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juin 1998 – No 118

Sommaire


 

Article du Maître —

L’accueil réservé à Maitreya [sommaire]

par Le Maître –,

par l’entremise de Benjamin Creme

Maitreya sait que, quand il entrera en lice dans le monde, l’humanité lui réservera un accueil mitigé. Beaucoup attendent avec impatience cet heureux moment, où ils verront le commencement du Temps nouveau qu’espèrent les fils des hommes. D’autres, cependant, ne comprenant guère le sens de son avènement ni le processus qui y conduit, redoutant la mise en garde des Ecritures – sur laquelle ils n’ont que trop tendance à se méprendre – le regarderont d’un œil soupçonneux et douteront de son identité. Certains, enfin, resteront momentanément en retrait, attendant que ceux qu’ils tiennent en quelque estime leur montrent la voie à suivre.

Ainsi l’humanité prendra-t-elle position d’un côté ou de l’autre : avec ceux qui accueillent l’Instructeur à bras ouverts, impatients de mettre en œuvre ses préceptes et conseils ; ou avec ceux qui voient en lui l’incarnation du mal et de tout ce qui leur inspire de la défiance.

L’Epée de clivage

Ainsi l’Epée du clivage accomplira-t-elle sa mission, en révélant ceux qui se prononcent pour la liberté et la justice, pour la bonne volonté en action et pour l’amour; et en révélant ceux, aussi, que la suspicion et la crainte, les préjugés et la haine empêchent de reconnaître dans sa vérité le message de compassion et d’amour de Maitreya. Ainsi en sera-t-il, ainsi les hommes seront-ils mis à l’épreuve en tant que gardiens de leur avenir.

Une fois calmée la première vague d’émotion que soulèvera la présentation de Maitreya, les gens s’apercevront que, dans tout ce qui leur semble inédit et mystérieux, beaucoup demeure logique et réaliste, manifeste et limpide.

Les vérités des temps anciens reformulées résonneront dans leur esprit comme autant de certitudes dont la mémoire les a longtemps accompagnés, et leur foi dans la vie en sera ravivée.

L’aspiration qui est au cœur de l’évolution humaine affirmera son pouvoir bénéfique, éveillant l’homme à l’opportunité de servir comme jamais auparavant, de se découvrir des espérances et des ambitions nouvelles, de créer les formes extérieures de la nouvelle civilisation. Ainsi en sera-t-il.

Un temps sans précédent

Abordez le proche avenir dans un esprit de joyeuse anticipation : Maitreya se tient au seuil de son émergence, prêt à livrer bataille à la séparativité et la cupidité. Ralliez-vous à son appel à la justice et à la liberté, à la réconciliation et à la paix, et mettez-vous tout entier au service de la race humaine. Nous vivons une époque sans précédent. Une époque qui ne se répétera jamais. Regardez au plus profond de votre cœur, et faites votre choix : un avenir baigné de lumière et d’amour – ou le déni de votre destinée.

Maitreya sait que l’heure du changement est venue. Il sait que l’humanité est prête à relever le défi. Il se tient prêt à émerger et à commencer sa mission.

Cette traduction est celle publiée dans l’ouvrage Un Maître parle (Partage Publication, 2007), et non celle figurant originellement dans la revue Partage international.

 

Editorial

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Point de vue

 

Compte rendu de lecture

Le touriste spirituel [sommaire]

UN LIVRE DE Mick Brown : The Spiritual Tourist

par Phyllis Creme,

Dans le dernier chapitre de son récit plein de vie et d’attrait, Mick Brown, l’auteur de The Spiritual Tourist (le Touriste spirituel), s’interroge ainsi : « Si je changeais, regretterais-je la personne que je suis actuellement, cette personne souvent pleine de confusion, parfois heureuse, parfois triste, en colère, avide, orgueilleuse, se posant sans cesse des questions et ne trouvant jamais les réponses justes ? » (p 306).

Cette interrogation fait suite à ses réflexions sur le détachement, qui lui a sans cesse été recommandé au cours de la quête personnelle qu’il dépeint dans son ouvrage, et qu’il a été incapable de trouver. A ce stade, il n’est pas certain que le détachement soit vraiment ce qu’il souhaitait atteindre. L’assimilant à la « séparation », il met le détachement en opposition avec la capacité d’aimer. « L’amour, affirme-t-il, apporte l’unité avec les autres : seul l’amour nous rend entier. » Dans ce passage, presque à la fin du livre, décrivant ses réflexions lors d’un séjour dans un centre bouddhiste tibétain, en Ecosse, il semble tendre vers une sorte de résolution, qui atteint son point culminant dans le passage suivant, à la fin du récit : « La joie est non-attachement, la joie ne peut se saisir que dans l’instant. A cet instant, je me sens ivre de joie, tout en sachant en même temps que cette joie elle aussi passera. »

Cet exemple de vision intérieure, où l’expérience du moment est immédiatement tempérée par le regard de l’observateur, est caractéristique du portrait que Mick Brown, le « touriste spirituel », dresse de lui-même, ce Mick Brown, journaliste et chercheur sceptique, qui veut « tout savoir… qui veut vivre une aventure de l’esprit ». Comme le montrent ces réflexions, il est parfois en contradiction avec lui-même. Tout au long du livre, on le voit déchiré entre le doute et la reconnaissance d’expériences spirituelles.

Cet ouvrage présente un intérêt tout particulier pour les lecteurs de Partage international, car le premier chapitre est principalement consacré aux rencontres de Mick Brown avec Benjamin Creme, qu’il vit pour la première fois en 1984 et avec qui il est resté en contact de manière intermittente depuis. En dépit d’une interprétation parfois erronée du message de Benjamin Creme (il utilise par exemple l’expression trompeuse de « jour du jugement » pour « jour de Déclaration »), Mick Brown dresse un portrait fascinant et convaincant d’un homme pour lequel il éprouve, de toute évidence, une grande estime et même de l’affection, tout en reconnaissant qu’il est incapable d’accepter l’histoire de l’Emergence dans sa totalité.

Dans le premier chapitre, Mick Brown livre un compte rendu vivant de l’une des rencontres mensuelles organisées par Benjamin Creme à la Friends Meeting House, à Londres. Il résume son message concernant l’émergence de Maitreya et raconte ensuite la visite qu’il rendit ultérieurement à Benjamin Creme, chez lui, dans le but de l’interviewer pour le journal auquel il collaborait alors. A une autre occasion, Mick Brown demande au Maître de Benjamin Creme, par l’entremise de ce dernier, qui est Maitreya et « ce qu’un journaliste pourrait faire pour hâter le processus » de l’Emergence – étrange question de la part de quelqu’un qui, comme il le dit lui-même, « n’a ni preuve de l’existence du Maître, ni foi en son existence. Il reçut une réponse forte et émouvante : « Présentez l’émergence de Maitreya comme une hypothèse qui, si elle devait se vérifier, marquerait le début d’une civilisation nouvelle. Décrivez un monde où les gens vivraient dans l’harmonie et la fraternité, un monde où il n’existerait plus ni guerres, ni famines, ni divisions, ni séparations. Chacun éprouve ce besoin intérieur, cette espérance d’un avenir grandiose et radieux où les aspirations les plus hautes pourraient être comblées. Les hommes se tourneront vers tout ce qui peut leur offrir un espoir, un soutien, tout ce qui peut donner un sens à leur vie. Parlez de l’émergence, même comme une simple hypothèse. » Ce livre peut être en partie considéré comme une réponse indirecte à cette exhortation ; il véhicule l’impresson qu’il y a de l’espoir et que la vie a un sens.

Mick Brown parle des enseignements contenus dans les ouvrages de Benjamin Creme, des prévisions transmises par un « collaborateur » de Maitreya et publiées dans Partage international. Il parle également des miracles, mentionnant les manifestations de vibhuti auxquelles il a eu l’occasion d’assister. Pour lui, journaliste sceptique, ce fut un miracle qu’il dut accepter : « Je l’ai vu de mes propres yeux », déclare-il.

Sa première rencontre avec Benjamin Creme sert de point de départ et de toile de fond à ce voyage spirituel intérieur, au cours duquel les références à B. Creme et à Maitreya reviennent régulièrement. Ainsi, lors d’une visite à l’ashram de Saï Baba, à Puttaparti, M. Brown rencontre par hasard quelqu’un qui lui pose des questions sur B. Creme. Il évoque également B. Creme lorsqu’il se rend à Knoxville, dans le Tenessee, pour voir les croix de lumière dans l’église de Joe Bullard, puis de nouveau dans son exposé (qui se mêle aux récits de voyages) sur la Théosophie, les ouvrages d’Alice Bailey et Krishnamurti. Le voyage de Mick Brown le conduit également auprès de Mère Meera et du Dalaï Lama, pour qui il éprouve une sympathie toute particulière. Il fait un compte rendu de miracles dont certains lui paraissent indéniables alors que d’autres le laissent perplexe et « lourd » de scepticisme au milieu de tant de foi, cette foi qu’il s’efforce de rechercher mais dont sa manière habituelle de penser et son comportement de journaliste ne lui permettent pas de faire l’expérience par lui-même.

Cependant, le monde qu’il dépeint est, somme toute, bien différent du monde matériel du plan physique ; comme il le dit dans son introduction, il est parvenu à la conviction que « le monde est plus que de la matière : que ce que l’on ne voit pas est plus important que ce que l’on voit. » Il cite les « grands livres spirituels » qui montrent que « lorsque vous changez et commencez à voir le monde d’une certaine manière, il est impossible de revenir à la vision que vous en aviez auparavant. » Ses comptes rendus des enseignements et des événements, ce qu’il dit des Maîtres et des expériences faites par des personnes ordinaires, tout témoigne de « cette nouvelle manière de voir ». Mick Brown peut bien attirer l’attention sur ses doutes au sujet de tout ce qu’il a découvert, il n’empêche que son récit entraîne le lecteur dans un voyage à la fois temporel et psychologique, et conduit à l’évidence manifeste que le monde n’est pas tel qu’il a pu le croire auparavant. Pour finir, les doutes personnels de l’auteur ne résistent guère à la forte impression de réalité qui se dégage de l’autre vision du monde qu’il présente.

Mick Brown, The Spiritual Tourist : a personal Odyssey Through the Outer Reaches of Belief. Bloomsbury, London 1998.

 

Compilation

Nous publions dans cette rubrique une sélection de citations de Maitreya (Messages de Maitreya le Christ et Enseignements de Maitreya : les lois de la vie), du Maître de Benjamin Creme (Un Maître parle) et de Benjamin Creme (divers ouvrages).
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De nos correspondants

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Dossier

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Signes des temps

Les « Signes des temps » présentés dans cette rubrique ont été confirmés par le passé par Benjamin Creme ou s’imposent d’eux-mêmes sur la base de l’espoir et de la foi qu’ils suscitent. Nous les soumettons à votre réflexion.

La Vierge de Floresville [sommaire]

par Bob Arthur,

Depuis le 14 décembre 1997, on peut voir une image que beaucoup reconnaissent comme celle de la Madone sur une fenêtre de la maison de Mme Antonia Longoria, à Floresville, a environ 50 km au sud de San Antonio (Texas).

Alors que Mme Longoria rentrait chez elle après quelques jours passés chez des parents, sa fille, Dolores Trevino, lui demanda de venir dans la salle de séjour. Delores avait remarqué quelque chose d’inhabituel sur l’une des fenêtres et souhaitait recueillir un avis impartial à ce sujet. Stupéfaite, Mme Longoria répondit qu’elle voyait la Vierge de Guadalupe, la Madone. Elle appela plusieurs voisins ainsi qu’un prêtre, et tous reconnurent l’image présente sur la fenêtre comme étant celle de la Madone.

La nouvelle de ce phénomène miraculeux s’est répandue rapidement et des personnes en provenance de lieux aussi éloignés que Hawaï ou le Brésil se sont rendues sur place. Nombreux sont ceux qui regardent l’image éthérée avec un étonnement mêlé de crainte. D’autres éclatent en sanglots. Les membres d’une famille attribuent à la Madone la grâce d’avoir été réunis. Ils ne s’étaient pas retrouvés depuis vingt ans et sont venus rendre visite à la Madone le même jour.

De nombreux jeunes ont été touchés par la présence de l’image. Une nuit, Mme Longoria fut réveillée à 3 h du matin et trouva les chefs d’une bande du quartier dans le jardin, devant la salle de séjour, en train de pleurer en regardant l’image. Elle les invita à entrer et le lendemain soir suivant, ils revinrent voir l’image avec plusieurs membres de leur bande.

Sur deux fenêtres adjacentes, on aperçoit également des images inhabituelles. Sur la première, des personnes déclarent voir un petit enfant, les deux mains levées vers une multitude d’êtres qui semblent suspendus face à lui, ainsi que le visage de Jésus. Sur la seconde, certains voient des anges.

Depuis la Seconde Guerre mondiale, la Vierge de Guadalupe est la sainte patronne de Mme Longoria qui la priait pour que son mari, qui servait dans les forces armées, puisse rentrer sain et sauf à la maison. Elle pense que ses prières ont été entendues. Son mari est revenu indemne et depuis ce temps, elle ressent un lien avec la Madone. « Depuis l’apparition, je dors dans cette pièce. Je me sens bien et je suis heureuse. »

Le Maître de Benjamin Creme indique que cette image a été manifestée par le Maître qui fut la Madone. Les autres images ont été créées par le Maître Jésus.

Une icône miraculeuse attire des fidèles au Michigan [sommaire]

« La bénédiction est arrivée d’une manière complètement inattendue. Juste avant la fête de Thanksgiving, le jeune Simon Lahdu regardait les Pistons [l’équipe professionnelle de basket-ball de Détroit] perdre un match à la télévision, lorsqu’il se leva pour se rendre à la cuisine. Il fut arrêté par quelque chose d’humide qui coula sur son visage. Il leva les yeux. « Maman, l’icône ! » s’écria-t-il en montrant la peinture de la Vierge à l’enfant au dessus de la porte de la cuisine, « Elle perd de l’huile ! ». »

Ainsi commence l’article du Detroit News sur l’icône qui pleure dans la maison d’Alice Lahdu et de ses cinq enfants. Depuis ce jour, la famille Lahdu, chrétiens irakiens membres de l’Eglise orthodoxe d’Antioche, ouvre ses portes cinq heures par jour, du lundi au vendredi, à toute personne désireuse de vénérer la « Vierge bénie ».

Les jours calmes, une vingtaine de personnes seulement viennent voir l’icône, mais parfois une véritable foule se presse pour apercevoir celle que certains catholiques appellent « Notre-Dame du Perpétuel Secours ».

La famille Lahdu ne demande pas d’argent ni de droit d’entrée. Sarah Lahdu, vingt-trois ans, appelle l’icône « notre croix », mais c’est une croix qu’ils ont acceptée, croyant qu’elle est en relation avec le choix que fit leur mère Alice de s’enfuir d’Irak il y a environ vingt ans, lorsque le fait de s’affirmer ouvertement chrétienne lui attira des ennuis.

Combien de temps pourra-t-elle garder sa maison ouverte ? « Je ne sais pas, je ne sais pas », répond-elle dans un anglais teinté d’araméen, sa langue natale. « La langue du Christ », s’empresse-t-elle de faire remarquer, « jusqu’à mes prochaines vacances… Ou aussi longtemps que la Vierge bénie le voudra. »

Selon Joe Nickell, rédacteur au Skeptical Inquirer, les icônes qui versent des larmes sont communes dans l’histoire religieuse. Mais le cas de la peinture de la famille Lahdu, achetée dix ans auparavant dans un monastère à Chypre, est inhabituel, car l’huile ne coule pas des yeux mais de toute la surface de la peinture. Dans certains des cas qu’il a étudiés, J. Nickell pense que ceux qui surveillent les l’icônes et recueillent les larmes avec du coton rajoutent un peu d’huile. Mais les quantités en question dans ce cas-là, à savoir des litres, sont au delà de tout ce qu’il a entendu dire à ce sujet.

La famille distribue des boules de coton trempées dans l’huile jaune de l’icône, qui a un parfum de rose pour les croyants, un parfum d’huile de colza pour les sceptiques. Ceux qui ont été oints avec cette huile font état de guérisons extraordinaires. Mary Bidawid, assistante d’enseignement, déclare qu’une amie, trop timide pour révéler son identité, stérile depuis six ans, a pu concevoir après que Mary lui a frotté le ventre avec cette huile.

Les pèlerins viennent même de Virginie et de Californie, et ils pressent Alice, dont ils croient qu’elle a été touchée par des anges, de prier pour eux. Alice fait de son mieux. Elle conserve les demandes manuscrites où figurent le nom et la maladie des gens, de manière à ne pas en oublier.

Le Maître de Benjamin Creme indique que le phénomène a été manifesté par le Maître qui fut la Madone.

Source : The Detroit News, E.-U.

Miracles de Pâques [sommaire]

Le lundi de Pâques, on a découvert deux légumes miraculeux en Grande-Bretagne : une pomme de terre et une aubergine.

Linda Coles, de Hull, découvrit avec surprise la forme d’une croix sur une rondelle de pomme de terre pendant qu’elle préparait le repas familial. « C’est incroyable, on voit parfaitement la forme d’un crucifix », déclare le mari de Linda qui a apporté la pomme de terre à l’église catholique du quartier.

Le même jour, à Manchester, on a découpé une aubergine dont la disposition des graines formait le mot « Allah ».

Le Maître de Benjamin Creme indique que le crucifix dans la pomme de terre a été manifesté par le Maître Jésus, et que le mot « Allah » a été produit par un Maître d'origine islamique, installé au Caire.

Source : The Guardian, Grande-Bretagne

Un visage apparaît sur un écran de télévision [sommaire]

En juillet 1997, Shirley Staniforth, de Leeds (Angleterre), avait pris plusieurs photographies de cartes d’anniversaires qu’elle avait affichées dans sa caravane. Quelle ne fut sa surprise de découvrir au développement que, sur l’une d’elles, on voyait apparaître un visage sur l’écran éteint de la télévision. Sa famille fut également stupéfaite : « Tous ont été très surpris en voyant la photo avec le visage sur l’écran. Je pensais que quelqu’un était intervenu dans cette histoire, mais il est apparu clairement que ce n’était pas le cas. Il ne fait aucun doute que la télévision ne marchait pas et qu’il n’y avait rien sur l’écran. J’étais très occupée à préparer des gâteaux pour la fête et je n’avais pas le temps de regarder la télévision. »

Le Maître de Benjamin Creme indique que le visage a été manifesté par le Maître Jésus. La photographie est étonnament semblable à celle publiée dans Share International en septembre 1992, avec l'article Voyage à Tlacote.

Source : Leeds Weekly News, G.-B.)

Un crucifix « saigne » en Inde [sommaire]

D’après la police indienne, des milliers de visiteurs affluent à Calcutta pour voir un Christ qui « saigne ». Une avocate, qui habite à proximité d’une église de la ville, affirme qu’elle a aperçu du sang s’écouler des plaies de la statuette du Christ sur un crucifix qu’elle a chez elle. « J’allais le nettoyer quand j’ai remarqué qu’il saignait à l’endroit des clous et de la couronne d’épines », a déclaré Ajanta Rovena Chatterjee. Plus de dix mille personnes sont venues prier devant le crucifix.

Le Maître de B. Creme indique que ce phé-nomène a été manifesté par le Maître Jésus.

Source : : BBC, G.-B.)

Des miracles en Géorgie [sommaire]

Des milliers de personnes ont fait la queue pour voir une apparition de la Vierge sur la flèche de l’ancien monastère bleu de Tbilisi, la capitale de la Géorgie. La première apparition a eu lieu à Noël, signe pour les Géorgiens que Dieu accordait sa bénédiction à leur pays en cette période de troubles. D’autres ont affirmé l’avoir perçue intérieurement, comme si elle les regardait pendant qu’ils priaient.

Source : BBC

 

S.O.P. — Sauvons notre planète

Hormis la guerre, rien ne compromet aussi gravement l’avenir de l’humanité que la pollution. Constatant qu’il en est ainsi, certains pays ont pris des mesures pour la réduire et pour limiter le réchauffement climatique. D’autres, parfois parmi les plus gros pollueurs, nient la réalité d’un tel réchauffement en dépit des preuves qui s’accumulent. A tout moment, dorénavant, les changements climatiques montrent sans l’ombre d’un doute que la planète est malade, qu’elle a besoin de soins immédiats et attentifs pour retrouver l’équilibre. Le temps nous est compté pour mettre fin aux ravages que subit quotidiennement la planète Terre. Chaque homme, chaque femme, chaque enfant a son rôle à jouer dans sa restauration. Oui, le temps presse. Save Our Planet (S.O.P.), sauvons notre planète ! (Source : Le Maître de B. Creme, S.O.P. Sauvons notre planète, 8 septembre 2012)
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Tendances

Dans le monde actuel s’affirme une tendance de plus en plus prononcée à la synthèse, au partage, à la coopération, à de nouvelles approches et avancées technologiques pour la sauvegarde de la planète et le bien-être de l’humanité. Cette rubrique présente des événements et courants de pensée révélateurs d’une telle évolution.

Investir en respectant l’éthique [sommaire]

Les fonds de retraite néerlandais, parmi les plus riches du monde (avec des capitaux estimés à 500 milliards de dollars) comptent désormais investir sur la base de considérations non seulement financières mais également éthiques. La caisse qui gère les retraites des fonctionnaires, la plus importante du secteur, a décidé de suspendre ses investissements dans des entreprises ou des pays suspects d’immoralité. Les droits de l’homme, les conditions des travailleurs et les normes écologiques seront dorénavant rigoureusement examinés.

Source : Trouw, P.-B.

La nécessité du changement [sommaire]

Le président iranien, Mohammad Khatami, a souligné les risques d’une explosion du pays si les Iraniens refusent d’accepter la nécessité du changement. Elu en mai 1997, représentant le camp des modérés, M. Khatami affirme qu’aucun groupe ne peut prétendre parler au nom de l’Islam. Alors que, de son côté, l’Ayatollah Ali Khameni, leader spirituel du pays, exhorte le clergé à toucher la jeunesse dans ses sermons, le président prêche la modération, s’attirant ainsi le soutien populaire.

Source : CNN

Pacte africain des Droits de l’homme [sommaire]

Sept leaders africains ont récemment signé, avec les Etats-Unis, un engagement à travailler ensemble à l’établissement de meilleures relations commerciales et à une plus large application de la Déclaration des droits de l’homme.

Les dirigeants présents au Sommet pour la paix et la prospérité, organisé par l’Ouganda, ont décidé d’œuvrer pour empêcher tout futur génocide et de combattre les attaques transfrontalières de groupes terroristes qui maintiennent plusieurs pays de la région en situation d’instabilité. Leur déclaration à l’issue de la rencontre est un appel à l’effort de paix pour l’ensemble du continent africain. A cette occasion, le président Clinton a souligné que « les droits de l’homme ne peuvent être des privilèges de race ou de classe ; ils ne se déterminent pas sur la base du sexe ou de l’ethnie, de la culture ou de l’origine géographique. Ils reviennent, de naissance, à chaque homme et femme de la planète. »

Source : CNN

 

Entretien

Le retour du Christ, les ovnis et l’avenir de l’humanité [sommaire]

Interview de Giorgio Bongiovanni par Monte Leach,

Un jeune Italien, Giorgio Bongiovanni, affirme qu’en 1989 il a eu, à maintes reprises, des contacts miraculeux avec la Vierge Marie et, par la suite, avec Jésus. Marie et Jésus lui ont tous deux communiqué des informations concernant les secrets de Fatima, le retour du Christ, les contacts avec les ovnis et d’autres sujets. En outre, Giorgio fait quotidiennement l’expérience de stigmates : des saignements inexpliqués de ses mains, de ses pieds, de son front et de sa poitrine, reflétant les blessures sur le corps crucifié de Jésus.

Giorgio voyage dans le monde entier pour faire connaître son message. Il a rencontré la reine Sophie d’Espagne, Mikhaïl Gorbatchev et d’autres hauts responsables de Russie, et il s’est adressé aux Nations unies. Son but est de « sensibiliser la conscience de l’humanité aux grands changements qui sont sur le point de se produire dans le monde. » Giorgio Bongiovanni a accepté de répondre aux questions de Monte Leach, notre correspondant aux Etats-Unis.

Monte Leach : Vous avez fait certaines expériences plutôt extraordinaires. Comment tout cela a-t-il commencé ?
Giogio Bongiovanni : Je suis originaire de Sicile et j’ai eu pour guide spirituel Eugenio Siragusa, qui est très connu en Italie. Il m’a donné des enseignements concernant le sentier spirituel, le cosmos, Jésus et bien d’autres sujets.
Par la suite, je suis parti vivre et travailler à Porto Sant Elpidio, au nord de l’Italie. J’y avais monté une petite entreprise produisant des accessoires pour chaussures. Mais ma vie était avant tout consacrée aux questions spirituelles. J’avais créé une revue intitulée Nonsiamosoli (Nous ne sommes pas seuls). Un jour, alors que je rentrais de mon travail, j’eus une vision. Je vis une femme qui me dit qu’elle était Myriam. Ce nom étant le nom originel de la Vierge, je reconnus en elle la Vierge Marie. Au début, je n’ai fait part de cette expérience à personne, mais par la suite j’ai dû le faire car les visions ont continué. Cette femme m’apparaissait à tous moments. Elle était blonde, vêtue d’une robe blanche et elle avait une rose sur la poitrine. Elle rayonnait d’une lumière éclatante. Elle était faite de lumière.

ML. Vous vous trouviez tout simplement dans la rue…
GB. Oui. Je m’apprêtais comme chaque jour à prendre ma voiture pour rentrer chez moi. Et je la vis qui se tenait près de ma voiture. Elle m’est apparue pour la première fois en avril 1989. Elle me prépara alors sur le plan spirituel et me donna quelques messages personnels, concernant ce que je devais apprendre pour devenir apte à cette mission.
Après m’être apparue à maintes reprises, elle me demanda de me rendre à Fatima (au Portugal). Elle m’annonça qu’elle me donnerait un signe qui serait visible aux yeux de tous. Je me rendis donc à Fatima où je vis la Sainte Vierge une fois de plus et des stigmates apparurent sur mes mains. C’était le 2 septembre 1989. En plus des stigmates, je reçus un message. Elle me demanda si je voulais bien porter une partie de la souffrance de Jésus-Christ et j’acceptai. Dès lors, ma mission commença.

ML. Quel était le message de la Vierge Marie ?
GB. Il concernait principalement le troisième secret de Fatima. Trois jeunes bergers reçurent, en 1917, les trois messages de Fatima. Les deux premiers sont connus, l’Eglise les ayant rendus publics, mais le troisième est jusqu’à présent resté secret. La prophétie parle d’une crise qui impliquera les sommets de la hiérarchie de l’Eglise. Elle dit également que nous devrons faire face à des catastrophes et à une troisième guerre mondiale si nous n’acceptons pas de nous repentir et de nous convertir.
L’humanité se trouvera confrontée à une période d’obscurité, mais tous ceux qui se seront consacrés à la sauvegarde de la vie, qui auront promu des valeurs universelles, quelles que soient leur religion ou leurs croyances personnelles, ceux qui auront dédié leur vie aux autres et obéi aux enseignements du Christ, tous ceux-là seront sauvés.
Le troisième secret de Fatima concerne également le retour de Jésus-Christ et le fait que l’humanité va entrer en contact avec les habitants d’autres planètes. J’ai appris que l’humanité toute entière réaliserait que nous ne sommes pas seuls dans l’univers et qu’il existe des êtres bien plus évolués que nous, non seulement d’un point de vue physiologique, mais aussi et surtout par leur niveau de réalisation spirituelle. Il m’a également été demandé de rappeler ce que Jésus-Christ essaya de nous enseigner, la nécessité de nous aimer les uns les autres, de respecter la planète et de nous respecter mutuellement, tout ce qu’il a enseigné il y a 2 000 ans. J’ai été chargé de répandre ce message à travers le monde.

ML. Vous avez dit que des êtres de lumière créaient des signes dans le but de sensibiliser l’humanité à leur présence. Qui sont ces êtres de lumière et quels sont ces signes ?
GB. Ces êtres sont beaucoup plus évolués que nous parce que leur évolution a été bien plus rapide que la nôtre. Ils se trouvent dans une dimension différente et c’est pour cette raison qu’ils sont faits de lumière. Il sont capables, grâce à leur évolution, de manipuler la matière. Leur science est beaucoup plus évoluée que la nôtre, mais ils ont contacté de nombreuses personnes dont je fais partie, parmi bien d’autres, et ils leur ont fait d’importantes suggestions sur ce que nous devrions faire, par exemple, pour régler le problème des armes nucléaires ou pour créer une vie meilleure sur Terre.
Pour résumer en deux mots, science et conscience devraient aller de pair. Actuellement, nous n’avons que la science. Nous ne voyons jamais les effets de nos actions et nous faisons tout simplement ce que nous avons envie de faire, sans nous préoccuper du futur. Nous devons être créatifs et faire de nouvelles découvertes, mais nous devrions aussi réfléchir aux conséquences de ces découvertes, ce que nous n’avons jamais fait.

ML. Qui sont ces êtres de lumière ? Viennent-ils d’autres planètes ?
GB. Certains viennent de diverses planètes dont l’évolution peut être supérieure ou égale à la nôtre. Mais il existe des êtres différents, comme ceux qui sont faits de lumière, qui viennent d’une autre dimension. Ces différentes dimensions peuvent se trouver partout. Il existe de nombreux univers.

ML. Jésus est-il en contact avec ces autres êtres spirituels ? Est-il l’un d’entre eux ?
GB. Il est en contact avec eux. Nous ne pouvons dire qu’il est l’un d’entre eux. C’est un esprit très évolué qui a eu une mission à accomplir. Il a incarné le Christ, l’intelligence vivante que le Christ représente, et il s’est rendu sur différentes planètes où il a été accepté. On ne l’a pas crucifié comme nous-mêmes l’avons fait, mais on l’a au contraire accepté, on a accepté sa révélation et son message, ce qui a permis aux habitants de ces planètes d’évoluer. Les êtres de lumière sont avec lui et ils l’accompagneront lorsqu’il reviendra sur Terre.

ML. Vous avez dit également : « Un être de lumière a l’intention de se montrer ouvertement dans le monde et tous seront capables de le voir. » Parliez-vous du retour de Jésus ou s’agit-il d’un autre être de lumière ?
GB. Toute l’humanité verra Jésus, l’homme que nous connaissons. Et il sera accompagné d’autres êtres, faits de lumière, qui seront avec lui afin de nous montrer que nous ne sommes pas seuls dans l’univers et que nous devrions avoir une vision cosmique de la vie.

Le retour du Christ

ML. Avez-vous d’autres informations concernant le retour du Christ ?
GB. Oui, le retour de Jésus était inclus dans le troisième secret de Fatima. La Vierge Marie m’a dit qu’on ne l’attendait pas, mais qu’il allait revenir. En d’autres termes, il doit revenir mais personne ne s’attend à le voir si tôt. Je ne connais pas la date exacte mais je sais que le moment est venu. Comme il est écrit dans la Bible, il reviendra et probablement personne ne réalisera qu’il est ici, qu’il est revenu. Mais finalement tout le monde en prendra conscience.

ML. Etes-vous toujours en contact avec la Vierge Marie ou est-ce seulement arrivé à Fatima ?
GB. Je suis en contact avec Jésus-Christ, mais je ne le suis plus avec la Vierge. Chaque jour, du sang coule de mes pieds, des mes mains, de ma poitrine et de mon front et, à ce moment-là, je vois Jésus et je reçois des messages. Il s’agit soit de messages personnels, soit de messages pour l’humanité que je diffuse dans le monde.

ML. Lorsque ces stigmates sont apparus pour la première fois, vous a-t-on dit quelle en était la raison et pourquoi vous deviez endurer cette souffrance ?
GB. Porter une partie de la souffrance de Jésus-Christ, c’est rappeler à l’humanité qu’il souffre toujours, que nous n’avons pas accompli ce qu’il nous avait demandé. La seconde raison est que ces signes sont puissants parce qu’ils peuvent sensibiliser les consciences. Les gens dans le monde ont besoin d’avoir la preuve que quelque chose d’extraordinaire est en train de se dérouler. Ils ont besoin de voir, de toucher, pour croire. Ces signes leur montrent que la spiritualité et l’existence d’autres êtres spirituels ne sont pas quelque chose d’illusoire, qu’il s’agit de la réalité et non d’une façon personnelle de voir les choses.

ML. Et vous affirmez que l’une des raisons à l’origine de ces stigmates est que nous n’écoutons pas le message que Jésus nous a donné il y a 2 000 ans ?
GB. Ce n’est pas tant que nous ne l’écoutons pas, c’est surtout que nous ne le mettons pas en pratique. Nous avons peut-être écouté son message, mais nous n’avons pas fait ce qu’il nous avait demandé de faire.

ML. Que nous avait-il demandé de faire ?
GB. La première chose que Jésus nous a demandé de faire, c’était de nous aimer les uns les autres comme il nous a aimés lui-même. C’est ce que nous devrions faire en priorité. Puis, nous devrions mettre en pratique l’amour, le respect, la justice et tous les enseignements que nous avons reçus en lisant les Evangiles ou la Bible. Il nous a donné un exemple de sacrifice et nous devrions nous sacrifier nous-mêmes au nom de l’amour, montrer de l’amour à tous ceux qui se trouvent près de nous, ne pas nous conduire de manière égoïste. Nous devrions aimer la vie, la considérer comme un don et respecter tout ce qui vit.

Changer le monde

ML. Que doit faire l’humanité afin de changer le monde et éviter de se détruire elle-même ?
GB. Chacun, dans sa vie personnelle, peut faire quelque chose en faveur de la vie. Peu importe ce que vous êtes : que vous soyez médecin, enseignant ou un être humain ordinaire. Vous devez faire quelque chose en faveur de la vie. Par exemple, enseigner à vos enfants le respect de la planète, le respect des autres, donner une nouvelle conscience aux générations futures. Changer un peu chaque jour, dans tout ce que vous faites.

ML. Depuis que vous avez commencé votre mission, en 1989, avez-vous constaté des changements positifs dans le monde ou, au contraire, les choses ont-elles empiré ?
GB. D’un côté, j’ai vu bon nombre de personnes m’écouter avec la plus grande attention et transformer leur vie. Les gens sont plus ouverts à ce message, plus sensibles, ils ont moins d’idées préconçues. La conscience est en train de changer dans le monde actuel. Il se passe maintes choses positives. Mais d’un autre côté, il nous faut rester réaliste et voir également toutes les choses horribles qui se produisent. Il y a du bon et du mauvais. Il est important pour moi d’apporter de l’espoir et de transmettre des enseignements positifs car, si les gens n’entendent rien de positif, il leur est impossible de changer. Il est important de faire preuve de réalisme et de voir les choses telles qu’elles sont, mais aussi de se montrer suffisamment positif pour pouvoir les changer, sinon il est impossible de modifier quoi que ce soit.

ML. Avez-vous des informations concernant la situation économique mondiale ? Certains ont prédit un krach boursier.
GB. L’humanité devra affronter une période très sombre car, lorsque la vérité concernant Jésus et les êtres venant d’autres planètes sera rendue publique, toutes les institutions et tous les pouvoirs existant sur Terre, que ce soit dans le domaine économique, politique ou religieux, s’effondreront. En effet, cette révélation de la vérité donnera aux gens la liberté de penser et, lorsque vous jouissez de la liberté de penser, vous ne faites plus confiance à quiconque veut vous imposer sa manière de voir. Cette révélation sera tout à fait révolutionnaire.

ML. Y a-t-il quelque chose que nous puissions faire pour éviter « cette période sombre » ? Pouvons-nous prévenir cette crise en encourageant, par exemple, nos gouvernements à changer de politique ?
GB. Cela serait possible, bien sûr, si, par exemple, nos gouvernements abolissaient l’usage des armes et si nous avions sur Terre des lois équitables pour tous. Et il faudrait que nous changions le plus vite possible. En effet, plus les changements sont rapides, meilleurs sont les résultats. Il serait tout à fait possible de changer notre manière de vivre sans devoir affronter une crise. De toutes façons, nous devons changer et il ne tient qu’à nous d’agir en conséquence. Nous pouvons changer d’une manière « douce », en faisant de notre mieux pour transformer notre vie quotidienne, de façon à ce que cela devienne automatique, sans qu’une crise soit nécessaire. Mais si nous ne changeons rien de nous-mêmes, les changements se feront que nous le voulions ou non, et nous devrons traverser une période difficile.

ML. Comment envisagez-vous l’avenir ? Avez-vous un sentiment d’espoir ?
GB. Même si je ne puis dire que tout sera facile, je sais que nous devons faire face à la situation. J’ai de l’espoir, en particulier lorsque je regarde les enfants, la nouvelle génération. J’espère vraiment que, si nous enseignons à cette nouvelle génération des valeurs positives nouvelles, ils auront un avenir meilleur.

ML. Y a-t-il un autre message que vous souhaitiez communiquer aux lecteurs de notre revue ?
GB. Avant tout, aimez la vie sous toutes ses formes. Travaillez et coopérez avec les autres. Peu importe vos croyances. Peu importe qui vous êtes, vos convictions personnelles et la religion à laquelle vous appartenez : simplement coopérez et aidez-vous mutuellement à changer les choses, car ce troisième millénaire pourrait être très beau et très positif. Nous travaillerons tous ensemble même si extérieurement nous sommes différents.

Au sujet de l’origine des stigmates de Giorgio Bongiovanni, Benjamin Creme a indiqué dans la rubrique questions-réponses de notre numéro d’avril 1998 (p. 35) qu’ils devaient être attribués à son identification astrale-émotionnelle au Christ crucifié. (NdlT)

Au sujet de l'origine des stigmates de Giorgio Bongiovanni, Benjamin Creme a indiqué dans la rubrique questions-réponses de notre numéro d'avril 1998 (p. 35) qu'ils devaient être attribués à son identification astrale-émotionnelle au Christ crucifié. (NdlT)

 

Environnement

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Esotérisme

La science [sommaire]

par Aart Jurriaanse,

Tout travail scientifique est par essence spirituel, et bien que les scientifiques et les chercheurs en soient très peu conscients, ils sont inspirés depuis les royaumes subjectifs pour la réalisation de leur travail. Quand bien même ces travailleurs pourraient-ils encore nier l’existence d’un tel contact spirituel, considérant que leur créativité trouve sa source dans leur propre intelligence, il faudrait, en réalité, considérer ces scientifiques, qui d’une manière ou d’une autre manipulent les forces du monde des énergies, comme de véritables ésotéristes.

Il est vrai que nombre de scientifiques, naturellement plutôt sûrs d’eux-mêmes et conscients de leur supériorité, considéreront de telles assertions avec mépris ou indignation. Ils ne réalisent pas encore que le seul objet de leur formation scientifique est d’accroître leur intellect, et de faire d’eux des instruments plus sensibles pour la perception et la transmission des idées qui les impressionneront ou les inspireront depuis les sphères éthériques.

Parfois, un scientifique disposant d’aptitudes particulières, ou travaillant au sein d’un environnement déterminé ou dans une situation favorable, sera choisi par les Maîtres pour recevoir la révélation de quelque « découverte scientifique », et les idées correspondantes « impressionneront » son mental, comme une pensée inspirée.

A d’autres moments, les Entités concernées « diffusent » des idées scientifiques dans les éthers, les rendant ainsi accessibles aux antennes mentales de nombreux scientifiques. Cela peut alors entraîner la découverte plus ou moins simultanée d’un même principe scientifique par plusieurs chercheurs travaillant aux antipodes, et n’ayant pas eu de contact conscient les uns avec les autres. Dans pareil cas, il peut arriver que deux scientifiques, ayant pourtant touché la même source, puissent traduire et comprendre l’impression reçue de manière si dissemblable, en raison des différences de qualité existant entre leurs instruments de réception, qu’au moment où ces idées auront été transposées sous forme matérielle ou exprimées, il ne sera plus possible de se rendre compte qu’elles proviennent de la même forme-pensée.

Bien que de nombreux scientifiques se trouvent spirituellement guidés, et travaillent avant tout pour le bien de l’humanité, il existe aussi des exceptions. Certains ne s’intéressent qu’au potentiel financier de leur production intellectuelle et à la manière dont il sera possible de commercialiser leurs idées, ou même de les transformer en instrument de pouvoir sur la destinée de leurs frères. Ce genre d’attitude peut aisément aboutir à placer de tels travailleurs entre les mains des Forces de l’Ombre, avec pour conséquence que des inventions destinées à des fins positives soient employées, au moins temporairement, au détriment de l’homme. La découverte de la force nucléaire en est un exemple typique ; malgré l’étendue de ses possibilités d’utilisation au service de l’humanité, cette découverte fut d’abord employée à des fins de stratégie militaire et de destruction de l’homme.

Généralement parlant, les scientifiques ont jusqu’à présent observé une attitude particulièrement sceptique voire méprisante vis à vis de tout ce qui est spirituel, car ces mondes subjectifs sont tellement invisibles, intangibles et non mesurables, que leur existence ne peut pas être « scientifiquement prouvée ».

Au cours de la première moitié de ce siècle, le Tibétain a prophétisé qu’un changement de cette attitude dédaigneuse était en vue. Cette Nouvelle Ere se lève maintenant, la tendance s’est renversée, et on commence à noter un intérêt croissant de la science pour les questions subjectives. Il reste encore nombre de réfractaires qui, on s’en doute, appartiennent fréquemment aux anciennes générations, et qui résistent inflexiblement, refusant d’accepter l’existence des mondes éthériques. Ils sont fortement irrités de « l’attitude non scientifique » des membres de leur fraternité qui s’écartent des sentiers battus et des vieilles conceptions.

Une des premières avancée fut l’œuvre de quelques pionniers qui s’intéressèrent à la « perception extra-sensorielle ». Il circula également pendant assez longtemps quelques vagues récits, non vérifiés, provenant d’individus prétendant avoir photographié le corps éthérique. Au départ, ces affirmations furent largement et honteusement rejetées, sous l’accusation de supercherie. Mais la faisabilité de telles photographies a par la suite été largement testée et se trouve maintenant démontrée sans conteste. On s’efforce actuellement de créer des équipements plus perfectionnés dans ce domaine de recherche.

Le mouvement spiritualiste, actif à travers le monde depuis plusieurs années, de par le grand nombre de ses membres et l’importance qu’il a toujours accordée à l’existence des mondes éthériques, astraux et spirituels, a fourni une contribution notable à la préparation du grand public à une acceptation plus aisée de la réalité de ces mondes cachés.

En matière de télépathie, des expériences scientifiques exhaustives, dûment contrôlées, ont donné des preuves de l’existence de l’environnement éthérique. Nous disposons maintenant de confirmations irréfutables de l’existence des contacts télépathiques, dont la forme peut d’ailleurs varier selon les circonstances. Les chercheurs ont également découvert que ce contact télépathique ne se limite pas au règne humain, mais est également perçu inconsciemment ou instinctivement par les animaux et même les plantes. Comme cela était prévisible, la possibilité d’utilisation de la télépathie à des fins militaires fait également l’objet de recherches.

Ainsi les scientifiques se convainquent-ils rapidement de l’existence des sphères éthériques et spirituelles. La difficulté réside en réalité dans l’insuffisance de l’équipement naturel de l’être humain, dont la sensibilité n’est pas encore assez développée pour percevoir ces mondes subjectifs. Néanmoins, l’homme fait preuve d’une persévérance remarquable, lorsqu’un quelconque défi à relever excite son mental. Maintenant que s’est éveillé l’intérêt pour ces sphères cachées, on peut prédire en toute certitude que toutes sortes de moyens (grâce à la stimulation et au soutien de la Hiérarchie sous forme d’impression de pensées et d’idées !) permettront rapidement la mise au point de techniques destinées à compenser les insuffisances sensitives de l’homme.

Il en résultera probablement la création d’un nouveau domaine de recherche scientifique qui conduira inévitablement à un élargissement considérable de la vision du public, et à une reconnaissance plus précise de la permanence de l’esprit humain et de l’âme. Cette prise de conscience, étayée par des preuves scientifiques, conduira également à un rapprochement entre la science et la religion, d’autant plus que l’orientation émotionnelle et mystique qui caractérisait les pratiques religieuses du passé, se voit maintenant rapidement remplacée par une approche plus sobre et plus mentale.

Il convient hélas de prendre également en compte les Forces de l’Ombre dans ce processus. En effet, ces forces feront l’impossible pour que les nouvelles découvertes soient mal interprétées et pour répandre le doute sur la validité des résultats qui pourraient être fournis. Il semble évident que les forces du mal emploieront n’importe quels moyens pour favoriser leurs funestes desseins, et contrecarrer les effets bénéfiques que l’humanité peut attendre de ces nouveaux domaines de recherche.

Dans ces conditions, les chercheurs doivent constamment veiller aux motifs qui les inspirent à cette recherche de preuve. Que leurs objectifs soient altruistes, visant au service de l’humanité, et ces travailleurs eux-mêmes, ainsi que leurs frères les hommes, profiteront tous de ces efforts. Mais qu’ils soient motivés par des objectifs égoïstes, et il pourrait en résulter pour tous une souffrance sans fin.

Dans ses écrits, D.K. a prophétisé que dans le Nouvel Age, où l’homme s’engage maintenant, émergera un groupe de disciples qui travailleront à l’établissement d’une nouvelle civilisation, qui se caractérisera finalement par une véritable liberté. Il s’agira d’une époque où l’homme se trouvera relevé de ses responsabilités actuelles envers le travail, et où il lui sera accordé le temps de penser, afin qu’il puisse se forger de nouveaux centres d’intérêts culturels et déployer les hautes sphères de son mental abstrait. Ces changements se produiront grâce au développement technologique, qui prendra une telle ampleur que la plupart des besoins matériels de l’homme seront assumés par la science et que la conception actuelle du « travail » se trouvera pratiquement abolie. Cette prophétie peut encore paraître chimérique, mais en y regardant de plus près, et en tenant compte des progrès récents en matière d’électronique et de robotique, cela ne semble plus tout à fait aussi absurde !

 

Faire le lien

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Faits et prévisions

Au fil des années, Partage international a régulièrement publié des articles soulignant les attentes de Maitreya, telles qu'elles ont été présentées par l'un de ses collaborateurs vivant à Londres au sein de la même communauté, à propos d'un certain nombre de changements politiques, sociaux, écologiques et spirituels devant se produire dans le monde. Périodiquement, Benjamin Creme et son Maître ont également partagé leur point de vue sur les développements à venir. Dans cette rubrique intitulée « Faits et Prévisions » notre rédaction analyse les nouvelles, les événements et les déclarations ayant un rapport avec ces prévisions et points de vue.

L’Irlande du Nord fait un pas vers la paix [sommaire]

« En Irlande du Nord, les problèmes seront résolus à l’échelon local et, sous une certaine forme, un parlement local sera mis en place. L’armée britannique se retirera d’Irlande du Nord. » (un collaborateur de Maitreya, Partage international, octobre 1988)

Après des négociations marathon ayant souvent failli avorter, les parties en guerre d’Irlande du Nord sont finalement parvenues à un accord visant à mettre un terme à trente ans de violence sectaire. Jugé à maintes reprises impossible, cet accord de paix a été annoncé au cours du Vendredi saint, tel peut-être un symbole de sacrifice, de souffrance et de préparation à la résurrection.

Un document de 67 pages présente le cadre dans lequel devra s’effectuer le partage du pouvoir, en réponse aux exigences et aux craintes des deux principaux groupes religieux. Une nouvelle institution, l’Assemblée d’Irlande du Nord, dont les membres seront élus, représentera de manière fidèle la population de la province, forte de 1,6 millions d’habitants. Un Conseil ministériel Nord-Sud sera créé. Il réunira le pouvoir législatif de l’Irlande du Nord et de la République d’Irlande, pour traiter de questions telles que l’environnement, les transports et le tourisme. Enfin, un autre corps, le Conseil des Iles, sera composé des représentants des parlements d’Irlande, de Grande-Bretagne et des nouvelles assemblées d’Irlande du Nord, du Pays de Galles et d’Ecosse. Il se réunira deux fois par an.

Dix sept heures après la fin officielle des négociations, les participants discutaient encore et le compromis était à l’ordre du jour. Le gouvernement irlandais renonçait à sa revendication territoriale sur l’Irlande du Nord. Les Républicains laissaient de côté, au moins temporairement, leur requête principale sur l’union avec l’Irlande, qui était de longue date au cœur de leurs revendications. Et les protestants signaient un accord qui établit des liens avec la République d’Irlande et octroie des droits plus importants aux catholiques, acceptant ainsi une dilution de leur propre pouvoir.

Source : York New-YorkTimes, New York Daily News, Etats-Unis

La lumière tue le cancer [sommaire]

« La chirurgie et l’emploi des médicaments deviendront inutiles lorsque des médecins auront été formés à l’utilisation de cette technologie [de la lumière]. » (Partage international, février 1990)

Aux Etats-Unis, un chercheur de l’école de médecine de l’université John Hopkins a développé un procédé photodynamique capable de détruire les tumeurs cancéreuses de l’œsophage et des poumons. Quelques jours avant l’intervention chirurgicale, les patients absorbent un médicament sensible à la lumière, appelé Photofrin, qui détecte les cellules cancéreuses. Un tube en fibres optiques est alors introduit dans l’œsophage, après la prise d’un sédatif léger, et la lumière active le Photofrin. La réaction photochimique ne produit aucune chaleur, mais détruit les cellules cancéreuses. L’effet secondaire le plus fréquent est une certaine sensibilité au soleil qui persiste quelque temps. Les patients qui ont testé cette méthode ont vu leur cancer disparaître. Le Photofrin est également testé pour les cancers de l’abdomen et des ovaires.

Un monde plus chaud [sommaire]

« Les jours et les nuits deviendront plus chauds sur l’ensemble de la planète. Les êtres humains passeront plus de temps à se reposer, moins de temps à travailler, et cette évolution se traduira par des modifications dans leur comportement. Ils disposeront de plus de temps pour des activités récréatives. » (un collaborateur de Maitreya, Partage international, janvier-février 1990)

Selon les propos de certains chercheurs américains rapportés dans le magazine Nature, les années 1997, 1995 et 1990 ont été les plus chaudes de l’hémisphère nord depuis l’époque de Christophe Colomb.

Source : Trouw, Pays-Bas

Des mesures pour stimuler l’économie japonaise [sommaire]

« La fin du mercantilisme est maintenant à portée de main. D’une manière générale, les marchés boursiers tels qu’ils fonctionnent aujourd’hui n’auront plus leur place dans la société nouvelle. » (un collaborateur de Maitreya, P.I., mai 1989)

Le gouvernement japonais a annoncé un programme de dépenses exceptionnel, d’un montant de 128 milliards de dollars, pour stimuler l’économie. Il s’agit de sortir le pays de sept ans de marasme et de lever la crainte que la faiblesse économique du Japon n’entraîne une récession mondiale. Le gouvernement affirme que ces mesures pourraient générer un surplus de croissance de l’ordre de 2 %. Mais les économistes du secteur privé sont moins optimistes.

Source : New York Times, Etats-Unis

G-8 et changements climatiques [sommaire]

« L’environnement deviendra la question prioritaire dans le monde entier. » (un collaborateur de Maitreya, PI, juin 1989)

Les ministres de l’Environnement des sept principaux pays industrialisés et de la Russie – groupe connu sous le nom de G-8 – se sont récemment réunis au Château de Leeds, en Grande-Bretagne. Ils ont déclaré que les changements climatiques survenant actuellement représentent la pire menace au développement durable, à la santé publique et à la prospérité du monde. Dans le rapport émis en fin de séance, les ministres affirment que le temps est venu d’adopter de véritables mesures visant à appliquer le protocole de Kyoto. « Nous savons que nous incombe la responsabilité de combattre le commerce illégal de substances dangereuses pour la couche d’ozone, de diriger la bataille contre le changement climatique et de réduire les émissions de gaz renforçant l’effet de serre dans nos pays. 

Source : El País, Espagne

 

Fenêtre sur le monde

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La voix de la raison

« Hormis la guerre, rien ne compromet aussi gravement l’avenir de l’humanité que la pollution. Constatant qu’il en est ainsi, certains pays ont pris des mesures pour la réduire et pour limiter le réchauffement climatique. D’autres, parfois parmi les plus gros pollueurs, nient la réalité d’un tel réchauffement en dépit des preuves qui s’accumulent. A tout moment, dorénavant, les changements climatiques montrent sans l’ombre d’un doute que la planète est malade, qu’elle a besoin de soins immédiats et attentifs pour retrouver l’équilibre. Le temps nous est compté pour mettre fin aux ravages que subit quotidiennement la planète Terre. Chaque homme, chaque femme, chaque enfant a son rôle à jouer dans sa restauration. Oui, le temps presse. Save Our Planet (S.O.P.), sauvons notre planète ! » Source : Le Maître de B. Creme, S.O.P. Sauvons notre planète, 8 septembre 2012
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La voix des peuples

Cette rubrique est consacrée à une force en plein développement dans le monde. La voix du peuple ne cessera de s’amplifier jusqu’à ce que, guidés par la sagesse de Maitreya, les peuples conduisent leurs gouvernements à créer une société juste dans laquelle seront respectés les droits et les besoins de tous.
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Le point de vue de Maitreya

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Le respect de la loi

« Chaque fois qu’il y a affaiblissement de la loi… et accroissement général du désordre, alors je me manifeste. » (Bhagavad Gita). La promesse de Krishna, l’Avatar, semble particulièrement d’actualité. C’est pour tenir cette promesse que Maitreya, l’Avatar de notre ère, est présent dans le monde à une époque où l’anarchie est si répandue. « Lorsqu’une nation parvient à l’âge adulte, à la maturité, les relations qu’elle établit avec les autres changent du tout au tout. Elle commence à respecter l’autorité de la loi qui unit toutes les nations, les liant dans leurs responsabilités et leurs besoins mutuels. Le développement vers la maturité se signale précisément par un tel respect des lois que les hommes ont estimées nécessaires pour vivre ensemble en paix… Lorsque, parmi les nations, l’on ignore l’autorité de la loi, c’est le monde entier qui en souffre. » (Le Maître — PI, avril 2004) Actuellement, les traités et les résolutions de l’Onu sont méprisés, et les lois nationales et internationales sont bafouées. Dans ce contexte, nous présentons des brèves mettant en exergue la nécessité d’un respect renouvelé de la loi.
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Les enseignements de Maitreya

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Les mensonges dévoilés

Le 15 février 2003, à Londres, Maitreya a été filmé sous les traits d’un Antillais, lors de la marche pour la paix (voir PI, avril 2003). « Je suis fier aujourd’hui d’entendre mes frères et mes sœurs dire la vérité et dénoncer les mensonges. C’est tellement magnifique ! » a-t-il déclaré. Depuis, les mensonges sont de plus en plus dénoncés.
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Les priorités de Maitreya

« Pour aider les hommes dans leur tâche, Maitreya, l’Instructeur mondial, a formulé certaines priorités. Assurer à tous un approvisionnement correct en nourriture ; procurer à tous un logement convenable ; fournir à tous soins médicaux et éducation, désormais reconnus comme un droit universel. » Le Maître de Benjamin Creme, Partage international, janvier 1989. Dans cette rubrique, notre rédaction aborde les questions relatives aux priorités énoncées par Maitreya et présente des expériences orientées dans cette direction.
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L’humanité une

Lorsque l’homme acceptera vraiment le fait que l’humanité est une et que les hommes, entre eux, sont frères, quand il traduira ces vérités en actes, toutes choses pourront en toute sécurité lui appartenir. Son héritage l’attend. Ainsi les hommes devront-ils apporter la preuve qu’ils sont prêts pour la paix, prêts à pénétrer ensemble dans l’avenir, sans effusion de sang ni compétition. Ils devront se réjouir de partager et de travailler en harmonie pour le bien de tous. Quand les hommes, d’eux-mêmes, seront dans ces dispositions, ils en appelleront à Maitreya (quel que soit le nom sous lequel ils le connaîtront) pour leur montrer le chemin, les faire sortir du chaos, et les conduire vers une ère de paix. (L’héritage de l’homme, par le Maître de Benjamin Creme).
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L’Unité dans la diversité

« Le but de notre vie, que nous en ayons pris conscience ou non, est l’instauration de l’unité, la manifestation de l’unité qui existe déjà. Chaque atome de l’univers est relié à tous les autres atomes. » Benjamin Creme, L’Unité dans la diversité.
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Regard sur le monde

Dans cette rubrique, Partage international met en lumière certains problèmes urgents qui nécessitent une nouvelle approche et des solutions durables.
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Autres

Les secrets de Fatima [sommaire]

Le 13 mai 1917, à Fatima, au Portugal, trois enfants, Lucia, Jacinta et Francisco gardaient les moutons de leurs parents lorsque, dans un éclair de lumière, ils virent apparaître « une dame plus brillante que le soleil » assise sur la branche d’un arbre. Cette vision de la Vierge Marie se reproduisit le 13e jour de chacun des cinq mois suivants, et se termina le 13 octobre par le « miracle du soleil », lorsqu’une boule de feu tourbillonnante guérit des centaines de personnes parmi celles qui s’étaient rassemblées pour assister à l’apparition de la Vierge.

Au cours de ces manifestations, les enfants furent les seuls à voir réellement la Vierge, et seule l’une des deux fillettes,

Lucia, fut capable de communiquer avec elle. C’est à Lucia que furent révélés les trois Secrets de Fatima. Le premier était un message de paix (cela se passait au cours de la Première Guerre mondiale) et une vision de l’enfer, avec des âmes tourmentées plongées dans un océan de feu. Le deuxième secret prédisait que la Russie « répandrait ses erreurs dans le monde entier, causant des guerres et des persécutions contre l’Eglise ».

Quant au troisième secret, il n’a jamais été divulgué : il gît dans un tiroir du Vatican, chaque pape en prend connaissance lors de son accession au trône pontifical, mais il est supposé être trop horrible pour être révélé.

Les évêques anglicans croient à la vie extraterrestre [sommaire]

Un récent sondage du Sunday Times parmi 42 évêques de l’Eglise d’Angleterre révèle que 40 d’entre eux, soit 95 %, croient à la possibilité de la vie sur d’autres mondes. Trente et un évêques, soit 74 %, pensent qu’il pourrait s’agir d’une vie intelligente.

La position de ces ecclésiastiques se démarque du dogme catholique, qui considère que l’être humain est unique dans l’univers et le seul à avoir été créé à l’image de Dieu.

Selon Henry Richmond, évêque de Repton : « L’existence d’autres formes de vie hors de notre planète est possible. J’aimerais croire que les extraterrestres puissent avoir une forme humaine, mais nous serons probablement amenés à revenir sur nos préjugés et à considérer que même les petits hommes verts constituent une forme de vie intelligente dont nous ne devrions pas avoir peur. »

Michael Turnbull, évêque de Durham, déclare pour sa part que la découverte de la vie sur d’autres planètes serait un élément positif. « Dieu a créé toute vie. Si nous pouvions entrer en contact avec des formes de vie existant sur d’autres planètes, nous découvririons alors les plus grandes merveilles de la création divine. » La plupart des personnes interrogées sont d’accord pour dire qu’une telle découverte entraînerait la révision de la doctrine traditionnelle.

Quant à la possibilité que Dieu ait personnellement rendu visite à ces mondes lointains, cela semble cohérent pour Mark Green, évêque adjoint de Chichester. « Cela ne me choquerait pas du tout ; après tout, si Dieu a des enfants éparpillés dans l’univers, il est logique qu’il leur rende visite, de la même façon qu’un père de famille traverserait le pays pour voir sa progéniture », a-t-il déclaré.

Lindsay Urwin, évêque de Horsham, pense que « la religion ne s’est jamais contentée de porter son regard sur la Terre pour en tirer des enseignements sur Dieu. La Bible dit que les cieux chantent sa gloire et je crois que quel que soit ce qui se trouve là-haut, cela sert la même gloire de Dieu. »

Frank Weston, évêque de Knares-borough, est du même avis : « L’idée d’un univers en expansion et de l’existence d’autres univers au-delà de celui-ci me réjouit. Dieu est un créateur tout-puissant et personne ne peut restreindre son œuvre. La vie existe nécessairement sous d’autres formes et cette possibilité excite beaucoup ma curiosité. »

Source : The Sunday Times, Grande-Bretagne

Sur la trace d’un énorme ovni [sommaire]

En avril dernier, la Royal Air Force a tenté de suivre le tracé d’un énorme ovni au large des côtes britanniques. L’engin a volé en zigzag à la vitesse de 27 000 km/h, avant d’accélérer jusqu’à 38 000 km/h et de disparaître au dessus de l’océan Atlantique. Deux pilotes de l’Armée de l’air néerlandaise se sont efforcés en vain de l’intercepter. Des membres de la RAF, encore sous le choc, ont notamment déclaré que l’appareil « était, sans le moindre doute, sous contrôle au vu des manœuvres qu’il exécutait ; qu’il avait une forme triangulaire et à peu près la taille d’un navire de guerre (environ 300 m). »

L’Armée de l’air britannique serait sur le point de rendre publique une série d’images vidéo récentes montrant douze ovnis modifiant leur forme en plein vol.

Source : Daily Mail, Grande-Bretagne

Abolir l’esclavage de l’endettement [sommaire]

par Patricia Pitchon,

D’après de récentes études, quelque 800 millions de personnes, surtout en Asie et en Afrique, ne bénéficient pas d’une alimentation adéquate. Le tableau est même en train de s’assombrir, suite à la crise boursière et aux faillites monétaires dans le Sud-Est asiatique. Dans cette région, des milliers de sociétés font faillite et des millions d’individus perdent leurs moyens de subsistance […]

Comparées à tous les milliards rapidement réunis par le FMI pour renflouer les économies sud-asiatiques, les initiatives pour venir en aide aux pays les plus pauvres, particulièrement en Afrique sub-saharienne, ne représentent pas grand chose. A ce jour, seulement quatre pays (le Burkina Faso, l’Ouganda, la Bolivie et le Guyana) sont en mesure de bénéficier d’un allégement de leur dette, suite à l’initiative lancée à grand bruit par la Banque mondiale en 1996.

Annulation de la dette : des conditions draconiennes

C’est que les conditions requises sont draconiennes : les pays doivent s’engager dans une restructuration économique, administrative et politique (appelée « ajustement structurel ») pendant une période de trois ans. L’exigence d’une meilleure transparence et d’un accroissement du sens des responsabilités va dans le bon sens, mais le fait de rompre les barrières commerciales et d’ouvrir des économies déjà vulnérables a provoqué des résultats mitigés dans certains pays où l’on s’aperçoit que les pauvres deviennent encore plus pauvres. C’est là une variante de la recette bien connue qui vise à établir la stabilité monétaire en provoquant l’appauvrissement d’une partie significative de la population. Dans de nombreux pays, le prix de l’alimentation a augmenté par rapport au salaire du travailleur moyen. On estime que les pauvres privés de terres doivent consacrer jusqu’à 80 % de leurs revenus à leur seule alimentation.

Un problème de répartition

Ce sombre tableau est en contraste avec un récent rapport, The World Food Outlook (Perspectives de l’alimentation mondiale), rédigé par deux membres de la Banque mondiale et un universitaire australien. Ce rapport contredit les prédictions alarmistes d’il y a quelques années, selon lesquelles on pouvait s’attendre à une pénurie mondiale de denrées alimentaires. Il est remarquable de constater qu’en dépit de l’augmentation de la population mondiale nos capacités ont suivi le rythme de l’explosion démographique. Toutefois, le rapport n’aborde guère la démarche à suivre pour organiser une redistribution efficace des surplus vers les zones qui ont en besoin. Certains analystes ont souligné le fait que l’introduction dans le tiers monde de denrées alimentaires bon marché pouvait déprécier les prix des produits locaux, au détriment des cultivateurs. C’est exact, mais le fait est que les mécanismes actuels conduisent à la situation absurde qui veut que, bien que les ressources alimentaires mondiales soient suffisantes, des millions d’individus souffrent de la faim.

Redistribuer la terre

On sait maintenant que de nombreuses causes se cachent derrière la pauvreté et la faim, mais ces causes ne nous sont pas inconnues. Ainsi, on sait qu’une réforme structurelle de la propriété foncière pourrait améliorer la situation dans de nombreux pays du tiers monde. Les grands bailleurs de fonds internationaux imposent de profondes réformes au sein de nos sociétés, mais ils gardent un étrange silence sur les questions de propriété de la terre. Vers le début des années 1980, 4 % des grands propriétaires terriens du monde contrôlaient la moitié des terres céréalières mondiales. Dans 83 pays pauvres, 3 % des propriétaires terriens possèdent ou contrôlent 80 % des terres. En Asie, entre un tiers et la moitié de la population rurale ne possède aucune terre. Pourtant, en termes de productivité par hectare, la plupart des petits fermiers sont plus performants que les grands. Au Brésil, au Chili et en Argentine, la productivité par hectare des petites exploitations familiales est plus de huit fois supérieure à celle des fermes plus importantes ; en Colombie, elle est 14 fois supérieure. Mais 58 % des petits propriétaires doivent se contenter de 8 % des terres cultivables mondiales. Il en ressort évidemment qu’une redistribution de la terre pourrait améliorer la sécurité alimentaire et l’autosuffisance, tout en freinant la migration vers les villes où les pauvres vivent dans la précarité et le sous-emploi.

Diversifier les productions locales

L’Occident ne semble guère gêné par cette situation. Les multinationales, en particulier celles qui cherchent à contrôler la chaîne alimentaire dans sa globalité, de la plantation et de la récolte jusqu’au traitement des aliments, à l’emballage et à la vente, voient d’un mauvais œil les propositions qui tendent à améliorer l’autosuffisance des populations rurales pauvres. Le système économique actuel basé sur le marché libre crée également des situations où, pour des raisons financières, de nombreux agriculteurs se consacrent uniquement à la culture d’exportation (incités à la faire par certaines banques internationales). Non seulement ce manque de diversité locale réduit l’autosuffisance des agriculteurs, mais il les fragilise face aux fluctuations de cours sur les marchés mondiaux. Au cours des dernières années, la tendance des prix était à la baisse. La diversité de la production locale est indispensable, mais ceux qui détiennent le pouvoir dans les pays riches y sont souvent réticents, semblant souhaiter que le tiers monde reste soumis et dépendant.

L’esclavage de l’endettement

Les inondations, la sécheresse, les fléaux qui détruisent les récoltes, et les guerres civiles jouent également leur rôle. Mais les guerres civiles sont souvent la conséquence de graves déséquilibres socio-économiques maintenus ou amplifiés par certaines politiques.

La persistance de la pauvreté est également due en partie à l’inadaptation des systèmes de crédit, qui contrecarrent le développement des « micro-crédits ».

En fin de compte, de nombreux pays subissent une forme moderne d’esclavage, à savoir l’esclavage de la dette. Selon les estimations du Programme des Nations unies pour le développement, l’annulation de la dette extérieure des pays les plus pauvres du monde permettrait de sauver la vie de 21 millions d’enfants, avant la fin du millénaire. La Tanzanie, par exemple, doit consacrer plus d’un tiers de ses richesses au seul remboursement de sa dette extérieure. La plupart des pays d’Afrique sub-saharienne ont seulement réussi à rembourser les intérêts, sans jamais arriver à réduire la dette elle-même. En Occident, les organismes de crédits internationaux semblent tirer parti du système, ne laissant pas les pays s’effondrer complètement (en s’assurant de leur capacité de paiement des intérêts) mais veillant à ce que les dettes ne puissent jamais être remboursées non plus. A l’échelle d’un pays, ce système engendre une situation de « travail forcé », situation dans laquelle les travailleurs restent endettés toute leur vie, contraints de travailler afin de tout simplement se maintenir en vie, sans gagner rien d’autre que leur nourriture. Aucun progrès n’est possible si l’on est réduit à honorer les intérêts d’une dette, sans que la dette soit elle-même diminuée. Telle est la situation que connaissent quelque 40 pays d’Afrique noire.

Créer un organisme international de redistribution

Par des campagnes de sensibilisation, […] une prise de conscience de l’opinion publique peut inciter les pays les plus riches à annuler les dettes qui paralysent les pays les plus pauvres. D’autres initiatives allant dans ce sens n’ont jamais abouti ou avancent trop lentement. L’une de ces initiatives prévoyait la vente par le FMI de ses réserves d’or ; mais le Japon et l’Allemagne s’y sont opposés. Assez étrangement, les Etats-Unis ont également fait preuve d’un manque d’initiative. Certains effets d’annonce semblaient plutôt destinés à calmer le mécontentement croissant de l’opinion publique qu’à déboucher sur des actions concrètes. Le décalage est grand entre les annonces d’allégement de la dette et la réalité. Peut-être espère-t-on que le public s’endormira et qu’il se désintéressera de la suite donnée aux promesses. Outre l’extension du micro-crédit et la restructuration de la dette, il faudra mettre sur pied des mécanismes de redistribution alimentaire. De nombreuses études montrent qu’une grande quantité de nourriture est perdue par manque d’infrastructures pour la transporter et la stocker correctement. Ceci étant, le principal objectif doit être d’alimenter la population à l’heure d’aujourd’hui, quelles que soient les insuffisances actuelles.

Il paraît malheureusement évident que le marché, livré à lui-même, ne peut assurer ce résultat. La solution est manifestement de créer une agence alimentaire internationale chargée d’acheminer la nourriture vers les zones qui en ont besoin, avec comme mission spécifique de mettre un terme à la faim et à la famine en l’espace de quelques années. Le droit à la vie elle-même doit devenir la plus haute priorité.

 

Citation

De la richesse [sommaire]

par Epicure,

« Ce n’est pas l’importance de nos possessions qui fait notre richesse, mais la modestie de nos exigences. »

 

Message de Maitreya

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Brève

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Courrier des lecteurs

Partage international dispose d’une réserve importante de courriers qui ont été confirmés par le Maître de Benjamin Creme comme relatant de véritables rencontres avec des Maîtres, ou un « porte-parole », mais qui n’ont pas encore été publiés. D’autres courriers présentés ici sont plus récents. Pour ces derniers, bien que nous ne puissions pas confirmer ou indiquer si un Maître est impliqué, l’expérience peut être telle qu’elle « parle d’elle-même » en apportant espoir, inspiration et réconfort. Nous présentons ces courriers à votre considération.

Un amateur d’art [sommaire]

Cher Monsieur,

Je travaille comme musicien à l’hôtel Renaissance d’Atlanta. Chaque jour, notre orchestre fait une pause de 19 h 30 à 20 h 30. Le mardi 13 janvier 1998, j’ai fait une rencontre des plus extraordinaires et je pense qu’il pourrait s’agir de Maitreya ou d’un autre Maître.

J’étais assis dans un coin du hall de l’hôtel, absorbé dans ma lecture, lorsque j’aperçus du coin de l’œil un homme paraissant être un SDF qui déambulait à quelques mètres de moi. L’hôtel est très « classe », de sorte qu’il est étrange de voir un homme d’aspect misérable comme celui-ci dans un endroit pareil. Je me dis que ce pourrait être Maitreya. Je continuai à lire tout en le regardant s’approcher du coin où j’étais assis.

Il était grand, environ 1,85 m, avait une barbe grise et des cheveux gras d’un noir de jais comme s’il les avait teints avec un shampooing colorant bon marché. Le teint pâle, il portait une chemise Oxford sale avec des rayures, aux manches retroussées, et un pantalon kaki tirant sur le gris. Il se tint droit à côté de moi durant un instant, déposa doucement par terre ses deux sacs et sa glacière, et se mit à s’essuyer le front.

Je lui demandai : « Monsieur, puis-je faire quelque chose pour vous ? » Il se mit à pleurer et répondit : « C’est une honte qu’il y ait des gens dans ce restaurant qui dépensent 60 dollars en nourriture et en alcool tandis que d’autres meurent de faim, et comme c’est triste que les gens ne s’occupent pas davantage les uns des autres. » [Une pensée que j’avais eue maintes fois en regardant les clients manger pendant que je jouais.] Je dis : « Je vous en prie, asseyez-vous. » Il me tendit la main et dit : « Je m’appelle Doug M… » (je suis incapable de me rappeler son nom de famille). Je lui répondis : « Bonjour, je m’appelle Gary. » Il me prit la main pour la serrer et je pourrais jurer que je ressentis un flot d’énergie s’écouler à travers mon bras.

Il s’assit juste à côté de moi et se remit à pleurer, mais cette fois au sujet de la mort de sa mère. Pendant qu’il pleurait – je ne pouvais pas m’en empêcher – je brûlais d’envie d’éclater de rire et de lui demander s’il était Maitreya ; mais je me retins. Je voulais l’écouter pour lui-même, non pas parce que je pensais que c’était Maitreya. Je le réconfortai et il s’arrêta de pleurer.

Il me demanda à quelle église j’appartenais. Je lui dis : « Je n’appartiens à aucune église, je suis un musicien de bar. » Il dit qu’il pensait que j’étais un prêtre (je pense souvent que je ressemble à un prêtre avec mon smoking et ma chemise noire). Nous nous mîmes à parler et il marmonna, gloussa et fit quelques plaisanteries légères. Mais ce qui m’étonnait c’est que lorsqu’il disait quelque chose d’important, il était précis, pédagogue et concis. C’était aussi un auditeur remarquable et quand je parlais, il buvait chacune de mes paroles.

Nous parlâmes une demi-heure au moins, de choses diverses. Je me souviens qu’il me demanda si quelques unes de mes compositions pour piano avaient été publiées et je répondis que non. Il dit qu’il me voyait comme Rembrandt (qui entre parenthèses est mon peintre favori) et que cent ans après ma mort, quelqu’un découvrirait ma musique, l’écouterait et se mettrait à la jouer. Il ajouta : « Hé, comme Picasso ! » (un autre de mes peintres favoris) et il précisa : « bien que celui-ci fût quelque peu reconnu de son vivant. » Il fit aussi des commentaires sur Monet, l’impressionniste, disant qu’il s’agissait d’un artiste formidable. Je trouve stupéfiant qu’il ait nommé mes trois peintres favoris. Il se mit ensuite à parler d’économie, expliquant que nous étions arrivés à une espèce de sommet et que les gens croyaient qu’on y resterait – il dessina alors dans l’air une pente descendante – puis il affirma : « Nous ne resterons pas à ce niveau très longtemps. »

Il se mit à me raconter des blagues, il était très amusant. Je me rappelle avoir voulu lui raconter la blague de l’amnésique qui va chez le docteur. Le docteur lui dit : « Depuis combien de temps avez-vous ce problème ? » et le gars répond : « Quel problème ? » (c’est la blague favorite de Benjamin Creme). Mais avant que je puisse la lui raconter il me la servit et commença à hurler de rire. « Celle-là, je l’aime vraiment ! » dit-il.

Pendant environ une demi-heure, nous avons discuté de la corruption des hommes politiques et des hommes d’affaires, mais il montrait une grande compassion à leur égard même s’ils s’étaient compromis. Il ajouta qu’il était très triste de l’attentat à la bombe d’Oklahoma City et que ça lui brisait le cœur que Timothy McVeigh ne paraisse même pas avoir de remords. Tout d’un coup, il déclara : « Gary, je suis vraiment occupé, il faut que je m’en aille. » Le vagabond était soudain pressé, mais jetant un coup d’œil à ma montre, je vis qu’il était justement temps pour moi de recommencer à jouer. Je lui déclarai : « Doug, je vous apprécie et j’ai beaucoup apprécié notre conversation. Je désire vous faire cadeau de ce qui m’est le plus cher » (le tome 2 de la Mission de Maitreya). Il dit qu’il ne pouvait pas le prendre parce que ce livre signifiait trop de choses pour moi, mais comme j’insistai, il accepta.

Comme nous nous dirigions vers le parking, il dit : « J’essaie de trouver un trésor dans les poubelles et je ramasse des rebuts. Qu’est-ce que je peux vous donner ? » Je pensai en moi-même : « Une toile de Rembrandt. » Il continua : « Je ne pense pas pouvoir vous donner une toile de Rembrandt, ni de Picasso, mais je vous enverrai quelque chose, sans faute », et nous nous mîmes à rire tous les deux.

Alors qu’il allait partir, il se mit à genoux et commença à farfouiller dans ses sacs en essayant de trouver son manteau. Il me demanda de lui écrire mon adresse sur son livre. Je dis : « Doug, je désirerais avoir un autre parapluie à vous donner. Il fait si froid et il pleut. Etes-vous sûr que ça ira de marcher ? » Il répondit : « Oh, le temps qu’il fait est tout dans la tête. L’hiver, je sors constamment en chemise à manches courtes et en short. Simplement, je m’imagine dans un endroit chaud. Ne vous faites pas de souci à mon sujet. » Et vous savez, j’étais certain qu’il irait bien, qu’il soit Maitreya ou non.

Quand je l’ai laissé pour retourner à mon travail, il était encore à genoux. Il me fit un grand sourire et lança en manière de plaisanterie : « Buenos Nachos (Noches) ». Puis il ajouta : « Buenos tocos tardes » (je prononce toujours des remerciements et des au revoirs en espagnol, pour plaisanter, sur le même ton qu’il employa.)

Il avait tant de sincérité et d’honnêteté ! Je me demandai si c’était Maitreya ou un autre des Maîtres. Pouvez-vous me dire si c’est le cas ?

G. W., Atlanta, Géorgie, E.-U.

Le Maître de Benjamin Creme confirme que l'homme était en effet Maitreya. Maitreya n'était pas visible des autres personnes dans l'hôtel.

Achat en gros [sommaire]

Cher Monsieur,

Voici ce qui est arrivé à mon fils Jan.

Le vendredi 18 avril 1997, je lui demandai d’aller m’acheter un paquet de beurre. Je lui donnai un sac et une pièce de cinq francs suisses. Avant de partir, il me demanda dans lequel des trois magasins les vendeuses étaient les plus gentilles avec les enfants. Je le lui dis et il s’en alla.

Au bout d’un bon moment, il revint et me dit en posant le sac devant moi : « Maman, c’était vraiment lourd ! » Je regardai dans le sac et vit dix paquets de beurre. Comme je lui demandais avec quel argent il les avait payés, il me répondit que c’était la dame qui faisait la queue derrière lui qui avait donné un billet de cinquante francs. Puis il sortit la pièce de cinq francs de sa poche et me la rendit. Lorsque je lui demandai à quoi ressemblait la dame, il s’exclama avec un grand sourire radieux : « Elle était lumineuse, maman, pleine de lumière, et très gentille ! » Je téléphonai alors au magasin, où la vendeuse me confirma que la dame qui attendait derrière Jan avait effectivement payé les 10 paquets de beurre.

Mon fils, soit dit en passant, a cinq ans. Pourriez-vous me dire qui était cette dame et si ce fut l’idée de Jan d’acheter 10 paquets de beurre, parce que, quand je lui ai demandé pourquoi il en avait tant rapporté, il me répondit qu’ainsi il n’aurait plus besoin d’aller faire les commissions tout le temps.

E. W., Winterthur, Suisse

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que la « dame » était Maitreya et que c'est lui qui a mis dans la tête du garçon l'idée d'acheter dix paquets de beurre.

En supplément [sommaire]

Le 30 avril 1997, je dus me presser pour poster mon courrier à l’heure. Avant de partir, j’avais constaté qu’il ne restait dans mon porte-monnaie que deux pièces de deux francs et un peu de menue monnaie. Aussi je me précipitai au distributeur pour retirer quelques billets. Mais le chauffeur de la fourgonnette postale n’eut pas assez de pièces pour me rendre la monnaie sur un billet. Alors je proposai de compter ma menue monnaie pour voir si cela suffirait. Quand j’ouvris mon porte-monnaie, je découvris une pièce de 5 F. Et ainsi j’eus suffisamment de monnaie.

Parfois, j’ai l’impression qu’il y a plus d’argent dans mon porte-monnaie qu’il ne devrait y en avoir réellement. Pouvez-vous me dire si quelqu’un m’aide et, dans l’affirmative, de qui il s’agit ? Pendant quatre ans je suis restée mère célibataire tout en suivant une formation et, depuis neuf mois, je suis sans emploi, ce qui signifie que le manque d’argent est souvent un problème pour nous.

E. W., Winterthur, Suisse

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que Maitreya matérialise l'argent supplémentaire de temps en temps.

Un choix difficile [sommaire]

Le soir du lundi 28 avril 1997, je me rendis à une conférence à Olfen. Le train venant de Zurich avait du retard et il aurait été difficile d’être à l’heure à l’hôtel Olfen. Je grimpai en toute hâte les marches du passage souterrain quand un jeune homme vêtu de noir s’approcha et me demanda 3,90 F pour prendre le bus qui se trouvait tout près de nous. Par la suite, je pris conscience qu’il était environné de clarté, que personne ne se trouvait près de lui dans un rayon d’environ trois mètres, qu’il y avait comme une sorte de vacuité tout autour de lui. Indécise, je me demandai si je devais lui donner mon unique et dernière pièce de 5 F. J’hésitai à la lui remettre car il ne me resterait plus rien. Aussi rejetai-je sa demande.

En rentrant dans l’hôtel, je ne cessai de me demander si je n’aurais pas dû tout simplement donner ces cinq francs. Je regrette de ne pas être évoluée au point d’être capable de tout donner – alors même que, si je l’avais fait, j’aurais éprouvé un sentiment de confiance. Qui était cet homme ?

E. W., Winterthur, Suisse

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que le jeune homme était le Maître Jésus.

Un vœu comblé [sommaire]

Cher Monsieur,

Il y a quelques années, je fus invitée par un groupe ésotérique à un repas donné à l’hôtel Bürgenstock. Mère de quatre enfants, je sortais juste d’une procédure de divorce. J’ai accepté l’invitation avec joie et je suis partie en voiture. Cependant, j’étais en retard et j’ai manqué la réunion ! De plus, le réservoir était vide et je n’avais que cinq francs en poche. Je me résolus à entrer dans un salon de thé pour lire mon nouveau livre (écrit par un Maître) et pour me réchauffer car il faisait très froid. Je commandai un thé et commençai à lire. J’arrivai à un chapitre où le Maître disait à ses disciples : « Ce soir, j’exaucerai un vœu pour chacun d’entre vous ; adressez-vous à moi avec votre cœur. » Immédiatement, j’émis le souhait de voir le réservoir se remplir. Je continuai à lire pendant trois heures et oubliai complètement mon problème.

Minuit sonna et je dus quitter le salon de thé. A l’extérieur, le ciel était magnifiquement étoilé. Je réalisai subitement que le réservoir était vide tout comme mon porte-monnaie ! Tout le monde semblait endormi et un silence mortel régnait. Alors, une douce voix venant du plus profond de moi-même me dit : « Introduis la clé et démarre comme d’habitude ». Je le fis et à ma plus grande joie, la jauge à essence indiquait que le réservoir était plein ! Ma joie n’avait plus de bornes et je remerciai le ciel du plus profond de mon cœur. Je me souvins de mon vœu de voir le réservoir se remplir ; il s’était réalisé et je trouvais cela merveilleux.

Ce plein d’essence dura une semaine de plus que d’ordinaire. La jauge resta sur « plein » pendant deux semaines et redescendit ensuite sur « vide ». Je voudrais connaître le nom du Maître qui me fit connaître cette merveilleuse expérience.

N. T., Thoune, Suisse

Le Maître de Benjamin Creme indique que c'était le Maître Jésus.

 

Rayons

Selon le Maître DK, un rayon est « le nom donné à une certaine force ou à un certain type d’énergie, considéré sous l’angle de la qualité qui en émane ». Les rayons transmettent ainsi leurs qualités à toute la création, y compris la constitution humaine. L’âme, la personnalité, le corps mental, le corps émotionnel et le corps physique, sont tous colorés par l’un ou l’autre des sept rayons. De manière à faciliter l’étude et la compréhension des rayons, le Maître de Benjamin Creme, au fil des ans, a accepté de répondre à des questions portant sur la structure de rayons (et le niveau d’évolution) de certaines personnalités mais, par discrétion, jamais pour des personnes en vie. Pour approfondir cette étude, nous renvoyons le lecteur aux enseignements d’Alice Bailey (Lucis Trust), aux ouvrages de Benjamin Creme et aux précédents numéros de Partage international.
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Forum Partage

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Dernière de couverture

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Cahier anniversaire

Le 19 juillet 1977, Maitreya, l’Instructeur mondial, est arrivé dans la communauté asiatique de Londres − son point d’attache dans le monde moderne − et le 22 juillet il a commencé sa mission. Trente ans plus tard, nous célébrons cet événement extraordinaire à travers les pages suivantes.
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Questions-réponses

Réponses de Benjamin Creme

On a signalé une nouvelle croix de lumière dans la 113e rue Ouest, à New York. Pouvez-vous en dire quelque chose ? [sommaire]

Elle est magnétisée par Maitreya.

Dans le numéro de décembre 1997 de Partage international, vous écrivez : « Hitler était un médium doté d'une personnalité profondément mauvaise… » Selon un proche disciple de Paramhansa Yogananda, le gourou de ce dernier, Kriyananda, aurait affirmé qu'Hitler était la réincarnation d'Alexandre le Grand. On rend ordinairement hommage à Alexandre pour ses qualités exceptionnelles de héros et de guerrier profondément cultivé (il fut l'élève d'Aristote). Comment est-il possible qu'il ait développé un caractère aussi diabolique ? [sommaire]

Il est vrai qu'Alexandre était un vainqueur clément et magnanime, et certainement pas un être diabolique. Il est impossible qu'Hitler puisse avoir été Alexandre le Grand, puisque Hitler avait une âme de deuxième rayon tandis qu'Alexandre le Grand avait une âme de premier rayon. Alexandre était un initié de niveau 1,5. Il est actuellement en incarnation en tant qu'initié de quatrième degré. Hitler était un initié de niveau 2,0 et n'est pas en incarnation.

On dit que lorsque le disciple est prêt le Maître apparaît. Dans ces conditions, pourquoi comptez-vous sur l'émergence d'un instructeur, Maitreya, qui viendrait accomplir les choses à notre place ? [sommaire]

J'ai toujours insisté sur le fait que Maitreya n'était pas venu « accomplir les choses à notre place ». Il vient pour enseigner, mais nous devons assurer nous-mêmes notre propre salut en répondant de manière juste à ses enseignements. Il a dit lui-même : « Je suis seulement l'architecte du Plan. Vous, mes amis et frères, vous êtes les bâtisseurs volontaires du temple radieux de la Vérité. » (Messages de Maitreya, n° 65). Ce temple de la vérité c'est, bien sûr, la nouvelle civilisation et c'est à nous de la construire. Chaque brique, chaque pierre, a dit Maitreya, doit être mise en place par l'homme lui-même. Il vient pour montrer la voie, pour donner des conseils, enseigner, inspirer, libérer l'énergie qui nous galvanisera, mais c'est à nous d'accepter de plein gré et avec joie les changements, sinon ils n'auront pas lieu. Cette affirmation : « Lorsque le disciple est prêt, le Maître apparaît » devrait s'entendre dans un sens individuel. Si un disciple est prêt à servir l'humanité de manière efficace, si sa polarisation mentale et sa réponse aux énergies de l'âme sont suffisantes pour qu'un Maître puisse le contacter et travailler à travers lui, le Maître peut apparaître. Mais j'ai parlé de la venue du Maître dans un autre sens. J'ai affirmé que l'humanité comme un tout devrait être prête à accueillir l'Instructeur mondial. Maitreya n'est pas un Maître individuel : il vient pour toute l'humanité. Les Maîtres sont ses disciples.

Comment être certain que ce Maitreya est bien le vrai, et non un faux Maitreya (un imposteur) ? Selon les enseignements bouddhistes, Maitreya est un bodhisattva qui réside actuellement dans le paradis Tusita. Comment peut-il se trouver en même temps au paradis Tusita et sur la Terre ? Si ce Maitreya est le vrai, est-il venu du Nirvana ou de Tusita ? Ou bien rejoindra-t-il le Nirvana une fois qu’il aura accompli sa mission sur Terre ? [sommaire]

Il vous appartiendra d’en juger par vous-même (après le jour de Déclaration), c’est-à-dire lorsque vous l’aurez vu et entendu s’exprimer, en faisant appel à votre intuition spirituelle. Vous jouissez du libre arbitre et vous n’êtes pas obligé de l’accepter. Les paradis Nirvana et Tusita ne sont pas des lieux existant sur le plan physique, mais des états de conscience. Maitreya est, en conscience, un parfait bouddha qui a créé un corps physique afin de pouvoir vivre parmi nous dans le monde.

Comment un individu peut-il évaluer son propre niveau d’évolution ? [sommaire]

C’est une question de discernement, comme pour tout. Le plus facile, pour commencer, est de consulter la liste des initiés dans la Mission de Maitreya, tome III. En étudiant cette liste, vous aurez une idée de votre propre niveau.
Si vous pensez être probablement un initié de 3e degré, je vous demanderai : « Qu’avez-vous fait pour le monde ? » Vous verrez dans la liste que Gandhi était un initié de degré 2,0 ; Picasso 2,4 ; Cézanne 2,6 ; Abraham Lincoln 3,3. Demandez-vous quel service vous avez rendu au monde. Les Maîtres disent que l’on reconnaît le disciple à la maîtrise qu’il exerce sur son environnement et l’initié à l’étendue et à la nature de son service dans le monde. Si vous n’avez rien fait dans le monde, vous n’êtes vraisemblablement pas un initié de deuxième ou troisième degré. Il est utile, à cet égard, de lire le premier ouvrage d’Alice Bailey, Initiation humaine et solaire (Editions Lucis), qui indique les exigences requises pour chaque initiation. La première initiation nécessite le contrôle du corps physique (essentiellement celui des élémentaux du plan physique qui composent le corps) ; la deuxième requiert le contrôle des élémentaux du plan astral/émotionnel qui composent le corps astral ou corps des émotions ; la troisième fait appel au contrôle du corps mental (des élémentaux constituant ce plan) ; la quatrième libère l’individu de l’aspect matière ; et la cinquième initiation, qui est appelée la résurrection (les Maîtres sont tous des êtres ressuscités) se traduit par une totale absence de réponse à l’attrait de la matière.
Etudiez Initiation Humaine et Solaire, et voyez où vous vous situez par rapport aux exigences requises pour chaque initiation, tout en sachant que ces exigences représentent un idéal rarement atteint. Vous pouvez donc passer la première initiation même si vous n’avez pas une maîtrise absolument parfaite du corps physique ou la deuxième si vous n’avez pas entièrement perdu toute forme de mirage personnel, et ainsi de suite.

De plus en plus de personnes impliquées dans le travail de la Réapparition racontent des expériences qu’elles ont eues avec Maitreya, ou avec d’autres Maîtres ou disciples. Certaines en ont d’ailleurs eu plusieurs. Plutôt que de se réjouir et d’en connaître davantage sur ces expériences, certains individus dans les groupes (particulièrement ceux qui n’ont pas encore connu de telles expériences, ou qui en ont eu moins que d’autres) réagissent avec jalousie ou cynisme. Les expériences avec Maitreya semblent créer un climat de compétition et de séparatisme parmi ceux-là mêmes qui sont supposés préparer la voie pour Maitreya. Comment gérer cette situation ? [sommaire]

Je ne partage pas votre avis. Les expériences de Maitreya ne créent ni compétition ni séparatisme. Des réactions de cette sorte, lorsqu’elles existent, sont le résultat de la manière maladroite et empreinte de « triomphalisme » dont ces multiples expériences sont racontées à ceux qui n’en ont pas encore eu (ou qui n’en ont pas été conscients).

Jésus fut-il auparavant le roi Salomon ? [sommaire]

Non. Le roi Salomon avait une âme de 2e rayon et Jésus une âme de 6e rayon.

La planète Vulcain a été découverte par l’astronome français Le Verrier, mais les astronomes modernes refusent de croire à son existence. Cette planète existe-t-elle toujours et, si oui, quelle est sa fonction, son but ? [sommaire]

Cette planète de 1er rayon était connue des anciens et, bien sûr, elle existe toujours. Vulcain est la plus avancée de toutes les planètes de notre système ; elle approche de la fin de sa sixième « ronde » (la Terre est au milieu de la quatrième). Elle est petite, très proche du Soleil et, pour ces deux raisons, sa lumière est masquée ou effacée par le Soleil. Il est impossible de spéculer sur le dessein d’une planète, tout ce que l’on peut dire c’est qu’elle fournit l’environnement qui convient à ses Monades.

Les méthodes de datation au carbone 14 semblent « contredire » parfois les affirmations des ésotéristes concernant l’ancienneté de certains bâtiments ou de certains objets. [1] Serait-ce parce que les hypothèses concernant la nature de la radioactivité sont erronées, en raison du fait que tous les règnes (y compris le règne minéral) deviennent plus « radioactifs » qu’ils ne l’étaient auparavant – et les extrapolations linéaires utilisées pour dater les objets aboutiraient donc à des résultats inexacts ? [2] Existe-t-il des références précises à ce sujet dans les ouvrages d’Alice Bailey ou dans d’autres ouvrages ésotériques ? [sommaire]

[1] Oui. [2] Oui. Mon propre Maître a indiqué, alors qu’il était question de la datation du suaire de Turin, que ces méthodes présentaient un dégré d’incertitude de 2 000 ans, ce qui les rend valables seulement pour des objets d’origine extrêmement ancienne.

Maitreya est un nom très court signifiant « bienveillance » en sanskrit… Maitreya n’a-t-il pas de nom de famille, comme par exemple M. Benjamin Creme a Creme pour nom de famille ? [sommaire]

Non, Maitreya n’a pas de famille. Il a créé lui-même son propre corps. Maitreya signifie en fait « le Bienheureux », celui qui apporte le bonheur dans le monde.

Dans l’un des ouvrages d’Alice Bailey : l’Ame, la qualité de la vie, il est dit que les réactions émotionnelles sont dues à l’action des dévas. Pourriez-vous expliquer cela ? [sommaire]

Les trois corps de l’« homme inférieur », physique, astral et mental, sont en fait composés de « substance » dévique ou angélique ; ils sont dus à l’activité des dévas qui vivent sur ces trois plans. L’évolution de la conscience s’effectue au fur et à mesure que nous prenons le contrôle de l’activité dévique sur le plan physique, sur le plan astral et finalement sur le plan mental. Ce contrôle conduit successivement à la première, la deuxième et la troisième initiations planétaires.

Le médaillon que portait Maitreya lors de son apparition à Nairobi est-il le sceau de Salomon ? [sommaire]

Non.

Maitreya est-il apparu de nouveau devant des groupes ? [sommaire]

L’apparition du 5 avril au Mexique a eu lieu à Villahermosa.
Le 12 avril, Maitreya est apparu devant un rassemblement d’environ 300 chrétiens, à Zaozhuang, en Chine. Il a parlé pendant dix-sept minutes. Une source avait été énergétisée dans les environs auparavant.
Le 19 avril, Maitreya est apparu devant un rassemblement de 200 à 300 chrétiens, au Canada. Il a parlé pendant dix-sept minutes. Une source avait été énergétisée dans les environs auparavant.

On a rapporté dans le New York Times que l’Arche d’alliance perdue, l’objet ancien le plus sacré pour les Israélites, pourrait se trouver dans la ville sainte d’Aksum, en Ethiopie, sous la garde de moines chrétiens orthodoxes. La Bible décrit cette arche comme un coffre plaqué or que Moïse construisit pour y déposer les tables des dix commandements. La relique qui se trouve à Aksum est-elle l’arche perdue ? [sommaire]

Non. Selon mes informations l’arche existe, mais demeure cachée en Egypte depuis l’an 597 av. J.-C.

[1] Pourriez-vous en dire davantage sur cette croix de lumière ? [2] Aura-t-elle un effet général de guérison et de pacification sur la population de la ville de New York, comme ce fut le cas à El Monte – diminution de la violence, de la criminalité, des agressions, etc., et une amélioration des relations dans la famille et la communauté. [3] Son apparition est-elle liée à l’émergence d’un Maître travaillant publiquement dans cette région ? [4] La proximité de la cathédrale St John the Divine a-t-elle quelque chose à voir avec cette croix ? [5] Qu’en est-il de l’immense rocher situé derrière l’immeuble ? [sommaire]

[1] Non. [2] Non, seulement localement. [3] Non. [4] Non. [5] Il a lui aussi été magnétisé.

[1] Comment pouvons-nous commencer à nous détacher de nos corps physique, astral et mental ? [2] Cela dépend-il de la volonté de notre propre ego ? [3] Comment se détacher du mental sans utiliser le mental lui-même ? [sommaire]

Il ne s’agit pas de se détacher de ces trois corps, mais plutôt de se détacher du fait qu’on les identifie au Soi. Cela favorise une conscience accrue de notre véritable identité.

Quand Maitreya a-t-il commencé son évolution en tant qu’être humain normal ? [sommaire]

Il y a environ huit millions d’années, au milieu de l’époque atlante.

[1] Quel fut le rôle de Maitreya et des Maîtres dans la récente percée des pourparlers de paix en Irlande du Nord ? [2] La Hiérarchie pense-t-elle que l’accord conduira réellement à la paix dans ce pays ou [3] que ce n’est qu’une avancée temporaire ? [sommaire]

[1] Aucun rôle. [2] Pas directement. [3] Oui. L’intervention de Maitreya sera nécessaire afin d’amener les deux parties à un véritable accord de paix.