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avril 2001 – No 152

Sommaire


 

Article du Maître —

Le temps nouveau [sommaire]

par Le Maître –,

par l’entremise de Benjamin Creme

 Jour après jour, l’humanité se voit confrontée au spectacle des calamités qui résultent de son mauvais usage du libre arbitre. De nature divine, le libre arbitre de l’homme est son plus grand trésor, mais c’est seulement quand il est utilisé en harmonie avec le plan du Logos qu’il est juste et conforme à la Loi. Cette vérité, l’homme l’a depuis longtemps perdue de vue, et, ne cessant de semer pensées et actions incorrectes, il récolte la tempête qui en résulte. C’est ainsi que des millions d’êtres humains souffrent sans raison de la pénurie dans un monde d’abondance, faute de moyens d’existence que d’autres considèrent comme leur droit le plus élémentaire. L’homme ne pourra plus supporter ce clivage très longtemps ; la Loi exige la répartition des ressources alimentaires et, face à son absence, elle agit pour produire les ajustements nécessaires.

En outre, les nouvelles énergies de Synthèse cherchent de plus en plus à s’exprimer, conduisant l’humanité chaque jour davantage vers ce but d’équilibre. Partout dans le monde, les hommes trouvent cette tension croissante difficile à supporter et se débattent frénétiquement au milieu du chaos qu’elle engendre.

Dans l’attente d’un signe

Au plus profond d’eux-mêmes, les hommes sentent bien que l’avenir repose sur le changement, mais ils ont du mal à distinguer le chemin. Ils attendent un signe leur indiquant que Dieu connaît leurs besoins et y pourvoira, mais refusent de croire à la multitude de signes qui, de toutes parts, annoncent la présence de cette aide. Ils vivent à la fois dans l’espoir et dans la peur, et refusent d’envisager que ce à quoi ils aspirent est possible. Ainsi en a-t-il toujours été.

Et puis, il y a ceux qui s’enivrent de leur propre réussite, s’émerveillant sans fin des fortunes faciles dont ils jouissent. Leur cupidité les rend aveugles à la montée des tensions, sourds aux avertissements qui se font entendre, et la maladie de la spéculation les tient sous son emprise. Cela évoque le déclin de la Rome antique avec ses abus.

Des attitudes discordantes

La Hiérarchie observe ces attitudes dans leur diversité discordante, cherchant à porter assistance partout où elle le peut. Seul le libre arbitre humain l’empêche d’intervenir directement, mais la Loi est la Loi, et elle doit toujours être respectée. Pourtant, beaucoup d’aide est fournie à l’humanité sans qu’elle s’en aperçoive.

Maitreya évalue la situation de jour en jour, car il espère émerger avant l’effondrement boursier prévu. Certaines mesures sont d’ores et déjà prises à cet effet. Ainsi, il ne reste plus que très peu de temps avant le commencement de sa mission publique. Regardez autour de vous, soyez attentifs et veillez à n’en pas manquer les premiers signes.

Maitreya galvanisera les hommes et femmes de bonne volonté à travers le monde, les poussant à agir. Beaucoup d’entre eux n’attendent que son appel. Ainsi s’instaurera un débat de grande envergure, au cours duquel les besoins fondamentaux des hommes, où qu’ils se trouvent, seront étudiés et évalués. Cela permettra aux hommes de connaître les possibilités qu’offre le changement, de les mettre à l’essai, et de trouver ainsi le courage d’entreprendre les transformations nécessaires. Ainsi en sera-t-il, ainsi le Grand Seigneur prodiguera-t-il aux hommes ses conseils, ainsi inaugurera-t-il le Temps nouveau.

Cette traduction est celle publiée dans l’ouvrage Un Maître parle (Partage Publication, 2007), et non celle figurant originellement dans la revue Partage international.

 

Editorial

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Ce mois-ci dans Partage international

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Point de vue

 

Compte rendu de lecture

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Compilation

Nous publions dans cette rubrique une sélection de citations de Maitreya (Messages de Maitreya le Christ et Enseignements de Maitreya : les lois de la vie), du Maître de Benjamin Creme (Un Maître parle) et de Benjamin Creme (divers ouvrages).
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De nos correspondants

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Dossier

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Signes des temps

Les « Signes des temps » présentés dans cette rubrique ont été confirmés par le passé par Benjamin Creme ou s’imposent d’eux-mêmes sur la base de l’espoir et de la foi qu’ils suscitent. Nous les soumettons à votre réflexion.

Les cercles de lumière [sommaire]

par J. D. Rabbit,

Depuis 1997, on recense une nouvelle forme de miracle : le cercle de lumière. Ces cercles apparaissent généralement sur les murs extérieurs des bâtiments, et l’on a pu en observer toute une variété dans plus de soixante endroits différents, dans le Vermont, ainsi que dans d’autres villes, toujours au nord-est des Etats-Unis.

Dans la plupart des cas, ces cercles apparaissent lorsqu’il y a du soleil, et que les rayons de lumière arrivent sous un certain angle, leur permettant d’atteindre une ou plusieurs fenêtres et de se refléter sur le mur d’une maison voisine. Certains sont visibles seulement de bonne heure le matin ; d’autres apparaissent à midi, ou en fin d’après-midi pendant quelques heures ; d’autres ne sont visibles qu’au printemps et en automne ; et certains apparaissent même au clair de lune. Beaucoup ont pu être observés au même endroit plusieurs années de suite, alors que d’autres apparaissent pendant un instant puis disparaissent. Ils se déplacent de manière typique vers le haut ou vers le bas, suivant l’angle du soleil et la rotation de la Terre, certains descendant parfois si bas qu’ils apparaissent sur le sol. Certains sont étonnamment brillants, et l’on a pu voir six cercles différents, parfois doubles, au même endroit. Parfois ils apparaissent sur plusieurs maisons voisines.

De nombreux cercles ont également été signalés, et même photographiés, dans d’autres circonstances. Ils sont apparus sur les murs d’une chambre dont les occupants avaient lu un article à leur sujet ; ils sont apparus sur le trottoir apparemment pour répondre au souhait de personnes qui espéraient en voir ; on en a même vus sur des voitures et des vêtements, l’un d’entre eux est même demeuré sur la chemise d’un homme lorsqu’il est entré à l’intérieur d’une maison. Un autre homme était assis dans un café lorsqu’il vit un cercle sur un bus qui passait ; quelqu’un d’autre a raconté qu’il avait vu en se promenant des cercles sur toutes les maisons de la rue.

Des formes exceptionnelles sont également apparues, par exemple un X brillant, au milieu d’un rectangle. On a pu voir certains motifs se transformer de manière significative en l’espace de quinze minutes.

Dans deux cas particuliers, la lumière s’est réfléchie sur la maison de membres d’un groupe de transmission, formant des cercles sur les maisons voisines. On n’a signalé aucun cas de guérison en relation avec ces cercles, mais certains affirment que les motifs deviennent plus brillants lorsque des personnes méditent à proximité.

Ces splendides phénomènes inspirent un sentiment de respect mêlé de crainte. Des personnes familiarisées avec la géométrie sacrée ont pu identifier certains motifs, par exemple la vesica pisces, ou Fleur de Vie, à l’intérieur de nombreux cercles.

Michael Glickman, qui fait des recherches sur les figures géométriques dans les champs de céréales et qui est éditeur de la revue Crop Circle Radius, s’est intéressé aux images lumineuses et il pense qu’elles ont une origine similaire à celle des pictogrammes dans les champs de céréales.

Kate Lanxner, auteur d’articles sur ces cercles de lumière, parus dans une publication locale s’intéressant aux questions métaphysiques, propose une série de cartes postales en couleurs de quelques-uns des sites les plus marquants, et est prête à servir de guide aux visiteurs qui le souhaiteraient – à condition qu’il y ait du soleil – Burlington compte en effet davantage de journées nuageuses par an que n’importe quelle autre ville des Etats-Unis.

On peut joindre Kate Lanxner par e-mail : lanxner@yahoo.com

Le Maître de B. Creme a indiqué que ces images de lumière étaient créées par Maitreya avec l'aide des Frères de l'espace.

Témoignages sur les croix de lumière [sommaire]

par Buddy Piper,

En juin 2000, une petite église de Pine Bluff (Arkansas) est soudainement devenue le lieu d’apparition d’une étonnante série de phénomènes miraculeux. Sept croix de lumière aux propriétés curatives se sont manifestées sur sept fenêtres de l’église missionnaire baptiste dénommée le Temple de l’Evangile.

Des personnes du monde entier qui ont vu des croix semblables, témoignent d’une guérison spirituelle, émotionnelle ou physique.

La presse locale de Pine Bluff et de Little Rock a largement couvert l’événement, et la nouvelle s’est répandue dans le monde entier via Internet, attirant des milliers de visiteurs. Betty Foster, la tante de Brit Murray, le garçon de 12 ans qui a découvert les croix dans l’église, nous a assuré que les fenêtres étaient installées depuis quarante ans, et qu’il n’y avait jamais eu de croix dessus. « Elles sont des signes de Dieu. C’est si réconfortant de voir les gens touchés par leur beauté. »

Debra Long, une infirmière de Pine Bluff, nous a déclaré : « J’ai amené mes deux enfants voir les croix. Il y a plusieurs années, j’habitais près de Los Angeles et j’avais entendu dire que des croix curatives étaient apparues sur des fenêtres de salle de bains près d’El Monte, en Californie. Mais je ne suis jamais allée les voir parce que je n’y croyais pas. Quand j’ai entendu dire que des croix identiques s’étaient manifestées à Pine Bluff, où nous vivons maintenant, et que j’ai parcouru le site web de Share international* où il est question de ces croix et d’autres miracles, j’ai ressenti le besoin d’aller les voir. En tant qu’infirmière qui a tout vu, je croyais que plus rien ne me touchait. Combien je me trompais. La première croix m’a complètement bouleversée et je suis tombée à genoux. Des larmes ont commencé à couler tandis que je sentais comme un lourd manteau chaud m’envelopper les épaules. »

Lazeter Rayford, un vétéran du Vietnam, raconte : « Quand je suis revenu de la guerre, j’étais comme une âme perdue. Durant des années, j’ai cherché ma voie. De dépressions en dépressions, cherchant toujours une façon de gagner ma vie, et chaque fois que cela paraissait possible, quelque chose bloquait mon chemin. Le stress permanent m’avait rendu diabétique. C’était sans espoir. »

« Juste après la guerre, j’ai sollicité une indemnité de vétéran (600 ou 700 dollars par mois, de quoi survivre). Mais les années passant, rien n’est arrivé malgré mes réclamations répétées.

Quand les croix sont apparues, je fus l’un des premiers à venir les voir et je fus si heureux. Je suis tombé à genoux en remerciant. J’ai décidé de rester aider les visiteurs lorsque l’église était ouverte, la nuit, car je ne pouvais pas les quitter. J’ai été bénévole chaque nuit durant six semaines, voyant défiler des milliers de gens, des drogués, des vieillards, des prostituées, ou des personnes qui n’étaient jamais entrées dans une église de leur vie, tous heureux d’être là.

J’ai commencé à me sentir de mieux en mieux et maintenant je ne prends plus aucun médicament pour mon diabète et je me sens bien. Mais ce n’est pas la seule bonne chose qui me soit arrivée. J’ai reçu une lettre du gouvernement des Etats-Unis indiquant que mon dossier avait été retrouvé et que je recevrais ma pension plus les intérêts, depuis la fin de la guerre. Ils vont m’envoyer plus de 900 000 dollars avec leurs excuses ! Je suis vraiment ravi. »

* Site Internet Share International : www. shareintl.org

Le Maître de B. Creme a indiqué que ces croix sont énergétisées par Maitreya.

Un immense ovni dans le ciel du Yukon [sommaire]

Dans la nuit du 11 décembre 1996, plus de trente habitants des territoires du Yukon (Canada) observèrent un énorme vaisseau volant se déplaçant lentement et silencieusement au dessus de la campagne, à seulement 100 mètres d’altitude. Seuls ou en petits groupes, les témoins oculaires du passage du vaisseau donnèrent tous des descriptions similaires sur sa forme, sa taille et son éclairage.

Comme à l’époque, aucun témoin n’avait contacté ni les autorités locales ni les médias, leurs observations ne furent rendues publiques qu’en 2000, dans un rapport compilé par Martin Jasek. Cet ingénieur enquête sur les témoignages concernant les ovnis, pour le compte de l’association Ovnis-Colombie britannique. Son rapport contient des descriptions détaillées ainsi que des schémas. D’après lui, toutes les personnes qu’il a interviewées avaient « les pieds bien sur terre » et la plupart ont voulu garder l’anonymat. Il raconte qu’un témoin se trouvait sur une montagne au même niveau que le vaisseau alors que celui-ci volait à seulement quelques centaines de mètres. Pour apercevoir le vaisseau dans son ensemble, le témoin devait tourner la tête d’un côté à l’autre.

Grâce à la triangulation (une opération de géométrie se basant sur l’observation simultanée d’un objet depuis au moins deux points différents) et à des références en arrière-plan telles que des montagnes ou des constellations, Martin Jasek a estimé (et les témoins l’ont approuvé) que la longueur de l’engin était comprise entre un et deux kilomètres.

Le Maître de B. Creme a indiqué que l'objet volant était un vaisseau provenant de Mars

Source : www.ufobc.org

 

S.O.P. — Sauvons notre planète

Hormis la guerre, rien ne compromet aussi gravement l’avenir de l’humanité que la pollution. Constatant qu’il en est ainsi, certains pays ont pris des mesures pour la réduire et pour limiter le réchauffement climatique. D’autres, parfois parmi les plus gros pollueurs, nient la réalité d’un tel réchauffement en dépit des preuves qui s’accumulent. A tout moment, dorénavant, les changements climatiques montrent sans l’ombre d’un doute que la planète est malade, qu’elle a besoin de soins immédiats et attentifs pour retrouver l’équilibre. Le temps nous est compté pour mettre fin aux ravages que subit quotidiennement la planète Terre. Chaque homme, chaque femme, chaque enfant a son rôle à jouer dans sa restauration. Oui, le temps presse. Save Our Planet (S.O.P.), sauvons notre planète ! (Source : Le Maître de B. Creme, S.O.P. Sauvons notre planète, 8 septembre 2012)
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Tendances

Dans le monde actuel s’affirme une tendance de plus en plus prononcée à la synthèse, au partage, à la coopération, à de nouvelles approches et avancées technologiques pour la sauvegarde de la planète et le bien-être de l’humanité. Cette rubrique présente des événements et courants de pensée révélateurs d’une telle évolution.

Opposition grandissante au bouclier antimissile américain [sommaire]

Un certain nombre de pays, notamment la Russie, la Chine et même certains alliés des Etats-Unis en Europe ont manifesté leur opposition au programme national de défense antimissile proposé par les Américains, en disant que ce programme serait une violation du traité antimissile balistique de 1972, et qu’il inciterait à une course mondiale aux armements.

Le président russe Vladimir Poutine et ses conseillers militaires ont exprimé une vigoureuse opposition à ce programme. Un important général russe, Leonty Ivashov, a déclaré que l’initiative américaine visait à donner aux Etats-Unis un avantage stratégique sur la Chine et la Russie qui, à son avis, mènerait à « une nouvelle course aux armements ». En alternative au plan américain, Vladimir Poutine a appelé l’Europe et les pays de l’Otan à s’allier avec la Russie pour développer une défense commune en cas d’attaque, à savoir un système antimissile mobile qui pourrait être déployé rapidement et dirigé vers un Etat menaçant. Vladimir Poutine a déclaré qu’il serait possible de faire face à la menace de missiles venant d’Etats soi-disant dangereux par des moyens de défense coopératifs et limités qui ne violeraient pas le traité antimissile balistique.

Le président chinois, Jiang Zemin, a dénoncé les plans américains de bouclier antimissile, en déclarant que ce système pourrait « saboter l’équilibre stratégique et la sécurité mondiale ».

L’Allemagne fait partie des alliés américains qui ont exprimé des réserves sur la défense antimissile et demandé à Washington de ne pas aller plus avant sans consulter les autres nations.

Le général Jean-Pierre Kelche, chef d’état-major des forces armées françaises, a déclaré : « Je ne pense pas que ce soit la bonne voie. Cette voie est ce que j’appelle la voie du pessimisme, la voie du renoncement à la non-prolifération, qui était au cœur de notre politique commune, la politique de la communauté internationale. »

Le secrétaire du Foreign Office, Robin Cook, a déclaré de son côté qu’il « n’existe aucun signe perceptible », en Grande-Bretagne, d’une menace qui justifierait une telle défense antimissile.

Aux Etats-Unis, le programme anti-missile se poursuit, mais les problèmes techniques sont nombreux. Le système de surveillance par satellite, élément clé du bouclier antimissile, ne pourra être déployé en temps voulu et coûtera plus cher que prévu. De plus, selon un rapport du gouvernement, il peut avoir des points faibles qui n’apparaîtront qu’après la mise sur orbite des satellites. Le Pentagone essaie de développer les éléments d’un tel système depuis le milieu des années 1980, mais la technologie nécessaire n’est pas encore au point.

Source : Los Angeles Times, Boston Globe, Cable News Network, E.-U

Les riches contre les réductions d’impôts [sommaire]

S’appuyant sur l’idée que la suppression progressive des impôts sur les successions et les primes, proposée par le président Bush, enrichirait les héritiers des milliardaires américains et léserait les familles qui luttent pour joindre les deux bouts, un groupe de 120 riches Américains s’est réuni pour réclamer au Congrès le maintien de l’impôt sur les successions.

Parmi ceux qui ont signé cette pétition publiée dans le New York Times et dans d’autres journaux, on trouve le financier milliardaire George Soros, le philanthrope David Rockfeller Junior, l’investisseur Warren Buffet, et William Gates Senior, éminent avocat et père du président de Microsoft. Affirmant que la suppression de l’impôt sur les successions serait mauvaise pour la démocratie, pour l’économie et la société dans son ensemble, ils souhaitent une modification de l’impôt en faveur des petites entreprises et de ceux qui héritent de petites exploitations agricoles familiales, mais ils sont contre une suppression totale.

Leur principale crainte est que la perte de revenus enregistrée par le gouvernement devra être compensée par ceux qui n’ont que de faibles ressources, sous forme de taxes additionnelles ou par des coupes budgétaires dans certains domaines, par exemple en matière de sécurité sociale et de soins médicaux. Ils craignent également que la suppression des impôts sur les successions et les primes ait un effet négatif sur les dons aux organisations caritatives.

Actuellement, chaque année, moins de 48 000 Américains payent la taxe sur les successions.

Source : New York Times, E.-U

Rapprochement entre la Chine et Taïwan [sommaire]

En janvier 2001, pour la première fois depuis la fin de la guerre civile en 1949, un bateau chinois s’est vu autorisé à se rendre officiellement à Taïwan. Le ferry-boat s’est rendu dans l’île taïwanaise de Kinmen avec environ quatre-vingt-dix passagers, âgés pour la plupart, qui espéraient retrouver des parents qu’ils n’avaient pas vus depuis un demi-siècle. Nombre d’entre eux étaient nés à Kinmen mais s’étaient trouvés bloqués en Chine après que le rideau de fer se soit refermé sur les nationalistes vaincus qui avaient fui à Taïwan.

Source : BBC-TV Ceefax E.-U

La Nasa découvre de la vie dans l’espace [sommaire]

Des chercheurs de la Nasa, s’exprimant à l’Académie nationale des Sciences des Etats-Unis, pensent que le fait d’avoir su recréer les plus basses températures de l’espace leur permet de fournir, au niveau cellulaire, la preuve que la vie peut exister dans l’ensemble de l’univers. En effet, des molécules grossières découvertes au cours de leurs expériences reproduisent la membrane extérieure à toute cellule vivante, et pourraient, selon eux, rester en sommeil dans l’espace, attendant les conditions propices à l’activation de la vie.

Source : BBC-TV Ceefax Grande-Bretagne

 

Entretien

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Environnement

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Esotérisme

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Faits et prévisions

Au fil des années, Partage international a régulièrement publié des articles soulignant les attentes de Maitreya, telles qu'elles ont été présentées par l'un de ses collaborateurs vivant à Londres au sein de la même communauté, à propos d'un certain nombre de changements politiques, sociaux, écologiques et spirituels devant se produire dans le monde. Périodiquement, Benjamin Creme et son Maître ont également partagé leur point de vue sur les développements à venir. Dans cette rubrique intitulée « Faits et Prévisions » notre rédaction analyse les nouvelles, les événements et les déclarations ayant un rapport avec ces prévisions et points de vue.

Plongeon des Bourses américaines [sommaire]

« La fin du mercantilisme est imminente. D’une manière générale, les marchés boursiers tels qu’ils fonctionnent aujourd’hui n’auront plus leur place dans la société nouvelle. » [Partage international, mai 1989]

Après l’annonce d’une chute des bénéfices accompagnée de licenciements, les valeurs technologiques américaines ont fortement souffert à la Bourse américaine. Le Nasdaq a chuté de plus de 5 % le 9 mars, et le 12 mars, après un nouveau plongeon, il terminait la journée en baisse de plus de 60 % sur son record atteint seulement un an auparavant. Intel, principal fabricant de semi-conducteurs, avait annoncé que ses ventes avaient chuté de 25 % au cours du dernier trimestre et qu’il allait supprimer 5 000 emplois. De son côté, la société d’informatique Cisco Systems avait déclaré que la chute de l’économie américaine, et en particulier celle de la vente d’ordinateurs, l’avait obligée à supprimer 8 000 emplois. Ces licenciements, et ceux effectués dans d’autres sociétés, sont pour certains économistes le signal que la baisse enregistrée par l’économie américaine pourrait empirer.

Le Dow Jones et l’indice Standard & Poor étaient également en forte baisse le 12 mars, les autres places boursières mondiales faisant de même, le Nikkei ayant touché son niveau le plus bas depuis 16 ans.

Source : San Francisco Chronicle, Etats-Unis

Les finances japonaises au bord de l’effondrement [sommaire]

« Comme nous l’avons déjà annoncé dans notre numéro de décembre 1988, un krach boursier mondial prendra naissance au Japon. Maitreya réaffirme que ce krach boursier est inévitable. La fin est en vue. Les marchés boursiers ressemblent à des maisons de jeu où chacun devient dépendant de cette drogue qui consiste à faire de plus en plus d’argent. Les opérateurs en arrivent à dissimuler leur richesse et à créer une atmosphère de criminalité. La situation ressemble à une bulle de savon sur le point d’éclater. »

Les finances japonaises sont « au bord de l’effondrement », selon le ministre des Finances Kichi Miyazawa. Ce dernier met en cause la dette publique qui ne cesse de croître, et qui s’élève à 130 % du produit intérieur brut du pays, le taux le plus élevé dans les démocraties industrielles avancées.

Selon les analystes, cet aveu public de K. Miyazawa montre bien que le gouvernement n’est plus en mesure de s’appauvrir davantage pour éviter une crise économique. Au cours des dernières années, l’Etat a consacré une grande partie de l’argent des contribuables au financement de divers projets, notamment à la construction de routes, de ponts, ou de barrages. Mais les dépenses engagées n’ont guère profité à l’économie. Les experts espéraient que le Japon avait entamé une reprise économique à la fin de l’année 2000, mais la plupart d’entre eux reconnaissent maintenant que l’économie japonaise se contracte à nouveau.

Au début du mois de mars, l’indice Nikkei a chuté jusqu’à son plus bas niveau depuis seize ans. La chute des valeurs boursières est de plus en plus difficile à supporter pour les banques nationales, qui détiennent d’énormes portefeuilles d’actions. Avec un actif de moindre valeur, de nombreuses banques ne sont plus en mesure de passer des provisions pour leurs créances douteuses qui ne cessent de croître. Les faillites et les défauts de paiement augmentent tandis que la faiblesse de l’économie japonaise fait de nombreuses victimes.

On craint également qu’une chute continue des valeurs boursières n’entraîne tout le système financier du pays dans une spirale descendante qui forcerait les banques à vendre leurs portefeuilles pour respecter les ratios de solvabilité et continuer à verser leurs dividendes, ce qui ferait chuter encore davantage la valeur des actions et exercerait une pression supplémentaire sur le marché.

La faiblesse du marché boursier japonais « pèse lourdement dans le bilan des banques » affirme James Fiorillo, analyste financier à l’ING Barings de Tokyo. Il estime qu’il y a « 75 % de chances » que le Japon soit obligé de prendre cette année de nouvelles mesures de soutien en faveur des banques, des mesures similaires au pactole de 70 milliards de dollars qui avait servi à renflouer les banques japonaises en difficulté en 1998. Mais un haut responsable de l’organe de régulation bancaire a déclaré que le gouvernement n’utiliserait plus les fonds publics pour venir en aide aux organismes de crédit en difficulté.

Pendant la crise financière du Japon en 1998, le président de la réserve fédérale américaine, Alan Greenspan, avait affirmé que les difficultés bancaires au Japon pourraient entraîner un processus de « pertes en cascade » susceptible de toucher les banques américaines et européennes. Depuis, les banques japonaises ont sérieusement réduit leurs prêts à l’étranger, mais elles détiennent des centaines de milliards de dollars d’avoirs à l’étranger, notamment sous forme d’obligations et de bons du Trésor.

On ne peut guère espérer que le gouvernement actuel sera capable de gérer cette crise financière imminente. « Je pense qu’il existe un risque élevé pour que quelque chose de vraiment inquiétant se produise ici cette année, avertit Robert Alan Feldman, économiste de Morgan Stanley Dean Witter. Et ce qui est réellement préoccupant, c’est qu’il n’est pas évident que ce gouvernement soit capable d’apporter une réponse. » Tadashi Nakamae, analyste économique indépendant, déclare de son côté : « Le scénario d’un krach au Japon est maintenant presque certain. Le système financier actuel ne peut résister bien longtemps. »

Source : Washington Post ; Wall Street Journal ; Cable News Network, Etats-Unis ; BBC News Online, G-B

 

Fenêtre sur le monde

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La voix de la raison

« Hormis la guerre, rien ne compromet aussi gravement l’avenir de l’humanité que la pollution. Constatant qu’il en est ainsi, certains pays ont pris des mesures pour la réduire et pour limiter le réchauffement climatique. D’autres, parfois parmi les plus gros pollueurs, nient la réalité d’un tel réchauffement en dépit des preuves qui s’accumulent. A tout moment, dorénavant, les changements climatiques montrent sans l’ombre d’un doute que la planète est malade, qu’elle a besoin de soins immédiats et attentifs pour retrouver l’équilibre. Le temps nous est compté pour mettre fin aux ravages que subit quotidiennement la planète Terre. Chaque homme, chaque femme, chaque enfant a son rôle à jouer dans sa restauration. Oui, le temps presse. Save Our Planet (S.O.P.), sauvons notre planète ! » Source : Le Maître de B. Creme, S.O.P. Sauvons notre planète, 8 septembre 2012
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La voix des peuples

Cette rubrique est consacrée à une force en plein développement dans le monde. La voix du peuple ne cessera de s’amplifier jusqu’à ce que, guidés par la sagesse de Maitreya, les peuples conduisent leurs gouvernements à créer une société juste dans laquelle seront respectés les droits et les besoins de tous.
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Le point de vue de Maitreya

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Le respect de la loi

« Chaque fois qu’il y a affaiblissement de la loi… et accroissement général du désordre, alors je me manifeste. » (Bhagavad Gita). La promesse de Krishna, l’Avatar, semble particulièrement d’actualité. C’est pour tenir cette promesse que Maitreya, l’Avatar de notre ère, est présent dans le monde à une époque où l’anarchie est si répandue. « Lorsqu’une nation parvient à l’âge adulte, à la maturité, les relations qu’elle établit avec les autres changent du tout au tout. Elle commence à respecter l’autorité de la loi qui unit toutes les nations, les liant dans leurs responsabilités et leurs besoins mutuels. Le développement vers la maturité se signale précisément par un tel respect des lois que les hommes ont estimées nécessaires pour vivre ensemble en paix… Lorsque, parmi les nations, l’on ignore l’autorité de la loi, c’est le monde entier qui en souffre. » (Le Maître — PI, avril 2004) Actuellement, les traités et les résolutions de l’Onu sont méprisés, et les lois nationales et internationales sont bafouées. Dans ce contexte, nous présentons des brèves mettant en exergue la nécessité d’un respect renouvelé de la loi.
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Les enseignements de Maitreya

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Les mensonges dévoilés

Le 15 février 2003, à Londres, Maitreya a été filmé sous les traits d’un Antillais, lors de la marche pour la paix (voir PI, avril 2003). « Je suis fier aujourd’hui d’entendre mes frères et mes sœurs dire la vérité et dénoncer les mensonges. C’est tellement magnifique ! » a-t-il déclaré. Depuis, les mensonges sont de plus en plus dénoncés.
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Les priorités de Maitreya

« Pour aider les hommes dans leur tâche, Maitreya, l’Instructeur mondial, a formulé certaines priorités. Assurer à tous un approvisionnement correct en nourriture ; procurer à tous un logement convenable ; fournir à tous soins médicaux et éducation, désormais reconnus comme un droit universel. » Le Maître de Benjamin Creme, Partage international, janvier 1989. Dans cette rubrique, notre rédaction aborde les questions relatives aux priorités énoncées par Maitreya et présente des expériences orientées dans cette direction.

Le réchauffement planétaire menace la faune et la flore [sommaire]

Selon un nouveau rapport établi par le World Wildlife Fund (WWF) et la Fondation David Suzuki du Canada, le réchauffement planétaire pourrait altérer fondamentalement un tiers des habitats de la faune et de la flore d’ici la fin de ce siècle, et provoquer l’extinction de certaines espèces végétales et animales.

Ce rapport estime que dans les latitudes septentrionales du Canada, de la Russie et de la Scandinavie, où il est prévu que le réchauffement soit le plus rapide, près de 70 % de l’habitat pourrait être perdu. La Russie, le Canada, la Norvège, la Suède, la Finlande, la Lettonie, l’Uruguay, le Bhoutan et la Mongolie risquent de perdre 45 % ou plus de leur habitat, tandis que de nombreuses espèces côtières et insulaires devront faire face à la menace combinée du réchauffement des océans, de l’augmentation du niveau de la mer et des glissements de terrains.

« A mesure que le réchauffement planétaire ira en s’accélérant, la faune et la flore seront poussées à la migration dans l’espoir de trouver un nouvel habitat. Certaines espèces ne pourront tout simplement pas se déplacer assez rapidement, a déclaré Adam Markham, coauteur du rapport et directeur de l’association américaine Clean Air-Cool Planet. En certains endroits, les plantes devront, pour survivre, migrer dix fois plus vite qu’elles ne l’ont fait au cours de la dernière ère glaciaire. Il est probable que le réchauffement planétaire impliquera l’extinction de certaines espèces végétales et animales. »

« Ceci est un cri d’alarme lancé aux dirigeants mondiaux. S’ils ne se mettent pas à l’œuvre pour endiguer ce réchauffement planétaire, la vie sauvage tout autour du globe risque d’en subir les conséquences. Les dirigeants mondiaux doivent accorder la priorité à la réduction des niveaux de pollution par le carbone. »

Source : World Wildlife Fund

Prévenir la malnutrition [sommaire]

Dans les pays en voie de développement, près d’un nouveau-né sur quatre (soit 30 millions d’enfants) souffre chaque année d’un déficit de croissance en milieu intra-utérin entraînant une perte irréversible de ses capacités, qu’il serait tout à fait possible d’éviter. La récente publication du rapport de la Commission sur les défis nutritionnels du XXIe siècle, Mettre un terme à la malnutrition d’ici 2020 : objectifs pour un changement au cours de ce nouveau millénaire, établit qu’au rythme actuel, environ un milliard d’enfants chétifs auront grandi d’ici cette date en présentant une altération de leur développement mental.

Ce rapport propose des initiatives d’envergure, visant à accélérer l’aide afin d’éradiquer la malnutrition chez les enfants d’âge préscolaire, d’ici les vingt prochaines années.

D’après le Pr Philip James, président de la Commission : « La malnutrition peut être vaincue. Une action d’urgence est nécessaire si l’on veut sauver ces enfants de ce fléau qui les menace. » Selon la Commission, c’est un fait avéré qu’une sous alimentation précoce est lourde de conséquences : ces enfants, lorsqu’ils survivent, présentent au cours de leur vie une tendance à l’obésité qui pourra favoriser, chez des millions d’entre eux, le développement du diabète, d’affections cardiaques et de cancers. Le Pr James ajoute que l’héritage irréversible de ces enfants est à la mesure de l’hégémonie du mode de vie occidental et de ses formes de consommation dans les pays en développement.

La Commission, mise en place en 1997 par les Nations unies, recommande que l’ONU joue un rôle clé dans la création de conseils sur la nutrition nationale, dans le monde entier, qui soient les fers de lance de programmes pour le développement de politiques alimentaire et sanitaire et favorise la coopération entre les diverses agences de l’ONU concernées. Elle encourage, en outre, les gouvernements occidentaux, à adopter comme axe de travail prioritaire de leur programme d’aide la suppression de la malnutrition en vue d’éradiquer la pauvreté. Le Pr James conclut par un signal d’alarme : « Les meilleurs pronostics sont pessimistes, si l’on s’en tient à une approche classique du problème. Nous demandons que l’on s’y attaque avec une plus grande détermination, afin de permettre à l’ONU de travailler de manière cohérente au niveau des nations. »

Pour le Pr Richard Jolly, conseiller de l’administrateur du Programme des Nations unies pour le développement (Pnud), « ce rapport montre qu’en dépit des progrès réalisés dans certaines régions du globe et dans certains rayons d’action, la diminution de la malnutrition suit un rythme trop lent pour que soient atteints les objectifs prévus pour cette décennie. Le défi contenu dans ce message de la Commission va de paire avec un calendrier rempli d’espoir. L’élaboration d’actions basées sur des initiatives novatrices peut mettre un terme à cette endémie. Le rapport montre où et comment les Etats et les agences internationales peuvent commencer le travail. »

Source : Pnud, Etats-Unis

La Grande-Bretagne nécessiteuse [sommaire]

– Le nombre des enfants vivant de l’assistance publique a triplé depuis 1979.

– Un quart de la population vit avec un revenu inférieur au seuil de pauvreté.

– Un tiers de tous les enfants, soit 4,5 millions, vit dans la pauvreté.

– Un cinquième des enfants vit au sein des familles où personne ne travaille – deux fois plus qu’en 1979.

Source : Le premier audit officiel sur la pauvreté, Opportunity for All, Tackling Poverty ans Social Exclusion, cité dans The Independent, Grande-Bretagne

 

L’humanité une

Lorsque l’homme acceptera vraiment le fait que l’humanité est une et que les hommes, entre eux, sont frères, quand il traduira ces vérités en actes, toutes choses pourront en toute sécurité lui appartenir. Son héritage l’attend. Ainsi les hommes devront-ils apporter la preuve qu’ils sont prêts pour la paix, prêts à pénétrer ensemble dans l’avenir, sans effusion de sang ni compétition. Ils devront se réjouir de partager et de travailler en harmonie pour le bien de tous. Quand les hommes, d’eux-mêmes, seront dans ces dispositions, ils en appelleront à Maitreya (quel que soit le nom sous lequel ils le connaîtront) pour leur montrer le chemin, les faire sortir du chaos, et les conduire vers une ère de paix. (L’héritage de l’homme, par le Maître de Benjamin Creme).
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L’Unité dans la diversité

« Le but de notre vie, que nous en ayons pris conscience ou non, est l’instauration de l’unité, la manifestation de l’unité qui existe déjà. Chaque atome de l’univers est relié à tous les autres atomes. » Benjamin Creme, L’Unité dans la diversité.
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Regard sur le monde

Dans cette rubrique, Partage international met en lumière certains problèmes urgents qui nécessitent une nouvelle approche et des solutions durables.
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Autres

L’enseignement des valeurs humaines selon Saï Baba [sommaire]

par Richard J. Wallis,

Il y a treize ans, la route de Richard Wallis le conduisit jusqu’au village reculé du sud de l’Inde qui est le lieu de naissance de l’instructeur spirituel Sri Sathya Saï Baba et le centre d’une révolution spirituelle qui se répand à travers le monde et à laquelle il est parfois fait référence sous le nom de « Mouvement Saï ».

Ce qui impressionna le plus Richard, parmi toutes les merveilles qu’il vit à Prasanthi Nilayam (Andra Pradesh), ce sont les étudiants des écoles, collèges et universités. De toutes les activités de service accomplies par les centres Saï à travers le monde, c’est le programme éducatif qui, à son avis, a le plus d’impact et c’est dans ce domaine que lui-même s’est montré le plus actif. Il est maintenant directeur de l’Institut Sathya Saï de Nouvelle-Zélande, qui propose aux Néo-Zélandais le programme du SSEHV (Satyia Sai Education in Human Values).

Sathya Saï Baba accorde une grande importance à l’éducation des jeunes. Il a établi un système d’éducation modèle dans lequel les études sont gratuites et l’admission ouverte à tous, sans considération de race, de religion, ou de position sociale. Les écoles fonctionnent grâce à des dons.

Sathya Saï Baba déclare : « L’éducation est pour la vie, pas seulement pour gagner sa vie. » Il dit également : « Le but de l’éducation est la formation du caractère. Le but de la connaissance est l’amour. »

Les objectifs

Le but des écoles Saï Baba est de développer la perfection humaine par la compréhension et la pratique des valeurs humaines. Ce programme est unique car il ne favorise aucune religion particulière. Il prône des valeurs reconnues de tout temps et incarnées dans toutes les religions. Ces valeurs sont le ciment qui assure la cohésion des familles, des communautés et des nations.

Saï Baba a défini cinq valeurs humaines qui sont universelles et qui sont liées à cinq aspects de l’être humain. Ces valeurs sont : une conduite juste, la paix, la vérité, l’amour et la non-violence.

Les aspects auxquels elles correspondent sont le corps, le mental, l’intellect, l’énergie et l’esprit.

Une conduite juste 

Une conduite juste valorise le corps. Elle nous guide dans le soin apporté à notre propre corps, dans notre manière d’agir à l’égard des autres et à l’égard de la planète que nous partageons tous. Elle nous aide à reconnaître qu’en tant que membres d’une même société nous sommes interdépendants. Pour que la société puisse fonctionner de manière harmonieuse nous devons être capables de nous faire confiance et de prendre soin les uns des autres. « Toujours aider, ne jamais blesser » et « faire aux autres ce que vous voudriez qu’ils vous fassent » résument le principe de conduite juste.

La paix 

Le mental peut se comparer à un lac. Lorsqu’il est tranquille, il reflète la beauté environnante. Lorsqu’il est agité, rien ne peut être distingué de manière claire. La paix valorise le mental. Lorsque le mental est en paix les choses sont vues clairement. La paix individuelle conduit à la paix familiale. La paix familiale conduit à la paix nationale. La paix nationale conduit à la paix mondiale.

 La vérité 

Le mental nous apporte en permanence des impressions et des idées. Certaines de ces idées sont utiles, d’autres ne le sont pas. L’intellect nous aide à faire preuve de discernement, à utiliser les idées utiles et à rejeter les autres. La vérité valorise l’intellect. Elle aiguise notre discernement et guide nos vies de manière positive et utile.

L’amour 

Nous dégageons tous de l’énergie. Toutes nos actions sont des manifestations d’énergie. L’amour valorise cette énergie. En fait l’amour lui-même s’est révélé être une énergie très positive, source de santé et de bien-être pour nous-mêmes comme pour notre entourage.  

La non-violence

Nous avons en nous un aspect spirituel, c’est en fait l’essence même de notre être. La non-violence valorise l’esprit en nous. La non-violence dans la pensée, la parole et l’action se manifeste tout naturellement lorsque nous prenons conscience de l’unité au sein de la diversité qui nous entoure.

Chacune de ces valeurs donne naissance à un grand nombre de sous-valeurs. Celles-ci incluent tout ce qui embellit et ennoblit la vie humaine.

 La nécessité des valeurs humaines

La nécessité des valeurs humaines est maintenant ressentie dans le monde entier. L’humanité a fait des pas de géant dans les réalisations matérielles et scientifiques. Malheureusement, ces mêmes avancées ne se sont pas reflétées dans la compréhension de ce qui constitue un être humain et dans les valeurs qui inspirent généralement la conduite des hommes.

En tant qu’êtres humains nous pouvons évoluer jusqu’aux « sommets ensoleillés de l’existence humaine. » Si nous suivons le sentier des vraies valeurs, nos sociétés deviendront des lieux de beauté, d’attention et de paix. Si, au contraire, nous succombons aux forces négatives de la haine, de la cupidité, de la colère, de la jalousie, du désir et de l’orgueil égoïstes, nous créerons des sociétés qui reviendront à la loi de la jungle et où régneront l’insécurité et la méfiance.

Une société juste est composée d’individus vivant, travaillant et se divertissant ensemble de manière harmonieuse. Ceci est beaucoup plus facile et réussit mieux lorsque nos relations les uns avec les autres ont lieu dans un cadre de valeurs clairement comprises et mises en pratique.

La compréhension et la mise en pratique des valeurs humaines ouvrent la possibilité d’améliorer la santé de la nation sur le plan physique, social et financier, car elles s’appuient sur ce qui fait le fondement même d’un véritable être humain. Lorsque ces valeurs sont ignorées, l’humanité souffre, lorsqu’elles sont mises en pratique, l’humanité prospère.

Un programme international

Les communications et les moyens de transports modernes ont rendu les autres pays et les différentes cultures facilement accessibles. De nombreux individus dans le monde s’installent et gagnent leur vie loin de leur lieu de naissance. Ces changements font naître la nécessité d’un ensemble de valeurs globalement acceptées, répondant aux besoins de nations et de cultures différentes tout en étant adaptées au contexte mondial. Le Sathya Sai Education in Human Values (SSEHV) satisfait à ce besoin transculturel. Il mène à la reconnaissance de ces valeurs humaines universelles chez l’enfant, et au développement du caractère et de la confiance en soi. C’est un programme qui permet de surmonter les différences culturelles et stimule la joie de trouver l’unité dans la diversité.

Le programme des écoles Sathya Saï, d’abord expérimenté en Inde, se répand rapidement dans d’autres pays. On y trouve des écoles Saï où tous les enseignements sont basés sur ces valeurs humaines et les résultats obtenus sont significatifs à l’échelon national.

– En Inde, les écoles et les universités Saï sont devenues un modèle reconnu et soutenu au plus haut niveau. En septembre 2000, une rencontre internationale patronnée à la fois par l’Unesco et par l’Institut international d’éducation Sathya Saï a attiré des éducateurs éminents du monde entier.

– En Thaïlande (base de l’Institut international), l’école Saï a eu un tel impact que le gouvernement thaï a établi une législation visant à ce que toute l’éducation soit basée sur les valeurs humaines.

– En Zambie, l’école Saï a accepté les élèves ayant échoué à l’examen de passage permettant d’accéder à l’enseignement secondaire. En l’espace d’un an, ces mêmes élèves ont réussi l’examen de passage à 95 % avec des résultats excellents. Ceci s’est poursuivi les deux années suivantes avec un taux de réussite atteignant les cent pour cent et la presse a qualifié l’école Saï d’école miracle. Il existe maintenant trois écoles Saï en Zambie. [Voir l’article  : « Le Système Saï d’éducation dans la pratique. »]

– Des écoles ont également été établies au Népal (2), en Afrique du Sud (3), au Brésil, en Indonésie, à Fitji, en Mauritanie, et en Australie (2). Des instituts sont actuellement fondés dans différents pays de par le monde. En Nouvelle-Zélande, des recherches sont en cours afin de trouver un terrain pour construire la première école Sathya Saï.

Inspirés par les résultats extrêmement positifs obtenus par les écoles Saï déjà établies à l’étranger, des instituts d’éducation Saï Baba sont en voie de suivre ces exemples dans de nombreux pays. Le succès de ces écoles à l’étranger repose largement sur le principe que « les valeurs sont adoptées, et non pas enseignées ». Si un professeur parle de valeurs qu’il ne met pas lui-même en pratique, les étudiants reçoivent un message ambigu et le bénéfice du programme est annulé.

En accord avec les directives de Saï Baba, l’éducation dispensée dans les instituts est gratuite ou d’un coût très modique. A l’étranger, cette éducation est souvent destinée aux enfants en difficulté.

Le succès des écoles à l’étranger repose dans une large mesure sur le dévouement et l’engagement des professeurs. On a dit qu’il existait trois types d’enseignants : ceux qui se plaignent, ceux qui expliquent et ceux qui inspirent. Les écoles Saï s’efforcent d’employer, d’encourager et de soutenir « ceux qui inspirent ».

[Institute of Sathya Sai Education, PO Box 28172, Remuera, Auckland, New Zealand.]

Saï Baba est un grand avatar cosmique qui vit en Inde, mais dont l’influence se fait sentir dans le monde entier. Son travail englobe un immense éventail d’activités, tant sur le plan extérieur que sur le plan subjectif ; les premières étonnent par leur variété, leur envergure et leur efficacité alors que les dernières se laissent seulement deviner. On peut cependant dire à coup sûr que nourrir et guider sur le plan spirituel des centaines de milliers de fidèles est une de ses tâches incessantes.

Son incarnation actuelle est la deuxième de trois incarnations. Dans sa première incarnation il fut Saï Baba de Shirdi, un grand instructeur spirituel, qui mit l’accent sur la nécessité d’une attitude non dogmatique, non sectaire et tolérante à l’égard des autres religions. En tant que Saï Baba de Shirdi, il rapprocha les musulmans et les hindous. Dans son incarnation actuelle, en tant que Sri Sathya Saï Baba, sa vie extraordinaire, entièrement consacrée au service, a inspiré de nombreux ouvrages à ses fidèles. Sous son influence, son ashram s’est étendu et a fait construire des écoles, une université et un hôpital ultramoderne où chacun peut venir se faire soigner gratuitement. Vêtements et nourriture sont à la disposition de tous, quelque soit leur caste ou leurs opinions religieuses. Un travail similaire est accompli dans d’autres parties du monde sous son inspiration et avec sa bénédiction.

L’éducation pour un monde nouveau

« Le choix auquel se trouve confrontée l’humanité aujourd’hui est celui-ci : un monde nouveau ou pas de monde du tout. Le nouveau monde n’est pas un monde sans souffrance, mais un monde où l’homme n’infligera pas de souffrance à ses semblables. Ce n’est pas un monde sans obscurité, mais un monde dans lequel l’homme a la conviction de pouvoir vaincre l’obscurité. Ce n’est pas un monde où la mort n’existe pas, mais un monde où l’homme sait que la vie existe au-delà de la mort. Le nouveau monde n’est pas un monde qui regarde vers le ciel, attendant sa rédemption de Dieu, mais un monde où les hommes s’unissent à Dieu afin de faire descendre le paradis sur la Terre. Dans ce paradis sur la Terre, il ne sera plus toléré que quiconque meure de faim ou soit privé de vêtements ou de logis ; personne ne sera privé de médicaments ni de soins. Aucun enfant ne se verra refuser l’opportunité d’une éducation correcte. C’est la vision et le rêve d’un âge d’or qui s’annonce. »

[Citation extraite de l’introduction d’un article de B. N. Narasimha Murthy sur les écoles et les collèges de Saï Baba, dans l’édition spéciale de Sanathana Sarathi à l’occasion du soixante-quatorzième anniversaire de Saï Baba.]

Message de Saï Baba aux enseignants

Chers professeurs,

L’enseignement est la plus noble des professions. C’est le plus grand service et, en même temps, le meilleur moyen de développement personnel, car il implique de cultiver l’amour désintéressé. L’enseignant fait de la génération montante des individus sûrs d’eux, autonomes et conscients. Il est l’artisan des foyers heureux, des communautés prospères et des nations pacifiques. L’enseignant, ou l’enseignante, doit non seulement acquérir les connaissances et les compétences nécessaires pour instruire ses élèves, mais également la vision et l’intuition qui lui permettra de les inspirer et de les transformer.

Les enfants adoptent les habitudes et les manières, la conduite et les croyances des professeurs et des adultes. Le professeur doit donc être constamment un exemple de l’idéal qui doit être implanté dans leurs cœurs, un modèle d’humilité, de simplicité, de moralité et d’intégrité. Un tel professeur peut être un phare de vérité, d’amour, et de vénération. Les enfants qui grandissent sous son influence brilleront comme des lampes d’amour dans leurs foyers, irradiant le courage, la joie et l’espoir. Que les phares ne s’éteignent jamais. Que les lampes ne cessent de briller.

Avec ma bénédiction,

Sathya Saï Baba.

Source : Sanathana Sarathi, Prasanthi Nilayam, Inde

Le système d’éducation Saï dans la pratique [sommaire]

par Richard J. Wallis,

Sept ans après sa création, l’école Sathya Saï de Ndola, en Zambie, a décidé de demander au docteur P.C. Manchishi, de l’Université de Zambie, d’évaluer l’impact du programme éducatif SSEHV. En se basant sur les registres de l’école et des administrations locales et régionales, sur ses entretiens avec les professeurs, les élèves et leurs parents, en assistant aux cours et en étudiant les statistiques, le docteur Manchishi est arrivé à la conclusion que le SSEHV avait un impact très positif sur la communauté et devait « être proposé aux jeunes qui sont les futurs leaders du monde », se faisant ainsi l’écho de l’opinion générale de ceux qu’il a interviewés et qui pensent que le système d’éducation Saï devrait s’étendre aux autres écoles du pays.

L’école Sathya Saï de Ndola, une école hautement qualifiée, allant de l’enseignement primaire à l’enseignement secondaire, fut la première de ce type en Afrique et elle recrute actuellement des élèves de première année venant des banlieues environnantes et des élèves plus âgés ayant échoué dans d’autres écoles. La plupart de ces derniers étaient de petites brutes rebelles et entêtées, des petits voleurs qui manquaient de respect pour les adultes et les professeurs. Aujourd’hui, le docteur Manchishi a pu constater que ces élèves étaient devenus disciplinés, qu’ils avaient appris le respect des autres et étaient souvent volontaires pour accomplir divers services au sein de l’établissement.

Se basant sur ses rencontres avec les parents et les enseignants, le docteur Manchishi est convaincu que l’intégration des cinq valeurs humaines dans le programme scolaire : une conduite juste, la paix, la vérité, l’amour et la non-violence, a eu des effets bénéfiques pour les élèves sur le plan spirituel et moral. Ceci, dit-il, a contribué à la discipline et aux succès académiques de l’école. En tant qu’institution non confessionnelle, l’école Sathya Saï encourage les élèves à suivre assidûment leur propre religion et à respecter celle des autres, faisant un lien entre ses trois objectifs : l’excellence des résultats scolaires, l’excellence du caractère et l’excellence spirituelle.

Il a pu constater par lui-même la bonne conduite des élèves pendant la durée de son enquête, et le changement de leur caractère lui a été confirmé par les professeurs, les parents et les élèves eux-mêmes. L’un des parents a décrit le changement d’attitude de son fils à l’égard du travail, des professeurs, des parents et des amis grâce au programme SSEHV. Alors qu’à l’école primaire, celui-ci arrivait en retard, ne faisait pas son travail et passait tout son temps à jouer, depuis qu’il suit les cours de l’école Sathya Saï, il a totalement changé. Le développement du caractère des enfants a même un impact sur la situation familiale. On a par exemple constaté le cas d’un parent qui a cessé de boire grâce aux enseignements de l’école Sathya Saï que son enfant rapportait à la maison.

Le système Saï d’éducation a également un effet bénéfique sur les enseignants. Ceux de l’école Sathya Saï de Ndola ont été formés dans les institutions gouvernementales et ils viennent d’écoles publiques où l’indiscipline était permanente. Aujourd’hui, l’étude a montré que ces professeurs étaient devenus plus dévoués à leur tâche, plus consciencieux et qu’ils avaient « développé une compréhension plus large et plus profonde de l’éducation, et que leur compétence professorale s’était enrichie.

Affirmant en conclusion « qu’un changement s’est réellement produit », le docteur Manchishi recommande ce programme qui « reconstruira la nation grâce à l’éducation, qui est la banque dont la nation tire ses ressources. Il est donc approprié que le SSEHV soit offert aux jeunes qui sont les futurs dirigeants du monde. »

Saï Baba et Maitreya

Benjamin Creme explique : « Saï Baba et Maitreya incarnent tous deux l’énergie d’amour, le principe christique. Nous avons deux Christs dans le monde, un Christ planétaire, Maitreya, et un Christ cosmique, Saï Baba. Saï Baba incarne le principe christique au niveau cosmique ; c’est un avatar cosmique, il vient de loin, d’au-delà de l’évolution humaine. Maitreya est un avatar planétaire venant de l’évolution humaine et il incarne le principe christique au niveau planétaire. Ces deux grands avatars travaillent ensemble en permanence. »

« Aussi limité que puisse être notre service, si nous l’accomplissons dans un esprit juste, sans arrière-pensée pour nous-même, notre tâche sera louable et en vaudra la peine. En soi, un acte de service peut n’être que peu de chose, mais il doit être accompli avec cœur. Tout service rendu le cœur pur se révélera grandement bénéfique. N’ayez aucune pensée de retour en rendant service. « C’est mon devoir. Je suis né pour servir », devrait exprimer votre attitude dans le service. »

Sri Sathya Saï Baba

Source : Sanathana Sarathi, Prasanthi Nilayam, Inde

La souveraineté n’est pas un bouclier [sommaire]

La vision morale du monde de Kofi Annan

« Réunis les cinq vertus et tu es un homme. » C’est en partant de cette maxime de la tribu Fanti du Ghana que le magazine Time a récemment dressé le portrait de Kofi Annan et présenté sa vision morale du monde. Ces cinq vertus sont : enyimnyam (la dignité), awerehyemu (la confiance), akokodur (le courage), ehumbobor (la compassion) et gyedzi (la foi).

La dignité

Lors du sommet du Millénaire de l’ONU, Kofi Annan a exhorté les 159 leaders de la communauté mondiale à intervenir partout où la haine, la maladie et la pauvreté mettent en danger des vies humaines. Il avait pour objectif de leur faire prendre conscience qu’ils ne sont pas seulement responsables de leurs propres citoyens, mais également de la santé de l’humanité toute entière. Sa pensée – la « doctrine Kofi » – peut se condenser en une idée simple : la souveraineté n’est pas un bouclier. Dans un monde où la communication se joue des frontières et où les voyages internationaux deviennent de plus en plus faciles, les Etats ne peuvent plus se comporter à leur guise derrière leurs frontières.
Kofi Annan ne propose rien moins qu’un monde peuplé d’hommes rendus à leur dignité, « où les riches auraient assez de dignité pour se sentir concernés par les millions d’Africains qui mourront du sida dans les vingt prochaines années. »

La confiance

Né dans une famille noble de la tribu Fanti, Kofi Annan, après avoir été formé aux Etats-Unis et en Europe, a intégré l’ONU comme diplomate avant d’être finalement nommé secrétaire général en 1997. Ainsi que l’écrit le journaliste du Time, « son arrivée aux Etats-Unis et son entrée à l’université Macalester de Saint Paul (Minnesota), étaient un signe que le monde se rapetissait… que la communauté mondiale se resserrait. Il s’y sentit immédiatement à l’aise… Tous, sur le campus, savait qui il était. Non pas seulement parce que c’était un Noir élégant arrivé dans un Midwest presque exclusivement blanc. Mais en raison de la complète assurance qui émanait de lui.» Dans les conversations qu’il tenait dans une vieille voiture avec ses amis, durant les longues soirées d’hiver, il défendait inlassablement, autant avec sa raison qu’avec son cœur, et avec une ardeur communicative, l’idée de communauté mondiale.

Le courage

L’ONU a récemment publié un rapport reflétant l’objectif que s’est fixé Kofi Annan : doter l’Organisation d’une structure stable et efficace pour assurer sa mission de maintien de la paix. Une structure disposant de bataillons de soldats puisés dans les différentes armées du monde et qui seraient prêts à intervenir dès qu’apparaissent les premiers signes de tensions et de conflits sur la planète. De plus en plus, ces conflits n’opposent pas tant des Etats entre eux que des Etats contre des fanatiques. « Nous avons affaire à des fous ignorants et irresponsables. Si nous ne sommes pas prêts à opposer la force à la force, nous ne pouvons pas faire grand-chose. Le problème, c’est qu’il y a des pays, comme les Etats-Unis, qui n’acceptent de subir aucune perte. » Cet état d’esprit ne pourra être dépassé, pense-t-il, que si l’on parvient à dégager un leadership fort et que si l’on prend conscience qu’avoir été témoin d’un crime donne l’obligation de tout faire pour l’empêcher de se reproduire.

La compassion

Le Time rapporte comment, lors d’une visite effectuée au Timor Oriental en 1999, un homme s’est rué vers Kofi Annan avant d’éclater en sanglots et de lui raconter tout ce qui se passait. En dépit d’un programme surchargé et du retard qu’il avait déjà accumulé, K. Annan est resté avec lui plus d’une heure. Il n’a cependant pas l’intention de faire de cette compassion un principe de la politique internationale, ce que certains trouveraient catastrophique. Mais il croit fermement que le monde a besoin de voir s’instaurer un climat où la sauvagerie serait l’exception, et non plus la règle. Et il pense aussi que l’on devrait ajouter à la force d’autres armes, comme les sanctions, pour mettre un frein aux massacres, et qu’il faut donner aux nations piégées dans une spirale de violence les moyens qui leur permettront de rejoindre la communauté mondiale.

La foi

« Le travail de Kofi Annan nécessite plus qu’une vision morale, qu’un sens du bien et du mal, écrit le Time, il requiert la foi. » K. Annan dit parfois : « Lorsque je prie, il m’arrive de poser des questions […] : Comment les hommes peuvent-ils être si cruels ? Que peut-on faire ? [….] Mais peut-être qu’une fois mis en face d’une situation, on trouve quelque chose en soi. L’homme ignore ce dont il est capable tant que cela ne lui a pas été demandé. »

Les riches en passe de gagner le bras de fer [sommaire]

Deux milliards de personnes, soit un tiers de la population mondiale, vivent dans une pauvreté extrême, à mesure que le fossé s’agrandit entre les pays riches et les pays pauvres. C’est ce que déclare le dernier rapport du Fonds des Nations unies pour la population. Ce rapport fait état d’une croissance démographique mondiale de 75 millions par an, et indique 20 millions de décès consécutifs au sida depuis 1980, avec 35 millions de personnes atteintes par cette maladie.

Entre temps, une récente étude britannique, effectuée par la Fondation Joseph Rowntree, montre qu’il existe plus de personnes vivant dans la pauvreté en Grande-Bretagne qu’à aucun autre moment depuis vingt ans. Près de 15 millions de Britanniques ne peuvent pas s’offrir trois repas par jour et doivent subsister avec un habillement et un chauffage insuffisants.

Selon le rapport du Fonds des Nations unies pour la population, alors que la plupart des Britanniques vivent mieux, le taux des démunis a augmenté, passant de 14 % en 1983 à 24 % à l’heure actuelle, avec deux millions d’enfants privés d’une alimentation correcte, de jouets et d’activités extra-scolaires. Le rapport presse le gouvernement d’augmenter les aides sociales.

Source : Ceefax ; BBC-tv, Grande-Bretagne

La mondialisation, les droits de l’homme, le capital et le commerce [sommaire]

Rapport mondial sur le développement humain

Le processus de mondialisation vaut autant pour les droits de l’homme que pour le capital et le commerce, selon un nouveau rapport commandé par le Pnud (Programme des Nations unies pour le développement) : « Notre vision de la communauté humaine, est-il écrit, doit s’étendre au-delà des frontières des Etats-nations et nous faire apporter, en matière de droits de l’homme, une vigilance et une exigence égales pour tous les pays. »

Les problèmes mondiaux demandent une réponse mondiale, souligne Sakiko Fukkuda-Parr, directrice du Bureau chargé du Rapport sur le développement humain : « Il faut intégrer les principes et la protection des droits de l’homme dans les règles et les institutions de la mondialisation. » Le rapport explique que la diminution de l’autonomie des Etats résultant de l’intégration croissante de l’économie mondiale donne une plus grande responsabilité aux organisations comme l’OMC (Organisation mondiale du commerce) et aux multinationales, qui doivent veiller à ce que leurs politiques renforcent les droits fondamentaux. Notant que les règles commerciales se sont développées en une sorte de patchwork, et indépendamment des droits de l’homme et des traités sur l’environnement, il en appelle à une gouvernance économique garante de la justice sociale.

Les accords de commerce multilatéraux ayant de sérieuses conséquences sur le bien-être des populations et les droits de l’homme, il faut que la prise en compte de ces conséquences fasse partie intégrante des négociations. Le rapport critique le secret dans lequel se déroulent nombre de négociations commerciales et économiques internationales, un secret qui, dit-il, n’est pas compatible avec une approche prenant en compte les droits de l’homme et visant à la transparence en matière de politique économique. Cette attitude est contraire à l’esprit de responsabilité. Elle est « particulièrement grave du fait que ce sont souvent sur les citoyens qui sont exclus des débats sur les choix de société que retombe le poids du remboursement des dettes découlant de ces accords. »

Enfin, note le rapport, les arrangements mondiaux qui visent à mettre en place une gouvernance mondiale sont basés sur la poursuite des intérêts nationaux, et surtout des nations les plus puissantes, plutôt que de ceux de la collectivité mondiale. D’où leur échec à mettre en place des politiques qui protègent les pauvres et les défavorisés.

Il faut donc réexaminer les processus de décision internationaux, et ce réexamen devrait porter en priorité sur la participation des pays plus petits et plus faibles aux négociations et à l’établissement du cadre de ces négociations. Une refonte de ces processus de décision devrait aussi examiner la participation des corporations, des syndicats et des ONG, qui faute de s’y voir associés, se voient réduits à l’action en coulisses (lobbying) ou aux manifestations de rue.

Le rapport suggère que le monde intégré du XXIe siècle passe d’un modèle de responsabilité centrée sur l’Etat à un modèle de responsabilité partagée entre une pluralité d’acteurs.

 

Citation

Une éthique de responsabilité globale [sommaire]

par Mikhaël Gorbatchev,

« Nous avons besoin d'un nouveau système de valeurs, qui repose sur l'unité organique existant entre l'homme et la nature, et sur une éthique de responsabilité globale. »

 

Message de Maitreya

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Brève

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Courrier des lecteurs

Partage international dispose d’une réserve importante de courriers qui ont été confirmés par le Maître de Benjamin Creme comme relatant de véritables rencontres avec des Maîtres, ou un « porte-parole », mais qui n’ont pas encore été publiés. D’autres courriers présentés ici sont plus récents. Pour ces derniers, bien que nous ne puissions pas confirmer ou indiquer si un Maître est impliqué, l’expérience peut être telle qu’elle « parle d’elle-même » en apportant espoir, inspiration et réconfort. Nous présentons ces courriers à votre considération.

Cercles de lumière dans le Massachusetts [sommaire]

Cher Monsieur,

En décembre 2000, alors que nous rentrions en voiture à Maynard, nous fûment surpris de voir sur le mur d’une église, une série de cercles de lumière provenant du reflet de la lumière du soleil sur les vitres du poste de police et du bâtiment des pompiers, situés de l’autre côté de la rue. Sur les immeubles à proximité, nous avons également observé des projections de lumière en forme de diamant et de double hélice, qui ressemblent à des dessins de la géométrie sacrée. Nous apprécierions l’avis du Maître de Benjamin Creme.

R. M. et L. Y., Maynard, Massachusetts, E.-U.

Voir la photographie dans la version imprimée de la revue Partage international n° 152 d’avril 2001, page 8.

Le Maître de B. Creme a indiqué que ces figures étaient manifestées par Maitreya et les Frères de l'espace.

Sauvetage [sommaire]

Cher Monsieur,

Il y a quelques années, deux jeunes gens d’un Etat voisin se joignirent à notre groupe de transmission. L’un d’eux nous raconta une histoire qui m’intrigua. Quelques années auparavant, ils faisaient du rafting (descente en radeau) sur la rivière Arkansas, dans le Colorado, près de la Royal Gorge. L’eau était dangereusement haute, mais ils décidèrent de descendre quand même la rivière. L’un d’eux tomba du radeau et se dit : « Cette fois c’est fini, je suis fichu. » Mais, plus tard, il se retrouva sur un rocher au bord de l’eau, sain et sauf, sans la moindre idée de la manière dont il était arrivé là. Est-il possible que ce jeune homme ait été secouru par Maitreya ou le Maître Jésus ?

L. L, Boulder, Colorado, E.-U.

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que le jeune homme avait été secouru par Maitreya.

Du baume au cœur [sommaire]

Cher Monsieur,

Après être resté un certain temps sans logis, j’étais désespéré. A la fin de juillet 2000, je me rendis dans un bel endroit, avec toutes mes affaires sur le dos, et je pris une overdose. J’ai survécu, mais après avoir passé une semaine ou davantage au lit, extrêmement malade, dans une petite pension de famille voisine. Je n’en avais jamais parlé à personne et je n’avais suivi aucun traitement médical, jusqu’au jour où finalement je décidai d’aller voir mon médecin et de tout lui avouer.

J’emportai avec moi mon numéro de janvier 2000 de Share International dans l’intention de le laisser dans la salle d’attente, parmi les autres magazines, pensant que peut-être il redonnerait espoir à un éventuel lecteur. Lorsque je quittai ma pension de famille pour me rendre au cabinet médical, ma précieuse revue à la main, je pris conscience de la présence d’un homme de cinquante ou soixante ans, vêtu avec élégance, qui marchait derrière moi en saluant amicalement chaque passant. Tout à coup, il se mit à chanter à haute voix ; sa chanson comportait de nombreuses paroles, mais les seules que j’entendis distinctement étaient : « Souriez même si votre cœur se brise. » Je poursuivis ma route vers le cabinet médical. En août je réussis à trouver un appartement. Depuis je n’ai cessé de me poser des questions… ?

Identité non communiquée, East Sussex, Grande-Bretagne

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que l'homme était le Maître Jésus.

Un professeur vu en rêve [sommaire]

Cher Monsieur,

Lorsque j’avais environ trois ou quatre ans, j’ai fait quelques rêves marquants. Un homme très aimant, avec des yeux foncés au regard intense et une barbe noire, me prodiguait avec douceur des enseignements sur la vie. J’avais l’impression que cet homme sage et plein de bonté était Jésus (bien qu’il ne ressemblât pas aux portraits de Jésus que mes jeunes yeux avaient pu voir à l’église).

S’agissait-il du Maître Jésus ?

J. Q. Pennsylvanie, Etats-Unis

Le Maître de Benjamin Creme a confirmé que « l'homme très aimant » était effectivement le Maître Jésus.

Surmonter sa peur [sommaire]

Environ un an plus tard, je descendis un jour dans le sous-sol de notre maison pour aller chercher quelque chose pour ma mère. D’un côté il y avait une pièce sombre où se trouvait la chaudière du chauffage central (dont j’étais terrifié) et de l’autre côté une salle de jeux bien éclairée. Prenant une profonde inspiration, je me précipitai de la pièce éclairée dans la pièce sombre. L’interrupteur électrique était trop haut pour que je puisse l’atteindre. Je pris le plus vite possible ce que ma mère m’avait demandé. Lorsque je franchis à nouveau la porte pour revenir dans la pièce éclairée, une grande silhouette brillante se tenait à ma gauche, comme pour m’accueillir. Ses vêtements, de même que son corps, semblaient faits de lumière brillamment colorée. C’était le personnage le plus magnifique que j’aie jamais vu. J’étais abasourdi. J’avais une vague idée des anges, mais cet être magnifique n’avait pas d’ailes et j’étais certain qu’il ne s’agissait pas d’un ange. N’ayant aucun cadre de références dans mon jeune cerveau, j’associai cette silhouette au logo d’une équipe de base-ball professionnelle qui utilisait l’image d’un pirate en couleurs.

Au fil des années, cette vision du soi-disant pirate s’est montrée particulièrement instructive pour ancrer en moi la volonté de sortir de mon obscurité inconsciente et pénétrer progressivement dans la lumière de la conscience. Ce « pirate » était-il en fait une vision de Maitreya dans son mayavirupa ? S’agissait-il d’une sorte d’expérience symbolique pour me montrer la porte qui mène de l’obscurité à la lumière ?

J. Q. Pennsylvanie, Etats-Unis

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que le « pirate » était le Maître Jésus, et que cette vision était destinée à aider notre correspondant à vaincre sa peur.

Une expérience exceptionnelle [sommaire]

De bonne heure le matin, le jour de mes vingt-deux ans, j’ai eu une expérience de « sommet de la montagne ». Elevé sur une hauteur, j’étais à l’unisson avec toutes choses. L’univers était parfaitement compréhensible. Je pouvais voir des scènes du passé et du futur et avoir un certain aperçu d’un Plan qui se mettait en place et que je m’engageais à respecter. J’avais l’impression que la conscience qui m’instruisait avait un lien avec l’Ancien des Jours de la Bible. Des années plus tard, ce que je pus lire sur la conscience monadique me rappela cette expérience du sommet de la montagne. Cet événement me transforma totalement. Lentement d’abord, et de plus en plus intensément par la suite, je me suis efforcé dans ma vie et mon travail de construire un pont conscient pour retourner à cet endroit de réalisation. Etait-ce une expérience du Père ?

J. Q. Pennsylvanie, Etats-Unis

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que l’expérience du sommet de la montagne était une expérience de la conscience de l’âme.

Une école en rêve [sommaire]

En juillet 1977, j’ai fait un rêve très net. Il s’agissait d’une sorte de réunion d’information, dans une salle où il y avait un autel, ou un rideau,devant lequel un instructeur qui connaissait l’avenir donnait des indications personnelles sur des sujets futurs. Cet instructeur était-il Maitreya ?

J. Q. Pennsylvanie, Etats-Unis

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que « l’instructeur qui connaissait l’avenir » était le Maître Jésus.

La bénédiction d’un mendiant [sommaire]

Cher Monsieur,

Un soir d’automne, alors que je me rendais à pied à la méditation de transmission, j’eus soudain l’impulsion de regarder à ma gauche. Là, dans un petit square où traînent habituellement des sans-logis et des ivrognes, un homme attira mon attention pendant une fraction de seconde. Il avait l’air d’un mendiant, mais pas vraiment : ses vêtements avaient quelque chose de différent, de plus recherché en quelque sorte. Il me cria : « Que Dieu vous bénisse ! » et je répondis : « Vous de même ! » J’éprouvai ensuite un sentiment de paix et de joie, et je gardai un sourire sur le visage pendant tout le reste du trajet. Ce n’est que plusieurs jours après que j’ai réalisé que peut-être ce « mendiant » n’était pas quelqu’un d’ordinaire.

A. G., Suède

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que le « mendiant » était Maitreya

Tête-à-tête [sommaire]

Cher Monsieur,

En juin 1997, j’ai fait dans le train une expérience peu ordinaire. Un petit garçon d’environ neuf mois était assis sur les genoux de son père, en face de moi. Je lui souris et il fit de même. Puis il commença à rire et à s’agiter dans les bras de son père, tendant les bras vers moi et tirant sur ma manche. Ses yeux très noirs brillaient d’un éclat inhabituel. (Son père n’était pas polonais, mais peut-être arabe ou turc.) Je pris l’enfant dans mes bras et il posa aussitôt son front contre le mien et devint parfaitement calme. Nous échangeâmes un regard très profond. Ceci me procura un immense plaisir et un sentiment de paix. C’était comme si nous étions entrés dans une sorte de méditation. L’idée me traversa l’esprit que cet enfant était peut-être Maitreya. Nous restâmes ainsi pendant quelques minutes. Puis, à regret, je rendis le petit garçon à son père. Il sourit à nouveau, en me regardant intensément, comme s’il voulait me dire : « Oui. »

A. O., Varsovie, Pologne

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que « l'enfant » était effectivement Maitreya et que le « père » était le Maître Jésus

Une bonne action [sommaire]

Cher Monsieur,

En décembre 1997, je me promenai dans Union Square, à San Francisco, au milieu d’une foule de touristes, en compagnie de ma mère qui était venue me rendre visite. Je vis une femme d’âge moyen, avec des plaies sur le visage, qui mendiait dans la rue, appuyée sur une béquille. J’avais deux pièces de vingt-cinq cents dans la poche de mon manteau et je les mis dans sa tasse. Lorsque nous passâmes à nouveau devant elle, ma mère la vit à son tour et en fut émue. Elle ouvrit son sac à main. N’ayant pas de monnaie, elle lui donna un billet de cinq dollars. Nous poursuivîmes notre chemin, en parlant de la détresse de cette pauvre femme. Nous étions un peu confuses d’être toutes deux au bord des larmes dans la rue. Maintenant je me dis que peut-être cette femme était Maitreya. Pouvez-vous le confirmer ?

K. V., San Francisco, E.-U.

Le Maître de B. Creme a confirmé que la femme à la béquille était Maitreya.

Avatars d’amour [sommaire]

Cher Monsieur,

Lors d’une visite à Puttaparthi, en Inde, en novembre 2000, je me suis rendue au siège local de la State Bank of India. J’ai eu la surprise d’y voir une photographie de Saï Baba présentant des bandes de lumière blanche en forme de spirale. Le directeur de la banque, M. Murthy, nous a raconté l’histoire suivante à son sujet :

« Il y a vingt ans, le 16 août, la State Bank of India ouvrit une succursale à Prasanthi Nilayam ; Saï Baba accomplit la cérémonie d’ouverture et bénit la succursale. Il y a quelques mois, j’ai prié Saï Baba de bénir la succursale à l’occasion de son vingtième anniversaire en nous faisant l’honneur de sa visite. Swami répondit : « Je viendrai. » Tous les arrangements furent pris pour la cérémonie et au jour fixé tout le monde était rassemblé, attendant impatiemment son arrivée. Au bout d’un certain temps, lorsqu’il devint évident que Saï Baba était occupé et dans l’impossibilité de venir, le personnel se mit à prier et fit une offrande au portrait de Saï Baba. »

Des photographies furent prises et lorsque celle-ci fut développée, le personnel eut un choc car elle présentait des bandes de lumière. Le directeur pense que ces rayons de lumière indiquent que Saï Baba est effectivement venu à la cérémonie.

Votre Maître pourrait-il indiquer ce que signifient ces bandes de lumière ?

E. B., Blaricum, Pays-Bas

[Voir la photographie dans la version imprimée de la revue Partage international n° 152 d’avril 2001, page 27.]

Le Maître de B. Creme a indiqué que la bénédiction apparaissant sur la photo était l'œuvre de Maitreya, l'Avatar planétaire de l'Amour, pour apporter son soutien et montrer l'étroite relation qui le lie à Saï Baba, l'Avatar cosmique de l'Amour

 

Rayons

Selon le Maître DK, un rayon est « le nom donné à une certaine force ou à un certain type d’énergie, considéré sous l’angle de la qualité qui en émane ». Les rayons transmettent ainsi leurs qualités à toute la création, y compris la constitution humaine. L’âme, la personnalité, le corps mental, le corps émotionnel et le corps physique, sont tous colorés par l’un ou l’autre des sept rayons. De manière à faciliter l’étude et la compréhension des rayons, le Maître de Benjamin Creme, au fil des ans, a accepté de répondre à des questions portant sur la structure de rayons (et le niveau d’évolution) de certaines personnalités mais, par discrétion, jamais pour des personnes en vie. Pour approfondir cette étude, nous renvoyons le lecteur aux enseignements d’Alice Bailey (Lucis Trust), aux ouvrages de Benjamin Creme et aux précédents numéros de Partage international.
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Forum Partage

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Dernière de couverture

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Cahier anniversaire

Le 19 juillet 1977, Maitreya, l’Instructeur mondial, est arrivé dans la communauté asiatique de Londres − son point d’attache dans le monde moderne − et le 22 juillet il a commencé sa mission. Trente ans plus tard, nous célébrons cet événement extraordinaire à travers les pages suivantes.
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Questions-réponses

Réponses de Benjamin Creme

Maitreya est-il apparu à nouveau devant des groupes ? [sommaire]

Le dimanche 11 février, Maitreya est apparu à un groupe d'environ 150 chrétiens, à Auckland, en Nouvelle-Zélande. Il a parlé pendant 17 minutes. Une source a été magnétisée auparavant dans les environs.
Le dimanche 4 mars, Maitreya est apparu à un groupe d'environ 120 bouddhistes, à Tangshan, en Chine. Il a parlé durant 18 minutes. Une source a été magnétisée auparavant dans les environs.
Le dimanche 11 mars, Maitreya est apparu à un groupe d'environ 150 chrétiens, en Pologne. Il a parlé pendant 17 minutes. Une source a été magnétisée auparavant dans les environs.

Partage international a publié un message récent de Maitreya où il dit ceci : « N’ayez nulle crainte dans la période qui va commencer. » C’est comme s’il nous assurait que, bien qu’il puisse y avoir des moments difficiles, ils seront de courte durée et que tout se déroulera finalement pour le mieux. [1] Est-ce une interprétation valable de cette partie du message et [2] faut-il y voir une référence aux troubles du Moyen-Orient ? [sommaire]

[1] Oui. [2] Non.

Votre Maître pourrait-il nous dire quelle est la cause de l’épizootie de fièvre aphteuse ? Est-elle transmissible à l’homme ? Les mauvaises méthodes de nutrition des animaux en sont-elles responsables ? [sommaire]

 La principale cause (il y en a plusieurs) est l’élevage intensif, comme pour l’ESB, avec ses tragiques conséquences. Une mauvaise alimentation est, là encore, la principale responsable. La fièvre aphteuse est la conséquence directe du fait d’avoir nourri les animaux avec des aliments d’origine animale. Il est incroyable que certains éleveurs soient incapables de voir que c’est du cannibalisme et qu’une telle nourriture est extrêmement malsaine pour des herbivores, mais ils sont en train de récolter (ainsi que les autres éleveurs) le karma de leur insensibilité.
Les conditions malsaines de l’élevage moderne augmentent les risques en affaiblissant le système immunitaire des animaux concernés, et, bien sûr, le transport inutile et abusif des animaux accroît encore les risques d’infection, la fièvre aphteuse étant une maladie extrêmement contagieuse. La réponse est la vaccination (que de nombreux pays ont adoptée), mais en Grande-Bretagne, la vaccination est considérée comme non rentable financièrement, d’où l’élimination de milliers de pauvres bêtes. La plupart des animaux guérirait de la maladie. Heureusement, contrairement à l’ESB, la fièvre aphteuse n’est pas transmissible à l’homme.

1] Haidakhan Baba (désigné également sous le nom de Babaji), est-il le même Babaji que celui décrit dans l’autobiographie d’un yogi ?[2] Est-il exact qu’il est le seul à avoir des Maîtres pour disciples, [3] Si Haidakhan Baba n’est pas la même personne que celle dont parle Yogananda, pourriez-vous indiquer sa structure de rayons et son niveau d’évolution, car je présume qu’il n’est plus en incarnation ? [sommaire]

[1] Non.
[2] C’est seulement exact pour le véritable Babaji, celui qui est décrit dans l’ouvrage de Swami Yogananda.
[3] Ame : 2 ; personnalité : 4/7 ; corps mental : 3/6 ; corps astral : 2/6 ; corps physique : 7/7. C’était un initié de degré 3,0.

L’occultiste russe Gurdjieff a fait allusion dans l’un de ses ouvrages à un personnage nommé saint Venoma. S’agit-il d’un Maître ? [sommaire]

Oui.

Certains des principaux leaders des partis politiques britanniques (Tony Blair, William Hague, Charles Kennedy, etc.) ont-ils [1] entendu parler de l’émergence, [2] assisté à l’une des conférences publiques données (incognito) par Maitreya, sans réaliser qui était l’orateur, et [3] si oui, quelle a été leur réaction au message de Maitreya ? [sommaire]

Oui, Tony Blair. [1] Oui. [2] Oui. [3] Intéressant, mais trop difficile à réaliser, trop utopique.

J’ai fait connaissance de l’enseignement ésotérique il y a plus de quarante ans lorsque mon père me conseilla de lire les ouvrages sur l’initié de Cyril Scott, concernant « cette grande âme » (l’initié), dont la véritable identité fut cachée à l’époque, il y a environ 80 ans, sous le nom de « Justin Moreward Haig » (J. M. H). C. Scott révéla par la suite que c’était son propre maître, le Maître Koot Hoomi, qui avait souhaité qu’il relate en partie la vie et les enseignements de J. M. H. après le décès de celui-ci. Bien des années s’étant écoulées depuis, votre Maître serait-il prêt à répondre aux questions suivantes : [1] Le souhait du Maître Koot Hoomi de voir relater certains aspects de la vie et des enseignements de J. M. H. fait-il partie de la préparation à l’émergence du Seigneur Maitreya ? [2] Je présume que J. M. H. était au moins un initié du troisième degré ? [3] Est-il maintenant un Maître, c’est-à-dire un initié du 5e degré ou davantage ? [4] Quelle était sa structure de rayons ? [sommaire]

[1] Oui.
[2] Non. C’était un initié 2,4.
[3] Non.
[4] Ame : 2 ; personnalité : 6/2 ; corps mental : 4/6 ; corps astral : 2/6 ; corps physique : 3/7.

La tension qui règne actuellement dans le monde semble particulièrement grande. Quelle en est la raison ? Est-ce un heureux présage, en ce sens qu’il pourrait indiquer que les gens sont devenus plus sensibles ? Y a-t-il davantage de tension parce que nous réalisons qu’il n’est pas possible de continuer plus loin sur le chemin de l’injustice, de la pollution de l’environnement, etc. ? [sommaire]

La tension croissante qui règne actuellement dans le monde est principalement le résultat de l’impact des énergies, totalement nouvelles et particulièrement puissantes, qui sont distribuées par la Hiérarchie. Elles causent l’effondrement des institutions surannées, ce qui en retour accroît la tension. Par ailleurs, l’humanité devient plus réceptive aux énergies supérieures. Elle les enregistre plus rapidement, et devient plus consciente des tensions. Avant tout, l’humanité, au fond d’elle-même, attend le Christ (quel que soit le nom que chacun lui donne) et elle se prépare au changement.

Jusqu’où l’aura de Maitreya rayonne-t-elle depuis l’endroit où il réside à Londres ? [sommaire]

Elle englobe le monde entier.

Dans les ouvrages d’Alice Bailey, le Maître Djwhal Khul parle souvent des sept centres dans la tête (correspondant aux sept centres le long de l’épine dorsale), notamment dans un Traité sur la magie blanche. Le centre entre les sourcils et celui du sommet de la tête, en liaison avec la glande pituitaire et la glande pinéale, en font probablement partie, mais qu’en est-il des cinq autres ? [sommaire]

Ils n’ont pas de noms particuliers. Ils s’éveillent progressivement après la troisième initiation.

J’ai lu dans un journal que plusieurs équipes d’égyptologues font actuellement des recherches sur le site de la nécropole de Gizeh, espérant trouver la « salle des archives » d’une civilisation perdue. [1] Pourriez-vous indiquer si certaines de ces équipes cherchent au bon endroit ? [2] Ces recherches sont-elles liées à l’émergence imminente de Maitreya ? [sommaire]

[1] Non. [2] Non.

Dans quelle proportion la valeur nutritive des aliments est-elle perdue par la congélation ? [sommaire]

20 % en moyenne.

De nombreux aspirants approchent de la première initiation. L’alcool et le sexe sont-ils dans ce cas strictement interdits, ou autorisés de temps en temps à petites doses ? [sommaire]

L’aspirant établit lui-même son propre rythme, et le processus de contrôle de l’élémental physique se fait ainsi progressivement. Rien n’est « strictement interdit » à qui que ce soit.

Il est indiqué dans Partage international que le dimanche qui suit les trois principales fêtes spirituelles : Pâques, Wesak et la Fête du Christ, le Seigneur Maitreya donne une bénédiction à 15 heures, heure locale. [1] A qui cette bénédiction est-elle destinée ? [2] Pendant combien de temps doit-on se concentrer sur le chakra coronal ? [sommaire]

[1] Aux membres des groupes de transmission et à ceux qui sont engagés dans le travail de préparation à son émergence. [2] Il n’y a pas de durée précise. Aussi longtemps que les énergies affluent, ce qui varie d’un groupe à l’autre.

Quelle est pour nous la meilleure façon de coopérer avec la partie du plan dans laquelle nous sommes impliqués ? Que pouvons-nous faire de plus pour hâter l’émergence des Maîtres ? [sommaire]

Vous ne pouvez hâter l’émergence des Maîtres. Cela ne dépend pas de vous. Cela dépend principalement du marché boursier et de la rapidité avec laquelle il s’effondrera. Vous ne pouvez rien y faire. Là où vous pouvez agir, et où on vous demande instamment de le faire, c’est en faisant connaître la présence de Maitreya, l’émergence de la Hiérarchie spirituelle dans le monde, et le fait que les exigences démesurées du monde développé, en ce qui concerne les ressources mondiales, mettent notre existence en danger et sont la principale menace pour notre sécurité. C’est dans ce domaine que vous pouvez agir.

[1] Le Dalaï Lama a-t-il rencontré Maitreya ? [2] Croit-il à l’émergence ? [sommaire]

Il est préférable que vous le lui demandiez.

[1] S’incarne-t-on toujours dans la même race ? Si oui, pour quelle raison ?[2] On m’a enseigné quels corps les différentes races sont supposées perfectionner (la race noire : le physique et l’émotionnel ; la race caucasienne : l’émotionnel et le mental ; la race asiatique : le mental et le spirituel), et j’aimerais savoir si, par exemple, perfectionner le corps mental est une pratique plus avancée que perfectionner le corps émotionnel, etc.? S’il en est ainsi, le groupe d’âmes s’incarnant dans des corps noirs est-il un groupe moins évolué ? A notre époque égalitaire, une telle idée serait particulièrement offensante et politiquement incorrecte ! Et qu’en est-il des enfants de sang mêlé ? Ceci complique-t-il les choses ? [sommaire]

[1] Non. [2] Sans vouloir vous offenser l’enseignement dont vous parlez est incorrect. Le perfectionnement du corps physique s’est fait dans la race racine lémurienne, il a commencé il y a 18 millions et demi d’années pour s’achever il y a 12 millions d’années. Le perfectionnement du corps émotionnel ou astral a commencé dans la race racine atlante, il y a 12 millions d’années pour s’achever il y a 100 000 ans. Toutes les races actuelles font partie de la race racine aryenne (qui n’a rien à voir avec la notion de race aryenne prônée par Hitler). Nous sommes tous engagés dans le perfectionnement du corps mental.

[1] Depuis 1991, de nombreux ovnis ont été filmés sur vidéo dans le ciel du Mexique. Sont-ils tous des vaisseaux spatiaux venant d’autres planètes de notre système solaire ? Certains d’entre eux semblent correspondre aux descriptions que j’ai lues du vaisseau de lumière de Maitreya. [2] Le vaisseau de lumière de Maitreya a-t-il été filmé au Mexique ? [sommaire]

[1] Oui. [2] Non.

Vous affirmez que la population mondiale, qui est actuellement de six milliards d’individus, se réduira à trois milliards et demi ou à quatre milliards. Comment cela se produira-t-il et en combien de temps ? [sommaire]

Cela arrivera lorsqu’il ne sera plus nécessaire pour les pauvres d’avoir une famille nombreuse, comme c’est le cas actuellement, car ils savent que la plupart de leurs enfants vont mourir avant l’âge de cinq ans. Une meilleure éducation et un accès plus facile au contrôle des naissances joueront également un rôle.

Vous avez indiqué, dans le numéro de mars 2000 de Partage international, que Mahomet était maintenant un Maître et qu’il vivait dans un corps physique. Cela signifie-t-il qu’il fait partie des quatorze Maîtres actuellement présents dans le monde ? [sommaire]

Non.

[1] Combien de personnes sont-elles venues en incarnation à notre époque, selon le dessein de leur âme, dans le but d’aider à préparer la voie pour Maitreya et la Hiérarchie ? [2] Sur ce nombre, quel pourcentage a répondu à cet appel et s’est réellement impliqué dans ce processus ? [sommaire]

[1] 4 600. [2] 70 %.