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I - Perspective historique
II - L’avenir
III - La Mission de Maitreya, l’Instructeur mondial
IV - Qui est Benjamin Creme ?
V - Le rôle des médias
VI - Signes

II - L’AVENIR :

PARTAGER LES RESSOURCES DU MONDE ET COOPERER

La voie dans laquelle nous sommes engagés mène au chaos social et à la dévastation de l’environnement. Les Maîtres nous invitent à partager les ressources mondiales et à coopérer, car cette direction seule conduit à la paix et à la justice. Le partage est pour eux la réponse à tous les problèmes de l’humanité, et la clé de son avenir. Il nous permettra de construire une civilisation où l’homme connaîtra un accomplissement sans précédent.

En dépit des apparences, l’humanité s’oriente dans la bonne direction. La « voix des peuples » commence à se faire entendre. Cette opinion publique mondiale, que les Maîtres soutiennent et galvanisent, va progressivement devenir une force irrésistible en faveur du changement.

 

 L’ETAT DU MONDE


Deux mondes

  • Jamais la richesse par habitant sur Terre n’a été aussi grande. Pourtant, un cinquième de la population mondiale vit dans un état de pauvreté absolue (moins d’un dollar par jour).

    Ces gens vivent une existence misérable, faite de souffrances et de privations. Ils n’ont aucun espoir de pouvoir seulement satisfaire des besoins fondamentaux (nourriture adéquate, eau potable, logement, santé et éducation) que nous considérons comme naturels et élémentaires en Occident.
  • La nourriture produite sur la planète excède de 10 % les besoins. Pourtant, plus de 30 millions de personnes meurent de faim chaque année.

  • Un tiers de la population mondiale consomme 83 % des ressources, deux tiers devant se contenter des 17 % restants.

  • Les pays prospères du G8 organisent l’économie mondiale à leur profit. Via les organismes internationaux qu’ils contrôlent (comme l’OMC, le FMI et la Banque mondiale), ils s’approprient les actifs des pays sous-développés, condamnant de larges franges de leurs populations à une misère perpétuelle.

Les habitants des pays riches préfèrent ignorer ces faits, refuser de voir leur responsabilité, se persuader de leur incapacité à changer la situation, et croire qu’elle peut persister indéfiniment sans que leur confort n’en souffre. L’avidité, l’égoïsme, la complaisance et l’autosatisfaction sont les véritables causes de l’extrême pauvreté et de la malnutrition de millions de gens dans le monde.

Maitreya nous demande :

« Comment pouvez-vous
regarder ces gens mourir sous vos yeux
et vous considérer comme des hommes1 ? »

Il déclare :

« Les problèmes de l’humanité sont réels,
mais ils peuvent être résolus.
La solution est à votre portée2. »

 

L’environnement

« L’équilibre de la planète se fait de plus en plus précaire, perturbé comme il l’est par les abus des hommes, et c’est à leur propre péril que ceux-ci ignorent les appels de détresse que lance la nature3. »

A moins d’un changement radical de nos modes de consommation et de gestion des ressources naturelles, la terre sera quasiment inhabitable à l’échéance de quelques décennies seulement. D’une façon directe ou indirecte, la pollution est déjà le premier facteur de mortalité dans le monde.

Le monde développé doit apprendre à vivre plus simplement pour que vivent les générations futures.

  

Une crise spirituelle sans précédent

Jusqu’à présent, la vaste majorité de l’humanité considère que la compétition est le meilleur vecteur du progrès humain. Cette croyance a amené l’humanité à une situation totalement insoutenable. Aujourd’hui, cette tension se révèle principalement dans les domaines de l’économie, mais aussi de la politique. Les conflits d’intérêts dominent le monde, les cultures et les idéologies s’opposent. La division règne entre les nations et des guerres sont engagées pour le contrôle des ressources énergétiques. Ces dissensions font peser le risque croissant d’un nouveau conflit planétaire.

Selon Benjamin Creme, la profonde crise que traverse l’humanité est de nature spirituelle, même si elle se manifeste principalement dans les domaines politiques et économiques. Si cette crise n’était pas résolue, toute vie serait détruite sur cette planète.

Pour espérer survivre, l’humanité doit prendre conscience de sa véritable nature et du sens de la vie. Les hommes ignorent qui ils sont et d’où ils viennent. Ils doivent apprendre à connaître et faire l’expérience de leur nature intérieure spirituelle, et à établir de justes relations, au niveau individuel comme à l’échelle des nations.

 

  

LE PARTAGE : CLEF DE L’AVENIR


Le partage

Etablir de justes relations consiste à démontrer sa capacité de vivre en paix. Si l’humanité ne peut vivre en paix, elle s’autodétruira, car aujourd’hui, une guerre à grande échelle conduirait à l’anéantissement de toute vie. Ainsi, la première étape vers de justes relations humaines consiste à instaurer les conditions de la paix.

Maitreya affirme qu’il n’existe qu’une seule façon d’y parvenir : c’est d’asseoir la justice dans le monde. Sans justice, il n’y aura jamais de paix, et sans paix, il n’y aura plus de monde.

Comment l’humanité peut-elle instaurer la justice ? En partageant les ressources abondantes de ce monde, en les répartissant équitablement entre et au sein des nations.

 

« Le partage est la réponse à tous les problèmes des hommes. […] Le partage met l’homme sur la voie de ce qu’il peut atteindre de plus élevé, car il ouvre la porte à la confiance […]. Quand les hommes partageront, ils se sentiront exaltés et aimeront ce qu’ils font. Le partage rendra aux hommes la santé. Le partage unira l’humanité. Le concept de partage est sans limites. Il apporte aux hommes le salut4. »

 

Manifester le partage, la justice et la liberté exige la refonte complète de nos structures politiques et économiques.

Cette transformation ne peut se produire que par le développement d’une volonté politique affirmée, l’action concertée d’un courant d’opinion fort, qui contraindra les dirigeants politiques à prendre les mesures qui s’imposent.

Maitreya a déclaré :

« Les choses ne se font pas d’elles-mêmes.
L’homme doit agir et accomplir sa volonté5. »

  

Compétition ou coopération

La compétition imposée par les forces du marché profite à quelques « puissants » aux dépens de la majorité laissée pour compte. L’énergie de la compétition se fonde sur la peur.

Maitreya appelle les forces du marché les forces du mal car l’inégalité et l’injustice sont inhérentes à leur nature.

En revanche, la coopération est une qualité de l’âme qui exprime son amour et sa nature inclusive dans les relations humaines. La coopération est synonyme d'unité et de relations justes. Elle offre à tous l’assurance que leurs besoins fondamentaux seront satisfaits et l’accès à une vie plus épanouie et plus heureuse. De grandes réserves d’énergie et de créativité restent latentes au sein de l’humanité, n’attendant que la magie de la coopération pour se manifester.

« Ainsi se fait jour la prise de conscience que la vie humaine est en péril, et qu’il faut faire quelque chose de radical avant qu’il ne soit trop tard. Que peut donc bien faire l’homme pour échapper au désastre ? Quelles mesures peut-il prendre, ne serait-ce que pour atténuer la menace qui pèse sur lui ?

 La réponse à cette question est relativement simple mais, semble-t-il, difficile à saisir pour les hommes, prisonniers qu’ils sont des méandres de leur propre conditionnement. Les hommes doivent se libérer du poison de la compétition, ils doivent percer à jour le mirage qu’elle constitue et, percevant l’unité du genre humain, embrasser la coopération pour le bien général. Seules la coopération et la justice sauveront les hommes de la catastrophe qu’ils ont eux-mêmes engendrée ; seules la coopération et la justice leur assureront un avenir. Dans de telles conditions, l’homme n’a guère d’autre option que d’accepter que la coopération représente la clé de son salut.

 Quand les hommes pratiqueront la coopération plutôt que la compétition, ils s’apercevront qu’une potion magique fait son apparition dans leur vie. Ils seront surpris de la facilité avec laquelle les problèmes les plus tenaces trouveront une solution, et s’émerveilleront de voir les actions les plus simples faire reculer les limites du possible : par la coopération, et par elle seule, les hommes apprendront le véritable art de vivre. Ainsi en sera-t-il, et ainsi les hommes apprendront-ils à apprécier la beauté de relation que seule la coopération peut leur accorder. Par la coopération, la nouvelle civilisation se construira, la nouvelle science se révélera, la nouvelle compréhension se manifestera. Ainsi les hommes grandiront-ils ensemble dans la découverte de leur divinité. Ainsi connaîtront-ils la joie et le bonheur de vivre ensemble en unité6. »

 

La voix des peuples

« Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et celui de sa famille, notamment pour l’habillement, le logement, les soins médicaux, ainsi que pour les services sociaux nécessaires7»

Cette déclaration signée par les pays membres de l’Onu reste aujourd’hui à l’état de vœu pieux.

Depuis quelques années cependant, des peuples font entendre leur voix pour obtenir la satisfaction de leurs besoins fondamentaux. A travers le monde, le poids de la société civile grandit et se manifeste avec une fermeté croissante et une coordination qui témoigne de sa maturité grandissante et de sa détermination à exiger la prise en compte du bien  commun et non des seuls intérêts d’une oligarchie financière et politique.

Ses exigences vont s’amplifier. Lorsque Maitreya émergera publiquement, il stimulera les demandes de ces peuples et leur donnera de la puissance, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus un gouvernement sur Terre qui puisse résister à ces appels à la liberté, à la justice, et à de justes relations.

« Imaginez donc un futur où nul homme ne manquera de rien. Où les talents et la créativité de tous seront une preuve vivante de leur divine origine. Où les pensées des hommes ne feront aucune place à la guerre, où la bonne volonté embrassera de sa bienveillante emprise le cœur et l’esprit de tous.
« Imaginez des villes de lumière, éclairées par la Lumière elle-même ; un monde où nul ne subira plus la misère sordide d’aujourd’hui ; imaginez des transports rapides et silencieux, propulsés par la seule lumière, qui mettront à notre portée des mondes lointains, et les étoiles elles-mêmes.
Pareil avenir attend les hommes et femmes qui ont le courage de partager. Pareil avenir attend les braves qui ont l’amour de la liberté. Un si glorieux avenir attend ceux qui aspirent à saisir le sens et la finalité de la vie8. »

____________

 

Références :

Benjamin Creme, Le Grand Retour, Partage  Publication 

1- Message de Maitreya n° 11, Messages de Maitreya le Christ » Partage Publication.

2 - Message de Maitreya n° 52.

3 - C’est à l’homme de choisir, article du Maître —,  Partage international, novembre 1997.

4 -  La clef de l’avenir, article du Maître —, Partage international, novembre 2005.

5 - Message de Maitreya n° 31.

6 - L’art de coopérer, article du Maître —, Partage international, septembre 2000.

7 - Article 25 A de la Déclaration universelle des Droits de l’Homme de 1948.

8 - Une esquisse de l’Avenir, article du Maître —, Partage international, octobre 1999.

 

 

 

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