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avril 2002 – No 164

Sommaire


 

Article du Maître —

Le choix de l’humanité [sommaire]

par Le Maître –,

par l’entremise de Benjamin Creme

Nombreuses sont les manières dont l’humanité progresse, qu’elle le sache ou non. Du point de vue qui est le nôtre, ces avancées sont nettement perceptibles. Dans bien des parties du monde, en dépit du chaos et de la crise actuels, l’amélioration des pires conditions de vie que connaissent les hommes se poursuit sans trêve. Il est vrai que certaines régions semblent livrées à l’abandon, et qu’y subsistent les privations les plus intolérables ; que des millions d’hommes continuent de mourir de faim sans nécessité ni raison ; qu’une moitié du monde crie de douleur face à l’injustice, tandis que l’autre jouit nonchalamment de sa complaisance et de son ignorance. Pourtant, des changements réels et de grande portée se produisent, qui présagent bien de l’avenir. Cela nous donne des raisons d’espérer que la réponse de l’humanité à Maitreya sera prompte et enthousiaste.

La régénération du monde

Quand Maitreya apparaîtra aux yeux de tous, il présentera les grandes lignes d’un programme de régénération du monde. Il montrera que les méthodes que nous utilisons actuellement pour traiter nos problèmes laissent profondément à désirer, car elles se fondent sur la rivalité et l’intérêt personnel ; que les tensions et les dangers actuels résultent directement des déséquilibres engendrés par la complaisance et la cupidité ; que c’est seulement par la coopération qu’on résoudra les problèmes du monde, que les misérables seront nourris et secourus, que la santé de la planète sera restaurée, que le cauchemar de la guerre disparaîtra aux oubliettes de l’Histoire.

Les peuples l’entendront, tiendront conseil, et prendront position : pour la création d’un mode de vie nouveau et meilleur, fondé sur l’acceptation de la fraternité et du partage ; ou pour une déchéance et une violence accrues, conduisant à l’autodestruction finale.

Le choix de la vie

L’humanité doit faire son choix. Partout dans le monde, les hommes et les femmes doivent comprendre que ce choix est celui de la vie, inimaginable par sa nouveauté et sa magnificence, ou celui d’une mort ignominieuse qu’ils s’infligeraient à eux-mêmes. Mieux vaut de loin faire preuve de hardiesse face à l’avenir et construire ensemble le renouveau, que de se laisser glisser, défait, vers l’abîme.

Quel choix feras-tu donc, toi qui lis ces lignes ? Comment scelleras-tu ta destinée ? Prendras-tu position aux côtés de Maitreya et soutiendras-tu son appel à la justice et à la liberté, son exhortation à refaire le monde par le partage et l’amour ? Parviendras-tu ainsi à connaître ta divinité et celle de tes frères ? A faire du sentier conduisant aux étoiles une réalité qui s’offre à toi ?

Cette décision, qui est le choix de ton âme, t’emplira-t-elle de joie ? Et te conduira-t-elle à la source de l’Amour lui-même ?

Maitreya connaît déjà ceux sur qui il peut compter. Il sait que les hommes ont le cœur solide et fort, et qu’il peut se reposer sur eux. Il sait que son armée est prête à livrer la juste bataille pour le bien commun. Que les hommes et femmes de bonne volonté sentent partout sa présence, et répondent aux besoins du monde.

Il ne craint pas que les hommes et femmes d’aujourd’hui puissent manquer l’opportunité que leur tend le destin, celle de se prononcer pour le bien de tous. Ils sont sans peur, prêts pour l’avenir, et aspirent à servir.

Cette traduction est celle publiée dans l’ouvrage Un Maître parle (Partage Publication, 2007), et non celle figurant originellement dans la revue Partage international.

 

Editorial

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Point de vue

 

Compte rendu de lecture

Une étrange dictature [sommaire]

Un livre de Viviane Forrester

par Luc Guillory,

Viviane Forrester est romancière et essayiste. Publié en 1996, son livre l’Horreur économique a remporté le prix Médicis et a été traduit dans vingt quatre langues. Il est un vibrant appel contre la mondialisation de l’économie et la détresse que ses excès font subir à des millions d’hommes et de femmes. Son dernier livre s’intitule Une étrange dictature.

Viviane Forrester exerce également comme critique littéraire pour le Monde et elle est membre du jury du prix Fémina qui récompense des auteurs féminins.

Alors que les affaires économiques internationales semblent avoir pris le pas sur la politique, Viviane Forrester affirme au contraire qu’un totalitarisme politique puissant règne dans les coulisses et organise la mondialisation au profit d’une minorité et au détriment des populations, au prix du sacrifice de la santé publique, de l’éducation et du développement culturel.

Entre les mains d’une minorité

Selon Viviane Forrester, il est temps de se réveiller et de réaliser que nous ne vivons pas la fin de l’histoire, mais que nous sommes temporairement sous le joug d’un régime politique nouveau quoique non formulé. Ce régime s’est instauré à l’insu de tous, d’une manière insidieuse et anonyme, car l’idéologie qui le fonde réfute le principe même de la politique et ne porte aucun intérêt à ses institutions. Son avènement n’est pas inéluctable, déclare V. Forrester, mais un choix délibéré qui est appliqué malgré tout le mal qu’il peut provoquer.

En fait, cette idéologie ne cherche pas à organiser la société, mais elle est employée (d’une manière quasi obsessionnelle) à écarter tout ce qui fait obstacle à la course effrénée aux profits, pour le seul compte et le bénéfice de l’économie privée. Chaque jour révèle davantage de preuves du fiasco généré par ce système idéologique, qui se fonde sur le dogme d’une économie de marché autorégulatrice. Il s’avère incapable de maîtriser les éléments qu’il a déchaînés, et de restaurer une once d’équilibre.

Inconsciemment, nous avons tendance à confondre mondialisation et ultra-libéralisme. Alors que la diffusion des technologies dans le monde entier caractérise le premier, le second est avant tout une méthode politique de nature oligarchique pour diriger le monde.

Certes, ces technologies ont quelque peu favorisé le triomphe du libéralisme, mais elles ne sont pas liées à un quelconque système économique, et pourraient avantageusement être mises à disposition des multitudes, au lieu de ne servir qu’une minorité.

L’avidité, névrose du lucre

Cette idéologie naît de la conviction selon laquelle il n’existe aucune alternative à l’économie de marché. Mais quels en sont les principes, s’interroge Viviane Forrester ? C’est l’avidité, la « névrose du lucre », présentée comme un système unique et indiscutable, presque divin. Mais il a pour racine la spéculation, l’évasion fiscale et le « braquage » des monnaies et des capitaux. Toute notion d’économie réelle a été corrompue et réduite à une course aux profits qui est attisée par la soi-disant création de richesses, supposée octroyer automatiquement le fruit de ses trésors à l’ensemble de l’humanité. On évoque les forces du marché avec gratitude et l’on voue une admiration dévote à ses créateurs magiciens que sont les dirigeants de l’économie privée.

Mais quelles sont ces richesses ? S’agit-il de progrès scientifiques ou sociaux ? Non, il n’est question que d’accroissement de bénéfices issus d’une production réalisée pour le compte d’actionnaires. L’expression plus appropriée serait la création de profits et de dividendes, remarque Viviane Forrester avec justesse. Quels bénéfices en retirent les populations ? Alors que les discours officiels érigent l’emploi en objectif prioritaire, des milliers de postes sont supprimés au nom de la compétition mondiale. La compétitivité nous oblige à ces sacrifices. Voilà le leitmotiv qui est inlassablement ressassé afin de justifier nombre de licenciements collectifs. Les bas salaires, la main d’œuvre flexible, les emplois précaires et la délocalisation des usines constituent le Graal de la compétition. Et ces cadeaux sont offerts en priorité aux plus dociles, dans des pays où règnent des conditions médiévales délibérément maintenues par les dirigeants de la mondialisation qui, avec complaisance, exploitent les enfants. Plus de 250 millions d’enfants sont astreints au travail, leur vie est ravagée par la pauvreté ; ils ploient sous des fardeaux trop lourds, se faufilent dans les boyaux des mines ou deviennent aveugles à tisser des tapis revendus sur le marché du luxe.

Les membres d’un club privé

La compétition sert de prétexte pour légitimer une dégradation cruelle et sans fin, qu’elle cherche à rendre logique, acceptable et indiscutable. Mais on ne remet jamais en question le fondement de la compétition. Cette course au profit est un jeu auquel se livrent les membres d’un club privé qui ne cessent cependant d’affirmer que cette compétition leur est imposée, les amenant à s’adapter aux circonstances. Les multitudes sont même invitées à suivre leurs sagas et leurs affrontements relayés par les médias. Pour Viviane Forrester, cette diversion a pour but de dissimuler le rôle du profit, d’ignorer jusqu’à son existence, malgré sa présence de plus en plus envahissante.

Les défenseurs de l’économie de marché clament que les profits des entreprises et la croissance économique sont sources de création d’emplois. Pourtant, le profit doit plus aux suppressions d’emplois et alimente plus les marchés spéculatifs qu’il ne se recycle dans des investissements productifs. C’est ainsi qu’a pu émerger un pouvoir financier gigantesque, lié à une spéculation extrêmement volatile, et qui s’impose aux dirigeants politiques.

En 1999, le fabricant français de pneus Michelin a annoncé une croissance de dix- sept pour cent de ses profits pour le premier trimestre et, simultanément, une réduction des effectifs de 7 500 salariés. L’action en bourse a immédiatement gagné dix pour cent.

C’est comme si, au nom de la liberté, une élite pouvait sanctionner un monde de citoyens de second rang sans aucune restriction, permettant aux actionnaires et aux spéculateurs d’être les seuls bénéficiaires de l’ensemble des activités humaines.

Ainsi, un totalitarisme a discrètement envahi nos vies, sans complot ni coup d’Etat, en grande partie grâce à une propagande patiente et insidieuse qui détourne notre attention. C’est la logique la plus absurde de l’histoire, selon laquelle une priorité absolue doit être consacrée aux profits stériles pour le bien d’une minorité, prête à perpétrer toutes dévastations afin d’obtenir sa part du gâteau mondial.

A la frontière de la barbarie

Ceux qui refusent à l’économie de marché la suprématie de meilleur modèle de société et de démocratie, sont considérés comme de dangereux excités ou des retardataires « autistes ». Mais le drame de la compétition mondiale pousse un nombre croissant de salariés en deçà du seuil de pauvreté. Parmi les nations développées, le taux le plus élevé est enregistré aux Etats-Unis, le pays compétiteur par excellence. Le Royaume-Uni vient en second. L’indice de pauvreté humaine créé par le Pnud (Programme des Nations unies pour le développement), qui intègre des paramètres tels que l’illettrisme et le chômage de longue durée, révèle que la pauvreté touche seize pour cent des Américains. La protection sociale recule et les bénéficiaires ne peuvent prétendre aux allocations que pour une période cumulée de cinq années au cours de leur vie. La plupart des personnes éligibles hésitent à faire valoir leurs droits et préfèrent subir une misère abjecte, afin de s’assurer un revenu pour leurs vieux jours. Il y aurait ainsi quelques douze millions de « travailleurs pauvres » aux Etats-Unis, disposant d’un emploi à temps partiel ou complet, dont ils ne tirent pas un revenu suffisant pour s’extraire de la pauvreté.

C’est la conséquence de la flexibilité qui est accordée aux entreprises mais pas aux salariés, souligne Viviane Forrester. Les « généreuses » allocations sont assorties de restrictions telles, qu’après deux ans de chômage, les bénéficiaires aptes au travail sont obligés d’accepter tout emploi qui leur est présenté, quels que soient le lieu et le salaire. Nous touchons ici aux frontières de la barbarie, déclare Viviane Forrester. Cette situation est communément acceptée sous la pression d’une psychologie subtile de culpabilisation qui associe la dignité humaine à l’emploi, bien que la société s’avère incapable de fournir les postes nécessaires.

Malgré un déclin évident du travail, le droit au respect naît toujours de la reconnaissance héritée du travail. Mais en réalité, le chômage est essentiel au libéralisme radical. Il permet à l’économie privée de maintenir le monde sous un joug tout en montrant ostensiblement les efforts entrepris pour maintenir la cohésion sociale en exaltant le culte de l’emploi. Cela empêche toute solidarité entre ceux qui possèdent un emploi et ceux qui en sont démunis.

L’idéologie libérale radicale requiert une réduction drastique des déficits publics et l’éradication conséquente des emplois sociaux qui sont pourtant vitaux à la société, mais ne sont source d’aucun profit pour l’économie privée. Néanmoins, ces emplois non marchands sont les véritables sources de bénéfices pour les populations, les générations futures et la civilisation dans son ensemble. Nous avons besoin de plus d’enseignants, d’infirmières, de juges, d’éducateurs et de bien d’autres services hautement qualifiés.

Viviane Forrester ajoute que cette horreur économique est soutenue par les institutions internationales. Tous les pays sont contraints d’appliquer l’unique modèle à travers des programmes de privatisation, la dérégulation, la suppression des subventions au secteur social. Ces institutions omnipotentes sont exemptes de tout contrôle démocratique et servent un pouvoir hégémonique en appliquant aveuglément à tous les mêmes formules rigides. Nous vivons dans une dictature étrange qui force les gouvernements de tous bords politiques à suivre une logique unique dont la principale préoccupation est la protection et le renforcement des intérêts du profit privé.

Quelle est la limite ultime de cette logique, demande Viviane Forrester ? Passerons-nous de la logique des allocations de chômage à la séparation physique entre les « rentables » et les « inutiles » ?

Il est urgent de résister, préconise-t-elle. La première étape est de rejeter le conditionnement qui nous est imposé et de révéler l’horreur sous-jacente. Nous devons réfuter la logique du « monde tel qu’il est », refuser de laisser mourir des millions d’humains privés de leurs droits, ou de les laisser à peine survivre dans des conditions dégradantes. Les « riches » devraient imaginer ce qu’est réellement la vie de ceux qui sont démunis et n’ont aucune autre perspective qu’une souffrance perpétuelle, non parce qu’ils l’acceptent, mais parce que leur souffrance est communément acceptée. Nous oublions que derrière chaque statistique, se trouve un être humain qui se vit comme une individualité. La mort n’est pas toujours le pire des sorts, une vie dévastée l’est assurément.

V. Forrester : Une étrange dictature, éditions Fayard, ISBN 2-213-60271-901

 

Compilation

Nous publions dans cette rubrique une sélection de citations de Maitreya (Messages de Maitreya le Christ et Enseignements de Maitreya : les lois de la vie), du Maître de Benjamin Creme (Un Maître parle) et de Benjamin Creme (divers ouvrages).
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De nos correspondants

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Dossier

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Signes des temps

Les « Signes des temps » présentés dans cette rubrique ont été confirmés par le passé par Benjamin Creme ou s’imposent d’eux-mêmes sur la base de l’espoir et de la foi qu’ils suscitent. Nous les soumettons à votre réflexion.

Miracles en Grèce [sommaire]

La construction de l’église du Christ, à Spata, un village situé à 27 km d’Athènes, est une longue suite d’événements miraculeux. Dès les années 1920, bien avant que l’église ne soit construite, les personnes qui se promenaient sur le site où elle est située faisaient l’expérience d’une énergie inhabituelle et de nombreux phénomènes surnaturels furent signalés. Cependant, la plupart des miracles se produisirent après qu’une jeune réfugiée d’Asie mineure, dépourvue de toutes ressources, Mme Eleni Danielidou, née Gavrielidou, soit venue vivre dans la région.

Le 30 août 1930, Eleni, âgée alors de dix-huit ans, eut la visite d’un moine qui lui dit qu’elle était enceinte et lui donna des conseils pour faire face aux difficultés qui l’attendaient. Lorsqu’il quitta sa maison, elle regarda par la fenêtre. Le moine était introuvable et personne dans le voisinage ne l’avait vu. Au cours des années suivantes, et après qu’elle eut déménagé dans une maison voisine, Mme Danielidou eut un grand nombre de visites similaires. Le moine apparaissait sous des aspects variés, après avoir frappé trois fois à la porte, et il lui donnait des conseils et des instructions, prédisait des événements, et guérissait même ses enfants.

Il y avait auprès de la maison de Mme Danielidou un four extérieur. Un jour, le moine demanda que l’emplacement de celui-ci soit réservé pour la construction d’une église qui lui serait dédiée. Lorsqu’elle s’enquit de son identité, il répondit qu’il était Jésus-Christ et il disparut dans une éblouissante lumière. Mme Danielidou raconta les faits aux autres personnes du village. Chose surprenante, même ceux qui doutaient de son histoire eurent d’étonnantes visions du Christ dans leurs rêves. Bientôt, le village tout entier joignit ses forces et érigea l’église dédiée au Christ. Le moine demanda également qu’une pierre particulière, à demi enterrée sur le site, soit déterrée, taillée, que l’on y inscrive : « La résurrection du Christ », puis qu’elle soit ensevelie à gauche de l’entrée de l’église. Les débris de pierre taillée furent distribués parmi les villageois qui, en les utilisant, leur découvrirent des propriétés miraculeuses. L’un des phénomènes les plus remarquables se produisit le 9 janvier 1938 lorsque, au cours d’un baptême, on vit une ombre descendre de l’image du Christ sur le dôme de l’église et disparaître dans l’eau ; puis un nuage élevé s’écarta pour dévoiler le Christ habillé de vêtements dorés bénissant la congrégation. Depuis la fin des années 1930, l’église a été l’un des principaux lieux de pèlerinage en Grèce et de nombreuses guérisons s’y sont produites.

Voici les réponses de B. Creme aux questions concernant les événements de Spata :

[1] Qui était le moine ? [2] Le site de l’église a-t-il quelque chose de vraiment particulier ? Qu’y a-t-il de spécial au sujet de la pierre ? [3] Le site est-il situé sur un vortex magnétique ? [4] Un travail futur est-il lié à ce site ? [5] Existe-t-il une source de guérison à découvrir dans les environs ? [6] L’ouverture du nouvel aéroport international d’Athènes, situé dans la même région, peut-elle avoir un effet négatif sur le site ?

[1] Le Maître Jésus. [2] Il a été consacré par le Maître Jésus. [3] Oui. [4] Oui. [5] Oui, dans l'église. [6] Non.

Source : Manolis Melinos : Le Christ de Spata.

De l’eau miraculeuse découverte dans une église chinoise [sommaire]

On a raconté que de l'eau miraculeuse coulait d'une croix érigée sur la flèche d'une église dans le village de Sanban, près de Guigang au sud de la Chine. « Le liquide n'avait pas de goût et ne coulait pas tous les jours », a déclaré l'évêque du diocèse, Joseph Meng Ziwen. Le 7 octobre 2000, le jour de la fête de Notre Dame du Rosaire, un liquide rougeâtre, ressemblant à de l'eau, a commencé à s'écouler du socle de la croix. L'eau fut découverte par un paroissien qui faisait sécher des plantes aromatiques devant l'église et qui a découvert qu'elles étaient humides. Il n'avait pas plu dans la région depuis des mois, et il n'y a pas de gouttière sur les tours de l'église.

Le père Simon Huang Qingeai, prêtre d'une paroisse voisine, a organisé des pèlerinages à l'église et constaté la présence du liquide. Il a déclaré que ce liquide avait coulé pendant environ vingt jours à partir du 7 octobre 2000, puis à nouveau pendant vingt jours à partir du 6 janvier 2001, jour de l'Epiphanie. Une personne laïque a pris des échantillons du liquide pour le faire analyser en laboratoire. Un premier examen a établi que le liquide contenait des globules rouges et des globules blancs. Le père Huang a déclaré qu'un parent âgé souffrant d'un cancer de l'estomac affirmait que sa douleur avait disparu après qu'il ait bu de ce liquide. L'eau miraculeuse attire des milliers de personnes.

Le Maître de B. Creme a indiqué que l'eau a été matérialisée par le Maître Jésus.

Source : UCA News, Thaïlande ; The Lea-ven Newsletter, Etats-Unis

Hambourg : des cercles de lumière attirent l’attention des médias [sommaire]

Un article traitant de la Réapparition a été publié dans le Hamburger Morgen Post du 28 janvier 2002, sous le titre : « Mystérieuses croix de lumière – apparues dans le monde entier et aujourd’hui à Hambourg – un groupe dit que le Christ annonce sa venue. »

Ce journal a interviewé des membres du groupe local de méditation de transmission qui ont expliqué que les cercles de lumière sont destinés à préparer l’humanité à la réapparition de Maitreya, le Christ, et annoncent le commencement d’un « Age d’or ». Cet article comportait des photographies de cercles de lumière sur les immeubles à Denver (Etats-Unis), à Guilford (Grande-Bretagne) et à Berlin, Heidelberg et Hambourg (Allemagne).

Il publiait aussi une photo de l’apparition miraculeuse de Maitreya à Nairobi, le 11 juin 1988, ainsi que d’un groupe de méditation de transmission de Hambourg.

Source : Hamburger Morgen Post, Allemagne

La main de Maitreya : encore des miracles [sommaire]

Dans le numéro d’octobre 2001 de Share International a été publiée une photographie hors texte de la main de Maitreya ( photo reproduite ci-contre )*. En réponse aux questions de lecteurs ou d’auditeurs, Benjamin Creme explique ainsi le phénomène :

C’est la main de Maitreya qui est apparue sur le miroir d’une salle de bains, à Barcelone. La propriétaire, en pénétrant dans la salle de bains réservée aux invités, vit une empreinte de main sur le miroir. Elle l’essuya et n’y pensa plus.

Quelques jours plus tard, en entrant dans sa propre salle de bains, elle vit la même empreinte de main sur le miroir. Elle se dit : « Mon Dieu, cela a peut-être un sens. »  Heureusement, cette fois, au lieu d’essuyer l’empreinte, elle entra en contact avec son fils, qui fait partie du groupe de Partage international à Barcelone. Celui-ci prit une photo de l’empreinte et me l’envoya. Mon Maître indiqua qu’il s’agissait de la main de Maitreya. Notre collaborateur dit à sa mère de ne pas l’effacer et demanda à son père d’en prendre une photo de bonne qualité.

Cette main a quelque chose de fantastique, elle présente une réalité exceptionnelle, c’est quelque chose comme l’empreinte du corps de Jésus sur le suaire de Turin après la crucifixion.

* Voir photographie dans la version imprimée de la revue Partage international n°164 d’avril 2002, page13

Une main secourable [sommaire]

Cher Monsieur,

Traversant une grave crise de santé, je garde la photo de l’empreinte de la main de Maitreya à côté de mon lit. Je pose la main dessus lorsque j’en ai vraiment besoin, avec des résultats encourageants. Récemment, je me suis réveillée en pleine nuit, particulièrement malade. Je me suis tournée pour toucher la photo, et à ma grande surprise, la main de Maitreya était illuminée. Elle semblait rayonner dans le noir. J’ai ressenti comme une véritable bénédiction.

P. C., Upminster, Essex, Grande-Bretagne

Le Maître de B. Creme a indiqué que ce rayonnement a été manifesté par Maitreya.

Des miracles sur mesure [sommaire]

Un dévot de Saï Baba qui distribue des cartes postales reproduisant la main de Maitreya, à Londres, témoigne de miracles survenus lorsque des personnes ont placé leur main au-dessus de la carte : apparition de vibhuti (cendre sacrée) et d’amrit (nectar) sur leur main. Une fois, de l’huile s’est même mise à suinter de la carte elle-même.

Le Maître de B. Creme a indiqué que ces bénédictions sont manifestées par Maitreya.

 

S.O.P. — Sauvons notre planète

Hormis la guerre, rien ne compromet aussi gravement l’avenir de l’humanité que la pollution. Constatant qu’il en est ainsi, certains pays ont pris des mesures pour la réduire et pour limiter le réchauffement climatique. D’autres, parfois parmi les plus gros pollueurs, nient la réalité d’un tel réchauffement en dépit des preuves qui s’accumulent. A tout moment, dorénavant, les changements climatiques montrent sans l’ombre d’un doute que la planète est malade, qu’elle a besoin de soins immédiats et attentifs pour retrouver l’équilibre. Le temps nous est compté pour mettre fin aux ravages que subit quotidiennement la planète Terre. Chaque homme, chaque femme, chaque enfant a son rôle à jouer dans sa restauration. Oui, le temps presse. Save Our Planet (S.O.P.), sauvons notre planète ! (Source : Le Maître de B. Creme, S.O.P. Sauvons notre planète, 8 septembre 2012)
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Tendances

Dans le monde actuel s’affirme une tendance de plus en plus prononcée à la synthèse, au partage, à la coopération, à de nouvelles approches et avancées technologiques pour la sauvegarde de la planète et le bien-être de l’humanité. Cette rubrique présente des événements et courants de pensée révélateurs d’une telle évolution.

Un tournant dans l’Histoire [sommaire]

par Kofi Annan,

Le secrétaire général des Nations unies, Kofi Annan, s’est adressé au Forum économique mondial qui s’est tenu à New York en février 2002. Voici des extraits de son allocution :

« Vous savez tous que vous partagez cette petite planète avec plus d’un milliard de personnes qui sont privées du minimum nécessaire à la dignité humaine, et avec quatre ou cinq milliards dont les choix dans la vie sont vraiment minces comparés aux vôtres.

En fait, pour beaucoup d’entre nous la planète ressemble de plus en plus à un petit bateau poussé par un vent violent sur des eaux sombres et inconnues, avec de plus en plus de gens entassés à bord, dans l’espoir désespéré de survivre. Aucun d’entre nous ne peut à mon avis se permettre d’ignorer les conditions de vie de ceux qui voyagent avec nous sur cette frêle embarcation. S’ils sont malades, nous risquons tous l’infection. Et s’ils se mettent en colère, nous pouvons tous en subir les conséquences.

La réalité est que le pouvoir et la richesse dans ce monde sont très inégalement partagés, et que beaucoup trop de personnes sont condamnées à vivre dans une pauvreté extrême et dégradante.

En définitive, toutes ces questions ne peuvent plus être réglées en conclave entre les riches et les puissants. Pour les pays en développement, l’avenir de l’économie mondiale est un enjeu aussi important que pour n’importe quel autre pays. Leur point de vue devrait être considéré lors des prises de décisions concernant cet avenir. La conférence de Monterrey* devrait être l’occasion pour ceux qui exercent actuellement la plus grande influence de montrer qu’ils prennent cette question au sérieux.

Je pense que nous avons aujourd’hui le sentiment d’être arrivé à un point tournant de l’Histoire. Nous avons déjà ressenti cela à la fin de la guerre froide et au début du nouveau millénaire, mais malheureusement, en septembre dernier, nous avons découvert que les portes de ce nouveau millénaire s’ouvraient sur le feu et le sang, un embrasement que nous aurions espéré ne jamais connaître.

Les forces de l’envie, du désespoir et de la terreur dans le monde d’aujourd’hui sont plus fortes que beaucoup d’entre nous ne l’imaginaient. Mais elles ne sont pas invincibles. Pour les contrer nous devons apporter un message de solidarité, de respect mutuel et, avant tout, d’espoir. »

* Conférence internationale sur le financement et le développement de Monterrey (Mexique).

Un prince saoudien propose un plan de paix pour le Moyen Orient [sommaire]

Des membres de gouvernements en place, en Israël, dans le monde arabe et dans d’autres pays, sont en train d’examiner le plan inattendu du prince héritier saoudien Abdullah, proposant qu’Israël se retire des Territoires occupés, les terres conquises pendant la guerre de 1967, en échange de garanties de sécurité et de relations diplomatiques normales avec les pays arabes, incluant la reconnaissance de l’Etat d’Israël.

Ce plan, qui devrait aboutir à la création d’un Etat palestinien, est frappant dans la mesure où il inclut tous les pays arabes dans le pacte proposé. Il a été bien accueilli par quelques responsables israéliens et par la presse, par des dirigeants arabes, ainsi que des représentants de gouvernements européens et du gouvernement américain, notamment Javier Solana, responsable de la politique étrangère de l’Union européenne, et Colin Powell, secrétaire d’Etat américain, ainsi que par le secrétaire général des Nations unies Kofi Annan. Bien que les détails de l’initiative saoudienne aient besoin d’être mis au point, cette proposition apporte une lueur d’espoir au milieu de la violence qui règne dans cette région.

Source : San Francisco Chronicle, Etats-Unis ; BBC News Online, G.-B

Avis de « désordre mondial » [sommaire]

Dans un discours prononcé à Berlin, Heidemarie Wieczorek-Zeul, ministre fédérale du développement, a invité les nations développées à une plus grande coopération au développement, en réponse aux attentats terroristes du 11 septembre, déclarant qu’après ces attentats, un monde aux critères plus équitables, et « non pas un nouvel ordre mondial », était nécessaire.

La misère, l’impuissance et le sentiment d’échec constituent un terreau fertile favorisant la croissance du terrorisme à travers le monde. C’est pour cette raison que les pays industrialisés doivent parvenir à un accord mondial avec les autres, en vue de créer un monde plus juste.

Selon H. Wieczorek-Zeul, les restrictions commerciales frappant les produits en provenance des pays en voie de développement, dans les Etats de l’OMC, doivent être éliminées. Les pays en voie de développement qui travaillent de manière indéniable à la réduction de la pauvreté devraient être récompensés par un système de primes. Mme Wieczorek-Zeul a également préconisé une « contre-taxe » dont le but serait de freiner le déclin des pays en voie de développement.

Source : Süddeutshe Zeitung, Allemagne

Cessez-le-feu au Sri Lanka [sommaire]

Depuis la déclaration d’un cessez-le-feu émise par les deux camps adverses, la guerre ethnique qui perdure au Sri Lanka est en bonne voie de trouver une issue. Ce cessez-le-feu, obtenu par des négociateurs norvégiens, a été signé par le gouvernement et les Tigres de libération de l’Eclam tamoul qui réclament la création d’un Etat tamoul au sein du Skri Lanka.

Cet accord est un premier pas vers un processus de paix au Sri Lanka, qui exigera des discussions longues et difficiles entre les deux parties. On estime que ce conflit, qui dure depuis plus de vingt ans, a fait 60 000 morts.

Ce cessez-le-feu est la première trêve bilatérale depuis sept ans. En 1995, un cessez-le-feu se termina au bout de cent jours lorsque des rebelles Tigres attaquèrent deux avisos-torpilleurs du gouvernement sri lankais. Mais il existe un espoir que la pression internationale qui s’exerce sur les Tigres dans le cadre de l’effort mondial de lutte contre le terrorisme les incite à négocier un accord avec le gouvernement.

Source : Radio Netherlands

 

Entretien

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Environnement

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Esotérisme

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Faits et prévisions

Au fil des années, Partage international a régulièrement publié des articles soulignant les attentes de Maitreya, telles qu'elles ont été présentées par l'un de ses collaborateurs vivant à Londres au sein de la même communauté, à propos d'un certain nombre de changements politiques, sociaux, écologiques et spirituels devant se produire dans le monde. Périodiquement, Benjamin Creme et son Maître ont également partagé leur point de vue sur les développements à venir. Dans cette rubrique intitulée « Faits et Prévisions » notre rédaction analyse les nouvelles, les événements et les déclarations ayant un rapport avec ces prévisions et points de vue.

L’augmentation des inégalités dans le monde [sommaire]

« Là où les forces du marché constituent la seule priorité, l’inégalité est certaine et l’injustice en résulte. » [Benjamin Creme, la Mission de Maitreya, tome II]

Selon une récente étude de la Banque mondiale, 1 % de la population la plus aisée (soit 50 millions de foyers) dispose d’un revenu annuel moyen de 24 000 dollars, soit davantage que le revenu cumulé des 60 % les plus pauvres (2,7 milliards de ménages).

Les informations sur l’accroissement des inégalités dans le monde continuent à alimenter les craintes concernant l’impact de la mondialisation sur les catégories les plus défavorisées. D’après l’économiste Branko Milanovic, les inégalités augmentent rapidement. Il estime à 5% leur progression pour la période 1993-1998, un taux équivalent à celui qu’a connu la Grande-Bretagne durant l’ère Thatcher.

Jusqu’à présent, les études se limitaient à comparer les revenus moyens d’un pays à l’autre. Mais cette nouvelle étude démontre que l’écart entre riches et pauvres est beaucoup plus important qu’on ne l’avait réalisé. Pour la première fois, elle offre une comparaison entre les revenus des foyers de tous les pays, s’appuyant sur une série d’enquêtes qui couvrent 84 % de la population mondiale et 93 % du revenu mondial.

Cette étude montre que la principale source d’inégalités provient de la différence entre les revenus moyens au sein des cinq économies dominantes (les Etats Unis, le Japon, l’Allemagne, la France et la Grande-Bretagne) et ceux des régions rurales démunies de l’Inde, de la Chine et de l’Afrique. Toutefois, l’écart grandissant qui existe entre les zones urbaines et rurales en Chine constitue également l’un des facteurs prépondérants du développement des inégalités.

Au cours de la période quinquennale sur laquelle a porté l’étude, le revenu mondial réel per capita a augmenté de 5,7 %. Toutefois, l’analyse de la répartition des revenus révèle que le segment des 20 % les plus riches a vu ses ressources croître de 12 %, tandis qu’au bas de l’échelle, les revenus des 5 % les plus modestes s’effritaient de 25 %. Dans deux régions du monde cette baisse est encore plus accentuée. Il s’agit de l’Europe orientale et de l’ancienne Union soviétique, où les revenus ont régressé de manière dramatique après la fin du communisme, ainsi que de l’Afrique sub-saharienne où guerres, famines et épidémies ont fait chuter la production économique.

L’étude met de surcroît en lumière la faiblesse de la classe moyenne à l’échelle mondiale. Sur l’échelle des revenus, la plupart des foyers se classent soit dans la partie basse, soit dans la partie la plus haute.

L’étendue des écarts entre riches et pauvres (84 % de la population mondiale ne reçoit que 16 % du revenu disponible) a fait grandir un sentiment d’inquiétude depuis que le monde a été confronté à la menace d’actions terroristes orchestrées par des groupes localisés dans certains des pays les plus pauvres. En même temps, l’extension des réseaux de communication internationaux pourrait bien contribuer à rendre ces écarts de revenus (les 10 % les plus riches percevant 114 fois le revenu des 10 % les plus pauvres) difficiles à maintenir.

Source : BBC News Online, G.-B.

Le courage de refuser : des Israéliens prennent position [sommaire]

Le peuple se révoltera contre l’armée. » [Maitreya, SI juil. 1988]

Le Conseil pour la paix et la sécurité, association influente rassemblant environ 1 000 réservistes israéliens, des généraux, des colonels et de hauts responsables de la sécurité, a envoyé une pétition au gouvernement israélien pour lui demander de retirer ses troupes de Gaza, renoncer aux colonies, les démanteler et reconnaître l’Etat palestinien. Il s’oppose également à l’utilisation des troupes israéliennes pour protéger les colons, alors qu’elles devraient garder la frontière israélo-palestinienne. Le Conseil a diffusé un journal et mis une annonce dans Ha’aretz, un quotidien de Jérusalem. Il a rencontré Shimon Peres, ministre des Affaires étrangères et Binyamin Ben-Eliezer, ministre de la Défense, mais le premier ministre Ariel Sharon a refusé de lui accorder une audience.

Cette prise de position suit de près le refus historique de 263 réservistes israéliens de servir dans les territoires occupés. Les déclarations faites sur le site Internet des réservistes (www.seruv.org.il) apportent des preuves accablantes sur les atrocités commises par les troupes israéliennes, allant de la destruction de maisons palestiniennes jusqu’à l’humiliation de personnes âgées et l’assassinat d’enfants.

En dépit de la faible couverture médiatique de ce débat grandissant, l’appel lancé par les réservistes a permis au mouvement israélien la Paix maintenant de réaffirmer sa position en tant que force politique en Israël. C’est un fait reconnu que beaucoup d’Israéliens accueillent favorablement sa vision des choses. Comme l’ont déclaré les réservistes : « Il s’avère parfois que cette minorité n’est pas en fait une minorité. Mais c’est seulement lorsqu’elle fait entendre sa voix et réussit à trouver du soutien qu’elle devient assez forte pour influencer l’opinion de la majorité. »

Source : The New Observer, Etats-Unis

Les lois de la nature sont-elles vraiment immuables ? [sommaire]

« La nature livrera ses secrets, l’univers se soumettra à la quête mentale de l’homme, et la connaissance qui en résultera, mise au service du bien commun, embellira et enrichira toute vie sur Terre ». [Le Maître de B. Creme, Share International, mai 1982]

Une équipe internationale d’astrophysiciens britanniques, australiens et américains, conduite par John Webb, vient d’émettre l’hypothèse que les lois fondamentales de la nature, telles que nous les comprenons aujourd’hui, pourraient se modifier avec le temps.

Cette équipe a analysé la lumière émise par de lointains quasars et filtrée par des nuages de gaz (chargé d’atomes et de molécules de métaux), situés à des distances variables, et donc d’âges différents. En comparant le comportement de la lumière traversant un de ces nuages, il y a douze milliards d’années, et son comportement actuel, ces chercheurs auraient décelé une légère variation dans une constante universelle. Si c’était le cas, d’autres constantes ( la vitesse de la lumière, par exemple) pourraient subir le même sort et tomber dans la catégorie moins prestigieuse des variables.

Les réactions de la communauté scientifique sont divisées, et demandent pour la plupart des vérifications complémentaires (ne serait-ce que parce que la variation constatée est infime). Néanmoins, cette hypothèse répond à une attente, cette communauté étant parcourue depuis des décennies par un questionnement sur l’invariabilité des constantes. Témoin, ce commentaire d’un physicien européen du Fermilab, pour lequel cette observation, si elle s’avérait exacte, nous conduirait non seulement à devoir réviser nos idées sur l’évolution et le fonctionnement du cosmos, mais renforcerait la « théorie des cordes » (encore à prouver), qui postule l’existence d’autres dimensions.

Source : New York Times, Etats-Unis

Énergies de l’avenir [sommaire]

« On utilisera les énergies naturelles contenues dans les atomes de l’eau. »[B. Creme, la Réapparition du Chrit et des Maîtres]

En juin 2001 s’est tenue à Weinfeld (Suisse) une conférence internationale sur les nouvelles énergies, qui a réuni 200 scientifiques de tous horizons.

L’un des principaux intervenants, le professeur Jean-Pierre Vigier, y a exposé les travaux sur la fusion à froid, menés par le professeur Zvonko Maric, chef du département de physique de l’Université de Belgrade.

La fusion nucléaire, qui est au cœur du fonctionnement des étoiles, consiste à faire fusionner deux atomes et à récupérer l’énergie dégagée par cette réaction. On croit généralement que cette fusion ne peut se produire qu’à très haute température et sous des pressions très élevées. Mais le professeur Maric a développé avec succès un procédé simple de fusion à froid. Selon J.-P. Vigier, les expériences du professeur Maric ont été reproduites avec succès dans plusieurs pays.

Rappelons que si la fission nucléaire produit de grandes quantités d’isotopes radioactifs dangereux, la fusion nucléaire est généralement sans danger écologique.

Electricité de France (entreprise qui a depuis longtemps axé sa politique sur la fission) suit de près cette question et avait envoyé à la conférence un certain nombre de représentants. D’autant que, selon J.-P. Vigier, elle s’est aperçue que les réacteurs vieillissent plus vite que prévu, et produisent donc une électricité plus chère. D’où son intérêt pour des solutions alternatives à la fois plus écologiques et plus économiques, la fusion produisant une énergie « propre » et illimitée.

Des ovnis terriens ? [sommaire]

« La Russie se livre à une intense recherche expérimentale  [ en matière de nouvelles énergies, de nouveaux modes de transport…], sous l’impulsion des Frères de l’espace, qui y ont fondé une communauté » [Benjamin Creme, la Mission de Maitreya, tome II]

Lors de cette même conférence ont été exposées deux nouvelles techniques qui pourraient révolutionner les transports, en particulier en utilisant le vide quantique. Contrairement à ce que l’expression pourrait laisser croire, ce vide quantique n’est pas un espace vide, mais un champ d’énergie d’une très haute densité. De nombreux laboratoires essaient de trouver le moyen de la domestiquer.

La première de ces techniques a été mise au point par le Britannique John Searl. Son appareil, le « Searl Effect Generator », appelé aussi disque à effet de lévitation, est un disque à la périphérie duquel ont été disposés une série d’aimants. Le disque mis en rotation décolle et reste en suspension, sans autre moyen de propulsion que le champ électromagnétique créé par les aimants en rotation.

Le second projet a été présenté par deux ingénieurs russes, Vladimir Roshin et Sergei Godin, de l’Institut de recherches sur les hautes températures de Moscou. Il fonctionne en gros sur le même principe et a des résultats très proches. La vidéo présentée montre que le disque mis en rotation par un moteur, accélère ensuite tout seul. Au bout d’un certain temps, on observe, si la rotation se fait dans le sens des aiguilles d’une montre, une brusque chute de poids du dispositif, ce qui démontre un effet antigravitationnel, et une augmentation de poids dans le sens inverse. On observe également l’apparition, autour du générateur, d’une couronne lumineuse rose-bleuâtre, ainsi qu’une odeur d’ozone – phénomènes fréquents dans les observations d’ovnis.

Source : für uns/vita sana, Suisse

L’enterrement, facteur de pollution [sommaire]

La crémation est la seule manière scientifique et hygiénique de faire disparaître complètement le corps après la mort. Chacun se charge durant le processus de son incarnation de germes pathogènes – comme ceux du cancer, de la syphilis et de la tuberculose, qui se sont accumulés tout au long de l’Histoire de l’humanité, certains remontant aux temps les plus reculés. L’enterrement réintroduit, en effet, ces germes dans la terre, et ils sont ensuite réabsorbés par l’animal et l’homme via la chaîne alimentaire. Cette pratique est si ancienne (des milliers d’années) que ces maladies sont devenues endémiques et qu’il faudra des siècles pour les faire disparaître entièrement. La crémation constitue le premier pas majeur dans ce sens. » [BC, PI, juillet/août 1995]

Pour Rainer Horn, professeur à l’université de Kiel (Allemagne), les discussions et les recherches sur des questions comme la pollution de l’air et de l’eau laissent de côté un facteur important de contamination : la décomposition du corps humain, qui affecte le sol et les nappes phréatiques. Le nombre des enterrements, qu’il évalue à 650 000 par an pour la seule Allemagne, rend selon lui ce type de nuisance de 3 à 4 fois supérieure à celle causée par les engrais chimiques et autres pesticides.

Source : Die Zeit, Allemagne

La circulation empoisonne les Londoniens [sommaire]

« … Le niveau de pollution toxique atteint aujourd’hui un seuil critique et a engendré les différents virus qui portent atteinte (ou mettent à rude épreuve) le système immunitaire de l’homme aussi bien que celui de la nature… Grâce à des conseils avisés, ainsi qu’avec la volonté de changer, ces problèmes devraient être surmontés, disons d’ici les vingt ans à venir. » [PI, octobre 1989]

Lors d’une étude réalisée pour le compte de la commission de santé de Londres, l’agence de gestion du trafic londonien a établi que les risques de décès liés à la pollution automobile sont, pour les Londoniens, supérieur de 30 % aux risques d’accident de la circulation.

Source : BBC tv ; Ceefax, G.-B.

 

Fenêtre sur le monde

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La voix de la raison

« Hormis la guerre, rien ne compromet aussi gravement l’avenir de l’humanité que la pollution. Constatant qu’il en est ainsi, certains pays ont pris des mesures pour la réduire et pour limiter le réchauffement climatique. D’autres, parfois parmi les plus gros pollueurs, nient la réalité d’un tel réchauffement en dépit des preuves qui s’accumulent. A tout moment, dorénavant, les changements climatiques montrent sans l’ombre d’un doute que la planète est malade, qu’elle a besoin de soins immédiats et attentifs pour retrouver l’équilibre. Le temps nous est compté pour mettre fin aux ravages que subit quotidiennement la planète Terre. Chaque homme, chaque femme, chaque enfant a son rôle à jouer dans sa restauration. Oui, le temps presse. Save Our Planet (S.O.P.), sauvons notre planète ! » Source : Le Maître de B. Creme, S.O.P. Sauvons notre planète, 8 septembre 2012
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La voix des peuples

Cette rubrique est consacrée à une force en plein développement dans le monde. La voix du peuple ne cessera de s’amplifier jusqu’à ce que, guidés par la sagesse de Maitreya, les peuples conduisent leurs gouvernements à créer une société juste dans laquelle seront respectés les droits et les besoins de tous.
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Le point de vue de Maitreya

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Le respect de la loi

« Chaque fois qu’il y a affaiblissement de la loi… et accroissement général du désordre, alors je me manifeste. » (Bhagavad Gita). La promesse de Krishna, l’Avatar, semble particulièrement d’actualité. C’est pour tenir cette promesse que Maitreya, l’Avatar de notre ère, est présent dans le monde à une époque où l’anarchie est si répandue. « Lorsqu’une nation parvient à l’âge adulte, à la maturité, les relations qu’elle établit avec les autres changent du tout au tout. Elle commence à respecter l’autorité de la loi qui unit toutes les nations, les liant dans leurs responsabilités et leurs besoins mutuels. Le développement vers la maturité se signale précisément par un tel respect des lois que les hommes ont estimées nécessaires pour vivre ensemble en paix… Lorsque, parmi les nations, l’on ignore l’autorité de la loi, c’est le monde entier qui en souffre. » (Le Maître — PI, avril 2004) Actuellement, les traités et les résolutions de l’Onu sont méprisés, et les lois nationales et internationales sont bafouées. Dans ce contexte, nous présentons des brèves mettant en exergue la nécessité d’un respect renouvelé de la loi.
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Les enseignements de Maitreya

La lumière [sommaire]

par Un collaborateur de Maitreya,

Entre 1988 et 1993, Maitreya, l’Instructeur mondial, a communiqué des fragments de ses enseignements. L’un de ses plus proches collaborateurs, de la communauté de Londres, les a transmis à Partage international pour publication et diffusion sous forme de communiqués de presse aux médias du monde entier. Exprimés dans les termes de ce collaborateur, les enseignements spirituels de Maitreya sont ici regroupés par thèmes, dans le but d’en faciliter l’étude et leur application dans la vie quotidienne.

La lumière est le spectre de toute la création. [Partage international, septembre 1988]

Dans la lumière se trouve toute la création. La lumière est la mère de la création. Le « commencement » et la « fin » se trouvent dans la lumière. [septembre 1988]

Le relatif et l’absolu sont des faces de la lumière. Maitreya dit que « l’univers provient de la lumière. Toute âme n’est qu’une étincelle de cette lumière. Lorsque cette étincelle de lumière s’approche de la totalité de la lumière, elle s’y fond. » [sept. 1988]

C’est la même lumière qui se trouve dans l’épine dorsale du serpent et dans celle de l’homme. [septembre 1988]

Toutes les cellules vivantes sont intimement liées entre elles par l’intermédiaire de la lumière. Chaque atome est étroitement lié aux autres par l’intermédiaire de la lumière. Un temps viendra où nous pourrons transformer cette lumière. Que se produit-il alors ? Le corps se dématérialise. Les Adeptes et les Maîtres peuvent accomplir cette transformation. Vous-mêmes pourrez le faire un jour. La matière peut être transportée d’un point à un autre par l’intermédiaire de la lumière. C’est ainsi que le corps astral d’un défunt peut se matérialiser. Il s’agit d’une démonstration du pouvoir de la lumière.
Avec le temps, les hommes de science seront en mesure d’appréhender ces processus, de comprendre ces lois de la nature. Lorsque vous deviendrez conscients, avertis et détachés, vous manipulerez ces lois à des fins qui ne seront pas égoïstes. Votre mental deviendra stable. Vous cesserez de lutter. La prise de conscience crée un autre type de connaissance et de sagesse. [avril 1989]

Des savants apprennent maintenant à maîtriser la technologie de la lumière, à laquelle Maitreya donne parfois le nom de « lumière éclatante ». Quand vous regardez la lumière éclatante à travers le troisième œil, au moment où vous entrez en contact avec elle, elle vous fournit de l’énergie.
Dans le corps physique, la glande pinéale est le siège de cette lumière, et cet endroit contrôle toutes les fonctions du corps. Quand cette lumière s’en va, vous n’êtes plus. Lorsque vous ramenez cette lumière éclatante dans le corps, celui-ci ressuscite.
Jusqu’ici, seuls les yogis et les gurus ont maîtrisé l’art de diriger cette lumière éclatante, aux niveaux mental et spirituel. Et pourtant, ce ne sont pas là des pouvoirs « divins ». [mars 1992]

On ne devrait pas être attaché à la lumière. La lumière, comme la beauté, est faite pour être appréciée. L’univers, créé par le Créateur, est situé dans cette lumière. [mars 1990]

Certains individus ont vécu l’expérience consistant à quitter leur corps physique. Ils déclarent s’être engagés dans un tunnel, un trou obscur, car ce que nous appelons l’obscurité est situé dans l’Etre suprême. Lorsque le Soi retourne dans son domaine, la sensation éprouvée est celle d’un mouvement de la lumière vers l’obscurité. Il en va ainsi car là où réside le Soi, il n’existe aucun mouvement.
Dès qu’il y a lumière, il y a création. Sans lumière, il n’y a pas de création. De nombreux scientifiques parlent d’un big bang. A ce moment-là, la lumière a jailli. Grâce aux couleurs, aux vibrations et aux sons, la création est apparue. [juil./août 1990]

Maitreya interroge : « Si vous méditez sur la lumière, l’alpha et l’oméga de la création, où irez-vous ? Dans la création. Vous pouvez faire l’expérience des pouvoirs psychique, spirituel et mental. Cela vous apporte-t-il la liberté et le salut ? Non. Pourquoi nul ne parle ainsi ? Parce que ceux qui ont médité sur la lumière ont ensuite besoin d’être entourés de personnes, de disciples. Lorsque vous cherchez la liberté et le salut, pourquoi méditer sur la lumière ? Par le mental, vous arriverez à la technologie de la lumière. Par l’esprit, vous développerez des pouvoirs spirituels. Vous pourrez même faire des choses miraculeuses. Mais cette fois, je suis venu vous apprendre la liberté et le salut. » [septembre 1988]

Les jeunes savent où se trouve le pouvoir : il ne réside pas dans les balles des fusils mais dans le cœur, qui est la source de la lumière. La vie s’introduit dans le corps grâce à la lumière. Elle réside dans le cœur. Le corps peut fonctionner lorsque la lumière est présente. C’est la raison pour laquelle Maitreya déclare que celui qui contrôle la lumière contrôle la vie. [juillet/août 1989]

Il est possible d’apprendre à utiliser et à contrôler cette technologie. Mais ne soyez pas attachés, même à la lumière, ou vous en perdrez le contrôle et serez enchaînés. Personne ne peut s’approprier cette lumière. [juin 1989]

 

Les mensonges dévoilés

Le 15 février 2003, à Londres, Maitreya a été filmé sous les traits d’un Antillais, lors de la marche pour la paix (voir PI, avril 2003). « Je suis fier aujourd’hui d’entendre mes frères et mes sœurs dire la vérité et dénoncer les mensonges. C’est tellement magnifique ! » a-t-il déclaré. Depuis, les mensonges sont de plus en plus dénoncés.
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Les priorités de Maitreya

« Pour aider les hommes dans leur tâche, Maitreya, l’Instructeur mondial, a formulé certaines priorités. Assurer à tous un approvisionnement correct en nourriture ; procurer à tous un logement convenable ; fournir à tous soins médicaux et éducation, désormais reconnus comme un droit universel. » Le Maître de Benjamin Creme, Partage international, janvier 1989. Dans cette rubrique, notre rédaction aborde les questions relatives aux priorités énoncées par Maitreya et présente des expériences orientées dans cette direction.

Grave pénurie d’aménagements sanitaires [sommaire]

Selon la Pan American Health Organization (PAHO), le déficit en aménagements sanitaires élémentaires, concernant 40 % de la population mondiale, est responsable de trois millions de décès chaque année. La PAHO affirme que le manque d’eau potable et l’absence de réseaux d’assainissement rendent la situation particulièrement critique en Afrique et en Asie, tandis qu’en Amérique centrale et en Amérique du Sud,  77 millions de personnes ne peuvent accéder à l’eau potable.

Pour résoudre le problème des 2,4 milliards de personnes n’ayant pas accès aux aménagements sanitaires de base, et des 1,1 milliard de personnes privées d’eau potable, sur une population totale de 6 milliards, 23 milliards de dollars d’investissements annuels seraient nécessaires au cours des 25 prochaines années, soit une somme de 44 % supérieure à celle actuellement allouée. C’est ce qu’affirme Richard Jolly, président du Water Supply and Sanitation Collaborative Council, association constituée de 1 100 experts du monde entier, qui travaillent en collaboration avec l’ONU afin de promouvoir une politique sanitaire visant à soutenir le développement humain.

Le Conseil collaboratif a approuvé le programme « Water for People » ( De l’eau pour tous), dont le but est que chaque habitant de la planète ait accès à des aménagements sanitaires et hygiéniques de base, d’ici 2025.

Source : InterPress Service

Nouvelle approche vis-à-vis de la maladie mentale [sommaire]

Le dernier rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur la maladie mentale révèle quelques faits étonnants. Communiqué récemment à la presse, il indique qu’une personne sur quatre sera à un moment ou à un autre dans sa vie touchée par des désordres neurologiques ou mentaux. Environ 450 millions de personnes souffrent actuellement de telles affections, ce qui place les désordres mentaux parmi les premières causes de maladie et d’invalidité dans le monde.

Bien qu’il existe un grand nombre de traitements, presque les deux tiers des personnes reconnues comme étant atteintes de troubles mentaux ne recherchent jamais l’aide de professionnels de la santé. Il semblerait qu’ils craignent les stigmates associés aux maladies émotionnelles et neurologiques, ainsi que la discrimination et le rejet qui y seraient associés.

Mais l’OMS encourage les gouvernements à briser le cercle vicieux de la discrimination et du rejet contre la maladie mentale par la recherche de solutions viables. Les auteurs du rapport recommandent la réduction de la taille des centres de soins, le retour vers des centres de soins communautaires ainsi que l’intégration des services de santé mentale au sein du système de santé général.

Parmi les principales causes de maladies dans le monde, les troubles liés à la dépression se situent en quatrième position ; on s’attend à ce qu’elles prennent la deuxième place dans la liste d’ici peu. Environ un quart des pays dans le monde ne disposent d’aucune législation concernant la santé mentale, et plus d’un tiers consacrent moins de 1 % de leur budget à la santé mentale. Ce sont souvent les pauvres qui sont touchés par la maladie mentale suite à l’insuffisance des soins qu’ils reçoivent et au fait qu’ils sont davantage confrontés au stress et à des conditions de vie dangereuses. Les problèmes de logement, la malnutrition ainsi que l’exploitation représentent seulement quelques-uns des facteurs les rendant plus vulnérables. Le Dr Gro Harlem Brundtland, directrice générale de l’OMS, a déclaré : « J’espère que ce rapport dissipera des doutes et des dogmes de longue date, et qu’il marquera le début d’une nouvelle ère dans le domaine de la santé mentale. »

Source : Communiqué de presse de l'OMS

Eradiquer la polio [sommaire]

Les experts en matière de santé ont annoncé que la polio était quasiment éradiquée. Lancée en 1988, l’Initiative mondiale pour l’éradication de la polio s’était engagée à libérer le monde de cette maladie d’ici l’an 2005.

Le nombre de cas déclarés a chuté de 99 % depuis 1998, passant de 350 000 à 3 500.

Source : The Guardian, G.-B.

 

L’humanité une

Lorsque l’homme acceptera vraiment le fait que l’humanité est une et que les hommes, entre eux, sont frères, quand il traduira ces vérités en actes, toutes choses pourront en toute sécurité lui appartenir. Son héritage l’attend. Ainsi les hommes devront-ils apporter la preuve qu’ils sont prêts pour la paix, prêts à pénétrer ensemble dans l’avenir, sans effusion de sang ni compétition. Ils devront se réjouir de partager et de travailler en harmonie pour le bien de tous. Quand les hommes, d’eux-mêmes, seront dans ces dispositions, ils en appelleront à Maitreya (quel que soit le nom sous lequel ils le connaîtront) pour leur montrer le chemin, les faire sortir du chaos, et les conduire vers une ère de paix. (L’héritage de l’homme, par le Maître de Benjamin Creme).
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L’Unité dans la diversité

« Le but de notre vie, que nous en ayons pris conscience ou non, est l’instauration de l’unité, la manifestation de l’unité qui existe déjà. Chaque atome de l’univers est relié à tous les autres atomes. » Benjamin Creme, L’Unité dans la diversité.
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Regard sur le monde

Dans cette rubrique, Partage international met en lumière certains problèmes urgents qui nécessitent une nouvelle approche et des solutions durables.

Le projet Maitreya : Une statue de Maitreya Bouddha qui doit durer mille ans [sommaire]

Une statue de bronze de 150 m de haut, représentant Maitreya Bouddha – le Bouddha qui doit venir, ou cinquième Bouddha attendu par les bouddhistes – représentera la pièce centrale d’un vaste complexe de temples, monastères, équipements médicaux, musées, salles d’expositions, écoles, bibliothèques et jardins, dans la ville de Bodh Gaya, dans l’Etat du Bihar (en Inde) où Sakyamuni (Gautama) Bouddha serait parvenu à l’illumination, il y a quelque 2 540 ans.

Le « projet Maitreya » prévoit l’achèvement de la statue pour janvier 2005, le parc et les équipements alentours, soit près de 16 ha, suivant peu après. Selon les responsables du projet, la forme de Maitreya Bouddha est la personnification archétypale de la bonté et de la compassion, et la statue contribuera à la paix dans le monde en inspirant la génération de ces qualités dans l’esprit de tous ceux qui verront la statue et la vénéreront.

En plaçant cette statue dans l’une des régions les plus sacrées, et cependant l’une des plus pauvres de l’Inde, ce projet vise également à revitaliser l’économie et la culture sociale de toute cette région, en incluant des dispositions prises pour le long terme en matière de perspectives d’emplois, d’enseignement, de formation, de services et de développement des infrastructures régionales.

Une fois achevée, la statue de Maitreya constituera une prouesse de l’ingénierie moderne : les défis à résoudre en matière d’architecture, de construction et d’entretien, exigent les toutes dernières qualifications dans diverses technologies. L’énorme construction doit pouvoir résister aux vents violents, aux changements extrêmes de températures, aux pluies saisonnières, à d’éventuels séismes et inondations, ainsi qu’à la pollution de l’environnement pendant au moins mille ans. « Pour les techniciens et les ingénieurs, l’exigence la plus cruciale est la durée de vie de mille ans, laquelle influence presque tous les aspects de la conception architecturale et du choix des matériaux », estime Rudy Harderwijk, le métallurgiste du Projet Maitreya.

Mais, plutôt que de se focaliser sur la seule durabilité physique de la statue, ce projet se propose de développer, à Bodh Gaya, des équipements éducatifs offrant un « enseignement universel », depuis le jardin d’enfants jusqu’au niveau universitaire. Il se concentrera sur le développement des qualités éthiques et spirituelles des étudiants afin que les diplômés soient plus compétents pour comprendre leur propre environnement socioculturel et soient capables d’aider les changements à se produire dans leurs communautés.

Pour de plus amples informations, consulter le site : www.maitreyaproject.org

 

Autres

Por favor, no tire basura [sommaire]

par Diana Gold Holland,

« Ma vie est comme un puzzle dont toutes les pièces étaient mélangées, commence Maria Yancey de Castelazo, propriétaire de la pension de famille « La casa de Maria » et ambassadrice occasionnelle du petit village la Manzanilla, Jalisco (Mexique). Arrive quelqu’un qui place une pièce du puzzle, puis un autre qui en place une autre ailleurs. »

« Prenez le cas de la clinique », continue-t-elle. Des gens de passage chez elle « ont envoyé une requête via Internet, demandant à ceux qui désirent visiter cette région d’apporter du matériel de premier secours ou d’autres fournitures médicales. » Ces gens prenaient le thé avec Maria quand une étudiante en médecine était passée emprunter une aiguille et du fil. Un enfant venait de se blesser et elle manquait de fil de suture, de même que de matériel de soins. « Les réactions ont été très positives, raconte Maria, toutes sortes d’objets sont arrivés à la clinique, qui est à présent mieux pourvue. J’ai décidé de fournir une tente à oxygène et d’assurer son entretien après qu’un bébé ait dû être transporté d’urgence à la ville voisine. J’avais moi-même été victime d’une pneumonie peu de temps auparavant. L’angoisse de cette mère amenant son bébé pour le faire soigner alors qu’aucun secours n’était possible m’avait été insupportable. Un jour, un fauteuil roulant arriva d’on ne sait où, moins d’une semaine avant qu’on en ait besoin pour une personne victime d’une attaque. Il est certain que Dieu prévoit à tout, même ici. »

La Mazanilla est un petit village de pêcheurs sur la côte ouest du Mexique, sis entre les enclaves touristiques de Manzanillo et de Puerto Vallarta. Il compte quelques téléviseurs et un ou deux ordinateurs, mais une seule rue pavée qui conduit à la mer, une petite école qui mène ses élèves jusqu’en troisième année, un centre de soins, une salle de billard et une jolie baie toute ronde. Les habitants décrivent la jungle qui entoure la bourgade comme un paradis sur Terre. Pourtant, ce qui frappe dans ses ruelles ravinées et ses maisons à moitié achevées ou à demi détruites par le tremblement de terre de 1995, ce sont les ordures : des détritus partout, depuis les bouteilles en plastique jusqu’aux sacs plastiques déchirés, en passant par les canettes de bière, les pelures d’orange et les coques de noix de coco, des déchets non dégradables qui s’entassent dans les ruelles et le long de la rue principale, et même sur la plage, à proximité de la réserve de crocodiles. Il y a pourtant à travers tout le village de nombreux écriteaux portant la même requête : « Por favor, no tire basura » (s’il vous plaît, ne laissez pas traîner vos ordures).

Maria parle d’une initiative villageoise très réussie. Elle s’est arrangée pour faire livrer environ 150 barils en plastique provenant de la tannerie appartenant à son frère, située dans une autre ville. Ces barils ont été transformés en poubelles et joliment décorés par un artiste peintre local, puis déposés à travers le village, parallèlement à un projet de recyclage de déchets en plastique. Les enfants ont été encouragés à y participer au moyen de petites récompenses sous forme de jouets et de crayons. Ce programme a été une telle réussite que Maria s’est inquiétée en voyant que le stock de jouets commençait à s’épuiser. « Qu’allons-nous leur donner à la place ? », demanda-t-elle au maître d’école. Et ce que lui répondit le maître d’école émut profondément Maria. Les enfants ne voulaient pas de bonbons ou des bandes dessinées, ni même des articles de sport. Ce qu’ils désiraient, c’était des balais, afin que leur mère puisse balayer dans la maison et nettoyer les rues. Maria pensa que seuls des enfants pouvaient faire preuve d’une telle sagesse, si bien qu’ils reçurent des balais, de qualité médiocre mais utilisables. Et la propreté fit de grands progrès.

« Il reste certainement un long chemin à parcourir, déclare Maria, mais la communauté a suivi le mouvement, et cela grâce aux enfants. Au début, les gens ont tenté de percer des trous dans les barils afin de les transformer en récipients pour l’eau, et il fut difficile de leur faire comprendre que ce n’était pas ce qu’il fallait faire. Après tout, ces barils avaient contenu des produits toxiques et ne pouvaient servir pour l’eau. Nous avons peu à peu adapté leur dimension à la demande de la population et chaque famille s’est vu assigner ses propres barils. » Les barils furent déposés sur la place du village et au coin des rues. La même chose fut faite dans une autre ville où Maria avait vécu auparavant, et le résultat fut également positif.

« L’environnement est tout aussi précieux que les enfants, déclare Maria, exposant le projet sur lequel elle travaille en ce moment : créer sur un terrain qu’elle possède le long de la plage une réserve écologique de plantes et d’animaux. Mon idée est d’apprendre aux enfants à protéger toutes les espèces et les formes de vie en créant une pépinière et une zone de conservation qu’ils pourront visiter et étudier. Plusieurs groupes d’éminents universitaires américains sont prêts à nous aider à réaliser ce projet. Plus d’un professeur, ainsi que des gens appartenant à tous les milieux, se présentent et offrent de consacrer une partie de leur temps libre à l’enseignement. Ils viennent tout simplement. C’est vraiment extraordinaire. »

Maria a un autre but éducatif pour son terrain sur la plage, où il reste plusieurs grands arbres magnifiques. Jusqu’à récemment, la végétation luxuriante de cette zone était rasée, souvent parce que les villageois voulaient libérer du terrain pour y habiter. Résultat : des parcelles brûlées, recouvertes de moellons, à présent dépourvues du moindre coin d’ombre. De vilaines toiles goudronnées en plastique bleu recouvrent les abris primitifs, jurant avec le paysage, et la qualité de l’air s’est appauvrie. Maria espère montrer à quel point les arbres et la végétation de la jungle peuvent subvenir à tous les besoins, purifiant et revitalisant l’air par leur présence, apportant naturellement à la communauté de la fraîcheur, de la nourriture et un abri, ainsi que de la beauté. Elle ne touchera pas aux vieux arbres qui offriront un refuge et où les gens pourront vivre et retrouver la santé. « Surtout, ajoute-t-elle, ceux qui ont traversé de grandes souffrances. »

« Où avons-nous trouvé l’argent pour lancer tout cela ? C’est une autre pièce du puzzle, déclare-t-elle. Je n’ai pas toujours été propriétaire. En fait, je ne me suis jamais imaginée tenant une pension. J’ai élevé six enfants, trois aux Etats-Unis et trois au Mexique, pour finir par me retrouver ici à une époque difficile de ma vie. Le gros œuvre de la maison était achevé et un jour, un pensionnaire est arrivé. Il voulait la chambre du rez-de-chaussée qui était déjà terminée, et offrait de payer la somme énorme de 100 dollars par semaine pour le gîte et la nourriture. Cet argent bienvenu me permit de terminer deux autres chambres à l’étage, puis à soutenir plusieurs entreprises communautaires avec le revenu de la location. J’ai pu acheter une petite parcelle de citronniers, juste pour le plaisir, pouvant ainsi aider une famille de neuf enfants qui y vivait, et à présent le terrain du « Centro Ecológico ».

Maria déclare que toute bonne chose est le fruit du partage, le simple partage entre deux personnes. Par exemple, le village pourrait utiliser de vieilles vidéos familiales, des crayons cassés et des vêtements usagés. Pas besoin d’envois importants qui exigent des jours de dédouanement, mais de petits colis comme pour des fournitures de premiers secours. Pour le centre écologique, elle aimerait recevoir des vidéos sur la nature comme celles du National Geographic, même celles concernant des ours ou des pingouins, afin que les enfants apprennent à connaître les créatures de Dieu qui vivent ailleurs. « Nous avons ici un réel besoin de bonnes vidéos. Un appareil VCR se trouve aisément, mais il est difficile de trouver des bandes vidéo. Envoyer de tels articles est un geste très simple si l’on songe à tous les objets que les familles du Nord possèdent et qu’elles n’utilisent plus. Le partage est un autre moyen d’éviter le gaspillage. »

Pour contacter Maria Yancey de Castelazo : Tél/fax : 011-52(3)351 5044.

La magie de la Madone [sommaire]

par Janeece Kelsall,

En 1998, à Clifton Springs,Victoria (Australie), Sue Sharples eut une rencontre avec une présence divine, et cela changea à jamais son regard sur la vie.

Gravement malade, Sue était alitée, souffrant d’une broncho-pneumonie, et ses pensées tournaient autour de l’éventualité de sa mort, quand elle vit la Madone se matérialiser devant elle. Sue, est mariée à un scientifique et pense avoir un esprit cartésien, bien qu’elle ait pu ressentir parfois des « drôles de sensations » lui donnant le pressentiment de ce qui allait arriver.

Après avoir subi de graves crises familiales personnelles, Sue s’était affaiblie jusqu’à l’épuisement total lorsqu’elle fut frappée par une broncho-pneumonie fulgurante. Ayant refusé d’être transportée à l’hôpital, elle était allongée dans son lit, songeant à sa mort prochaine, lorsqu’elle vit une petite boule de lumière. La boule grandit progressivement et prit la forme de la Vierge.

La beauté de cette vision submergea Sue. La Madone était entourée d’une immense aura de lumière blanche, chatoyante. Vêtue d’une robe bleue, elle portait un voile sur la tête. Elle semblait bouger et parler, bien que ses lèvres restaient closes. Sue se leva et s’assit sur le bord du lit, fixant la vision, intimidée.

La Madone prédit à Sue que tous ses problèmes seraient résolus, qu’elle avait un dessein à accomplir et qu’elle devait réapprendre à faire confiance aux gens. Sue éprouva alors une sensation de pouvoir et de force qui est depuis lors demeurée en elle.

La Madone lui demanda « d’aller chercher dans la cour un gros bloc de grès ». Le lendemain, bien que très malade, Sue déplaça seule un énorme bloc de grès de 1 m 20 de hauteur, extirpé d’un tas de gravats resté dans l’arrière cour depuis la construction de la maison. Galvanisée par une force qu’elle ignorait posséder, elle traîna ce bloc sur trois mètres, jusqu’au milieu de la cour. Il lui fallut ensuite l’aide de trois personnes pour mettre le bloc debout. Sue travailla intuitivement le bloc durant deux jours, et à mesure qu’elle martelait la pierre, elle recouvrait la santé.

Sue se servit de tout ce qui lui tomba sous la main pour s’attaquer à la pierre. «  J’avais tout simplement envie de la rouer de coups », déclare-t-elle. Elle prit des outils dans la remise (tournevis, burin, marteau). Elle constata que le bloc de grès s’effritait lorsqu’il était martelé avec vigueur. Elle utilisait aussi une brosse, la pierre n’ayant besoin parfois que d’être brossée pour s’écailler. En fait, il semblait s’agir d’une statue de granit enveloppée d’une épaisse couche de plâtre, le martelage ne faisant qu’attaquer la gangue extérieure afin de révéler « la perle intérieure ».

Sue s’acharna ainsi durant deux jours, ne prenant aucun repas, se contentant d’un peu d’eau. Elle en oubliait l’ardeur du soleil qui lui brûlait la peau. Deux jours plus tard, Sue, brûlée par le soleil, épuisée et ayant à peine dormi, faisait face à une statue de 80 cm de haut, représentant la plus belle et la plus sereine des dames. La statue était totalement identique à sa vision et Sue avait retrouvé une santé parfaite.

Sue déclare qu’elle ressent une paix extraordinaire émaner de la statue. Cette « Dame du roc » irradie un puissant magnétisme et orne maintenant son jardin, y diffusant une merveilleuse énergie curative.

Avant la création de la statue, Sue n’avait jamais ressenti le désir de sculpter, mais depuis lors, et à plusieurs reprises, elle a senti cette même force irrésistible la saisir. C’est lors de l’un de ces moments d’« inspiration divine » qu’elle façonna une autre sculpture. Il s’agit d’une grande tête qui offre des ressemblances stupéfiantes avec les statues de l’île de Pâques.

Sue ignore ce qu’il y a derrière cette aptitude artistique inexpliquée qui s’est emparée d’elle, ni où elle la mènera, ni si elle continuera dans cette voie. Ce dont elle est consciente, c’est qu’elle lui a apporté un sentiment de paix et la compréhension que dans toute chose se trouve une dimension qui lui était inconnue auparavant. Mais plus que tout, elle lui a réappris à avoir confiance.

Le Maître de B. Creme a indiqué que la vision de lumière a été matérialisée par le Maître Jésus. Et le Maître qui fut la Madone a galvanisé Sue afin qu'elle fasse apparaître la statue dans le bloc de grès. L'énergie qui émane de cette statue vient de ce Maître.

 

Citation

La tyrannie, l’instabilité et la misère [sommaire]

par Nelson Mandela,

« Ne serait-il pas temps que nous cessions de considérer la tyrannie, l’instabilité et la misère, où qu’elles se manifestent sur le globe, comme étant d’importance secondaire, et sans incidence directe sur nos intérêts et notre avenir ? »

 

Message de Maitreya

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Brève

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Courrier des lecteurs

Partage international dispose d’une réserve importante de courriers qui ont été confirmés par le Maître de Benjamin Creme comme relatant de véritables rencontres avec des Maîtres, ou un « porte-parole », mais qui n’ont pas encore été publiés. D’autres courriers présentés ici sont plus récents. Pour ces derniers, bien que nous ne puissions pas confirmer ou indiquer si un Maître est impliqué, l’expérience peut être telle qu’elle « parle d’elle-même » en apportant espoir, inspiration et réconfort. Nous présentons ces courriers à votre considération.

Une grande ressemblance [sommaire]

Cher Monsieur,

En 1996, un samedi après-midi, vers 15 heures, j’étais assis dans mon salon lorsque j’aperçus la tête et les épaules d’un homme qui passait devant ma fenêtre et se dirigeait vers la porte d’entrée. Au moment où il frappa, je pus voir l’arrière de sa tête. Il ressemblait à Benjamin Creme. C’était lui ! Il avait du décider de me rendre visite ! Cependant, en ouvrant la porte, je vis que je m’étais trompé. Le visiteur me salua d’un signe de la main en disant : « Crewe Works ! », le nom local des ateliers, désormais privatisés, des locomotives British Railways, ateliers que j’ai quittés il y a vingt-cinq ans après y avoir travaillé pendant dix-sept ans. Je crus vaguement reconnaître un collègue de travail que je n’avais pas vu depuis trente ans. Je me souviens qu’il avait des cheveux épais et bouclés (noirs à l’époque) qui pouvaient très bien ressembler maintenant aux cheveux de Benjamin Creme. Mais je suis pratiquement certain que, depuis si longtemps, il ne pouvait savoir où j’habitais.

Il dit quelque chose comme :  « Cela ne vous dérange pas si je laisse ma voiture dans votre allée ? Je vais à Warrington pour acheter un clavier. Vous étiez vous-même musicien, n’est-ce pas ? » Etant donné que le parking voisin était complet, je répondis : « Oui, bien sûr. » Il alla chercher sa voiture, une voiture ordinaire, rouge ou marron, et la laissa devant la maison. Il revint environ trois heures plus tard et s’en alla.

Par la suite j’ai pensé qu’il s’agissait peut-être de Maitreya, ayant lu qu’il pouvait apparaître sous les traits de Benjamin Creme ou d’une personne familière. Cet homme ressemblait à Benjamin Creme vu de dos et à un vieux collègue de travail vu de face ! Il est arrivé parfois que des collègues et des amis récents utilisent mon allée, mais cette fois il s’agissait d’un homme que j’avais oublié depuis longtemps. Qui était-ce ? Imaginez ! Il est venu frapper à ma porte !

T. W., Crewe, Cheshire, G.-B.

Le Maître de Benjamin Creme a confirmé que le visiteur était Maitreya.

Une joie soudaine [sommaire]

Cher Monsieur,

Le 9 juin 1998, dans la soirée, je pris le métro pour rentrer chez moi. Le wagon étant pratiquement vide, je choisis une bonne place près d’une fenêtre. Le métro commençait à se remplir peu à peu lorsqu’un très bel homme, qui pouvait avoir entre vingt-huit et trente-cinq ans, vint s’asseoir sur l’un des derniers sièges vides en face de moi. Il avait des traits empreints de douceur, des cheveux châtains assez longs, un anneau à l’oreille gauche et il portait un short et une chemise à larges motifs. Il avait à la main deux pages déchirées dans les Pages Jaunes et il était en train de souligner une annonce.

Malgré l’attrait qu’il exerçait sur moi, je détournai les yeux et me mis à regarder par la fenêtre tandis que le métro commençait à s’enfoncer sous terre. Soudain je me sentis obligée de tourner la tête vers lui et j’eus devant moi une vision magnifique ! C’était comme si un personnage de la Renaissance d’une merveilleuse sérénité était revenu à la vie ! L’homme s’était tourné vers moi et son regard était le plus limpide que j’aie jamais vu ; il exprimait la douceur, l’intimité, la compassion, une paix singulière et encore beaucoup plus que je ne saurais traduire par des mots. Je vis même de la lumière émaner de sa chevelure. J’étais remplie de révérence et tandis que j’entendais une voix intérieure me dire : « Il est toujours ici », je me mis à éprouver un sentiment de paix et d’exaltation spirituelle en pensant que cet homme devait être Maitreya. Je ne pus préserver cette paix très longtemps, car au bout d’un moment, je commençai à penser que cette rencontre avait lieu dans un wagon bondé et je me demandai comment toute cette scène était perçue par les autres passagers.

Je remarquai alors que son visage n’était plus aussi serein et que quelques minuscules muscles autour de sa bouche et de son menton s’étaient crispés dans un mouvement d’irritation. Aussi changeai-je d’avis, il ne pouvait s’agir de Maitreya. Ce devait être un disciple comme moi qui était capable d’entrer en contact avec son âme, mais pouvait, lui aussi, être perturbé par ses émotions. Je regardai à nouveau par la fenêtre, tout en le surveillant du coin de l’œil. Au bout de quelques instants, je me tournai à nouveau vers lui et le seul fait de le regarder m’inonda le cœur d’une telle joie que j’éclatai de rire en même temps que lui, comme si nous étions synchronisés.

Toujours embarrassée, je regardai à nouveau par la fenêtre. Il faisait maintenant plus sombre et je vis sur la vitre son reflet qui regardait le mien. Je me tournai à nouveau vers lui et, le cœur débordant de joie, j’éclatai à nouveau de rire au même moment que lui. Très intriguée par ce qui m’arrivait, je réalisai soudain que j’avais manqué ma station. Je le saluai (il ne me répondit pas) et je sortis précipitamment du train.

Cet homme était-il le Maître Jésus ?

L. A., Athènes, Grèce

Le Maître de Benjamin Creme a confirmé qu'il s'agissait effectivement du Maître Jésus.

Un rêve récurrent [sommaire]

Cher Monsieur,

[1] En 1998, au cours de l’été, je fis un rêve dans lequel je vis un homme vêtu de blanc et portant un turban. Il avait une longue barbe noire et des yeux perçants mais un sourire plein de bonté. Il était assis sur le sommet d’un toit et nous nous regardions. Puis il se leva et versa de l’eau d’une cruche qui faisait la moitié de sa taille.

[2] Le même homme m’est apparu en rêve environ trois mois plus tard. Cette fois il marchait dans une rue très étroite complètement inondée. Il tenait une baguette à la main et marchait sur la surface de l’eau.

[3] Je revis le même homme un mois plus tard en méditant. Il se tenait debout sur un rocher s’avançant dans la mer et une très violente tempête faisait rage autour de lui.

[4] Le mois suivant, j’étais en train de fumer une cigarette devant ma boutique. Il était environ 17 heures et la circulation était dense et bruyante. Une femme handicapée me fit un signe de la main, comme elle en avait l’habitude, et je fis de même. Quelques instants plus tard je revis la scène décrite précédemment (3), mais j’avais l’impression de la voir intérieurement et non pas physiquement devant moi. Cette fois l’homme pointa sa baguette vers moi et la scène s’évanouit dans mon esprit. J’éprouvai alors une impression de chaleur, d’assurance et de confiance et je me sentis relaxé de la tête aux pieds. Je ressentais un léger picotement le long de l’épine dorsale. Cette impression de chaleur dura pendant environ deux heures.

J’aimerais savoir ce que vous pensez de tout cela.

S. S., Bromley, Kent, G.-B.

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que l'homme qui était apparu à notre correspondant en rêve et sous forme de vision était Maitreya.

Sauvetage au bord de la mer [sommaire]

Cher Monsieur,

Le 8 septembre 1998 j’emmenai ma petite-fille âgée de cinq ans voir la marée et se promener avec moi le long de la plage d’Umdlote, à Durban. C’était un après-midi magnifique, mais il n’était pas question de barboter dans l’eau, la mer étant trop mauvaise. Nous marchâmes sur le sable sec au bord du rivage. Nous trouvâmes un petit poisson isolé d’environ 4 cm de long. Il brillait comme un joyau et une petite perle y était attachée. Nous étions si absorbés à le regarder que nous ne vîmes pas qu’une vague énorme se dirigeait vers nous. Elle s’écrasa dans un fracas épouvantable et me projeta sur les genoux. J’avais de l’eau jusqu’aux épaules. Ma petite-fille avait été soulevée et rejetée sur le haut de la plage. Je fus alors entraîné vers la mer avec force et à toute vitesse. La vague suivante s’écrasa sur moi et me ramena vers la plage. J’avais la respiration coupée et à nouveau je roulais et j’étais entraîné avec encore plus de rapidité vers le large. Désespéré, je lançai un faible appel : « Mon Dieu, aidez-moi, je ne sais plus quoi faire. » A la seconde même une voix très forte se fit entendre au-dessus de ma tête : « Je suis ici, prenez ma main. » Je levai les yeux, vis une main, la saisis et je fus immobilisé. Je compris mentalement que je devais faire demi-tour sur les genoux et commencer à ramper, ce que je fis aussitôt. J’entendis alors ma petite-fille qui m’appelait désespérément. J’étais sur le point de m’évanouir. Peu de temps après, je sentis les bras de l’enfant autour de mon cou et sus que le danger était passé.

Le jeune homme qui était venu à mon secours me demanda si j’allais bien. Je remarquai que ses vêtements n’étaient pas mouillés. Au moment où j’essayai de le remercier il retourna au bord de l’eau et ramassa notre ballon, puis il disparut. Je le vis plus tard au loin avec d’autres personnes. Après avoir réussi à me traîner jusqu’à ma voiture avec ma petite-fille, je constatai que ces gens avaient disparu mais je les avais pourtant bien vus auparavant. J’ouvris la portière avec difficulté car j’avais toujours mes lunettes couvertes de sable mouillé. Nous remerciâmes tous deux Maitreya de nous avoir envoyé de l’aide. Je l’avais échappé belle, quel jeune homme vigoureux ! Qui était-il et où est-il parti ?

B. I., Durban, Afrique du Sud

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que le jeune homme était Maitreya. Ceux qui l'accompagnaient étaient le Maître Jésus et deux disciples.

Une mère protectrice [sommaire]

Cher Monsieur,

En 1998, un soir d’été, un peu après 20 heures, je partis avec quatre amis de Ljubljana pour Zagreb, dans le but de suivre un match de football entre la Croatie et l’Allemagne, sur les grands écrans placés sur le stade principal de football, au moment du championnat du monde. A 21 heures le match était sur le point de commencer.

Les rues étaient encombrées de gens qui portaient des drapeaux croates, chantaient, criaient, donnaient des coups de klaxon, dans l’attente de ce match très important. Quelques-uns d’entre eux avaient peint leurs visages de carrés rouges et blancs, les couleurs du drapeau croate et de l’équipe de football.

Nous nous rendîmes à pied à la gare centrale pour y retrouver quelqu’un. Je portais un drapeau croate avec l’un de mes amis. Soudain une femme sortit d’une petite rue et nous arrêta au passage. Elle me parla pendant un moment et me donna une image de la Vierge Marie. Elle nous souhaita bonne chance pour notre voyage ( j’avais l’impression que c’était plus que de la chance qu’elle nous souhaitait). J’étais très surprise, presque bouleversée, qu’elle ait choisi de s’adresser à moi pour exprimer ses souhaits chaleureux à notre égard.

C’était une femme d’un certain âge, de taille moyenne, avec des yeux bruns, chaleureux tout comme sa voix et ses gestes empreints de douceur. Elle nous dit qu’elle était la mère d’un chanteur croate célèbre qui était mort dans un accident de voiture. Elle se faisait du souci pour nous car nous étions jeunes et il y avait souvent des accidents. Mes amis lui demandèrent aussi des images. Elle dit qu’il ne lui en restait plus, mais plus tard nous la rencontrâmes à nouveau et elle remit une image de Jésus à l’un de mes amis.

Cet incident m’a laissé un sentiment étrange et je pense que nous avons réellement été protégés dans la folle excitation qui a suivi le match de football (la Croatie gagna par 3 à 0).

D. S., Ljubljana, Slovénie

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que la femme était le Maître Jésus.

Flash-back [sommaire]

Cher Monsieur,

En 1979, j’étais en vacances avec mon cousin à Vallon-Pont-d’Arc, en Ardèche. Pendant l’une de nos sorties, je fus attiré par un Indien, grand et de belle apparence. Il était près d’un camping-car avec deux enfants, dont l’un se trouvait dans ses bras. Il émanait de cet homme une telle amabilité et une telle sérénité que je restais habité par cet événement toute la journée. Il représentait tout ce que j’aurais aimé être à cette époque – un rêve d’adolescent. J’avais oublié cet incident jusqu’à ce qu’il me revienne en mémoire au cours de ma méditation, il y a quelques mois.

A. M., France

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que l'homme était Maitreya. L'enfant dans ses bras était le Maître Jésus. L'enfant plus âgé était un autre Maître.

Simplement, avec un sourire [sommaire]

En 1997, je passais des vacances dans la Drôme avec ma famille. Un vendredi matin, alors que j'étais au marché avec ma mère, je remarquai, parmi les différents étalages, un Marocain occupé avec ses clients, qui souriait à deux enfants près de lui. Nos regards se rencontrèrent et il me gratifia d'un magnifique sourire. Je fus empli d'une sensation de joie qui m'accompagna plusieurs jours.

A. M., France

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que le « Marocain » était Maitreya.

 

Rayons

Selon le Maître DK, un rayon est « le nom donné à une certaine force ou à un certain type d’énergie, considéré sous l’angle de la qualité qui en émane ». Les rayons transmettent ainsi leurs qualités à toute la création, y compris la constitution humaine. L’âme, la personnalité, le corps mental, le corps émotionnel et le corps physique, sont tous colorés par l’un ou l’autre des sept rayons. De manière à faciliter l’étude et la compréhension des rayons, le Maître de Benjamin Creme, au fil des ans, a accepté de répondre à des questions portant sur la structure de rayons (et le niveau d’évolution) de certaines personnalités mais, par discrétion, jamais pour des personnes en vie. Pour approfondir cette étude, nous renvoyons le lecteur aux enseignements d’Alice Bailey (Lucis Trust), aux ouvrages de Benjamin Creme et aux précédents numéros de Partage international.
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Forum Partage

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Dernière de couverture

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Cahier anniversaire

Le 19 juillet 1977, Maitreya, l’Instructeur mondial, est arrivé dans la communauté asiatique de Londres − son point d’attache dans le monde moderne − et le 22 juillet il a commencé sa mission. Trente ans plus tard, nous célébrons cet événement extraordinaire à travers les pages suivantes.
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Questions-réponses

Réponses de Benjamin Creme

Maitreya est-il apparu à nouveau devant des groupes ? [sommaire]

Le dimanche 24 février 2002, Maitreya est apparu à un groupe de 200 chrétiens, au Paraguay. Il a parlé pendant 18 minutes. Une source a été magnétisée auparavant dans les environs.

Lorsque Maitreya se présentera ouvertement, quelle sera à votre avis la réaction des gens à son égard ? [sommaire]

Cela dépend des personnes. Cela dépend de leur environnement religieux. Cela dépend, à mon avis, si leur manière de penser s’accorde avec l’ère des Poissons ou celle du Verseau. Le monde est divisé en deux : ceux qui font de la compétition et ceux qui coopèrent. Maitreya est pour la coopération, mais ceux qui ne peuvent vivre sans compétition, ceux qui ont une conscience influencée par le signe des Poissons, auront tendance à rejeter l’idée de partage et de justice dans le monde, en tant que condition préalable à l’instauration de la paix. Cela ne veut pas dire qu’ils veulent la guerre, mais ils ne veulent pas de la paix si cela signifie qu’ils doivent renoncer à quoi que ce soit. Ils ne réalisent pas qu’il ne pourra jamais exister de société juste quelque part si dans certaines parties du monde prévaut l’injustice. Le monde est un, et plus tôt les peuples dans leur ensemble en prendront conscience, plus tôt nous aurons un monde où il sera possible d’avoir une vie décente.
Cela dépend des personnes. Si vous êtes affamés, si vous avez faim – Maitreya parle de nourrir ceux qui ont faim, de partager les ressources du monde – allez-vous le suivre ou non ? Il est évident que vous le suivrez. Il est possible que les dépossédés, qui forment les deux-tiers de la population mondiale, seront les premiers à se rallier autour de lui. Alors se lèvera en sa faveur une grande opinion publique mondiale. Cette opinion publique galvanisée, éduquée, énergétisée, correctement menée sera une force à laquelle aucun pays ne saurait résister. Il ne faudra pas longtemps avant que le monde soit réellement un et que nous commencions à créer les institutions qui traceront les grandes lignes de cette nouvelle société.

Maitreya a-t-il certains contacts avec le pape à Rome ? Et comment le pape et l’Eglise catholique réagissent-ils à ces contacts ? [sommaire]

Des contacts directs et personnels, non. Cependant Maitreya est en contact avec certains des plus hauts dignitaires de l’Eglise de Rome. Ceux-ci ont l’occasion de rencontrer le pape et celui-ci a entendu parler du message que nous diffusons. Mes livres lui sont adressés depuis plus de vingt ans. Ils ne vont sans doute pas plus loin que le huitième secrétaire, mais certains d’entre eux ont été mis entre les mains du pape par des prêtres et il y a jeté un coup d’œil. Il ne croit pas à cette information, mais au moins il est au courant. Il a déclaré, dans un ouvrage publié il y a quelques années, qu’il était possible qu’un nouveau Bouddha soit dans le monde, mais il a ajouté : « Ne vous y trompez pas, il ne s’agit pas de notre Jésus Christ. » Il ne fait aucun doute qu’il a entendu parler de Maitreya, mais il a été élevé au sein de la religion catholique romaine, il n’a jamais assisté à une conférence, et cette histoire est tout à fait invraisemblable pour lui. C’est un vieil homme.

Que pense Maitreya du clonage des embryons humains ? [sommaire]

Il n’en a pas parlé. Mon Maître s’est exprimé sur ce sujet, et tous les Maîtres ont une intelligence et une sagesse similaires. Il ne servirait à rien de cloner des embryons humains car l’âme serait laissée de côté. Nous sommes des âmes en incarnation. On ne peut fabriquer un être humain. On peut fabriquer un corps humain à partir d’un embryon humain, c’est tout. Sans âme il n’y a pas de principe vital.

Qui vit à Londres ? Maitreya ou quelqu’un d’autre ? [sommaire]

Maitreya vit à Londres. Un des Maîtres y vit également depuis 1975.

Il est donc possible de rencontrer Maitreya dans le métro ou ailleurs ? [sommaire]

Il est tout à fait possible que vous ayez été assis à côté de lui dans le métro sans vous en apercevoir.

Si Maitreya vit dans un corps physique, il a sûrement besoin de sommeil pour survivre ? [sommaire]

Non. Il vit dans un corps qui paraît humain, et qui est humain, mais ce n’est pas un corps humain ordinaire. C’est un corps qu’il a lui-même créé. Il lui permet de vivre à notre niveau, soumis à l’impact du taux vibratoire peu élevé de millions d’êtres humains, dans l’une des plus grandes métropoles du monde, Londres. Il va partout, mais sa base est Londres. En même temps ce corps lui permet d’accéder au niveau de conscience qui est le sien en tant que Christ, en tant qu’incarnation du principe christique, la conscience de l’Instructeur mondial, « l’Instructeur des anges et des hommes ». Il veille sur la grande évolution des dévas, il est l’Instructeur des Maîtres. Il est incroyablement évolué. Et cependant sa conscience peut être amenée dans ce corps à un niveau qui lui permette de vivre comme un homme ordinaire. Il a résolu la question de l’âge : comment un Maître peut-il matérialiser un corps qui lui permettra de vivre à un niveau extraordinaire, de faire les choses ordinaires que les Maîtres semblent faire, et cependant être beaucoup plus que cela, être le Christ, ou un autre être extraordinaire ? Jusqu’à maintenant la manière de procéder consistait à adombrer un disciple. C’est ce que Maitreya a fait en Palestine en adombrant Jésus. Jésus est ainsi devenu le Christ pendant trois ans. Le Bouddha adombra Gautama. Maitreya adombra Krishna, Chaitanya, et beaucoup d’autres au cours des âges.

L’Instructeur mondial actuel est-il une âme évoluée adombrée par le Christ (ou Maitreya), comme Jésus le fut au début de l’ère des Poissons ? [sommaire]

Non, Maitreya lui-même est descendu de sa retraite himalayenne dans un corps qu’il a créé, ce qui lui permet de vivre à notre niveau vibratoire, et cependant de faire son travail en tant que Christ et Instructeur mondial.

L’Instructeur mondial actuel est-il né dans un corps physique vers 1955 et dans la région pauvre de Cusco au Pérou ? [sommaire]

Non. Le corps auto-créé dans lequel Maitreya se manifeste a été achevé, et il l’a « revêtu », comme il le dit lui-même, le 7 juillet 1977. Il descendit de sa montagne le 8 juillet, séjourna quelques jours au Pakistan pour s’acclimater, et entra à Londres, en Angleterre, le 19 juillet 1977.

Existe-t-il actuellement douze disciples comme vous qui se sont proposés pour divulguer ce message au monde ? [sommaire]

Non. A l’origine, cinq disciples avaient pour tâche d’initier le public au sujet de la Réapparition : un à New York, un à Londres (moi-même), un à Genève, un à Darjeeling et un à Tokyo. Parmi ces cinq, je suis le seul à avoir accepté cette mission – excepté le disciple de Tokyo (une femme) qui, malheureusement, croit qu’elle est Maitreya.

Les 14 Maîtres actuellement sur Terre se sont-ils réincarnés ou sont-ils seulement apparus sur la Terre ? [sommaire]

Non, ils sont dans leur propre corps physique adulte et ont émergé de leurs retraites pour prendre leurs fonctions dans le monde.

Vous dites qu’il n’existe actuellement aucun Maître dans un corps féminin. Comment pouvez-vous ne pas considérer Ammachi comme un Maître vivant dans un corps féminin ? Ammachi est dans le monde et vient en aide à des millions de gens, plus que ce qu’on peut en dire de Maitreya – car il se cache. [sommaire]

Avec tout le respect que je vous dois, je pense qu’il est nécessaire de garder le sens des proportions. Ammachi n’est pas un « Maître vivant dans un corps féminin », mais un disciple féminin de l’un des Maîtres de la Loge de l’Inde du Sud. Maitreya est l’Instructeur mondial, le dirigeant et le guide de notre Hiérarchie spirituelle. Il ne se cache pas. Au contraire, Il rencontre des responsables à l’échelle mondiale dans quantité de domaines, tout en attendant le meilleur cycle possible pour commencer sa mission ouvertement. Le monde change rapidement suite à son travail derrière la scène.

Que pouvez-vous dire au sujet de l’Antéchrist ? Est-il déjà dans le monde ou va-t-il venir ? [sommaire]

L’« Antéchrist » n’est pas un homme mais une énergie destructrice, libérée à dessein pour vaincre l’ordre établi et préparer le chemin pour le Christ. Ainsi, elle fut libérée à travers l’empereur Néron pour mettre fin à l’hégémonie de Rome et préparer la voie à la Chrétienté. A notre époque, elle fut libérée à travers Hitler, un groupe de militaires japonais et un groupe proche de Mussolini en Italie. La défaite de l’Axe par les Alliées pendant la guerre de 1939-1945 représente la défaite de l’« Antéchrist ». Ceci permit à Maitreya, en juin 1945, d’annoncer son intention de revenir dans notre monde avec son groupe.

Je suis né sous le signe des Poissons. [1] Cela m’influence-t-il en tant que personne ? [2] Est-ce un signe négatif ? [sommaire]

[1] Oui, les énergies des Poissons auront un effet précis sur votre personnalité. [2] Non.

De quelles façons des constellations comme celles des Poissons et du Verseau influencent-elles la pensée humaine ? Pouvez-vous le prouver ? [sommaire]

Ce sont les énergies cosmiques s’écoulant de ces constellations qui influencent les actions humaines. Elles incarnent des idées qui deviennent nos idéaux qui, à leur tour, influencent nos actions.

Il a été dit qu’en examinant la comète Hale-Bopp nous pouvons obtenir des informations et des connaissances au sujet du prochain âge. Est-ce vrai, et cela a-t-il un rapport avec le travail des Maîtres ? [sommaire]

Ce n’est pas vrai.

[1] Est-il exact de dire que le champ magnétique de la Terre a diminué de 50 % (Nouvelle Encyclopédie Britannique) durant les deux mille ans passés ? [2] Est-il exact de dire que cette diminution pourrait atteindre 90 % aux environs de 2 250, avant une inversion des pôles Nord et Sud ? [sommaire]

[1] Oui. [2] Non.

Est-ce la notion de bien et de mal qui crée des troubles et des souffrances ? N’est-ce pas l’équilibre entre les paires d’opposés qui importe ? [sommaire]

Oui, mais il doit être réalisé, pas simplement énoncé.

[1] En 1961, « l’Ange Michael » apparut à quatre fillettes à Garabandal, en Espagne. Cela se produisit plusieurs fois. Puis la Madone apparut plus de 2 000 fois à ces fillettes, mais aussi dans diverses maisons du village. [2] L’un des messages annonçait la venue du Christ. Selon l’ancien ministre des Finances néerlandais, le professeur Rutten, cela se passerait en 2002 à Garabandal. Pouvez-vous parler de cela, s’il vous plaît ? [sommaire]

[1] « L’Ange Michael » était en fait Maitreya. [2] Selon mes informations et mon expérience, le Christ est déjà revenu, à Londres, en juillet 1977.

J’ai lu récemment un livre captivant de George Adamski intitulé A l’intérieur des vaisseaux spatiaux. Sa description de l’amour, de la sagesse et de l’intelligence supérieure des frères de l’espace nous fait prendre conscience de notre propre insuffisance ; leur capacité à vivre en harmonie avec les principes universels, avec le sentiment du Divin dans tous les êtres et dans toute forme de vie, est extraordinaire. Je me pose cependant cette question : Est-ce qu’une partie des informations données par G. Adamski (peut-être quelques détails seulement) est imaginaire ? [sommaire]

Non, tout ce qu’il raconte est le fruit direct de son expérience à l’intérieur de l’un de ces vaisseaux. La seule chose qu’il a omis de dire (probablement parce qu’il n’en avait pas conscience) est qu’il a vécu cette expérience hors de son corps. Ces vaisseaux spatiaux et leurs équipages sont essentiellement composés non pas de matière physique dense mais de matière physique éthérique. Les équipages peuvent abaisser leur taux de vibration pour entrer dans notre champ de vision, mais seulement de manière temporaire. Le vaisseau mère dont parle George Adamski était un vaisseau vénusien, dirigé par des Maîtres venant de Vénus, mais construit sur Mars.