que l’article souligne que certains leaders religieux pensent que ce phénomène est un signe de la « fin des temps », ou d’un prochain jour de jugement pour l’humanité, de nombreux miracles y sont décrits, notamment des guérisons et des statues qui versent des larmes, miracles qui se produisent dans tous les Etats-Unis. Voici quelques-uns de ceux qui sont cités :

ALABAMA : Une image du visage de Jésus est apparue sur une porte au Walker Regional Medical Center, à Jaspar, dans l’Alabama, après qu’un père ait prié pour la guérison de son fils mourant. Le garçon a survécu.
Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que l’image du visage de Jésus était un miracle accompli par le Maître Jésus.

COLORADO : Theresa Lopez a déclaré que la Vierge Marie lui était apparue à deux reprises, et lui avait annoncé que cette vision se répéterait pendant la fête de l’Immaculée Conception, le 8 décembre 2000. Ce jour-là, plus de 6 000 personnes se réunirent au lieu de pèlerinage de Mother Cabrini près de Denver. La plupart d’entre elles ont affirmé qu’elles avaient eu la vision d’une femme rayonnante, vêtue d’une robe rose et portant une couronne dorée sur la tête.
Le Maître de Benjamin Creme a confirmé que la vision avait été manifestée par le Maître qui fut la Vierge Marie.

CONNECTICUT : Neil Harrington Jr, employé au bureau de poste d’Enfield, a déclaré qu’il avait eu des visions et reçu des messages spirituels de la Vierge Marie. Des visiteurs qui se sont rendus chez lui ont vu une statue de la Vierge versant des larmes.
Le Maître de Benjamin Creme a confirmé que le phénomène était créé par le Maître qui fut la Vierge Marie

IDAHO : Un trappeur français, connu sous le nom de Big François, chassait près de Mosquita Peak, au début des années 1820, lorsqu’il tomba dans un précipice rocheux et se fractura la jambe. Il délirait et s’apprêtait à mourir de sa blessure et de la soif lorsqu’il vit apparaître un vieux medecine man indien. Ce dernier remit les os brisés en place, frotta la jambe avec des plantes médicinales et des onguents, et aida le blessé à boire de l’eau d’une gourde, avant de disparaître. Big François fut secouru peu après par d’autres trappeurs et il leur montra la gourde de peau comme preuve de son histoire. Convaincu qu’il avait eu la vie sauvée par un ange, le trappeur déposa la gourde dans un coffret à l’endroit où le mystérieux Indien était apparu. Le petit coffre en bois est toujours là et on lui attribue des dizaines de guérisons.
Le Maître de Benjamin Creme a déclaré que le medecine man indien était le Maître Jésus.

ILLINOIS : Peu après qu’une petite statue de bois de la Vierge Marie ait été mise en place dans l’église catholique St John of God à Chicago, elle s’est mise à pleurer. Le prêtre de la paroisse, Raymond J. Jasinski, a raconté que lui-même et d’autres témoins ont vu des larmes couler des yeux de la statue après une messe. Depuis des milliers de personnes sont venues voir cette statue qui pleure.
Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que le phénomène était un miracle accompli par le Maître qui fut la Vierge Marie.

INDIANA : Un tableau représentant le Christ sur la croix exsude une substance huileuse au niveau du halo et des blessures de la tête, des mains, des pieds et sur le côté du corps de Jésus, dans l’église orthodoxe Holy Trinity, dans la ville de Michigan.
Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que le phénomène était un miracle accompli par le Maître Jésus.

KANSAS : Une plaque représentant la Vierge Marie a commencé à verser des larmes de sang dans la maison d’Holguin Cazares, à Dodge. Elle s’est remise à pleurer des larmes de sang lorsqu’elle fut transportée au domicile d’un malade, ami du propriétaire.
Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que le phénomène était un miracle accompli par le Maître qui fut la Vierge Marie.

MINNESOTA : De vastes foules se rassemblent près de la ferme d’un visionnaire, Stephen Marino, dans les environs de Kettle River, pour assister à des apparitions de la Vierge Marie. Nombre de fidèles s’installent dans des maisons voisines du site et travaillent à construire un nouveau sanctuaire.
Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que le Maître qui fut la Vierge Marie était à l’origine de ces apparitions.

NEW JERSEY : La Vierge Marie a commencé à apparaître dans la cour de la maison de Joseph Januszkiewicz peu après qu’il fut rentré chez lui, à Marlboro Township, après s’être rendu sur le site des apparitions mariales à Medjugorje, en Yougoslavie. Des milliers de visiteurs ont raconté qu’ils avaient été témoins de l’apparition de la Vierge et avaient senti un parfum de roses très intense lorsqu’ils ont entonné le « Je vous salue Marie ».
Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que les apparitions et le parfum étaient manifestés par le Maître qui fut la Vierge Marie.

NOUVEAU MEXIQUE : Des malades se rendent à El Santuario de Chimayo pour prendre, dans une petite carrière, de la boue supposée avoir des pouvoirs de guérison miraculeux.
Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que le Maître Jésus était à l’origine de ces pouvoirs de guérison.

NEW YORK : Une femme au foyer Veronica Leukens est connue dans le monde entier comme « la visionnaire de Bayside » après que des apparitions miraculeuses de Jésus, de la Vierge et de sainte Thérèse aient inauguré toute une série de contacts avec des êtres célestes.
De nombreux miracles se sont produits, notamment des guérisons de gens souffrant de maux divers, par exemple de cancer de la peau, de cécité et de paralysie des membres. Les miracles se sont produits pour la première fois à l’oratoire de Notre Dame des roses à St Robert Bellarmine Church, dans la région de Bayside à Queens, et plus tard dans le pavillon du Vatican à Flushing Meadow (Long Island).
Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que ces miracles étaient accomplis par le Maître Jésus et le Maître qui fut la Vierge Marie.

PENNSYLVANIE : D’immenses foules se sont rassemblées dans un terrain vague de la banlieue de Wilkes-Barre pour admirer une image de la Vierge Marie qui est apparue sur le pignon d’une maison. Les visiteurs ont déclaré que la silhouette grandeur nature, vêtue d’une robe, entourée d’un halo de lumière était un « véritable miracle ».
Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que ce miracle était accompli par le Maître qui fut la Vierge Marie.

PORTO RICO : Le plus célèbre lieu de pèlerinage sur l’île est Sabana Grande, une paisible ville de montagne, où trois écoliers ont découvert une image de la Vierge Marie flottant dans une fontaine il y a plus de quarante ans. Les trente-trois jours suivants, la Vierge avait délivré sept messages destinés à récompenser les fidèles. Aujourd’hui des pèlerins se rendent encore à la fontaine pour prier et demander des faveurs.
Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que ce miracle avait été accompli par le Maître qui fut la Vierge Marie.

CAROLINE du SUD : Frank Harley, métallurgiste en retraite, vit à Pontiac avec son épouse dans un mobile home. Ils ont découvert une croix brillant d’un vif éclat sur la fenêtre de leur salle de bains. Des photographies de la croix ont été prises et des personnes sceptiques sont même montées sur le toit, mais elles ont été incapables de trouver le moindre signe de supercherie.
Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que la croix de lumière avait été créée par Maitreya.

Un miracle en forme de cœur [sommaire]

Un journal de Munich (Allemagne) a publié cette photographie. Bien que le phénomène se rapproche des formes géométriques dans des champs de céréales, il se situe dans une forêt de Nouvelle-Calédonie. Là où se dessine la forme d’un cœur, le feuillage est d’un vert plus pâle que celui des autres arbres.

Voir photographie dans la version imprimée de Partage international n° 153 de mai 2001, page 19.

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que ce phénomène était l'œuvre d'un vaisseau spatial venant de Mars

 

S.O.P. — Sauvons notre planète

Hormis la guerre, rien ne compromet aussi gravement l’avenir de l’humanité que la pollution. Constatant qu’il en est ainsi, certains pays ont pris des mesures pour la réduire et pour limiter le réchauffement climatique. D’autres, parfois parmi les plus gros pollueurs, nient la réalité d’un tel réchauffement en dépit des preuves qui s’accumulent. A tout moment, dorénavant, les changements climatiques montrent sans l’ombre d’un doute que la planète est malade, qu’elle a besoin de soins immédiats et attentifs pour retrouver l’équilibre. Le temps nous est compté pour mettre fin aux ravages que subit quotidiennement la planète Terre. Chaque homme, chaque femme, chaque enfant a son rôle à jouer dans sa restauration. Oui, le temps presse. Save Our Planet (S.O.P.), sauvons notre planète ! (Source : Le Maître de B. Creme, S.O.P. Sauvons notre planète, 8 septembre 2012)
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Tendances

Dans le monde actuel s’affirme une tendance de plus en plus prononcée à la synthèse, au partage, à la coopération, à de nouvelles approches et avancées technologiques pour la sauvegarde de la planète et le bien-être de l’humanité. Cette rubrique présente des événements et courants de pensée révélateurs d’une telle évolution.

La Yougoslavie poursuit les crimes de guerre [sommaire]

Après une forte résistance, l’ancien président Slobodan Milosevic s’est rendu aux autorités yougoslaves et a été emprisonné à Belgrade. Il est accusé de corruption et d’abus de pouvoir et devra sans doute répondre à l’inculpation de crimes de guerre.

Le gouvernement yougoslave a refusé son extradition vers le tribunal international chargé de juger les crimes de guerre, à La Haye (Pays-Bas), où il est poursuivi pour atrocités au Kosovo, en Bosnie et en Croatie. S. Milosevic et quatre de ses subordonnés ont été inculpés de meurtre, de déportation et de persécution, en violation des lois et des usages de la guerre.

Le tribunal international de la Haye a jusqu’à présent reconnu coupables vingt personnes pour des crimes de guerre en Yougoslavie. Sept accusés purgent des peines allant de cinq à vingt-huit ans d’incarcération. Les autres cas sont en procédure d’appel. Une quarantaine de personnes sont actuellement en détention ou en liberté provisoire en relation avec les crimes de guerre en Yougoslavie, notamment de hauts responsables politiques et militaires serbo-bosniaques. Parmi les condamnés pour crimes contre l’humanité se trouvent trois anciens soldats serbo-bosniaques, reconnus coupables de nombreux crimes notamment de viols et d’asservissement sexuel. C’est la première fois qu’un tribunal international statue spécifiquement sur des crimes de violence sexuelle et la première fois que l’asservissement sexuel est considéré comme un crime contre l’humanité.

Source : CNN ; Associated Press

Une lettre ouverte au président Bush [sommaire]

Une lettre ouverte a été adressée au président des Etats-Unis par d’éminentes personnalités du monde entier, lui rappelant la nécessité de prendre au sérieux la menace exercée sur le climat de la planète par les émissions de gaz à effet de serre. Le président Bush a renoncé à l’engagement de diminuer les émissions de gaz à effet de serre pris par le président Clinton lors du Protocole de Kyoto. Voici le texte intégral de cette missive.

Cher Président,

Aucun des défis que nous avons à relever n’est plus important que celui de la menace de changement climatique. Les dispositions prises lors du Protocole de Kyoto font l’objet d’un débat légitime. Mais la situation devient urgente et il est temps de trouver un consensus et d’agir. Il existe de nombreuses possibilités pour diminuer les émanations de gaz à effet de serre sans pour autant ralentir la croissance économique. En fait, la mise en œuvre d’une technologie avancée plus soucieuse de l’environnement représente davantage une opportunité économique qu’un danger.

Nous vous demandons instamment de développer un programme visant à réduire la production de gaz à effet de serre aux Etats-Unis. L’avenir de nos enfants et de nos petits-enfants dépend de la solution que vous-même et les autres dirigeants mondiaux choisirez d’adopter.

Avec notre profond respect,

Signé : Jimmy Carter, Mikhail Gor-batchev, John Glenn, Walter Cronkite, George Soros, Craig Venter, Jane Goodall, Edward Wilson, Harrison Ford, Stephen Hawking.

Source : Time magazine, E.-U

Des fonds pour la liberté [sommaire]

Depuis dix ans, le financier hongrois George Soros joue un rôle important en faveur de la liberté politique et en encourageant une société mondiale plus ouverte.

Depuis 1990, il a investi 2,8 milliards de dollars par l’intermédiaire du réseau des fondations Soros. Ainsi a-t-il financé la création de l’organisation estudiantine Otpor qui a conduit la résistance populaire à renverser le président Milosevic en Yougoslavie. Ses fondations attribuent des centaines de millions de dollars chaque année à des groupes défendant la démocratie à travers le monde. En Europe de l’Est, la plupart des groupes indépendants qui encouragent la liberté de presse, la défense ethnique ou l’aide aux plus démunis se sont vu attribuer des fonds.

George Soros est également connu comme le spéculateur qui ruina la Banque d’Angleterre en 1992, empochant un milliard de dollars en une semaine, en pariant contre la monnaie britannique. Mais l’un de ses principaux centres d’intérêt est de promouvoir la liberté. Il explique : « J’ai commencé à m’impliquer au moment de l’effondrement de l’Empire soviétique, lorsque s’est posée la difficulté cruciale d’opérer une transition entre une société fermée et une société ouverte. C’était une opportunité historique, et je m’y suis engouffré. »

Source : Los Angeles Times, Etats-Unis

Moyen-Orient : des femmes pour la paix [sommaire]

L’extrême droite se fait particulièrement entendre ces temps-ci en Israël. Mais d’autres courants sont également présents, principalement le mouvement des femmes pour la paix. L’un de ces groupes, les Femmes en noir, monte la garde en six points du pays : Jérusalem, Tel Aviv, Haïfa, Nazareth, Acre et Nachshon. D’autres mouvements se forment dans d’autres régions.

Lors d’une étonnante démonstration d’harmonie, des femmes juives et palestiniennes, toutes Israéliennes, se sont unies dans une action de paix, au beau milieu du centre arabe d’Israël. Quelque 500 femmes juives et arabes sont venues de toutes les régions d’Israël. Leurs revendications allaient de l’égalité pour les citoyens arabes d’Israël, à l’arrêt des brutalités policières et de l’occupation israélienne au-delà de la « ligne verte » (frontière créée en 1948). Après ces manifestations de rue, les femmes se réunirent dans une salle. Des femmes arabes et hébraïques évoquèrent leur engagement en faveur de l’égalité et de la paix, et s’engagèrent à inculquer ces valeurs à leurs enfants. Ce fut un moment de réconciliation pour toutes, et elles sont déterminées à aboutir à une paix définitive.

Source : OneWorld News

 

Entretien

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Environnement

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Faits et prévisions

Au fil des années, Partage international a régulièrement publié des articles soulignant les attentes de Maitreya, telles qu'elles ont été présentées par l'un de ses collaborateurs vivant à Londres au sein de la même communauté, à propos d'un certain nombre de changements politiques, sociaux, écologiques et spirituels devant se produire dans le monde. Périodiquement, Benjamin Creme et son Maître ont également partagé leur point de vue sur les développements à venir. Dans cette rubrique intitulée « Faits et Prévisions » notre rédaction analyse les nouvelles, les événements et les déclarations ayant un rapport avec ces prévisions et points de vue.

Un système bancaire qui ne cesse de se dégrader [sommaire]

Nous assistons à un processus dont l’issue sera l’effondrement de l’ensemble des marchés boursiers » (la Mission de Maitreya, tome III). « Quand le krach boursier se produira, il mettra à genoux le système économique actuel. Alors, un véritable dialogue s’instaurera entre le monde développé et le monde en développement. » (Partage international, janv./fév. 1990)

 La décision de l’agence Fitch d’annoncer une notation négative et une mise sous surveillance de 19 banques a provoqué un vent de panique parmi les investisseurs à la bourse de Tokyo. Les créances douteuses détenues par les banques sont estimées à 291 milliards d’euros qui risquent de les rendre insolvables.

[Source : Le Monde, France]


Une compagnie d’assurance japonaise, Tokyo Mutual Life Insurance, a fait faillite après avoir rompu des négociations en cours avec la banque Daiwa, chargée de l’aider à sortir de ses difficultés. Cette compagnie d’assurance est la septième à faire faillite depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.

Selon Tokyo Mutual Life, cette faillite est due à l’effondrement de la Bourse de Tokyo, qui a ôté tout rendement à ses investissements. Une autre banque, Asahi Bank, a annoncé qu’elle prévoyait des pertes nettes non consolidées de plus de 160 millions de dollars pour l’année fiscale 2000.

[Source : El País, Espagne]

Source : Le Monde - El Païs

Lorsqu’on ne croit plus à la magie [sommaire]

Tel est le titre d’un article paru dans le bimensuel français Nouvelle Solidarité, qui compare la situation économique et financière aux Etats-Unis et au Japon.

L’auteur de l’article, Lothar Komp, affirme que la crise actuelle est systémique et requiert en conséquence des solutions systémiques. Il affiche quelques-uns des chiffres les plus récents qui témoignent de l’effondrement économique et financier :

– A New-York, Tokyo ou Paris, il y a peu d’actions qui valent encore aujourd’hui le tiers de leur valeur d’il y a douze mois.

– En février 2001, l’indice Nasdaq a connu une baisse de 22,4 %, perdant au total 57 % de sa valeur depuis mars 2000.

Même les optimistes les plus convaincus ne voient pas pourquoi l’effondrement s’arrêterait. Les baisses de taux d’intérêts annoncées par Alan Greenspan, le président de la Réserve fédérale, n’ont eu aucun effet.

Aux Etats Unis, tous les indicateurs économiques se trouvent dans des zones dangereuses :

– En janvier 2001, l’indice de l’Association nationale des directeurs d’achat NAPM, qui mesure l’activité industrielle américaine, est tombé à son niveau le plus bas depuis mars 1991.

– L’indice NAPM des nouvelles commandes industrielles a atteint son plancher depuis 1981.

– L’indice NAPM de l’emploi a baissé pour le cinquième mois consécutif, ce qui ne s’était pas produit depuis la crise du pétrole de 1973.

– L’indice de confiance des consommateurs du Conference Board est au plus bas depuis octobre 1990.

De même, le Japon se trouve au bord du désastre. Malgré plus de 500 milliards de dollars déjà injectés par le gouvernement japonais depuis 1990, la production industrielle a encore baissé de 3,9 % en janvier 2001. L’indice Nikkei a chuté à son niveau le plus bas depuis 1985.

Il est peut-être temps que les investisseurs se familiarisent avec les cours de 1985, conclut L. Komp.

Source : Nouvelle Solidarité (France)

Les ménages américains sont dans le rouge. [sommaire]

Doug L. jure qu’il a appris la leçon : il lui aura fallu quarante mois, en travaillant soixante-cinq heures par semaine, six jours sur sept, pour rembourser les 60 000 dollars de dettes accumulées en moins de deux ans sur ses vingt-deux cartes de crédit.

Chaque année, plus de 1,6 million d’Américains sont au bord de la banqueroute du fait de dettes excessives. En l’an 2000, la dette privée des particuliers a atteint le niveau record de 6 700 milliards de dollars. « Les ménages américains sont dans le rouge », avertit le sociologue Robert Manning, de l’Université de Georgetown, à Washington. R. Manning compare l’économie américaine à un athlète dopé aux stéroïdes : « Avec le marché boursier haussier des années 1990 et l’encouragement à « acheter maintenant, payer plus tard », les Américains ont tendance à acheter au delà de leur pouvoir d’achat. »

Depuis 1992, les crédits à la consommation ont doublé, passant de 731 milliards à 1 500 milliards de dollars. Près de la moitié sont liés aux quelques 1,5 milliard de cartes de crédit en circulation et pour lesquelles les banques offrent de multiples services complémentaires : séjours promotionnels dans des hôtels, tickets d’avion, réduction sur les tarifs téléphoniques, etc. Ces crédits se montent en moyenne à 11 000 dollars par carte, pour un taux d’intérêt de 17,1 %. Les banques ont bien compris tout le parti qu’elles pouvaient tirer d’un tel système. En moyenne, les Américains possèdent neuf cartes de crédit. La conséquence en est que sur 100 dollars de revenu, 14 vont au paiement de cette dette.

Pour R. Manning, les Américains sont fondamentalement optimistes : « Le comportement des consommateurs est fondé sur la perception de leur revenu futur et non présent. » – « Nous sommes une nation de surdépensiers, un pays qui s’extasie dans la gratification instantanée », renchérit la psychothérapeute Olivia Mellan, spécialisée dans le traitement des « accros » du crédit.

Source : Le Bien Public, France

Taxer la spéculation [sommaire]

« Sous peu, la transformation de toutes les structures va commencer avec, en premier lieu, la dissolution des marchés boursiers tels qu’ils fonctionnent actuellement. Il en résultera un système commercial honnête et équitable. » [B. Creme, PI. juillet 1995]

Créé en France, Attac possède des branches dans près de 20 pays. En France, il existe 200 branches locales. Le point de départ a été l’article « Désarmez les marchés », paru dans le Monde diplomatique, sur le désordre monétaire et la spéculation en Asie du Sud-Est. Cet article avait suggéré qu’une organisation internationale se penche sur la création d’une taxe spéciale sur les transactions entre devises, comme l’avait suggéré Jean Tobin, prix Nobel d’économie. Avec une majorité écrasante, les lecteurs s’étaient déclarés en faveur de la proposition du journal.

L’objectif d’Attac est d’instaurer une taxe sur tous les mouvements de capitaux hors frontières, dont le produit serait versé aux pays sous développés. En outre, Attac augmenterait les impôts sur les revenus des capitaux, supprimerait toutes les dettes du tiers monde et lutterait contre les paradis fiscaux. « Nous sommes des internationalistes, alors que la mondialisation des marchés n’a qu’un seul objectif : le profit », a déclaré le président d’Attac, Bernard Cassen. Il est persuadé que le marché peut être régulé : « Le fait que le marché a été dérégulé n’est pas tombé du ciel. Ce fut le résultat de décisions politiques. On peut prendre les décisions politiques contraires. »

Le vent tourne : les organisations populaires contre le néo-libéralisme et « la dictature des marchés » ont le vent en poupe. En quelques années seulement, Attac est devenu une organisation comprenant près de 23 000 membres. Attac est non-violent et se fait connaître par le biais de meetings, de débats, de conférences, de publications et d’interrogations aux députés.

Deux raisons expliquent son succès, a déclaré B. Cassen, la première est qu’Attac a répondu au besoin d’une organisation revendicative souple, ouverte, politiquement neutre et indépendante des syndicats. La seconde est qu’Attac associe la connaissance et l’action. « Quand on comprend, on agit mieux », explique-t-il.

Source : Aftenposten, Norvège

Mexique : La voix du peuple [sommaire]

« La voix des peuples se fera entendre de plus en plus ; l’un des nombreux aspects de la mission de Maitreya est de galvaniser la volonté des peuples. » [Le Maître de Benjamin Creme, PI, octobre 1994]

En mars 2001, après une marche de deux semaines vers Mexico, les leaders du mouvement rebelle zapatiste ont fait une apparition historique devant le Congrès mexicain, et ont plaidé en faveur d’un amendement constitutionnel garantissant les droits des dix millions d’Indiens vivant au Mexique. Forte de 23 membres, la délégation zapatiste a déclaré être un mouvement civil légitime, prêt à ouvrir des pourparlers avec le président Vincente Fox. Ce dernier fut félicité par le groupe pour ses efforts visant à leur permettre de s’exprimer devant le Congrès. Le projet de loi en question autoriserait les Indiens à choisir leur propre forme de gouvernement local, à préserver leur culture et avoir un contrôle plus grand sur leur territoire.

Source : NewYork Times, Etats-Unis

 

Fenêtre sur le monde

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La voix de la raison

« Hormis la guerre, rien ne compromet aussi gravement l’avenir de l’humanité que la pollution. Constatant qu’il en est ainsi, certains pays ont pris des mesures pour la réduire et pour limiter le réchauffement climatique. D’autres, parfois parmi les plus gros pollueurs, nient la réalité d’un tel réchauffement en dépit des preuves qui s’accumulent. A tout moment, dorénavant, les changements climatiques montrent sans l’ombre d’un doute que la planète est malade, qu’elle a besoin de soins immédiats et attentifs pour retrouver l’équilibre. Le temps nous est compté pour mettre fin aux ravages que subit quotidiennement la planète Terre. Chaque homme, chaque femme, chaque enfant a son rôle à jouer dans sa restauration. Oui, le temps presse. Save Our Planet (S.O.P.), sauvons notre planète ! » Source : Le Maître de B. Creme, S.O.P. Sauvons notre planète, 8 septembre 2012
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La voix des peuples

Cette rubrique est consacrée à une force en plein développement dans le monde. La voix du peuple ne cessera de s’amplifier jusqu’à ce que, guidés par la sagesse de Maitreya, les peuples conduisent leurs gouvernements à créer une société juste dans laquelle seront respectés les droits et les besoins de tous.
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Le point de vue de Maitreya

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Le respect de la loi

« Chaque fois qu’il y a affaiblissement de la loi… et accroissement général du désordre, alors je me manifeste. » (Bhagavad Gita). La promesse de Krishna, l’Avatar, semble particulièrement d’actualité. C’est pour tenir cette promesse que Maitreya, l’Avatar de notre ère, est présent dans le monde à une époque où l’anarchie est si répandue. « Lorsqu’une nation parvient à l’âge adulte, à la maturité, les relations qu’elle établit avec les autres changent du tout au tout. Elle commence à respecter l’autorité de la loi qui unit toutes les nations, les liant dans leurs responsabilités et leurs besoins mutuels. Le développement vers la maturité se signale précisément par un tel respect des lois que les hommes ont estimées nécessaires pour vivre ensemble en paix… Lorsque, parmi les nations, l’on ignore l’autorité de la loi, c’est le monde entier qui en souffre. » (Le Maître — PI, avril 2004) Actuellement, les traités et les résolutions de l’Onu sont méprisés, et les lois nationales et internationales sont bafouées. Dans ce contexte, nous présentons des brèves mettant en exergue la nécessité d’un respect renouvelé de la loi.
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Les enseignements de Maitreya

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Les mensonges dévoilés

Le 15 février 2003, à Londres, Maitreya a été filmé sous les traits d’un Antillais, lors de la marche pour la paix (voir PI, avril 2003). « Je suis fier aujourd’hui d’entendre mes frères et mes sœurs dire la vérité et dénoncer les mensonges. C’est tellement magnifique ! » a-t-il déclaré. Depuis, les mensonges sont de plus en plus dénoncés.
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Les priorités de Maitreya

« Pour aider les hommes dans leur tâche, Maitreya, l’Instructeur mondial, a formulé certaines priorités. Assurer à tous un approvisionnement correct en nourriture ; procurer à tous un logement convenable ; fournir à tous soins médicaux et éducation, désormais reconnus comme un droit universel. » Le Maître de Benjamin Creme, Partage international, janvier 1989. Dans cette rubrique, notre rédaction aborde les questions relatives aux priorités énoncées par Maitreya et présente des expériences orientées dans cette direction.

Hong Kong : le côté négatif de la nouvelle économie [sommaire]

En dépit du succès économique apparent de Hong Kong, des milliers de familles perçoivent le côté négatif de la mutation de Hong Kong vers les industries high-tech. Alors que les pics enregistrés sur les graphiques du boom économique sont plus élevés que jamais, les pauvres de la cité portuaire font remarquer que ce sont ces succès mêmes qui ont aggravé les disparités entre les riches et les pauvres.

Selon les propres statistiques du gouvernement, 17 800 familles vivent avec un salaire mensuel de moins de 4 000 dollars HK, soit environ 51,3 dollars américains. Une autre étude montre que le revenu moyen des 20 % des ménages de Hong Kong ayant les plus faibles revenus a chuté de plus d’un quart, après trois ans seulement, passant de 6 050 dollars HK en 1996 à 4 000 en 1999. Parallèlement, le revenu moyen des 20 % ayant les revenus les plus élevés a augmenté de 4,2 %, traduisant un grave déséquilibre entre riches et pauvres. Ce que cela signifie en termes de misère humaine, c’est qu’il est tout à fait courant de trouver six familles entassées dans un petit logement d’environ 30 m2, partageant tous une cuisine et une salle de bains minuscules, chaque famille vivant dans une petite alcôve ne possédant souvent qu’une seule couchette.

L’un des problèmes est que dans l’âge de la « net économie », les emplois « non-tech » n’ont aucun pouvoir de négociation. Les travailleurs sans qualification ou âgés ne bénéficient pas de l’amélioration de la situation économique.

En vue de lutter contre les problèmes de pauvreté grandissante, une association dénommée Livelihood 21 (gagne-pain 21) a été créée ; 23 groupes religieux et d’aide sociale ont uni leurs efforts en vue de faire pression sur le gouvernement pour fournir des logements aux pauvres, assurer un salaire minimum et créer des opportunités d’emploi. Décrivant la situation comme étant une « bombe à retardement sociale », Chua, membre de Livelihood 21, a déclaré : « Les pauvres ne resteront pas éternellement inertes. Lorsque leur ressentiment envers le gouvernement et les plus riches qu’eux atteindra un point explosif, ils pourraient créer de sérieux troubles sociaux. »

Source : The Nikkei Weekly, Japon

La pauvreté en Grande-Bretagne : le mouton noir de l’ Europe [sommaire]

Une étude publiée en mars 2001 révèle que les niveaux de pauvreté en principe spécifiques aux pays pauvres en voie de développement apparaissent également en Grande-Bretagne, où cinq millions de personnes souffrent de privations sévères.

Breadline Europe est la première étude qui mesure scientifiquement la pauvreté en utilisant les critères de l’ONU en matière de pénurie alimentaire, d’eau potable, d’équipements sanitaires, de santé, de logements, d’éducation et d’information. Ses conclusions révèlent que 17 % de la population dispose d’un revenu inférieur au seuil nécessaire pour rester au-dessus du niveau de pauvreté absolue, et que 10 % des gens ont fait l’expérience de la pauvreté absolue.

Les groupes spécifiques identifiés comme vivant dans la pauvreté sont :

– Les familles monoparentales (constituant le taux le plus élevé de pauvreté absolue), dont plus de 40 % avec un enfant et plus de 50 % avec deux ou plusieurs enfants, n’ont pas de revenu suffisant pour les achats indispensables.

– Les retraités : 25 % de ceux qui vivent seuls survivent avec un revenu inférieur au minimum de base ; 20 % des couples âgés vivent dans une pauvreté absolue.

David Gordon, doyen de la recherche de la Bristol University, a déclaré : « La pauvreté absolue n’est pas censée exister dans un pays comme la Grande-Bretagne. » Mais Peter Townsend (professeur de politique sociale internationale à la London School of Economics et co-éditeur du rapport) a déclaré : « La Grande-Bretagne est devenue le « cas spécial » de l’Europe. »

Le rapport montre également que la pauvreté absolue a fortement grimpé dans d’autres pays au cours des dix dernières années, l’ancienne Union soviétique, la Hongrie et la Pologne possédant le plus grand nombre de personnes vivant à ce niveau.

Source : The Independent, G.-B.

Les riches toujours gagnants [sommaire]

Deux milliards d’individus, soit un tiers de la population mondiale, vivent dans un état « d’extrême pauvreté », alors que le fossé ne cesse de s’élargir entre les riches et les pauvres, d’après un rapport du Fonds des Nations unies pour la population qui s’est réuni à Mexico en septembre 2000. Ce rapport montre que la population mondiale s’accroît de 76 millions d’individus par an, et signale que 20 millions de personnes sont décédées du sida depuis 1980, et que 35 millions sont actuellement atteintes de cette maladie.

Pendant ce temps, une étude britannique réalisée par la Fondation Rowntree montre qu’aujourd’hui davantage de personnes vivent dans la pauvreté en Grande-Bretagne qu’à aucune autre période au cours des deux dernières décennies. Environ 15 millions de britanniques ne peuvent se permettre trois repas par jour, ni se vêtir et se chauffer correctement. Selon ce rapport, alors que la plupart des gens en Grande-Bretagne sont plus à l’aise, 24 % vivent maintenant dans la pauvreté, au lieu de 14 % en 1983, avec deux millions d’enfants privés d’une alimentation correcte, de jouets et d’activités extra-scolaires. Le rapport incite le gouvernement à augmenter les aides sociales.

Source : Ceefax, BBC-tv, G.-B.

 

L’humanité une

Lorsque l’homme acceptera vraiment le fait que l’humanité est une et que les hommes, entre eux, sont frères, quand il traduira ces vérités en actes, toutes choses pourront en toute sécurité lui appartenir. Son héritage l’attend. Ainsi les hommes devront-ils apporter la preuve qu’ils sont prêts pour la paix, prêts à pénétrer ensemble dans l’avenir, sans effusion de sang ni compétition. Ils devront se réjouir de partager et de travailler en harmonie pour le bien de tous. Quand les hommes, d’eux-mêmes, seront dans ces dispositions, ils en appelleront à Maitreya (quel que soit le nom sous lequel ils le connaîtront) pour leur montrer le chemin, les faire sortir du chaos, et les conduire vers une ère de paix. (L’héritage de l’homme, par le Maître de Benjamin Creme).
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L’Unité dans la diversité

« Le but de notre vie, que nous en ayons pris conscience ou non, est l’instauration de l’unité, la manifestation de l’unité qui existe déjà. Chaque atome de l’univers est relié à tous les autres atomes. » Benjamin Creme, L’Unité dans la diversité.
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Regard sur le monde

Dans cette rubrique, Partage international met en lumière certains problèmes urgents qui nécessitent une nouvelle approche et des solutions durables.
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Autres

Le partage [sommaire]

Extraits des Messages de Maitreya transmis par Benjamin Creme

par Maitreya,

Maitreya, l’Instructeur mondial, a divulgué des fragments de son enseignement dans une série de 140 messages transmis à travers Benjamin Creme, lors de réunions publiques qui se sont tenues à Londres entre 1977 et 1982. Ces messages, transmis grâce à un processus d’adombrement mental, montrent à l’humanité que les problèmes du monde peuvent être résolus simplement si nous adoptons un nouveau mode de vie basé sur le partage et la justice. Nous avons sélectionné ci-dessous certains passages qui traitent du partage, thème sur lequel Maitreya revient inlassablement tout au long de ces messages.

«… Ensemble nous construirons un monde nouveau : un monde dans lequel les hommes pourront vivre sans crainte, sans méfiance, sans division, partageant ensemble les bienfaits de la Terre, connaissant ensemble la félicité de l’union avec notre Source. Tout ceci peut être vôtre. Vous n’avez qu’à faire les premiers pas et je pourrai vous guider. Permettez-moi de vous aider. Permettez-moi de vous montrer le chemin qui mène à une vie plus simple, où personne ne connaît la privation, où tous les jours sont différents, où la joie de la Fraternité se manifeste à travers tous les hommes. » [Message n° 3]

« En premier lieu, les hommes doivent se considérer comme des frères, fils du Père unique. Ceci est essentiel s’ils veulent progresser d’un pas vers la divinité. Dans le monde, des hommes, des femmes et des petits enfants n’ont même pas le minimum nécessaire pour survivre ; ils s’entassent dans les villes de nombre des pays les plus pauvres du monde. Ce crime me remplit de honte. Mes frères, comment pouvez-vous regarder ces gens mourir sous vos yeux et vous considérer comme des hommes ? Mon dessein est de les sauver, mes chers petits, d’une famine certaine et d’une mort inutile. Mon dessein est de vous montrer que la solution, pour venir à bout de vos problèmes, est d’écouter à nouveau la véritable voix de Dieu à l’intérieur de votre cœur, et de partager les ressources de ce monde des plus fertile avec vos frères et sœurs où qu’ils soient… Mais le succès de ma mission dépend de vous. Vous devez faire ce choix : soit partager et apprendre à vivre en paix, comme des hommes dignes de ce nom, soit connaître l’anéantissement. Mon cœur m’indique votre réponse, et s’en réjouit. » [ N° 11]

« Prenez place aux côtés de ceux qui désirent partager et aimer, de ceux pour qui la Justice est divine. Faites votre choix maintenant, faites briller votre lumière et rendez ainsi mon chemin plus aisé. » [N° 18]

« Mon projet est de vous emmener en voyage dans une nouvelle contrée, vers une nouvelle approche de la vie où tous les hommes pourront partager. Laissez-moi vous guider, laissez-moi vous montrer la voie, laissez-moi vous élever dans la lumière d’une nouvelle vérité. » [N° 26]

« Lorsque vous me verrez, vous saurez pourquoi je suis venu, car je ferai appel à vous en ces termes : « Sauvez mes chers petits. Nourrissez vos frères. Souvenez-vous que les hommes sont uns, enfants du Père unique. Distribuez en toute confiance les biens de la Terre à tous ceux qui sont dans le besoin. Faites ceci maintenant et sauvez le monde. » [N° 31]

« Comme un frère parmi ses frères, je parlerai pour vous tous, ma voix exprimera vos aspirations. Faites connaître le désir de tous les hommes de vivre dans un monde de paix, de manifester un juste et noble empressement à partager, de créer une société fondée sur la liberté et l’amour. Par l’énonciation que je ferai de ces principes, vous me connaîtrez et me découvrirez. » [N° 61]

« Mon enseignement vous montrera la nécessité de partager, de créer un fonds commun de ressources où tous les hommes pourront puiser, de substituer la coopération et la confiance à la cupidité, de manifester la divinité intérieure de l’homme. » [N° 64]

« Ma venue transformera ce monde, mais le travail essentiel de reconstruction vous incombe. Je suis seulement l’architecte du Plan. Vous, mes amis, êtes les bâtisseurs volontaires du temple radieux de la Vérité. Je vous donnerai la clé de ce temple et, en y pénétrant, vous connaîtrez Dieu. Mes Maîtres attendent eux aussi que vous répondiez à leurs directives. Offrez-leur votre confiance et permettez-leur de vous guider vers l’Aube nouvelle, partageant ensemble les ressources de la Terre, connaissant ensemble la joie de la fraternité, manifestant ensemble la divinité qui demeure en vous tous. » [N° 65]

« Comment pouvez-vous vous satisfaire de votre manière de vivre actuelle quand des millions d’êtres ont faim et meurent dans la misère, quand les riches font étalage de leur fortune devant les pauvres, quand chaque homme est un ennemi pour son voisin, quand nul ne fait confiance à son frère ? Combien de temps devrez-vous vivre ainsi, mes amis ? Combien de temps pourrez-vous supporter cette déchéance ? Mon projet et mon devoir sont de vous révéler une voie nouvelle, une voie qui permettra au divin en l’homme de s’exprimer. C’est pourquoi je parle avec gravité, mes amis, mes frères. Soyez attentifs à mes paroles. Les hommes doivent changer ou disparaître : il n’y a pas d’autre possibilité. Lorsque vous en prendrez conscience, avec joie vous soutiendrez ma cause, et montrerez que, pour l’homme, existe un avenir baigné de lumière. Mon enseignement est simple : Justice, Partage et Amour sont des attributs divins. Pour manifester sa divinité, l’homme doit les faire siens tous trois. » [N° 81]

« Ma tâche consistera à vous montrer comment vivre pacifiquement, comme des frères. C’est plus simple que vous ne l’imaginez, mes amis, car cela ne nécessite que l’acceptation du partage. En vérité, le partage est divin. Il sous-tend tout progrès pour l’homme… Lorsque vous partagez, vous reconnaissez Dieu en votre frère. » [N° 82]

« La paix, le partage et la justice sont la base de mon enseignement. Partout où la lumière de ces vérités brille, je tourne mon regard et, par le canal de cette lumière, j’envoie mon amour. » [N° 92]

« Cela me brise le cœur de voir tant d’hommes mourir inutilement ; la faim et la pestilence règnent sur la Terre. Rien ne m’afflige autant que cette honte. Le crime de la séparation doit être chassé de ce monde. J’affirme que tel est mon dessein. Je m’adresse à vous, ce soir, comme à ceux qui recherchent la Vérité. Mes amis, la Vérité se trouve parmi vous. La Vérité est dans votre cœur. La Vérité, mes frères et sœurs, est Amour et Partage, Justice et Liberté. Manifestez-les dans votre vie et dans votre communauté, et rétablissez le Plan de Dieu. » [N° 93]

« La véritable raison des problèmes de l’homme, est l’absence de justice et d’amour. Si ces aspects divins étaient demain en vigueur, une nouvelle douceur colorerait vos vies. Ce don généreux d’amour et de juste partage provient de Dieu. Ce n’est que par la manifestation de ces qualités que l’on peut connaître Dieu. » [N° 101]

« Partage et Justice, Fraternité et Liberté ne sont pas des concepts nouveaux. Depuis la nuit des temps, l’humanité a lié son aspiration à ces étoiles qui lui font signe. Maintenant, mes amis, nous devons les ancrer dans le monde. » [N° 105]

« Votre civilisation est en train de mourir. Elle est même déjà morte. De ses cendres, naîtra une beauté nouvelle dont les bases sont l’Amour, la Justice et le Partage. » [N° 107]

« Lorsque vous me verrez, vous saurez que ma voix est la vôtre, car je parle au nom de tous les hommes et de toutes les femmes, d’où qu’ils soient. J’exprime les pensées de pur amour qui fleurissent dans les cœurs et les esprits. Je parle des besoins de tous, pour le partage et la justice. Je montre aux hommes que le chemin qui mène à la justice est simple, que la voie du progrès appelle tous les hommes. » [N° 108]

« Recherchez alors un homme qui parle de partage et de justice, un homme semblable à vous, simple et vrai. Prenez ma main, mes amis, et ensemble marchons allègrement vers l’avenir radieux. N’entendez-vous pas l’appel ? Il jaillit de mon cœur. N’entendez-vous pas le cri d’angoisse ? Il jaillit du cœur des hommes. Ce cri m’a amené ici, parmi vous. » [N° 115]

« Aidez-moi à établir dans le monde cette joie bénie. Prenez place à mes côtés et travaillez comme jamais auparavant. Aidez-moi, mes amis, à créer un réservoir d’amour si vaste que tous les hommes pourront y étancher leur soif. Mon enseignement est simple : Justice et Amour, Partage et Paix conduiront les hommes à Dieu. Il en a toujours été ainsi. Sachez-le et suivez-moi. » [N° 116]

« Beaucoup attendent ma venue avec émoi, craignant de perdre tout ce qu’ils ont aimé, tout ce qu’ils ont amassé et acquis. Ne craignez rien, mes amis, car la seule perte sera la perte de la séparation, de la division et de la peur, de l’envie et de la haine. Pour libérer le monde de tout cela, tout doit être reconstruit. Sachez-le, mes amis, et soyez prêts à partager, à voir votre frère comme vous-même, à le serrer dans vos bras et à l’appeler votre ami. De cette manière, mes frères, vous manifestez le Plan de Dieu. » [N° 125]

« Où que vous regardiez de par le monde, il est possible de voir la réponse que suscite mon message. Le principe du partage, essentiel à la vie des hommes, occupe l’esprit des dirigeants. Un groupe croissant d’hommes éveillés fait résonner la note clé des temps nouveaux. Ainsi, avec joie, je vois la réponse que l’on apporte à mon travail. Mes amis, vous aussi pouvez manifester le partage dans votre vie : par tous les moyens, ce principe divin doit gouverner. Apprenez le partage à vos enfants, aux petits, et permettez-leur de cultiver le bien. » [N° 127]

Messages de Maitreya, Partage publication, ISBN 2-9510974-0-9

Le sommet mondial des pauvres [sommaire]

par Katherine Gage,

En novembre 2000 s’est tenu à New York le premier Sommet mondial des pauvres pour l’élimination de la pauvreté. Les participants, venus de 37 pays, avaient pour but de faire classer la pauvreté, depuis trop longtemps source d’immenses souffrances et d’innombrables atteintes à la dignité humaine, parmi les violations des droits de l’homme.

Si ce sommet a offert aux pauvres l’occasion de formuler leurs exigences en termes de droits économiques : droits à la nourriture, à l’habillement, au logement, à un emploi décent, à la santé et à l’éducation, il a eu pour premier objectif de les aider à prendre leur cause en mains, et d’abord à s’unir. Tel était le but des leaders de cette manifestation (la Campagne pour les droits économiques des pauvres, la Campagne internationale pour la justice économique, ainsi que l’association organisatrice et hôte : l’Union de Kensington pour le droit au bien-être), qui ont tous souligné la nécessité d’un engagement actif des pauvres dans la recherche de solutions à la misère et aux effets de la mondialisation.

C’est donc d’abord pour jeter les bases d’une solidarité entre les déshérités de la planète que se sont réunis ceux d’entre eux qui avaient été les premiers à s’engager, dans leurs communautés, sur cette dimension économique des Droits de l’homme, afin de discuter des moyens de renforcer leur coopération et d’instaurer des liens entre groupes locaux et internationaux. Ce désir de s’unir sur une base concrète est né de la prise de conscience de ce que les pauvres doivent parler pour les pauvres, qu’ils ne doivent pas rester muets, ignorés et oubliés plus longtemps, qu’ils ont la volonté de créer les changements nécessaires et qu’ils disposent de suffisamment de moyens et de force d’esprit pour travailler ensemble à l’élimination de la misère. Un mouvement a pris corps aux Etats-Unis, que les participants vont travailler à élargir jusqu’à en faire un mouvement mondial des défavorisés.

Unir les défavorisés du monde

Preuve que cette mobilisation existe déjà, c’est la participation active de volontaires (vivant souvent eux-mêmes au-dessous du seuil officiel de pauvreté), qui a rendu ce sommet possible, ainsi que le soutien financier de deux fondations et des dons privés. Tout le monde a été admis, qu’il pût payer ou non sa participation. Les contributions étaient volontaires, l’inscription gratuite. Le voyage était même offert aux délégués n’ayant pas les moyens de le payer.

Il y eut 36 ateliers, couvrant l’ensemble des questions touchant aux droits de l’homme, et tous centrés sur les moyens d’augmenter le poids et la participation des pauvres dans la vie économique. Le dernier jour du Sommet, les représentants des pays présents se sont rendus aux Nations unies.

Cheri Honkala, une des porte-parole du sommet, a annoncé trois journées d’action mondiale. Dans son intervention de clôture, elle a déclaré : « Nous avons une voix et allons nous en servir. Nous lancerons et organiserons mondialement des mouvements massifs de pauvres, et parlerons d’une seule voix. »

Site web : www.kwru.org

L’agonie du jeune séropositif Nkosi Johnson secoue l’apathie de l’Afrique du Sud [sommaire]

Avec des millions de personnes infectées, l’Afrique du Sud connaît le taux d’expansion du sida le plus élevé du monde, mais ce n’est que dernièrement que le gouvernement a accepté d’en parler. Son président, Thabo Mbeki, avait même été jusqu’à mettre en doute que la maladie soit due au HIV.

La lutte contre la mort que mène le jeune Nkosi est en train de faire changer les choses. Il est devenu dans son pays le symbole de l’épidémie.Contaminé dès sa naissance, on ne lui donnait aucune chance d’atteindre ses trois ans. Il vient de fêter son douzième anniversaire. Lors de la dernière Conférence mondiale sur le sida, qui s’est récemment tenue à Durban, son intervention avait bouleversé ses compatriotes.

Il leur avait demandé d’arrêter de diaboliser les malades du sida, et de prendre enfin en charge les centaines de milliers d’enfants que cette maladie a laissés orphelins. « Mes parents sont morts, je suis orphelin et séropositif. Mais je suis un enfant heureux qui a la chance d’avoir une famille d’adoption », déclara-t-il devant les délégués de la Conférence.

Parlant avec une clarté et une force jamais atteintes par les élites politiques de son pays, cet enfant émacié a ému les 10 000 délégués présents. « On n’attrape pas le sida en serrant quelqu’un sur son cœur, en l’embrassant ou en lui tenant la main. Nous sommes des êtres humains normaux, nous pouvons marcher, parler », déclara-t-il sous les applaudissements de l’assemblée.

Quelques mois plus tard, il intervint de nouveau, à une autre conférence sur le sida (à Atlanta, Etats-Unis) : « Il est triste de voir tant de malades, déclara-t-il. Je désire que tous les hommes soient en bonne santé. » Bien qu’étant probablement l’enfant séropositif d’Afrique du Sud ayant survécu le plus longtemps à la maladie, l’état de Nkosi n’était manifestement pas brillant à son retour des Etats-Unis, en octobre dernier. Cet état empira brusquement au lendemain de Noël. Après plusieurs attaques, le virus ayant atteint le cerveau, il est tombé dans un semi coma. Depuis, il ne parle plus.

Sa mère adoptive doit faire face aux visites que viennent lui rendre des personnalités de tous horizons, dont la femme du président. Elle croit que son fils a secoué la bonne conscience désastreuse dont son pays faisait preuve sur ce problème. Les contributions à l’association de lutte contre le sida qu’elle a créée lui ont permis de fonder un « Refuge Nkosi », ainsi que deux centres de soins. Elle espère que beaucoup d’autres suivront.

« Le gouvernement a été placé devant ses responsabilités par l’intervention d’un garçon de 12 ans, déclare James McIntyre, spécialiste du sida à l’hôpital Chris Hani Barawanath, de Soweto. Il l’a mis en demeure de faire face à ce problème. Il est bien plus difficile de rejeter les paroles d’un enfant agonisant du sida que les interventions d’un chercheur. »

Source : BBC News Online;Time magazine, Etats- Unis

La solution, c’est le pardon [sommaire]

par Yusuf Al-Azhari,

Ancien ambassadeur de Somalie à Washington, le docteur Yusuf Al-Azhari s’occupe aujourd’hui d’un programme de paix et de réconciliation dans le nord de son pays, ravagé depuis une dizaine d’années par une lutte fratricide entre deux camps. Après avoir été pour une courte période ambassadeur à Lagos (Nigéria), sous le général Siad Barre (qui gouverna la Somalie jusqu’à sa chute en 1991), il tomba en disgrâce en 1975, et connut la prison et la torture quotidienne six ans durant. Il est sorti de ces épreuves ardent défenseur de la paix, et sa capacité de pardon lui a conféré une haute autorité morale. « La haine est un poids qui emprisonne à jamais, dit-il. Maintenant, je peux parler avec tout le monde, m’opposer à n’importe qui, aller n’importe où le cœur ouvert. » Il a raconté son expérience dans une conférence donnée à Caux (Suisse), à l’invitation de l’association britannique Agenda for Reconciliation. Nous en présentons quelques extraits.

J’ai connu dans ma vie des périodes de grand bonheur, et d’autres particulièrement horribles. J’ai eu la chance d’avoir reçu une excellente éducation, et d’avoir occupé des positions importantes dans le gouvernement, ce qui m’a permis d’avoir tout ce que je pouvais humainement vouloir. J’ai épousé la fille du premier ministre d’alors, qui devint par la suite chef de l’Etat. J’ai occupé de hautes fonctions publiques, comme ambassadeur, secrétaire permanent de différents ministères, et je disposais d’un solide compte en banque. Je pensais que rien ni personne ne pourrait mettre un terme à cette vie privilégiée quand, au bout de quelques années, l’heure de rendre des comptes se présenta. Mon beau-père fut assassiné, une junte militaire prit le pouvoir et instaura un régime de socialisme scientifique (communisme). Je me retrouvai en prison, dans un isolement complet, et traité de la manière la plus brutale qui se puisse concevoir.

« Sois honnête »

Je fus arrêté à 3 heures du matin, alors que nous dormions, ma femme, mes quatre enfants et moi. Après m’avoir mis les menottes et un bandeau sur les yeux, on me jeta dans une cellule de trois mètres sur quatre. J’y restai plus de six ans, sans rien à lire ou à écouter, ni personne à qui parler, mises à part les séances quotidiennes de torture mentale et physique.

Les huit premiers mois, je fus la proie de sentiments de haine, de colère, de désespoir, et d’une profonde dépression. Je ressassais la vie agréable que j’avais menée. J’étais déshydraté et j’avais perdu la moitié de mon poids. Je vivais dans la hantise d’une attaque cardiaque, j’avais peur de sombrer dans la folie, ou même de mourir. Je suis sûr que si j’essayais de vous raconter la torture que j’ai subie, l’expérience que j’ai traversée, jour après jour, mois après mois, certains d’entre vous ne le supporteraient pas et éclateraient en sanglots. Vous ne pouvez imaginer la brutalité et l’inhumanité dont certains de nos dirigeants sont capables.

Puis un jour, vers 8 heures du soir, je tombai à genoux, en larmes, tremblant et transpirant abondamment, et demandai au Dieu Tout-Puissant qu’il me guide ; qu’il me donne d’abord la paix et la force intérieures, puis une vision pour me conduire. J’étais si déterminé à obtenir une réponse que je n’aurais pu me relever avant de l’avoir reçue. Je restais ainsi jusqu’à 4 heures du matin.

Quelles furent la vision et la direction que je reçus alors ? Il m’a été dit : « Sois honnête avec toi-même et avec ceux qui t’entourent, et tu seras l’homme le plus heureux pour le restant de ta vie. Ne te limite pas aux questions purement terrestres, dépasse-les. »

La claire voix intérieure

Depuis ce jour, la peur n’a plus eu de place en moi. J’étais guéri et libéré de la haine, de la colère, du désespoir, de la dépression et du désir avide des seules jouissances terrestres. C’était comme si j’avais trouvé ma véritable identité. J’adoptais alors dans tous mes actes une attitude d’honnêteté et de responsabilité. L’amour avait été implanté dans mon cœur, et j’aspirais à servir mes concitoyens, pauvres et riches, à les aider à surmonter leurs différences et à régler leurs différends avec honnêteté, ouverture d’esprit, amour et pardon.

Quand, au bout de quelques années, je sortis de prison, et alors que j’étais assis dans un café, une pensée me frappa. J’étais seul, tranquille. Une voix claire résonna alors en moi. La puissance de son message était telle qu’elle me donna un choc, et une solide migraine. On me demandait de pardonner, et de me débarrasser entièrement de la haine qui était enfouie au plus profond de mon cœur. Je me demandai : « Pardonner à qui ? A l’homme qui m’avait maintenu dans un isolement complet et voulait que je pourrisse dans cette cellule ? Est-ce le diable qui m’avait parlé, ou quelqu’un d’autre ? »

Je chassais l’idée de mon esprit, parce que je voyais que c’était impossible. Mais elle persista. Elle était là chaque fois que je me levais pour prier. Finalement, je dus demander de l’aide. Il était devenu parfaitement clair que le Tout-Puissant voulait que je purifie mon cœur du poison de la haine qui, bien que je l’eusse cachée, m’avait fait horriblement souffrir. J’étais en face de la dure vérité, et d’une décision difficile que je ne pouvais plus éluder, mais en même temps dans la confusion la plus totale. Devais-je décider de suivre ma voix intérieure et me débarrasser pour toujours de cette haine accablante, dévastatrice, et qui me hantait ? Ou devais-je passer avec elle le reste de ma vie, devenir son prisonnier, et vivre toujours dans la compagnie des souvenirs hideux du passé ? Vivre déprimé et souffrir mille morts, jusqu’à ce que je quitte ce monde ? Le choix était difficile. Je n’avais plus aucun goût à la vie. Je passais d’interminables nuits blanches. Ma famille, mes amis, ceux qui m’entouraient ne me reconnaissaient plus. J’étais dans une situation désespérée, incapable de décider quel chemin prendre.

« Donne-moi la paix »

Mais l’homme qui m’avait infligé toutes ces atrocités fut renversé, et chercha asile au Nigéria. Tous les biens que j’avais mis des années à accumuler m’avaient été confisqués après mon incarcération. Le régime m’avait réduit à la pauvreté. Je n’avais même pas de quoi m’acheter un billet d’avion pour aller le voir, comme j’en ressentais la nécessité. Un soir, je m’agenouillai et priai : « Mon Dieu, tu es témoin que j’ai sincèrement pardonné à cet homme. Donne-moi la paix, s’il te plaît, et arrête de me tourmenter. »

Le miracle se produisit trois jours plus tard. Le représentant pour la Somalie du secrétaire-général des Nations unies, Victor Gbeho, aujourd’hui ministre des Affaires étrangères du Ghana, me convoqua pour m’informer que j’avais été choisi, avec deux autres Somaliens, pour participer à la rencontre au sommet des chefs d’Etat de l’OUA, qui devait se tenir à Dakar. Je disposais donc du billet d’avion, et je n’avais plus qu’à faire une halte à Lagos. « Dieu travaille d’une façon merveilleuse et mystérieuse, quand il veut. »

Je rencontrai l’ex-président. Il était assis sur un sofa, un chapelet à la main, comme s’il se repentait déjà de ce qu’il avait fait. Je m’assis en face de lui et lui dit que j’étais venu de Somalie simplement pour lui dire, pour le cas où nous mourrions l’un ou l’autre, que je lui pardonnais de tout cœur au nom de Dieu tout ce qu’il m’avait fait. Il me regarda dans les yeux ; je perçus la lutte émotionnelle qui se déroulait en lui, l’incrédulité qu’il ressentait à m’entendre prononcer ces paroles de pardon. Au bout d’un moment, après qu’il se fut ressaisi, je pus voir les larmes du remords couler sur ses joues. C’était le dictateur communiste, l’ancien chef d’Etat de la Somalie.

Le pardon avait fait naître en moi une nouvelle vie, enfin libre. Une vie que ne contaminaient pas les laideurs du passé. Il avait brisé la chaîne de haine et d’insécurité, et m’avait totalement libéré du malheur. On ne peut vivre en compagnon et en partenaire des autres si l’on ne sait pas pardonner.

Source : Conférence donnée à Caux (Suisse)

 

Citation

Extrait de son Autobiographie (1967) [sommaire]

par Bertrand Russell,

« Trois passions, simples mais extrêmement puissantes, ont gouverné ma vie : le besoin d’amour, la quête de savoir, et une insoutenable compassion pour les souffrances de l’humanité. »

 

Message de Maitreya

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Brève

Expositions de photographies au Japon [sommaire]

Des expositions de photographies publiées en 4e page de couverture de la revue Share International ont été organisées à travers tout le Japon. Intitulées « Le partage sauvera le monde », quelques 110 expositions ont ainsi été réalisées dans 34 villes au cours de l’année 2000. La durée d’une exposition est allée d’une journée (pour un événement particulier) à un mois. La plupart de ces expositions se sont déroulées dans des bureaux de poste et des banques, mais d’autres se sont tenues dans des hôpitaux, des écoles, des galeries d’art, des centres communautaires, des gares, des grands magasins et des cafés.

Le public leur a réservé un bon accueil et elles ont parfois été commentées favorablement dans la presse locale et à la télévision, sans que les volontaires chargés des expositions interviennent auprès des médias. A la grande surprise des bénévoles locaux, la NHK, la plus grande chaîne de télévision nationale japonaise, a commenté l’exposition de Niigata lors de son journal local. Les photos de scènes poignantes ont été ainsi commentées : « Une série de photos illustrant les conditions de pauvreté et de famine en Afrique sont exposées à la Poste principale de Niigata. Cet événement a été organisé par un groupe de bénévoles pour montrer la vie des populations dans les pays en voie de développement. Un appel en faveur d’un monde de paix, libéré de la guerre et de la pauvreté est imprimé sur chacun des 30 panneaux de cette exposition de photographies, publiées au cours des années par un magazine international intitulé Share International, lequel publie régulièrement des articles sur la situation des pays en voie de développement.
Ces photos illustrent avec réalisme la vie et les expressions des enfants en Afrique. Les panneaux portent entre autres des citations du Dr Albert Einstein et de Nelson Mandela, l’ancien président d’Afrique du Sud, exprimant leur espoir et leur désir d’un monde de paix, d’unité raciale, etc. »

 

Courrier des lecteurs

Partage international dispose d’une réserve importante de courriers qui ont été confirmés par le Maître de Benjamin Creme comme relatant de véritables rencontres avec des Maîtres, ou un « porte-parole », mais qui n’ont pas encore été publiés. D’autres courriers présentés ici sont plus récents. Pour ces derniers, bien que nous ne puissions pas confirmer ou indiquer si un Maître est impliqué, l’expérience peut être telle qu’elle « parle d’elle-même » en apportant espoir, inspiration et réconfort. Nous présentons ces courriers à votre considération.

Le Porteur d’eau [sommaire]

Cher Monsieur,

Le 10 août 2000, ma mère et moi nous sommes rendues à la boutique diététique locale (ma mère pratique la méditation de transmission). Nous avons l’habitude de remplir une douzaine de bouteilles au distributeur d’eau placé à l’intérieur du magasin. Ce jour-là, je me chargeai de remplir les bouteilles tandis que ma mère achetait les produits dont elle avait besoin. Il n’y avait guère plus de cinq minutes que je me trouvai là lorsqu’un homme s’approcha. Il s’arrêta non loin de moi, à ma gauche, et il posa une bouteille de plastique de quatre litres et une bouteille de verre plus petite, avec une étiquette orange déchirée que je n’avais jamais vue auparavant, en haut d’une pile de boîtes, à environ 1 m 50 du sol, auprès du distributeur d’eau. C’était un homme très grand, âgé d’une soixantaine d’années, vêtu de couleurs claires : une chemise blanche à manches longues, à col montant boutonné devant, et un pantalon gris. Il avait le haut du crâne dégarni, et tout autour une couronne de cheveux blancs légèrement bouclés de cinq ou six centimètres de long.

Lorsque je lui demandai s’il n’avait pas d’autres bouteilles, il me répondit : « Je n’ai que celle-ci, et celle-là est pour moi », pointant du doigt tout d’abord la bouteille de quatre litres en plastique, puis la bouteille en verre plus petite. Je trouvai bizarre qu’il ait déclaré que seule la plus petite bouteille était pour lui et pas l’autre, la plus grande.

Je lui dis de passer avant moi et d’utiliser le robinet le plus près de lui, affirmant en plaisantant que je ne l’autorisais à remplir que la plus grande bouteille. Je montrai du doigt la plus petite bouteille en disant : « mais pour celle-ci ce n’est pas certain ! » Il rit et me remercia, plaçant la bouteille de quatre litres sous le robinet. Jusqu’alors je n’avais pas vu son visage de face.

Il me demanda si je remplissais mes nombreuses bouteilles en prévision de la DNC (Convention nationale démocratique). La question n’avait aucun sens pour moi. Lorsque je lui demandai ce qu’il voulait dire, il répondit : « Eh bien, vous allez rester à la maison au cours des prochains jours pour la regarder à la télévision ». Je trouvais cette remarque plutôt bizarre, mais je ris et répondis que j’étais trop jeune pour voter (j’avais dix-sept ans à l’époque). Il répondit avec gentillesse mais fermeté : «  Cela ne vous empêche pas de regarder, n’est-ce pas ? » Je répondis non et il continua : « De toutes façons, cela va être joliment ennuyeux. » Je ris et me tournai vers lui pour le regarder.

Aussitôt son visage se trouva tout prêt de moi et à ma hauteur (il était très grand et il dut de toute évidence se pencher pas mal, car je suis très petite). Ce visage arborait le plus large sourire que j’ai jamais vu. Il y avait en lui quelque chose de pas naturel, non pas qu’il eut un air maladif, mais il était trop serein pour être humain. Les hommes peuvent, de temps à autre, exprimer la sérénité, mais pas de telle manière que cette sérénité paraisse habituelle. Ses yeux étaient immenses et lumineux : lorsque je plongeai mon regard dans le sien mon cœur chavira. Je détournai rapidement les yeux. J’avais l’impression de ne pouvoir absorber davantage de sérénité, c’était pour ainsi dire au-dessus de mes forces. Je ris nerveusement, c’était tout ce que je pouvais faire. Un peu de temps s’écoula, probablement une dizaine de secondes, qui me parurent très longues, pendant lesquelles il finit de remplir ses bouteilles et de remettre les bouchons en place. Il passa devant moi en disant : « Merci, c’était très aimable à vous », se référant au fait que je l’avais laissé utiliser le distributeur d’eau avant d’avoir moi-même terminé. Je regardai derrière moi et je le vis s’éloigner. Il portait la plus petite bouteille dans la main gauche et la plus grande suspendue à l’épaule droite.

Je finis de remplir ma dernière bouteille et remis le bouchon dessus. Cela ne me prit pas plus de trente secondes, mais le temps que j’arrive à la caisse, il avait disparu. Il n’y avait pas de queue, aussi je me suis dit qu’il avait payé rapidement et qu’il était parti. Cependant, je sortis et je regardai autour de moi : il y avait une petite voiture de couleur brune qui quittait le parking, mais il n’avait pas eu le temps d’aller jusque là et ce ne pouvait donc être sa voiture.

S’agissait-il tout simplement d’un homme ordinaire remplissant ses bouteilles d’eau, ou de quelqu’un d’exceptionnel ? A-t-il payé l’eau à la caisse avant de sortir ou a-t-il tout simplement disparu ?

E. H., Los Angeles, Californie, Etats-Unis

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que l'homme était Maitreya et qu'il avait tout simplement disparu.

Face à face [sommaire]

Cher Monsieur,

Pourriez-vous me dire si j’ai fait une expérience particulière.

Je faisais des courses avec ma fille à York le jeudi 18 janvier 2001 et, alors que nous traversions la rue, une vieille femme apparut soudain devant nous. Elle dit : « Auriez-vous un peu de monnaie pour une tasse de thé, s’il vous plaît ? » J’ouvris mon sac et je lui demandai combien elle voulait, mais je n’eus aucune réponse. Elle se contenta de regarder intensément ma fille. Je lui donnai cinquante pence et elle dit « merci » puis s’en alla.

Ma fille me fit remarquer qu’on ne voit pas souvent des retraités mendier. Ce n’est que de retour à la maison quelques heures plus tard que je me souvins de ce qui était arrivé lorsque j’avais regardé le visage de la vieille dame. Il s’était transformé en un autre visage, celui d’une diseuse de bonne aventure, que j’avais rencontré en mars 2000, et qui s’était avérée être Maitreya (le Maître de Benjamin Creme l’avait confirmé) ; son visage sembla s’approcher du mien et ses yeux étaient bleu clair. Je m’apprêtai à dire : « O, Maitreya ! » lorsque soudain la mémoire me fut retirée.

S. N., York, Grande-Bretagne

Le Maître de Benjamin Creme a confirmé que la « vieille dame » était Maitreya.

Une mise en garde contre le bavardage [sommaire]

Cher Monsieur,

Le jeudi 8 mars 2001 je marchai dans la rue avec ma fille, mécontente de me sentir encore tentée de critiquer les affaires personnelles d’un membre de notre groupe, en dépit de mes bonnes résolutions. Nous traversions la rue et je pris soudain conscience de la présence d’une femme à l’air inhabituel qui se dirigeait vers nous.

Elle avait un type tibétain ou népalais, était âgée d’une trentaine d’années, et il y avait dans son allure quelque chose de monacal. Son visage était mince, brun, tanné et marqué, avec des yeux bruns en amande, typiquement orientaux, et encadré de cheveux bruns coupés très courts. Elle portait une longue jupe de feutrine couleur noisette ; une veste de feutrine rouge cannelle, avec un col montant et une fermeture éclair du côté gauche, de grosses chaussures marron foncé et un collant ou des chaussettes de laine également marron. Une figure inhabituelle, même dans notre quartier multiculturel.

Elle marchait lentement, d’un air décidé, avec de longues enjambées, mais elle donnait pourtant l’impression d’avancer rapidement. Lorsque je fus sur le point de la croiser, elle tourna rapidement les yeux de mon côté et je croisai son regard, un regard intense, profondément sérieux, un regard si direct qu’il me laissa décontenancée. J’eus immédiatement l’idée qu’il s’agissait peut-être de Maitreya et je me retournai. Elle continuait à descendre la rue, regardant les jardins, et elle était déjà arrivée plus loin que je l’aurais cru, à en juger par la lenteur de sa démarche. Je fis quelques pas, puis-je me retournai à nouveau, avec l’envie de m’arrêter pour l’observer, mais au lieu de cela je me hâtais de rattraper ma fille.

Votre Maître pourrait-il avoir la bonté de me dire si cette femme à l’allure tibétaine était Maitreya ou l’un des Maîtres ?

J. G, Londres, Grande-Bretagne

Le Maître de Benjamin Creme a confirmé que « la femme » était Maitreya

Cours du soir [sommaire]

Cher Monsieur,

En juillet 1994, je fis un rêve étonnant. Un être de pure lumière blanche est apparu en face de moi et m’a dit clairement : « Je suis ici pour te donner un enseignement sur la nature. » Je compris qu’il s’agissait de la nature humaine. Il ajouta : « Je m’appelle … » (il m’indiqua un nom composé de deux syllabes, ou de deux mots, dont le dernier commençait par « K »). Je me redressai d’un bond, réveillant en sursaut ma femme qui dormait près de moi. Je lui racontai cette histoire. Elle pensa que j’étais un peu fou et se retourna de mauvaise humeur. Je ne cessai de répéter le nom de cet être afin de m’en souvenir, mais hélas, le lendemain matin je l’avais oublié !

Pourriez-vous dire de qui il s’agissait ?

L. McG., Mochelle, Nova Scotia, Canada

Le Maître de Benjamin Creme a déclaré qu'il s'agissait de Maitreya.

Un avertissement qui m’a sauvé la vie [sommaire]

Cher Monsieur,

Dans l’intention de rendre visite à ma grand-mère paternelle, je me suis rendu dans les Provinces unies, au sud du Népal. Par une journée ensoleillée je louai un taxi, et le chauffeur et moi-même nous partîmes à la recherche du village de ma grand-mère.

Au crépuscule, un femme mince, de type indien, se précipita vers notre voiture. Elle paraissait âgée de cinquante-cinq ou soixante ans. Lorsqu’elle atteignit la portière, je vis deux yeux remplis de compassion, un peu rougis par les larmes. Elle me toucha la joue avec affection et me dit en pleurant presque : « Mon fils, ne va pas plus loin, il commence à faire sombre. Vois comme vous êtes jeunes et beaux tous les deux. Cette région est remplie de bandits armés. Si vous y pénétrez maintenant, vous n’en sortirez pas vivants. »

J’étais stupéfait et me demandais pourquoi cette femme simple se souciait tant de moi. Je l’écoutai avec respect, mais le désir de trouver le village de ma grand-mère, maintenant que nous étions si près, était trop fort. Aussi demandai-je au chauffeur de poursuivre sa route, négligeant les exhortations qui venaient de nous être faites.

Au bout d’un kilomètre ou deux, nous arrivâmes dans un endroit qui ressemblait à la cour d’un débit de boissons rempli d’hommes qui buvaient de l’alcool et bavardaient. Lorsque nous passâmes devant, la manière dont ils nous suivirent du regard me mit mal à l’aise. Soudain je pensai aux paroles de la femme que nous avions rencontrée et je dis au chauffeur : « Faisons demi-tour ! »

Ce qu’il fit aussitôt et j’ai le sentiment que ma décision était la bonne, même si cela signifie que j’ai dû renoncer à trouver le village de ma grand-mère. En effet, quelques jours plus tard, j’ai lu dans un journal indien que des touristes occidentaux avaient été volés et tués par des bandits dans la même région.

Qui était cette femme ? Nous a-t-elle réellement sauvé le vie ou s’agit-il d’une simple coïncidence ?

M. M. Pays-Bas

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que la « femme » dont les conseils ont sauvé la vie des deux hommes était Maitreya.

Une visite fugace [sommaire]

Cher Monsieur,

A dix heures du matin, le dimanche 16 novembre 1997, pendant un week-end de méditation de transmission à Berne, vingt-trois personnes venues de Suisse et de France s’étaient rassemblées pour la méditation. Alors que nous finissions d’échanger les nouvelles, nous avons reçu une visite inattendue. Un homme âgé de quarante-cinq à cinquante ans, à la peau foncée et aux cheveux gris, en tenue de travail, est entré par la porte principale et s’est dirigé aussitôt vers la sortie de secours, sans vraiment attirer notre attention.

Toute la scène n’a duré guère plus de six ou sept secondes, mais une énergie m’a soudain traversée et le nom de Maitreya m’est immédiatement venu à l’esprit.

Personne ne réagit, ni sembla avoir pris conscience de quelque chose de particulier, et nous commençâmes la méditation de transmission, qui dura deux heures et fut d’une qualité exceptionnelle. A la fin, je déclarai que j’étais absolument convaincue que nous avions reçu la visite de Maitreya. D’autres confirmèrent mon impression, ils avaient eux aussi ressenti une énergie d’amour particulièrement intense. J’ai pour ma part vécu pour la première fois une expérience de « communion ». L’après-midi fut entièrement consacré à la méditation de transmission, et « coïncidence », nous entendîmes dans la salle voisine quelqu’un jouer le Messie de Haendel ! Alléluia ! Travaillons pour l’Emergence !

H. G, Musièges, France

Le Maître de Benjamin Creme a confirmé que le visiteur était Maitreya.

 

Rayons

Selon le Maître DK, un rayon est « le nom donné à une certaine force ou à un certain type d’énergie, considéré sous l’angle de la qualité qui en émane ». Les rayons transmettent ainsi leurs qualités à toute la création, y compris la constitution humaine. L’âme, la personnalité, le corps mental, le corps émotionnel et le corps physique, sont tous colorés par l’un ou l’autre des sept rayons. De manière à faciliter l’étude et la compréhension des rayons, le Maître de Benjamin Creme, au fil des ans, a accepté de répondre à des questions portant sur la structure de rayons (et le niveau d’évolution) de certaines personnalités mais, par discrétion, jamais pour des personnes en vie. Pour approfondir cette étude, nous renvoyons le lecteur aux enseignements d’Alice Bailey (Lucis Trust), aux ouvrages de Benjamin Creme et aux précédents numéros de Partage international.
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Forum Partage

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Dernière de couverture

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Cahier anniversaire

Le 19 juillet 1977, Maitreya, l’Instructeur mondial, est arrivé dans la communauté asiatique de Londres − son point d’attache dans le monde moderne − et le 22 juillet il a commencé sa mission. Trente ans plus tard, nous célébrons cet événement extraordinaire à travers les pages suivantes.
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Questions-réponses

Réponses de Benjamin Creme

Maitreya est-il apparu à nouveau devant des groupes ? [sommaire]

Le dimanche 25 mars 2001, Maitreya est apparu à un groupe d'environ 200 chrétiens, à Lucknow, en Inde. Il a parlé pendant 18 minutes. Une source a été magnétisée auparavant dans les environs.
Le dimanche 8 avril, Maitreya est apparu à un groupe d'environ 400 chrétiens, au Brésil. Il a parlé pendant 18 minutes. Une source a été magnétisée auparavant dans les environs.
La ville de Pologne où Maitreya est apparu le dimanche 11 mars, est Seidice.

L'exposition de photos publiées par Share International (voir l'article de Michiko Ishikawa dans le numéro de septembre 2000 de Partage international) semble être une excellente approche du public. Les panneaux de photographies ne concernent pas nécessairement l'émergence de Maitreya, mais ils exposent la face sombre du monde, éduquant ainsi le public et attirant son attention sur les priorités de Maitreya. Qu'en pensez-vous personnellement ? [sommaire]

J'y suis très favorable. C'est, à mon avis, une excellente idée, une des nombreuses façons d'approcher le public. C'est une initiative pleine de bon sens qui, en même temps, fait connaître la revue Share International, et c'est quelque chose de simple à faire. La simplicité est la note clé. Vous regardez les photos au dos d'une revue et elles attirent votre attention sur la couverture ou les pages intérieures. Vous pensez alors que si tout est de la même veine, ce doit être une revue très intéressante.
Maitreya, lui-même, déguisé en reporter, a visité l'exposition au Japon avec beaucoup d'attention pendant environ deux heures. Puis il en a fait l'éloge à plusieurs reprises. Il a affirmé que si de nombreuses personnes de par le monde pouvaient voir ces photos, cela les orienterait rapidement dans le sens de la justice. Il me paraît évident que si vous montrez de telles photos dans le contexte de la Réapparition, les gens comprendront tout ce qui est en jeu.

L’une des tâches de Maitreya est-t-elle de nous ouvrir à la souffrance des autres et l’exposition de photos sert-elle ce but ? [sommaire]

Il est certain que l’une des espérances de Maitreya est d’ouvrir notre cœur à la souffrance des autres. C’est ce qu’il s’efforce de faire chaque fois qu’il déverse ses énergies dans le monde. Cette espérance a été au centre de tout ce qu’il a dit, et de tout ce que j’ai dit personnellement dans mes conférences et dans mes écrits. C’est exactement ce qu’il espère faire, ouvrir nos cœurs à la souffrance du monde. Ainsi nous changerons le monde. Il a déclaré : « Faites que votre action soit à la mesure des besoins de votre frère, et résolvez les problèmes du monde. Il n’y a pas d’autre possibilité. » (Message n° 52). C’est très clair. L’exposition de photos sert-elle ce but ? Oui, elle va dans ce sens.

La menace d'une destruction massive par l'utilisation des armes nucléaires, biologiques ou chimiques pèse sur nous, mais c'est un choix que Maitreya et les Maîtres savent que nous ne ferons pas. [sommaire]

Nous avons le choix de considérer ces armes comme une menace ou de les utiliser. Tel est le choix : utiliser ou ne pas utiliser les armes nucléaires et biologiques qui détruiraient toute vie. Il n'est pas exact de dire que c'est « un choix que Maitreya et les Maîtres savent que nous ne ferons pas ». Nous devrons choisir. Nous devons faire le choix entre continuer sur notre lancée ou changer de direction.
Le choix est d'accepter le partage et la justice, et par conséquent la paix, ou de continuer à agir de manière cupide et égoïste comme nous le faisons actuellement. Il est certain que nous serons confrontés à ce choix. Ce qui est sous-entendu ici, c'est que j'ai déclaré que Maitreya savait déjà quel serait notre choix. C'est exact, mais il est inexact de dire que c'est un choix que nous n'aurons pas à faire. Nous devrons choisir. Maitreya dit : « L'homme doit agir et accomplir sa volonté. » Cela ne se fait pas tout seul. Nous choisissons une voie ou une autre ; ainsi notre libre arbitre n'est pas enfreint. Nous avons le droit et l'obligation de choisir.

J’ai assisté à une de vos conférences à Kent, dans l’Ohio, au début des années 1980, et pendant la méditation, j’ai remarqué, ainsi que ceux qui m’accompagnaient, une brillante aura blanche autour de vous, et autour de deux autres personnes dans le public. J’ai toujours eu envie de savoir ce dont nous avons été témoins ? [sommaire]

Je ne me souviens pas particulièrement de cette conférence, mais ce que vous avez remarqué n’a rien d’inhabituel ; les gens racontent fréquemment qu’ils ont vu des phénomènes semblables. C’est le résultat de mon adombrement par Maitreya ; c’est sa lumière que l’on voit. Ceci demeure l’un des aspects les plus convaincants des rencontres que j’organise.

Le krach boursier imminent et l’effondrement de l’économie mondiale ont-ils un lien avec les événements catastrophiques prophétisés dans l’Apocalypse biblique ? [sommaire]

Il existe un lien général, mais pas de relation directe avec les Ecritures, qui sont essentiellement de caractère symbolique.

[1] Etant donné que tant de personnes ont besoin d’améliorer leur santé, pourquoi si peu de sources énergétisées par Maitreya ont-elles été découvertes ? [2] Y a-t-il quelque chose que nous puissions faire pour accélérer ce processus ? [sommaire]

[1] La rapidité avec laquelle ces sources sont découvertes dépend de Maitreya, c’est à lui qu’il faudrait poser la question. [2] Non.

Pourriez-vous dire quelles sont les véritables raisons des mauvaises conditions climatiques actuelles ? Sont-elles réellement le résultat d’un réchauffement général ou y a-t-il d’autres facteurs en jeu ? [sommaire]

Plusieurs facteurs agissent : un réchauffement général causé par notre mauvais usage des ressources naturelles ; l’effet des pensées destructrices de l’humanité sur l’évolution dévique (ou angélique) responsable de l’action sur la nature (ayant perdu notre propre équilibre, nous causons un déséquilibre dans l’évolution des dévas) ; la déforestation de vastes zones qui accentue la tendance aux inondations ; et, par dessus tout, le réchauffement global dû au ralentissement de la vitesse de rotation de la Terre (voir Partage international, septembre 1988) et au fait que la planète s’est légèrement rapprochée du soleil. Ces effets sont temporaires mais inévitables à l’époque actuelle.

Dans le numéro de juin 1994 de Partage international, il y avait un article sur Sri Ganapathi Satchidananda Swamiji, sage de l’Inde du Sud, dont l’ashram se trouve à Mysore. Il accomplit des miracles identiques à ceux de Saï Baba et de Swami Premananda, matérialisant de la vibhuti, des médaillons, etc., comme il est mentionné dans l’article de Partage international. Le soir de Mahashivaratri, Sri Ganapathi matérialise également des lingams de Shiva, mais contrairement à Saï Baba et Swami Premananda, il ne les extrait pas de sa bouche mais du feu, pendant une cérémonie du feu. Pour cela, Swamiji entre dans le feu, afin d’accomplir la cérémonie qui dure environ une demi-heure, sans être brûlé par les grandes flammes. Ses disciples croient qu’il est l’Avatar du Dieu hindou Dattatreya, à travers lequel agissent les énergies de Brahma, Vishnu et Shiva. Votre Maître pourrait-il indiquer quelle place il occupe dans le cercle des Maîtres de la loge de l’Inde du Sud, et sa relation avec les deux autres grands avatars que nous connaissons en Inde du Sud, Saï Baba et Swami Premananda ? [sommaire]

Sri Ganapathi Satchidananda Swamiji fait partie d’un petit groupe d’Avatars venus en incarnation à notre époque de dangers et de changements. Les méthodes et les approches peuvent varier, mais le but sous-jacent est de servir la planète Terre.

Je sais, pour l’avoir appris de vous-même et pour l’avoir lu dans les ouvrages de Djwhal Khul, que le mouvement travailliste fut inspiré par la Hiérarchie, et que Karl Marx, Lénine et certains autres leaders communistes étaient, sans le savoir, des initiés. Comment ont-ils pu éliminer totalement la notion de Dieu dans leur théorie et construire leurs idéologies en opposition aux religions ? Bon nombre de leurs partisans ont transformé leurs idées en totalitarisme, et limité la liberté de leurs semblables. Vous avez affirmé que c’était de leur faute, leurs erreurs peuvent-elles entraîner pour eux des conséquences karmiques ? [sommaire]

Oui, bien sûr. Marx n’était pas contre la religion, mais contre la limitation de la liberté de penser imposée par les dogmes de l’Eglise. Marx était un disciple du Maître Jésus, qui, vous le verrez, se montre lui aussi critique à l’égard des dogmes religieux. Des gens comme Marx ont débarrassé la religion d’une bonne partie des dogmes, des doctrines et des superstitions que l’homme y avait introduits. Ce n’est pas par hasard, mais à cause de cela, que, d’après les enseignements du Maître Djwahl Khul (communiqués par l’intermédiaire d’Alice Bailey), la nouvelle religion mondiale (hautement ésotérique, bien sûr) naîtra en Russie.

En tant que chrétien, comment concilier les enseignements de sa propre religion et ceux de Maitreya ? [sommaire]

En gardant l’esprit ouvert, chercher les domaines où ces enseignements sont identiques ou similaires, et étudier les enseignements de la Sagesse éternelle pour concilier les différences. Les enseignements chrétiens, tout comme ceux de Maitreya, sont fondés sur l’amour et le divin qui est sous-jacent à toute vie. Je dirais que la religion organisée est essentiellement mystique et dévotionnelle et donc basée sur le culte divin, tandis que les enseignements de Maitreya sont plus scientifiques, c’est-à-dire basés sur la connaissance acquise par l’expérience personnelle.

Il y a vingt ans que j’utilise le Y-king et j’ai l’impression que c’est un outil que les Maîtres nous ont donné pour aider à notre croissance spirituelle. [1] Est-ce exact ? [2] Confucius a-t-il réellement utilisé cet ouvrage et y a-t-il ajouté des commentaires personnels, comme le veut la légende ? [3] Un des Maîtres a-t-il inspiré Carol Anthony lorsqu’elle a traduit le Y-king ? Si c’est le cas, de quel Maître s’agit-il ? [4] L’importance du Y-king deviendra-t-elle plus grande, ou moins grande, après l’émergence des Maîtres ? [sommaire]

[1] Non. [2] Non. [3] Non. [4] Beaucoup moins grande.

Selon une note de l’éditeur dans l’ouvrage la Science chrétienne écrit à l’origine par Swami Sri Yukteswar (de la lignée d’avatars de Yogananda), nous sommes entrés dans l’ère des Poissons en 499 et notre équinoxe vernal entrera dans l’ère du Verseau en 2499. Ceci semble être déduit des calculs de Yukteswar. Le Maître de B. Creme pourrait-il confirmer si [1] ces dates sont correctes, ou, sinon, [2] indiquer les dates exactes. [sommaire]

[1] C’est inexact. [2] Nous sommes entrés dans l’ère des Poissons en 150 avant J.C.. et dans l’ère du Verseau en 1675.

[1] Pourriez-vous expliquer comment et pourquoi des apparitions de personnes décédées, parfois depuis des siècles, sont constatées de manière répétée dans certains endroits. [2] Que peut-on faire pour aider ces « âmes perdues » ? [sommaire]

Ces « fantômes » sont liés au plan physique et à certaines circonstances pour différentes raisons : ils sont profondément attachés à une demeure ou un endroit particulier et refusent de s’en aller ; ils ignorent qu’ils sont décédés et continuent leur vie terrestre ; ils sont morts dans des circonstances particulièrement violentes ; ou il peut s’agir d’une combinaison de certains ou de tous ces différents facteurs. [2] De nombreuses personnes travaillent sur le plan astral dans le but spécifique de les aider.

[1] Une consommation excessive de granules d’eau de Tlacote peut-elle avoir des effets néfastes ? [2] Si oui, quels sont ces effets ? [3] On nous a affirmé que plus nous ferons de la méditation de transmission, plus notre croissance spirituelle sera rapide. Existe-t-il un lien similaire entre l’amélioration de notre santé physique et la quantité de granules que nous consommons ? [sommaire]

[1] Oui. Il est également possible que la puissance homéopathique choisie soit trop élevée. Par exemple, j’ai demandé que l’eau soit préparée en 6 ch et 30 ch, ce qui couvre la plupart des besoins. Certaines personnes ont demandé des préparations en 200 ch (avec des résultats exagérés). Ce n’est pas recommandé. [2] Une stimulation excessive. Une désintoxication trop brutale ou trop rapide. [3] Absolument pas. Il est inexact de dire que « plus l’on fait de méditation de transmission plus grande est la croissance spirituelle ». C’est une attitude fanatique et extrême. La régularité et l’alignement sont l’essentiel, et je suggérerais trois ou quatre heures de méditation de transmission, deux ou trois fois par semaine, comme le bon rythme à atteindre.